jeudi 7 décembre 2017

« Se souvenir de l’essentiel »





5 12 En ce moment, je continue de regarder des vidéos de l’émission "on ne demande qu’à en rire" afin de cultiver la joie et d'être reliée à la nouvelle génération, dans l'énergie. Une génération qui face aux incohérences du monde suicidaire, réagit par l'humour, la dérision, elle est à la fois lucide et détachée. 
Même si cette joie est un peu artificielle, elle me permet néanmoins de rester sur des fréquences légères qui favorisent l’accueil, l’ouverture et l’insouciance. 
Le fait que je suive les méditations de Deepak Chopra chaque matin est aussi une forme de mise en condition, un rappel qui nourrit ma foi en l’amour, en sa puissance de guérison. 
Je suis convaincue de la force de l’accueil du fait que la vibration qu’on porte et rayonne définit la qualité d’être et participe à la guérison, la restauration de l’amour en soi mais quand je vois certaines parties de mon corps physique qui ne semblent pas s’améliorer, le doute et le découragement ont tendance à  se manifester. Mais au lieu de nourrir ces pensées, je les confie à la source, j’en profite pour lâcher à la fois les anciennes croyances et les conditionnements au sujet de la maladie.

J’ai relevé une citation qu’un humoriste utilise dans l’un de ses sketchs tellement elle entre en résonance avec ce que je vis en ce moment. Le caractère décalé de son humour est aussi quelque chose qui me touche parce que ça nourrit ma foi et mon désir de changer en profondeur. Non plus par la souffrance, les notions de mérite et de récompense qui sont aussi associée à celle de punition, mais en vibrant sur les fréquences de la joie, de l’amour, de la paix, de la confiance. Ce changement qui se réalise en profondeur entraine nécessairement des ajustements jusque dans la matière et cela se réalise autant pendant le sommeil qu'à l'état de veille en étant présent, connecté à la source, ancré dans le désir de paix et d'unité.

Comme il s'agit d'un humoriste, cette citation peut être pure invention tout autant que le prénom "Michel", ajouté « L’on ne peut goûter à la saveur des jours que si l’on se dérobe à l’obligation d’avoir un destin » Emil Michel Cioran

vendredi 1 décembre 2017

« Se libérer de l’idée qu’on se fait de la peur »





Je vais de surprises en surprises dans l’abandon du jugement, des croyances et des conditionnements. Cela révèle à la fois la force des pensées, des croyances et donc de la façon dont nous observons les choses et leur caractère emprisonnant. 
Dans le contexte de la dualité qu’offre cette incarnation, chaque chose comporte un aspect bénéfique et un aspect limitant, aliénant. 

Mais cela vient du fait qu’on reste conditionné par nos croyances et par le mode de jugement qui consiste à qualifier les choses de bien ou de mal. 
C’est clair que nous avons besoin de reconnaitre ce qui est bénéfique, ce qui nous correspond, ce qui nous fait du bien mais trop souvent on se limite au jugement basique et ce mode de fonctionnement nous limite, nous enferme, enfin cela contraint l’énergie et nous éloigne de notre cœur.

En se positionnant dans l’observation neutre on va se rendre compte que chaque chose, chaque situation, nous invite à nous tourner vers l’intérieur afin d’y trouver l’essence de l’être et de reconnaitre nos besoins véritables. 
On y trouve à la fois le besoin et la façon de le nourrir dans cette connexion à la source, en suivant la guidance qui émane du cœur, de ce positionnement d’ouverture.

mardi 28 novembre 2017

« L’énergie est mouvement, par nature elle a besoin de liberté »





27 11 On peut dire que le nettoyage continue et c’est sans relâche que nous avançons dans ce dépouillement des croyances obsolètes. Le chantier parait considérable mais en prenant du recul, dans la confidence envers l’âme, on se rend compte que le but n’est pas vraiment de lâcher un maximum de croyances mais plutôt d’apprendre à être ancré dans les vibrations de la source, dans le présent. 

C’est tout un mode de fonctionnement que nous lâchons pour nous laisser guider en toute confiance par notre essence, nôtre être authentique, par l’élan du désir, de la joie. 
Et ce faisant, nous abandonnons, sans éprouver de sentiment de perte, les croyances qui aujourd’hui ne font plus sens. 
Ce qui est remarquable, c’est la façon dont on vit les choses avec détachement et comment en prenant l’habitude de se positionner dans l’ouverture, le non jugement, on redécouvre le monde. On pénètre réellement dans un nouveau monde alors même que rien ne change en apparence. 
Ce qui change et qui fait la différence, c’est le point de vue avec lequel on observe les choses et ce faisant on comprend les notions de physique quantique par l’expérience. On voit que tout dépend de l’intention qu’on porte sur les choses.

J’ai été inspirée à lâcher l’ordinateur pour être davantage dans l’action, la réalité du quotidien, afin de le créer en suivant toujours le désir d’agir. A ce stade, c’est difficile de traduire le ressenti et la façon dont la guidance se manifeste parce que c’est toujours nouveau, inattendu. 
Le fait de s’intérioriser permet de prendre l’habitude de se fier à sa propre guidance, de reconnaitre les multiples langages de nos corps et en eux, cette conscience omniprésente.

dimanche 19 novembre 2017

« Lâcher les croyances c’est comme vivre un deuil »





Cet article (plus bas) m’a frappé dans sa ressemblance avec le processus de libération des croyances obsolètes. En effet, on passe par les mêmes étapes, les mêmes émotions qui lorsqu’on les exprime librement, lorsqu’on offre à la source, les pensées qui leurs sont associées, nous ouvrent le cœur et la conscience en éveillant la sagesse intérieure. 

Il est nécessaire de purifier le mental, l’émotionnel, afin de s’alléger vibratoirement, d'être aligné aux fréquences de la terre et de l'âme. Et en chemin, on apprend à relativiser, on s’habitue à vivre une relation transparente et confiante avec la source en soi mais aussi avec tous nos corps. 
Ce processus ressemble aussi à celui du pardon parce qu’il s’agit de faire le deuil du rôle de victime en reconnaissant et en lâchant chaque pensée émotion qui nous maintiennent dans le sentiment d’impuissance.

On a beau vouloir changer, sortir des jeux de rôles, ça n’est pas si évident parce que ces positionnements nous rassurent, on en tire certains avantages et le premier, c’est d’éviter de se sentir coupable. Une croyance bien ancrée est celle qui associe la notion de responsabilité à celle de culpabilité. 
Quand on croit être victime de la vie et des autres, cela procure un certain confort parce qu’on n’a pas besoin de se remettre en question et dans cette perspective, on trouvera toujours un coupable extérieur à soi. Surtout en cette période où on dénonce les abus des hommes auprès des femmes, chaque femme peut se reconnaitre en tant que victime.

mercredi 15 novembre 2017

« Savoir dire "stop" aux projections catastrophiques »





Je n’ai pas publié ce qui suit au moment où je l’ai vécu parce que j’attendais de sentir la stabilité intérieure revenir.
Avec le recul, ce que j’ai vécu ressemble de très près au cycle du deuil, à ses différentes phases qui permettent de passer de la peur à la joie et d’abandonner ainsi des croyances devenues obsolètes. 
C’est un processus qui nous permet de renaitre mais il demande de vivre chaque étape en conscience et en confiance. Ce qui n’est pas facile lorsqu’on est face aux peurs existentielles, profondes et parfois même inconnues. Mais on en ressort toujours grandit, plus confiant, plus équilibré, éclairé et proche de la source, de ces vibrations.

8 11 On peut dire que la journée d’hier a été bouleversante et j’ai eu bien du mal à ne pas me laisser submerger par la peur. C’est un cycle infernal de se focaliser sur une douleur et d’y ajouter des peurs mentalement. Le mental a la capacité de se projeter soit dans le passé, soit dans l’avenir et c’est ce qu’il fait la plupart du temps lorsqu’il panique face à un symptôme. 
Quand il est face à quelque chose qu’il ne comprend pas ou qu’il n’accepte pas, il va chercher dans ses souvenirs des situations similaires à ce qu’il vit dans l’instant, que ce soit dans sa propre expérience ou dans celles vécues par des proches. L’imagination est créative lorsqu’elle émane de la paix du cœur, de la joie de l’enfant en soi mais quand on utilise le phénomène de projection ou dit autrement, quand on se fait des films, cela devient dramatique.

lundi 13 novembre 2017

« Pourquoi avons-nous BESOIN du Mental pour changer notre Réalité » Vera Ingeborg





C’est une compréhension commune dans le monde spirituel de dire que nous avons besoin de quitter le mental pour passer à une nouvelle réalité et pour devenir un créateur accompli. Mais ceci n’est que la moitié de la vérité, et c’est souvent mal interprété en pensant que nous devons abandonner le mental et vivre uniquement à partir du cœur et du ressenti. Cela ne peut pas être plus éloigné de la vérité. 
L’équilibre intérieur n’est possible que par l’alignement du cœur, du mental et du corps physique.
Beaucoup de pratiques et de méthodes spirituelles excluent le mental et se concentrent uniquement sur le ressenti. Oui, il est vrai que pour changer de fréquence, nous devons ressentir l’énergie et avoir une expérience émotionnelle. 
Et il est clair que cela n’a pas lieu dans le mental mais à travers le cœur et à travers le corps physique. 
Et cependant, avant d’avoir une expérience émotionnelle, nous faisons un choix et établissons une intention, à savoir si nous sommes dans la confiance ou dans le manque de confiance: si nous venons d’un espace d’amour ou de peur dans la façon dont nous gérons notre expérience émotionnelle. 
Ce choix est fait avec l’énergie masculine. 
C’est observer / se focaliser / choisir avant de le remettre dans le champ énergétique féminin, où nous ressentons et traitons vraiment les choses.

« Plus on lâche prise sur une situation et plus elle peut changer » Lise Bourbeau




Saviez-vous que plus on lâche prise sur une situation, plus elle peut changer? 
Et plus on veut la contrôler, moins elle change ?          

Cet énoncé est impossible à comprendre intellectuellement. Pourquoi ? 
Parce qu'il s'agit d'une notion spirituelle. 
Pour le mental, les choses doivent être rationnelles. 
Nous sommes portés à croire que si nous désirons changer quelque chose, nous devons d'abord prendre une décision et ensuite faire des actions en conséquence.

Prenons un exemple qui touche un grand nombre de personnes : LE POIDS. 
Ce désir de changement très populaire explique pourquoi l'industrie de la perte de poids est une des plus grandes au monde. Face à un surpoids, la réaction habituelle est de faire attention à ce qu'on mange. C’est le début du contrôle et de la culpabilité.

Si vous faites partie de ceux qui se mettent au régime ou qui font attention, vous vous êtes certainement aperçu que vous vous sentez coupable aussitôt qu'une petite voix intérieure vous dit : Tu n’as pas honte ? Tu viens encore de tricher, ce n’est pas ainsi que tu vas perdre du poids. Vous vous promettez bien de ne pas recommencer. Mais qu’arrive-t-il ? 
Vous recommencez et la culpabilité augmente avec le temps. 
Voilà pourquoi il est reconnu que plus on veut changer, moins on change.