samedi 14 février 2015

« Pourtant nous sommes déjà complets, entiers, réalisés… » & vidéo d’Eckhart Tolle






Je parle souvent de pardon, aux autres, à soi-même et pourtant, je suis la première à m’invalider ! C’est un réflexe automatique de rejeter des aspects de soi qu’on a du mal à accepter et pour cette raison, à moins de se regarder en face, en toute objectivité, il n’est pas si facile de détecter ces mouvements de rejet. 
J’ai beau savoir que l’amour de soi, un amour inconditionnel de soi, est la porte du cœur, du divin, la meilleure des protections qu’on puisse avoir puisqu’alors tout en soi est unifié par l’amour, je tombe encore dans le piège de l'auto-critique, d'accusation. 
J’ai retrouvé la joie en prenant conscience de ce qui m’avait amené à redescendre en mode grincheux ; la critique, le jugement intérieurs. Non seulement elle est souvent injustifiée mais elle plombe littéralement l’atmosphère. 
Je suis face au problème de l’addiction depuis des années et bien que ma conscience soit lucide quand au fait que ce soit une fuite, d’autres parts de moi croient encore que c’est une voie de mieux-être. Ce geste, ce réflexe de mettre quelque chose dans sa bouche pour répondre au besoin intérieur d’amour, de communion, remonte à l’état de bébé. Comme cette solution de compensation a marché pendant toute ma vie, au niveau de l’inconscient ça reste inscrit profondément. Et la seule façon de libérer la sensation de manque, c’est d’amplifier patiemment l’amour en soi.

« Vos défauts peuvent être de grands atouts » par Lise Bourbeau





Je sais que votre ego peut résister beaucoup à ce titre. Il s’empresse de vous faire croire que vous devez vous débarrasser de vos défauts à tout prix, qu’ils ne vous sont pas utiles. 
Le seul problème de nos défauts, c’est qu’on ne les utilise pas bien et qu’on s'en préoccupe trop. Très souvent, on les amplifie au point de ne plus être réaliste face à ce que nous considérons comme des défauts

Prenons comme exemple la personne qui se juge chaque fois qu’elle parle trop. Elle se promet bien de tourner sa langue sept fois avant de parler à l’avenir, mais on sait tous qu'elle oubliera très vite sa promesse. 
Plus elle veut se défaire de ce défaut et plus il revient à la charge. Pourquoi? 
Parce que nous sommes sur terre pour vivre toutes sortes d’expériences – incluant nos défauts et qualités – en nous acceptant. Ces expériences sont nécessaires pour découvrir ce qui est plus intelligent pour soi. Comment arriver à faire ce discernement si nous agissons toujours de la même façon? Parler trop ou pas assez, être menteur ou vrai, être lent ou rapide, savoir écouter ou non, être entêté ou ouvert, être habile ou gauche, être dépensier ou économe, etc. 
Au fil des années, j’ai découvert que nous ne pouvons JAMAIS être bien et en harmonie, si nous nous contrôlons pour exprimer seulement l’aspect positif de chaque attitude. Nous devons nous donner le droit d'exprimer les deux aspects, le positif et le négatif. 

vendredi 13 février 2015

« En fait, je n’ai pas perdu la connexion à l’âme, je me suis habituée à sa présence »





Depuis trois jours, je bloque, c’est la page blanche. Enfin j’écris mais ne publie pas. Régulièrement, je remets en question l’intérêt de ce blog et à chaque fois, un commentaire, un mail, me persuadent de continuer. Je sens qu’il me faut aller vers les autres, dans la réalité, passer beaucoup moins de temps sur l’ordi. Et c’est la même chose pour vous. Tout ce temps passé sur la toile est une forme de fuite, un attachement au virtuel qui éloigne de la vraie vie. Un enfermement qui ressemble beaucoup à celui de la dépendance aux drogues.
Il est normal que des vieilles peurs remontent à la surface puisque j’enlève la carapace placée autour du cœur. Celle qui me coupait de mes émotions, que je découvre petit à petit et la colère, la tristesse, l’ennui, apparaissent tour à tour. Je laisse ces énergies me traverser, je ne cherche même plus à comprendre. De temps en temps, j’ai des images/concepts qui viennent comme l’idée que l’ennui va me pousser à sortir, que toutes ces émotions ont leur « intérêt » ne serait-ce que de m’exercer à pratiquer le retour au cœur. 
C’est frustrant pour le mental qui a besoin de savoir de quoi demain sera fait mais comme la confiance est là, je me dis que la patience est intégrée dans ces moments où la vision est troublée et que je viens en mon cœur y trouver la paix. Le mental voit, projette et comprends l’importance de l’alchimie émotionnelle mais il a du mal à accepter le fait que la compréhension ne suffisent pas.

mercredi 11 février 2015

« L’amour une force surnaturelle » par Virginie Gomez






L’amour est-il sécrété par notre cerveau, comme la bile est sécrétée par le foie ? Bien qu’il continue de nourrir notre imaginaire, c’est l’image qui lui est souvent associée. Mais une toute autre réalité est possible.
Qui aime quand je t’aime ? Quand j’aime mon mari, ma femme, mon fils, mon compagnon, ma mère, mon père, mon frère, ma sœur…
Est-ce le marteau en moi ? Le névrosé qui a besoin d’être rassuré sur lui-même, de savoir qu’il n’est pas seul, ou ce besoin d’admirer et d’être admiré ?
Nous voulons aimer. Nous voulons donner de l’amour.
Nous voulons aussi tout contrôler. Et nous voulons des résultats.
Nous voulons être heureux. Nous sommes un jour euphoriques, le lendemain déçus. Dans son livre Et si de l’amour on ne savait rien, le philosophe et méditant Fabrice Midal décrit ce dessin de Voutch, montrant une femme qui dit à l’homme en face d’elle : « Sache que je suis prête à t’accepter tel que tu es, Julian. Mais d’abord, il faut que tu deviennes quelqu’un de complètement différent. »

À moins que ce ne soit l’excitation, le besoin d’aimer qui nous poussent dans l’étreinte. Amabam amare, « j’aimais aimer » dit saint Augustin évoquant un état précédant la marche vers Dieu. Marc Marronnier alias Frédéric Beigbeder s’interroge dans « L’Amour dure trois ans » : « Je l’ai lu dans un magazine féminin : l’amour est une poussée éphémère de dopamine, de noradrénaline, de lulibérine, et d’ocytocine [...]. La société vous trompe : elle vous vend le grand amour alors qu’il est scientifiquement prouvé que ces hormones cessent d’agir après trois ans. »

Entre vision matérialiste du monde et société de consommation, nous avons développé une vision à la fois naïve et désespérée de l’amour : nous lui demandons tout et n’en espérons finalement plus rien.

« Se rappeler comment centrer son énergie » par Steve Rother





Le fait que vous ayez « besoin » que d’autres personnes d’une vibration identique valident régulièrement votre point de vue, produit des résultats autres que ceux que vous escomptez. 
C’est là un effet de la dualité sur le terrain de jeux et rien d’autre qu’une illusion. 
Quand vous parlez à Dieu, y a-t-il quelqu’un d’autre avec vous? 
Lorsque vous faites face à vos propres responsabilités, êtes-vous accompagnés ?
Quand vous vous retirez dans l’intimité pour vous ressourcer, y a-t-il quelqu’un auprès de vous ? 
Ce sont autant d’espaces sacrés intérieurs qui n’ont pas de polarités et dans lesquels personne d’autre n’a besoin d’approuver vos décisions.
Ce sont des refuges sûrs qui vous permettent de vous rappeler votre véritable essence, cette essence qui n’appartient qu’à vous.
Dans toutes les matières, ayez le courage de vous donner la première place car, ce n’est que dans ces conditions qu’il est possible de marcher vraiment à l’unisson avec autrui. Il n’existe qu’une seule vraie relation : la relation que vous entretenez avec Vous-même.

« La puissance de la pureté et du pardon » par Joéliah





Tout comme la neige recouvre un paysage et le transforme spectaculairement, lorsque le rayon blanc s'installe dans notre vie, il nous permet de voir la vie différemment.
Non pas que l'ancien soit effacé et oublié, mais il donne une nouvelle vibration, une envie de passer à autre chose.
Et en voyant que tout peut être différent avec la même base, il nous ouvre l'esprit sur des opportunités.
Ici, dans la région, les enfants n'ont pas l'habitude de faire un bonhomme de neige et la première idée qui leur vient est de jouer avec cette neige. C'est la découverte d'un nouveau monde pourtant très commun à d'autres et même lassant pour d'autres.
 
Dans notre vie, mettre en action le rayon blanc de l'honnêteté dans son quotidien et de la justesse, et aussi le pardon sincère, peut faire l'effet d'un manteau de neige et donner une nouvelle vision des choses, basée sur la pureté.
 
Pardonner, c'est accepter de passer à autre chose. C'est donner la priorité à son bien-être au détriment d'un événement involutif. C'est libérer une ou des personnes, de son champ d'action et ne plus laisser le pouvoir à l'ancien, mais choisir en son âme et conscience de passer à autre chose d'évolutif.

« Savoir trouver la Paix en soi » par Ginette Desrosiers





Message reçu le 01 février 2015
Savoir trouver la paix en soi marque le départ vers une autre aventure de devenir, plus au cœur et plus actualisée dans la manifestation de vos désirs. Profondément en vous, vous avez activé ce processus de mise en place de la nouvelle Terre de Lumière. De lumière elle sera, certes, mais avec votre approbation à devenir ce monde manifesté de la lumière.
Être au cœur permet de revenir à cette essence de votre être de pureté, ‘’Être primordial’’ nous dirons. Voyez-vous, vous avez octroyé beaucoup plus de temps à manifester votre observation de la noirceur pour aujourd’hui épurer et prendre conscience de ce besoin de vous investir en lumière de votre être. Si, au fond de vous, vous avez sombré de nombreuses fois en vos pensées de manifestation non clarifiées et modulées par vos ombres, vous avez octroyé plus de puissance à cette force de non évolution. Vous avez obtenu vos réponses à travers ce mouvement de vos vies par vos propres moyens d’observation, consternation, distorsion et controverse, de vos moindres doutes et vous êtes à vous affranchir.
Êtes-vous à l’écoute de votre manifestation divine ?