lundi 1 septembre 2014

"Le pouvoir des mains des humains"...Lee Harris et Caroline Gauthier


Helen Nelson Reed



Encore une longue nuit où j’étais en pleine conversation au moment du réveil ! 
Je recommence à poser mes mains sur mon ventre qui semble se déchirer de l’intérieur. J’en ai parlé à ma mère hier, de ce nouveau réflexe qui consiste à utiliser ses mains pour se faire du bien, soulager les douleurs. J’ai été très surprise qu’elle ne rigole pas mais au contraire me confie qu’elle le faisait aussi ! 
Finalement, c’est tout à fait logique puisque les mains sont le prolongement du cœur et que l’énergie d’amour a le pouvoir de guérir, restructurer, apaiser…et pour couronner le tout, je trouve ce matin, le message qui suit, de Lee Harris. 
Plus nous serons nombreux à prendre conscience de notre pouvoir créateur donc pouvoir d'auto-guérison aussi, plus nombreux nous serons à prendre la responsabilité de notre monde intérieur et plus l'énergie de guérison et de puissance amoureuse se répandront sur la planète faisant du rôle de la victime, un vieux souvenir. La souveraineté implique d'être responsable de soi encore faut-il être conscient de qui nous sommes réellement.
Celui ou celle qui cesse de nourri des égrégores de peur, d’impuissance, participe non seulement à sa propre guérison mais en fait bénéficier son entourage proche ou lointain, par rayonnance, par les fréquences qu’il émet. 
Je pourrais fuir cette douleur en prenant un médicament, en me forçant à sourire, en faisant diversion…, mais je choisis de la regarder en face, de la ressentir pleinement tout en « envoyant », par l’intermédiaire de mes mains, l’amour inconditionnel, « l’énergie amour » sur mon passé, sur les traumas de l’enfance, les traumas sexuels, le féminin intérieur, les histoires d’amour tragiques, l’inconscient collectif féminin…

« Affranchissement de la victime intérieure » par Ysabeille Gariépy


Photo d’ Алексей Мартиневский


Chaque jour tu as le choix d’être à l’écoute de ta victime intérieure qui se plaint sans cesse à propos de quelque chose. Elle est là pour te faire tomber dans l’inertie de l’inaction de ta vie. Elle répondra à cet appel intérieur qui se nourrit de la peur. Aussi silencieuse soit-elle, cette énergie est présente et en acceptant de l’écouter, de lui donner ton pouvoir tu acceptes par la même occasion de jouer ton rôle de victime. Tant et aussi longtemps que tu vas alimenter ces formes pensées, tu vas faire le choix de ne rien faire d’autre de ta vie que de subir ce qui est sur ton chemin. 
En te présentant comme victime, tu affirmes dans l’énergie que tu subis ton sort, que tu ne t’engages pas dans ta propre vie et que tu ne te responsabilises en rien face à ce qui t’arrive.
C’est exactement comme si tu étais assis dans une voiture et que tu regardais au travers du pare-brise ce qui arrive dans ta vie sans prendre contact avec ta réalité, ton ressenti et tes choix. Tu as choisi de te couper de ta création divine en laissant le pare-brise te séparer de la vie que tu peux choisir chaque instant en énonçant de nouveaux choix. Dans cette peur qui t’appartient, il y a sûrement celle de l’inconnu. Si telle est le cas, tu pourrais commencer par baisser la vitre de ta voiture afin de prendre contact avec toi et te laisser le temps d’apprendre à te vivre. C’est à toi de faire le choix d’être le conducteur de ta voiture et de prendre le volant (direction) de ta vie.

« Ame jumelle, âmes sœurs… » par Aurélie & Pascal





Une âme jumelle voit en vous l’essence de votre être, en cela vous frotter à elle au quotidien peut être à la fois magique et “challenging”. Car votre âme jumelle à également un égo polarisé à l’opposé du vôtre. Vous êtes comme deux aimants qui se repoussent lorsque vos égos s’expriment. Et vous vous sentez les plus beaux amants du monde lorsque vos âmes s’alignent…
Parfois les personnes en cheminement spirituel préfèrent vivre en couple avec certaines de leurs âmes soeurs, car c’est plus reposant pour le mental. Deux âmes soeurs peuvent partager leurs souffrances et se réconforter quel que soit leur niveau de fréquence du moment.
Cela créée moins de perturbations au quotidien, les échanges peuvent être très “Fun”. Car avec un frère d’âme ou une soeur d’âme, les émotions ressenties sont parfois très fortes… On peut même tomber “amoureux”, mais c’est aussi moins porteur qu’avec une âme jumelle, car l’amour qu’on échange reste souvent un amour émotionnel.

dimanche 31 août 2014

« Vidéos de Michael Brown », auteur du « Processus de la présence »



Peter Kellberg



En me laissant porter par l’élan du moment, je suis tombée sur des vidéos de Michael Brown que j’aime bien. Enfin, le bonhomme, je ne le connais pas mais ce qu’il dit me parle tout à fait. Sa façon de chercher et ce qu’il a trouvé ressemble beaucoup à la mienne. Je constate qu’il vit seul et c’est vrai que le fait de vouloir suivre ses élans n’est pas très facile si on vit à deux, j’en ai fait l’expérience ! Pour cette raison, j’apprécie de retrouver mon célibat ! Pourtant, ça doit bien être possible de vivre à deux, tout en respectant son enfant intérieur, enfin ses élans. 
La limite, c’est simplement quand ça dérange l’autre. Et encore là, il ne s’agit pas de se frustrer pour faire plaisir à l’autre mais de se poser, d’accueillir les émotions et ensuite de dialoguer avec la personne pour trouver une solution qui satisfasse les deux parties. 
Il y a aussi le problème du dialogue. En général, on ne sait pas parler, du moins on ne dit pas les choses telles qu’on les pense, on réagit plus qu’on réfléchit avant de parler ! On ne peut pas réfléchir si la colère, la tristesse ou tout autre sentiment négatif vis-à-vis de soi ou de l’autre, interfère. Tant que les émotions ne sont pas apaisées, on n’aura pas un discours objectif et le dialogue ne sera pas possible. Si je parle à quelqu’un sur un ton agressif, il va se barricader dans son mur et réagira au lieu d’entendre. C’est très souvent ce qui détruit une relation. Puis on ne sait pas écouter, être là quand l'autre nous parle, on se réfère au passé, on anticipe en pensant à ce qu'on va répondre...Y'a du boulot!

"Nourrir l'amour en soi"


Amy Hutman Bates


Je continue mon voyage intérieur tout en prenant soin de ce véhicule terrestre, mon corps physique qui est en pleine mutation. Je le ressens de l’intérieur et ça se voit à l’extérieur. La patience et la tendresse pour soi, sont des ingrédients essentiels pour être bien dans son corps et dans sa tête. 
On parle beaucoup de l’importance de l’alimentation mais je crois que ce qui modèle le corps physique, c’est plutôt les émotions, les énergies que l’on porte et nourrit. Le fait de se traiter avec respect, c'est-à-dire d’agir selon ses envies, sans se juger mais en vérifiant si c’est vraiment  bon pour nous, participe au mieux être, à l’épanouissement. Si je regarde les vies que j’aie eues avant, je constate que beaucoup ont été consacrées au service aux autres. Même si cette « vocation » est noble, si l’élan qui pousse à aider vient d’une forme de peur de se voir en face, de devenir responsable de soi, ou un besoin de reconnaissance, c’est totalement voué à l’échec. Ce n’est qu’une façon de reculer pour mieux sauter. Plusieurs fois lors de conversations avec ma mère, je disais que la vie ne m’intéressait pas pour moi-même. Je ne trouvais pas le sens de celle-ci puisque je n’avais que moi à m’occuper.

samedi 30 août 2014

« Oui mais » film et « paroles de sagesse » de Caroline Gauthier


Je pense donc je suis...


Pour une fois, j’ai regardé un film, il y a quelques jours et j’ai apprécié de pouvoir me détendre malgré le sujet : le développement personnel, les prises de conscience, la libération des rôles et même la démarche peu orthodoxe mais cependant efficace du thérapeute  incarné par Gérard Jugnot. Une façon agréable et reposante pour le mental, d’intégrer de grands principes concernant les comportements humains…J’espère que vous apprécierez ce film, en fin d’article.
J’ai découvert la page Facebook d’une auteure, Caroline Gauthier, dont les textes résonnent fortement. Encore un clin d’œil de la vie ! Je publierais quelques unes de ses citations remplies d’une sagesse simple. Le style est mélodieux ce qui équilibre avec le côté « cru », vrai de certains sujets. Voici donc par Caroline Gauthier:

« Au cœur de sa chair, il y avait sa propre musique, mais aussi la force cosmique.. 
Elle savait que cette force était dans son corps, qu'elle n'est pas en dehors ! 
Elle savait que dans les profondeurs de son corps, il y avait un trésor. 
Pourtant, comme beaucoup, elle en avait perdu la clé, et il lui appartenait de la retrouver. 

"Au sujet du refus de notre Part d’Ombre" Saint Germain via Alexandra et Dan



Damien Douxchamps



Publié le 30 août 2014
Cette canalisation transmise par Alexandra et Dan fait partie d’une lecture du but de l’Âme avec Saint-Germain. Elle est reproduite ici avec la permission de leur client.

Question : « Je sais ce que je devrais faire et ne pas faire. Mais ma part d’ombre me rend peureux et coupable, comme si tout était de ma faute. Qu’est-ce que cela signifie ? »

Saint-Germain : En effet, cher ami. Vous avez raison sur le fait que cette part d’ombre n'est pas qui vous êtes. Il n'y a en vous rien de sombre qui vous poursuivrait, ou qui essaierait de vous maintenir dans la peur et la culpabilité.
En Essence, vous n'êtes même pas « lumière », comme beaucoup d'entre vous le perçoivent. Lorsque vous vous attendez à ce que la lumière à l'intérieur de vous s’oppose aux pensées et sentiments plus sombres, vous ne faites que légitimer le « sombre » — lui donner une apparence de réalité et de pouvoir, alors que ça n'est pas le cas.

Votre identité réelle — votre Divinité — est au-delà de la dualité. 
Elle est au-delà de la lumière et de l’obscurité, du noir et du blanc. 
Elle est sans attributs positifs ou négatifs, au sens où les êtres humains les perçoivent.

Souvent, alors que les humains voyagent vers le souvenir de leur Divinité, ils sont amenés à croire qu'ils doivent se dissocier de tout ce qui est sombre ou désagréable à leur sujet, au sujet du monde, ou de leurs expériences dans ce monde — pour ne vivre que dans la « lumière ».