samedi 21 février 2015

« ISIS : Le cœur, un organe sacré » par Isis Blue Nebadonia





Chapitre 9

Votre cœur commandite entièrement en symbiose votre état spirituel et votre état physique.
Moteur de votre circulation sanguine, votre cœur est un organe qui pense, tout comme les autres organes, cellules et atomes de votre corps
Tous orchestrent votre représentation physique, votre moule. Ils absorbent vos moindres pensées, mots, sons qui sont des vibrations façonnant votre chimie intérieure. 

Votre cœur est l’organe qui sert à respirer comme il vous sert à aimer. 
Il est la clé des mondes subtils, il est l’accès à la dimension de l’amour. 
Il renferme un petit être, (votre enfant intérieur), votre être divin, un être de lumière comparable à un diamant pur. Suivant vos modes de pensée, vos comportements, votre hygiène de vie (nourriture, air respiré, sommeil, quotidien …) cet être grandit ou reste petit, emprisonné dans la densité, l’empêchant de s’épanouir.

« On passe à autre chose »





Quand on reste en mode réceptif, en toute confiance, on reçoit des réponses ou des explications à certains de nos comportements. Comme je suis (du verbe suivre) l’envie du moment en ayant conscience que le cœur ne triche pas et que sa compréhension surpasse celle de l’intellect, je n’ajoute pas de doute, de peur ou de culpabilité à ce que je fais. 
Même si parfois ça n’a pas de sens pour le mental, pour le cœur, c’est toujours pertinent. Le dessin que j’ai fait, il y a trois jours m’a délivré ces « secrets ». 
Déjà, si je l’ai mis sur le blog, c’était pour témoigner du bien-être qui résulte de l’abandon des pourquoi quand une envie se manifeste. Puis je l’ai trouvé moche, comme le papier peint des années 70 dont je n’ai jamais été friande. Le but n'était donc pas d'être approuvée ou flattée. Mais, derrière ça, il y a plusieurs choses. 
Premièrement, je l’ai dessiné le jour où je n’avais plus d’herbe. Bien qu’il n’y ait pas d’accoutumance physique, il y a tout de même un manque au niveau psychologique. 
Mais comme j’ai pris la décision de ne plus en acheter et que la motivation était portée pas l’envie de passer à autre chose, en accord avec les voix intérieures, il n’y a pas eu de peur, de souffrance ni d’envie de repiquer au truc. 
La seule chose qui demeure, c’est la confiance que le désir de changement suffit à nourrir ma détermination. Ce dessin moche m’a permis de libérer les rêves et croyances reliées au mouvement soixanthuitard, c’est comme si un programme avait été enlevé de mon inconscient.

vendredi 20 février 2015

« Laisser renaître l’enfant intérieur » par Lise Bourbeau






De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes. Devenus adultes, nous oublions donc (ou presque) notre individualité première, notre "Je suis". 

En observant le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes a lui aussi été profondément refoulé. Ce refoulement de l'enfant intérieur écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel ainsi que le respect de soi.
En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...
 

L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est. Il n'analyse pas qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il admet son erreur sans se juger.
Lorsque nous nous jugeons ou que nous nous critiquons, nous nous basons nécessairement sur le passé, sur ce qui nous a déjà été appris. C'est donc l'intellect, avec sa capacité de se souvenir, qui nous mène et qui nous dirige.

« La transparence, la sincérité de coeur, révèlent le divin intérieur »





Ce matin, j’ai la visite du ramoneur. Je n’ai pas rallumé le poêle mais comme il a chauffé jusque dans le milieu de la nuit, il fait bon dans l’appart. Être soi-même et spontané rend la relation aux autres beaucoup plus simple et fraternelle que lorsqu’on est dans un jeu de manipulation. 
On n’en est pas conscient mais la plupart de nos actes sont motivés par ce besoin de plaire. La séduction découle du besoin de tester son pouvoir. Tant qu’on croit qu’on est petit et impuissant, on va naturellement rechercher l’approbation des autres et tenter de les rallier à nos convictions. 
Mais quand on découvre la puissance de l’amour, de la pensée, tout change. 
On continue de jouer des jeux mais on devient conscient du manège et peu à peu, on se détache des rôles.
Je suis encore beaucoup dans l’extravagance, dans la mise en scène, le spectacle, mais je suis consciente que ça n’est qu’un jeu et comme mon bien-être ne dépend plus de la réaction, de l’approbation extérieure, quitte à jouer, je m’amuse à être vraie. Enfin je découvre qui je suis à mesure que je libère la dépendance aux produits. Les masques tombent d’eux-mêmes et je n’attends plus de retrouver qui j’étais dans l’enfance, qui j’aurais pu être s’il n’y avait pas eu ce drame de l’inceste.

jeudi 19 février 2015

« Isis : le symbole de l’unité » ; « La Nouvelle Alliance » transmis par Isis Blue Nebadonia






Chapitre 1
Avant de comprendre ce que je suis sur le plan vibratoire et par conséquent qui vous êtes, vous devez comprendre ce que signifie un être « unifié ». 
Je suis sensée vous ouvrir à une connaissance qui vous permettra de comprendre mon rôle sur Terre, en tant qu’Émissaire de vie. Vous réaliserez que, au-delà même de votre divinité retrouvée, se dissimule une énergie cosmique particulière, ayant trait aux forces primordiales de la Création.

Vous devez à présent dépasser le concept de l’incarnation. 
Toute votre vie baigne dans la division de votre être. Les systèmes de croyance vous apprennent à distinguer le bien du mal, le haut du bas, le positif du négatif, le petit du grand, le dieu qui est aux cieux….la liste est longue. 
On vous a inculqué la vie en deux parties et par ce principe, on vous a divisé les uns des autres, c’est la logique linéaire.

Vous devez percevoir à présent la vie au sens large, car toutes vos actions et comportements ont une signification « large ». La réalité de la vie c’est l’Unité. 

Le Yin et le Yang, par exemple sont complémentaires et non opposés. 
Cette énergie est représentée sur la couverture de ce livre.
Vous ne pouvez vivre sans l’un car vous avez été conçus pour porter ces deux hémisphères symbolisées dans votre cerveau, la partie droite et la partie gauche. 
Vous finirez par comprendre que vous tombez en permanence dans l’illusion de l’opposition lorsque vous pensez qu’une personne est votre opposé.

« A quoi ça sert ?...à nourrir le désir, le vivant, la joie en dedans »



Lydia Féliz



J’ai passé la journée d’hier à répondre aux élans de l’enfant intérieur qui me poussait à gribouiller depuis quelques jours. Je repoussais l’envie en me disant que ça ne servait à rien, que c’était inutile…
Tous les arguments de l’adulte qui veut contrôler les choses et agir de manière productive venaient contredire l’élan. J’ai fini par accepter et j’ai bien fait parce que ça m’a permis de m‘ancrer, de me centrer facilement, dans la paix et la joie. Alors ça n’a servit à rien en apparence mais au niveau subtil, énergétique, ce travail porte ses fruits. 
J’ai pu libérer un peu plus l’attente du résultat, c'est-à-dire laisser tomber toute idée de rentabilité, de faire quelque chose de beau du moins de faire quelque chose qui plaira aux autres. 
On agit toujours selon l’idée de punition, de récompense, pour être validé, approuvé et reconnus par les autres et très souvent ce postulat nous empêche d’apprécier ce que nous réalisons. Puis ce dessin n’a pas été fait pour plaire mais juste pour suivre l’élan, "donner la parole à l’enfant intérieur". Déjà, je peux être satisfaite de ne pas avoir dit, « quel temps perdu » ou encore « ça ne sert à rien », « tu exagères », toutes les phrases que ma mère aurait prononcées en pareille circonstances. Ces mêmes phrases qui bloquaient l’élan de créativité. Parce que quand on parle de créativité, on pense à l’art, aux chefs d’œuvres…pourtant, il s’agit juste d’énergies qui se déploient, se cherchent, s’unissent et veulent se matérialiser. La transmutation des pensées et des émotions est aussi une création, une re-création, qui commence à devenir une récréation !

mardi 17 février 2015

« Ne crains rien, ça n’est que du bruit »






J’ai encore cafouillé dans les doses et oublié de prendre un bout de cachet ! Ce qui n’est pas pour me déplaire puisque je ne m’en suis pas rendu compte avant ce matin. J’avais mal au ventre mais je me disais que c’était normal puis même quand j’ai raté les choux, je n’ai pas soupçonné cet oubli. 
Je mesure les ingrédients avec un verre et il a suffit que je prenne la mesure de sucre pour celle de la farine, pour foirer la recette. Mais après la première fournée, j’ai rajouté de la farine et rectifié l’erreur. La chienne est contente, ça n’est pas perdu pour tout le monde ! Je n’ai pas paniqué pour l'erreur de dosage des médocs d’une part parce que je suis beaucoup moins sévère avec moi-même et parce que je m’autorise à laisser sortir tout ce qui se manifeste. 
La gestion des énergies est purement electro-magnétique. On ajoute tout un tas de pensées, de sentiments, à ce qui est physiologique, chimique et « mathématique ». Bon comme ça n’est pas ce que je préfère niveau connaissances, je ne peux pas trop en parler mais je sens de plus en plus que c’est très simple, que c’est une question de point zéro, de juste milieu. D’ailleurs, ça n’est pas par hasard si je tombe sur l’article de Kishori, sur le site « le passeur » ! Je ne l'ai pas encore lu mais rien que le titre, ça me parle.

Quand la peur étaient intense en moi, je créais des situations correspondantes, le tuyau du poêle qui fuyait, les feux de cheminée, des bruis bizarres dans l’appart, la voiture en panne, la fuite du chauffe-eau puis sa mort, des relations tendues avec les autres…La chimie interne était saturée de l’énergie de la peur mais à mesure que je l’ai libérée tout comme la colère et le jugement, peu à peu les scénarios du quotidien devenaient moins pénibles.