jeudi 18 septembre 2014

«Connaissance de soi; la chute » les êtres de lumière via Monique Mathieu





 - Vous allez de plus en plus vivre des moments intérieurement très intenses.
Vous vous demandez parfois : comment faire pour remonter la pente lorsque nous nous trouvons «  au fond du trou » ?
Parfois, lorsque vous vous trouvez au fond du trou, cela a une signification, une importance, parce que c'est lorsque vous touchez le fond que vous remontez vers la Lumière.
Donc il faut d'abord vous questionner pour savoir pourquoi vous vous trouvez dans telle ou telle situation. Une réponse vous est quelques fois donnée, et parfois il n'y a pas de réponse ou les réponses sont multiples.
Nous ajoutons que pour élever votre fréquence vibratoire il faut déjà vous aimer. 
Il faut aussi que vous essayez de maîtriser vos pensées. 
Toute pensée non charitable pour vous, pour une situation quelconque ou pour ceux qui vous entourent fait automatiquement baisser cette fréquence, et vous ne vous en rendez pas compte.
Il faut également que vous ayez conscience de ce que vous êtes en tant qu'être humain. Il est nécessaire que vous ayez conscience que votre véhicule de manifestation, quel que soit son aspect, est le temple de votre âme et de votre Divinité.

« Au bon endroit, au bon moment. »




Le dépouillement continue et il semble que ce soit au niveau de l’expression, de la parole et des pensées qu’un allégement s’opère. Il y a comme une lassitude à raconter ma vie, une envie de changer la forme, de sortir définitivement de l’état de victime par exemple en réécrivant la rubrique « qui je suis ». D’un côté je me dis que laisser le texte en l’état continue de nourrir le passé mais de l’autre, le contraste entre le passé et le présent parle de lui-même, c'est une façon de démontrer la puissance de la foi, de l’intention. Comme je suis partagée, j’attends de sentir les choses et laisse de côté les réflexions à ce sujet. 
Je pressens un changement profond mais je ne vois pas encore comment celui-ci se réalisera.
Une fois de plus, je m’en remets au divin et me contente de maintenir vivante ma foi en l’humain divin. Les mots, les concepts m’apparaissent bien légers pour décrire l’indescriptible et c’est un peu frustrant. 
La phase de nettoyage semble sans fin et cette impression est à accueillir avec tendresse afin de garder le cœur ouvert et de sentir l’étincelle intérieure qui illustre l’espoir d’une issue favorable à ce lessivage en profondeur. Peut-être qu’il me faut l’accompagner par des gestes au quotidien, par le nettoyage de mon lieu de vie. Le tri que je repousse toujours est à effectuer maintenant semble-t-il. 

mercredi 17 septembre 2014

"L'exploration continue"



Sana Bukhari



Les apparences sont trompeuses et en sondant un peu mon monde intérieur, en mettant de côté toutes les croyances passées, je ressens un profond bouleversement intérieur malgré ou grâce au calme extérieur. Comme si une vague balayait tout sur son passage me laissant allongée sur la plage pour intégrer, digérer l'énergie de la source. 
Les symptômes physiques ne sont plus nourris par la peur, je me contente de constater ce qui est. Je ne laisse plus le mental interpréter les choses et le ramène à l’instant présent. 
Ce n’est pas très compliqué mais ça demande de la vigilance.
Le fait d’être seule est réellement une bénédiction pour réaliser cette mise à nue, cette introspection profonde, d’autant que la solitude n’existe plus lorsqu’on réintègre des parts de soi délaissées antérieurement. Une belle occasion de se découvrir sans qu’aucun facteur extérieur ne vienne troubler la vision. L’effet miroir en toute interaction modifie la personnalité qui va se conformer aux attentes de l’autre de façon inconsciente, par mimétisme. Dans tout échange, il y a une transformation au niveau énergétique et si on n’est pas conscient de sa vraie nature, on joue les caméléons sans même s’en apercevoir.
Être authentique demande avant tout de se connaitre de l’intérieur, de se voir avec neutralité afin de reconnaitre tout ce que nous sommes en vérité. Apprendre à distinguer les voix qui s’expriment n’a pas pour objectif de choisir qui on veut être mais de permettre la désidentification aux personnages divers que nous jouons selon les circonstances.

mardi 16 septembre 2014

« Instinct grégaire et communion »





Plus les scandales, les injustices sont révélés et plus l’humain aura tendance à vouloir choisir son camp et à se regrouper pour faire front aux puissants. Il y a un risque énorme de retomber dans la compétition car même si l’enjeu est l’amour/lumière, le mécanisme de rejet agrandit le fossé entre les opposés. Et même si l’étendard est l’amour, ça reste conflictuel et c’est incontestablement une stratégie de l’ego. Le danger de reconstituer un camp au lieu de former un champ est très grand.
Avec les connaissances que nous avons aujourd’hui à propos de l’énergie, de la réalité de l’humain divin et de l’énergie d’amour, il apparait clairement que si on veut réellement changer le monde, ça commence par trouver l’équilibre en soi. 
Pour se libérer de l’inconscient collectif et sortir du mode prédateur, du triangle émotionnel il est nécessaire de retrouver sont intégrité, son authenticité. 
Accepter ses ombres signifie de ne plus lutter contre elles, les voir et les accueillir, ce qui amène à l'équilibre énergétique intérieur. 
Ces propos vont certainement être perçus comme une forme de rébellion ou d’opposition mais je veux juste partager mes interrogations à ce sujet. 
Les méditations pour la paix semblent être une bonne chose mais le problème c’est que beaucoup de personnes sont encore tellement dans la dualité que le résultat c’est une amplification de celle-ci. Combien prient pour la paix en ayant en même temps des pensées du style : « mon dieu vient faire régner la justice…détruit le mal, les méchants…» Tant qu’on n’est pas aligné en dedans les énergies qu’on émane sont celle du conflit, de la lutte et elles nourrissent autant l’ombre que la lumière.

lundi 15 septembre 2014

« Prendre du recul et voir le divin en soi»





Ce matin, je n’ai envie de rien. Le jardin a été arrosé copieusement hier après midi et il n’a pas besoin de moi. Le désherbage se fait mieux quand la terre est juste humide et là, c’est trop imbibé. C’est la météo qui rythme mes journées et ça me plait bien de me laisser porter par le temps. Bilou la chatte sauvage a dormi près de moi après avoir massé de ses quatre pattes la robe de chambre en polaire. Quand je la vois faire ça, je me dis qu’elle est peut-être nostalgique de la période où elle tétait sa mère, dont elle a été séparée trop tôt mais comme Féliz le fait aussi, alors qu’il a tété pendant cinq ou six mois, ça ne colle pas. 

Le mental aime bien savoir, comprendre, trouver un sens aux choses alors il cherche dans sa banque de donnée, la mémoire, comment interpréter les faits. Il compare, soupèse, évalue tout ce qui passe à sa portée. Je ne le suis plus dans ses délires et ses explications capilotractées parce que c’est sans fin !  
Ce qu’il veut c’est être rassuré, il a besoin de se situer alors il cherche et parfois trouve. Je le laisse cogiter et l’observe comme si je regardais un enfant jouer avec des cubes. Quand il retourne dans le passé, ce qui est de plus en plus rare, je le ramène gentiment ici et maintenant, en focalisant mon attention sur le ressenti physique. Je l’invite à le scanner et comme il aime chercher, je le laisse détecter les crispations, les tensions. On dirait qu’il se prend au jeu en tout cas, il se laisse diriger sans opposer de résistance.

dimanche 14 septembre 2014

« Le peuple des chevreuils » message canalisé par Caroline Leroux



Andrew Evans

Salutations! 
Nous sommes le peuple des chevreuils, les cervidés qui gardent l’entrée de vos forêts et l’accès aux autres mondes de la nature. 
Nous sommes aussi les gardiens de l’accès à votre cœur, de l’espace divin qui se trouve à l’intérieur de votre cœur physique!
Comme tous mes frères et sœurs du royaume animal, j’incarne à la fois des qualités physiques et des qualités éthériques ou, si vous préférez, spirituelles. 
Ce que vous percevez de nous dans la physicalité est une représentation amoindrie de nos forces spirituelles. 
Contrairement à ce que beaucoup d’Êtres humains pensent, le monde tel qu’ils le perçoivent, tel qu’ils le vivent, est d’abord spirituel.
Lorsque ralentie dans sa fréquence vibratoire, l’énergie forme la matière. Tout est énergie, vibrant à une fréquence ou à une vitesse différente.
Votre propre fréquence et les croyances que vous avez choisies d’adopter façonnent votre perception et vos expériences dans ce monde.
La fréquence la plus élevée sur votre terre se compose d’un curieux mélange de compassion, de joie, de tendresse et d’harmonie. C’est ce qu’on appelle l’amour avec un grand A!

« Tout ce que nous tentons de refouler ou d’ignorer se manifestera avec violence un jour ou l’autre. »


Mike Wiacek


Ce matin, je suis tombée du lit après une nuit très agitée. La chaleur et peut-être aussi tout le sucre que j’ai ingurgité hier, ont perturbé mon sommeil. La façon d'une des voisines de reprocher à mon chat de se battre avec les autres chats du quartier, m’a agacé d’autant plus que Féliz, est blessé au-dessus de l’œil et ça ne ressemble pas à un coup de patte ! Si les gens qui les voient se battre n’intervenaient pas, leurs rixes ne seraient pas si excessives. C’est comme lorsque deux personnes qui tiennent chacune un chien en laisse, se croisent et qu’ils anticipent les réactions de leurs animaux favorisant ainsi l’affrontement. Un chien tenu en laisse agira selon l’influence de son maitre, selon la peur et un chien qui a peur attaque. Deux chiens en liberté qui se rencontrent ne créent aucun conflit puisqu’ils se toisent de loin premièrement et savent d’emblée comment agir. C’est en général l’âge qui détermine la position et ils respectent les plus âgés. 
Les humains influencent leurs animaux par leurs intentions et ceux-ci y réagissent naturellement puisqu’ils sont censés protéger leur maitre. Je n’ai pas pu m’énerver d’avantage parce que cette voisine est sourde et le dialogue est impossible puisqu’elle met rarement son appareil. Quand je dis énervée, c’est un bien grand mot et ça n’a rien à voir avec mes réactions d’avant. Déjà, je ne nourri pas la colère et elle s’estompe d’elle-même. Je ne retiens pas non plus cet élan à défendre mes compagnons à quatre pattes. C’est sorti et comme je ne me justifie pas, comme je ne cherche pas à avoir raison et que je ne me dis pas non plus : « tu aurais dû... », ça passe comme c’est venu.