Helen Nelson Reed |
Encore une longue nuit où j’étais
en pleine conversation au moment du réveil !
Je recommence à poser mes
mains sur mon ventre qui semble se déchirer de l’intérieur. J’en ai parlé à ma
mère hier, de ce nouveau réflexe qui consiste à utiliser ses mains pour se
faire du bien, soulager les douleurs. J’ai été très surprise qu’elle ne rigole pas
mais au contraire me confie qu’elle le faisait aussi !
Finalement, c’est
tout à fait logique puisque les mains sont le prolongement du cœur et que l’énergie
d’amour a le pouvoir de guérir, restructurer, apaiser…et pour couronner le
tout, je trouve ce matin, le message qui suit, de Lee Harris.
Plus nous serons
nombreux à prendre conscience de notre pouvoir créateur donc pouvoir d'auto-guérison aussi, plus nombreux nous serons à prendre la responsabilité de notre monde intérieur et plus l'énergie de guérison et de puissance amoureuse se répandront sur la planète faisant du rôle de la victime, un vieux souvenir. La souveraineté implique d'être responsable de soi encore faut-il être conscient de qui nous sommes réellement.
Celui ou celle qui
cesse de nourri des égrégores de peur, d’impuissance, participe non seulement à
sa propre guérison mais en fait bénéficier son entourage proche ou lointain,
par rayonnance, par les fréquences qu’il émet.
Je pourrais fuir cette douleur en
prenant un médicament, en me forçant à sourire, en faisant diversion…, mais je choisis de la regarder en face, de la
ressentir pleinement tout en « envoyant », par l’intermédiaire de mes
mains, l’amour inconditionnel, « l’énergie amour » sur mon passé, sur
les traumas de l’enfance, les traumas sexuels, le féminin intérieur, les
histoires d’amour tragiques, l’inconscient collectif féminin…