5 12 En ce moment, je continue de regarder des
vidéos de l’émission "on ne demande qu’à en rire" afin de cultiver la joie et d'être reliée à la nouvelle génération, dans l'énergie. Une génération qui face aux incohérences du monde suicidaire, réagit par l'humour, la dérision, elle est à la fois lucide et détachée.
Même
si cette joie est un peu artificielle,
elle me permet néanmoins de rester sur des fréquences légères qui favorisent
l’accueil, l’ouverture et l’insouciance.
Le fait que je suive les méditations
de Deepak Chopra chaque matin est aussi une forme de mise en condition, un
rappel qui nourrit ma foi en l’amour, en sa puissance de guérison.
Je suis
convaincue de la force de l’accueil du fait que la vibration qu’on porte et
rayonne définit la qualité d’être et participe à la guérison, la restauration
de l’amour en soi mais quand je vois certaines parties de mon corps physique
qui ne semblent pas s’améliorer, le doute et le découragement ont tendance
à se manifester. Mais au lieu de nourrir
ces pensées, je les confie à la source, j’en profite pour lâcher à la fois les
anciennes croyances et les conditionnements au sujet de la maladie.
J’ai
relevé une citation qu’un humoriste utilise dans l’un de ses sketchs tellement
elle entre en résonance avec ce que je vis en ce moment. Le caractère décalé de son humour est aussi quelque
chose qui me touche parce que ça nourrit ma foi et mon désir de changer en
profondeur. Non plus par la souffrance, les notions de mérite et de récompense
qui sont aussi associée à celle de punition, mais en vibrant sur les fréquences
de la joie, de l’amour, de la paix, de la confiance. Ce changement qui se réalise en profondeur entraine nécessairement des ajustements jusque dans la matière et cela se réalise autant pendant le sommeil qu'à l'état de veille en étant présent, connecté à la source, ancré dans le désir de paix et d'unité.
Comme il s'agit d'un humoriste, cette citation peut être pure invention tout autant que le prénom "Michel", ajouté « L’on ne peut goûter
à la saveur des jours que si l’on se dérobe à l’obligation d’avoir un
destin » Emil Michel Cioran