lundi 26 janvier 2015

« Savoir dire Non...sans culpabiliser »







J’ai passé un dimanche plutôt sombre, sans aucune envie, traversée par la colère, le sentiment d’impuissance face aux atrocités vécues par tant d’enfants de par le monde, la colère face à ceux qui abusent, violentent, manipulent…
Même si je me dis que quelque chose en moi est éveillé, et que j’accueille les émotions, j’ai eu beaucoup de mal à ne pas m’identifier au rôle de la victime. 
Il faut dire que j’ai dû affirmer mes choix dans la semaine vis-à-vis de ma sœur qui me demandait d’aller aider ma mère après son opération de la main gauche. Je me suis fait avoir une fois mais cette fois-ci, j’ai pu dire non fermement et en donner les raisons. 
J’ai eu un élan de pure compassion, en 2010 lorsqu’elle s’était faite opérer d’un début de cancer à l’estomac et sa façon de m’accueillir m’a tellement surprise et fait souffrir que je me suis dit que je n’irai plus la voir lorsqu’elle est diminuée physiquement. 
J’étais montée en stop et en train, en pleine période de grève et de vacances de pâques, et me réjouissais de lui faire la surprise mais le choc que j’aie reçu en arrivant à été si violent que je ne veux pas revivre quelque chose de similaire. 
D’un autre côté, ça m’a aidé à couper le cordon mais son attitude m’a replongée dans le rôle de la victime et la semaine passée dans la maison de mon enfance a été un vrai cauchemar ! 
J’ai eu droit à la gueule pendant 24h puis une agressivité continue tout au long de la semaine. Sans parler de la vision de mon père complètement ivre que j’aie supporté pendant une après midi entière comme pour marquer la fin de la peur que j’avais à son égard. Puis pour couronner le tout ou pour marquer définitivement la rupture des anciens liens toxiques, j’ai reçu une balle, à hauteur de la tempe, dans le train de retour chez moi, que le double vitrage a empêché de m’atteindre. 
C’est sûr que ce voyage avait un caractère initiatique mais que de souffrances !

samedi 24 janvier 2015

« Le rayon rose de l'amour divin » Archange Camael via Joéliah





Concentrez-vous sur l'influence transformatrice et salutaire des énergies de l'amour divin. L'amour est le tissu qui crée, transforme et harmonise toute chose. 
Prenez le temps de le respirer à fond et de fusionner avec cette flamme d'amour divin. L'amour permet de multiplier les bonnes choses auxquelles votre cœur aspire. 
En fusionnant avec cette flamme de plus en plus, les limitations se dissolvent et vous devenez maître de votre destinée.
Adama

« L'amour » Archange Camael via Joéliah
(La Tour du Pin)

Bénis, soyez-vous.
Recevez la bénédiction de ce rayon de tendresse et de force, à l'intérieur de tous vos corps. Recevez ce liquide d'amour qui se répand dans votre sang et qui va nourrir vos organes, vos muscles, votre peau. Laissez descendre en vous cette grâce. Laissez réveiller cette puissance de calme, d'apaisement, d'ouverture.
L'amour se ressent.
Il n'y a pas de mots justes pour que vous puissiez comprendre ce qu'est l'amour à un niveau élevé. L'Amour est joie, l'Amour est surprise, l'Amour est foi. L'Amour tolère, comprend car il voit au-delà de ce que vous voyez vous-même. Votre amour est toujours limité tant que vous êtes dans ce comportement humain car vous n'avez pas encore compris la grandeur et la puissance de cette force.

« Poc a poc* » & « Nouvelles façons d'être » par Nicky Hamid & « L'âme boussole » par Carolyne Myss





Comme c’est bon de retrouver le silence et le calme du matin ! La journée d’hier bien qu’éprouvante, a fini dans la paix et une joie à peine perceptible mais suffisante pour me donner l’envie de persévérer sur ce chemin de l’amour inconditionnel de soi et de toute vie. 
Il est clair que j’ai encore beaucoup de mal à voir les autres avec les yeux de l’amour, surtout quand ils me perturbent. Car même si je sais que ça éveille des choses en moi, et donc que c’est un appel de l’âme à libérer des énergies bloquées, la tentation de voir la culpabilité de l’autre avant tout, est grande ! 
C’est la même chose au niveau des dirigeants du monde, voir et comprendre leurs agissements, sans pour autant les cautionner, est faisable tant qu’on n’est pas affecté directement. Honnêtement, je n’ai pas cessé de l’accuser par ‘amour pour lui’ mais bien pour retrouver la paix en moi.
J’ai dû faire taire l’ego deux ou trois fois en lui disant qu’on s’épuisait à essayer de comprendre et qu’en plus on s’embarquait dans des raisonnements qui nous maintenaient dans l’amertume, les reproches, bref dans des fréquences destructrices. 
Parce que la sensation interne était vraiment celle de la destruction. 
Non seulement de la paix mais aussi la dégringolade dans le déni de soi, le rejet de parts intérieures qui donne la désagréable sensation d’être divisé en dedans. 
J’ai donc appelé plusieurs fois mes corps à s’unir quoi qu’il arrive, parce que la force est là!

« Le pouvoir de l’acceptation de soi » par Mirena





L’acceptation de soi a un grand pouvoir ; un pouvoir d’ouverture, de raison et de cœur. Elle ne limite pas et permet d’accueillir les évènements et les actes avec compréhension. Elle aide également à comprendre ses propres états intérieurs. 
Ainsi l’ouverture qui était restreinte auparavant, se fait en grand et permet d’accueillir la vie, les autres et soi-même avec un autre regard. 

Ce regard est celui de notre ressemblance avec l’âme et sa pureté. 
Plus nous sommes dans l’acceptation de ce qui est et de ce que nous attirons, plus nous suivons avec simplicité et amour le chemin que nous montre notre âme. Nous sommes ainsi proche d’elle par l’ouverture créée, laissant se dérouler les compréhensions qui auparavant ne pouvaient se faire.

L’acceptation de soi a une grande influence sur l’ouverture de la conscience
Une influence qui dirige les pensées vers la reconnaissance des actes passés et qui permet la libération des mémoires en soi. 
S’accepter c’est se reconnaitre et s’ouvrir au véritable pardon qui libère l’être de ses créations négatives.

vendredi 23 janvier 2015

« Cultiver l’amour en soi » & Clefs de sagesse





La journée a commencé dans la colère après avoir été réveillée par le voisin qui m’a pourri la vie pendant près d’un an, à chanter des chansons ringardes à tue-tête dans un micro, juste au-dessus de ma chambre. Celui dont un des chiens a tué la chatte Maya, une Isabelle qui m’a accompagnée pendant quatorze ans. 
Les claquements de porte, les bruits de meubles qu’on déplace à 5h du matin, c’est sûr que ça énerve mais que ce soit lui qui manifeste à nouveau ce mépris pour les locataires, a redoublé ma colère. Cette fois-ci, j’ai réagit sans culpabiliser mais mon taux vibratoire a chuté en un rien de temps. Il m’a fallu pas moins de huit heures pour retrouver le sourire. 
Quand je dis que je n’ai pas culpabilisé, ça, c’est le temps de la colère mais une fois un peu apaisée, j’ai eu vite fait de me reprocher d’avoir pourri mon état d’être et donné autant d’énergie à cette situation. J’ai eu beau me recoucher, pas moyen de retrouver l’énergie et l’enthousiasme. 
L’accueil des émotions m’a aidé à retrouver la paix mais j’ai continué de cogiter à essayer de comprendre justement ce que je devais comprendre de cette situation précise, qu’est-ce que me montrait la récurrence du schéma…C’est là l’erreur ! 

En toute logique, ce que veut montrer ce reflet, c’est une part de moi-même que je ne connais pas, un personnage intérieur bâillonné, signe de contrôle et plutôt que de chercher le pourquoi du comment, là encore, rester en mode réceptif apportera les réponses facilement.

jeudi 22 janvier 2015

« C’est quoi la liberté ?... »





On dit jamais deux sans trois et c’est le cas pour cette autre nuit des plus agitées ! 
Cette fois-ci, réveillée à trois heures du matin, je me suis levée pour raviver le feu et j’ai pu constater avec joie que la situation ne m’a pas agacée. Je suis restée très calme pourtant, se réveiller trempée, suffoquant au beau milieu de la nuit, m’aurait grandement perturbé il y a encore peu de temps. Il n’y avait pas l’habituel flot de pensée, la « relecture » de la veille, comme c’était le cas avant. En général, le matin, le mental cherche à se resituer dans la réalité en revisitant les événements marquants du jour précédant mais là, il n’y a qu’une seule pensée qui est venue, c’est le discours de Luz, rescapé de la bande de Charlie Hebdo, qui m’a pas mal interpellée. Puis il m'a fait rire en repensant aux défilés des gens de pouvoir en soutien à ceux qui vomissaient sur tout! Quelle ironie!

On a bien du mal à comprendre ce qu’est la liberté ! 
La nouvelle "mode", après la libération sexuelle des années soixante dix, c’est d’être homo, de faire son coming out. Enfin depuis les années 80 avec le sida, il y a eu une vague d'empathie bénéfique mais c'est devenu un "passe partout" dans certains milieux et ça se répand.
C’est un sujet délicat parce que bien évidemment, chaque cas est particulier mais il apparait que l’homosexualité soit devenue "un signe d’évolution", ça fait branché, on cite des auteurs célèbres, des artistes, en référence... 
Comme si le summum de la liberté était de s’autoriser à suivre ses pulsions, à transgresser les tabous, au lieu de les transcender. Puis dans cet escalade ou descente, juste derrière, vient la pédophilie que bon nombre encensent même si c’est encore discret. La plupart croient en Dieu et c'est comme s'ils s'imaginaient pouvoir l'atteindre de cette façon.
Là, je ne mets pas de lien parce que c'est inutile de pointer du doigt, d'accuser, de donner de l'énergie à ces êtres et leurs valeurs, ce qui m'intéresse là dedans, c'est d'essayer de comprendre l'humain. De même que pour le discours de Luz, je l'ai inséré afin de donner du sens à ce que je dis; je n'ai pas été perturbée plus que cela par ce déballage désespéré. Même si j'en parle ici. 

mercredi 21 janvier 2015

« Effectivement, l'amour est dans l'air! »





Une fois de plus, la nuit a été très agitée, j’ai dû me lever trois fois pour aller aux toilettes et ce sont les bouffées de chaleur qui me réveillaient. Je ne suis donc pas en super forme mais heureusement, comme je me connais mieux, je ne suis pas déboussolée par ce genre de situations. D’autant plus que pendant la nuit, un travail d’ajustement, d’intégration se réalise et le fait d’uriner, d’évacuer en est le signe. Mais sans parler de ce qui se passe dans l’astral ou les sphères invisibles, au niveau physique, il y a d’une part la préménopause qui bouleverse le système hormonal puis le sevrage qui perturbe le système endocrinien. Les deux étant liés, ça demande un ajustement énergétique, physique, ce qui a pour effet de créer des désagréments, qui sont absorbés dans la confiance en la vie, en la nature et en cette étincelle divine intérieure. Je n’ai pas à rechercher la cause profonde de tout ceci, ni d’en avoir peur puisque c’est un phénomène naturel.
Les cycles de la vie ont un caractère initiatique et sont des tremplins qui permettent d’amplifier la sagesse et l’amour en soi. Le vieillissement bien qu’il ne soit pas une fatalité, permet d’aborder la vie au-delà des apparences, de venir en soi, en profondeur et c’est très souvent une période où la remise en question étant nécessaire, on va pouvoir faire le bilan de sa vie. On n’a plus de rôle à assumer vis-à-vis des autres, de sa famille, du monde du travail et ça peut être une occasion de s’occuper de soi ou de se renier.