Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
mercredi 2 avril 2014
"Plus vous offrez l’Amour librement, plus Il vous remplit" par John Smallman
La réalité de l’unicité de l’humanité, votre interdépendance entre vous, et bien sûr avec la planète qui vous soutient avec tant d’amour, est en train de pénétrer la conscience même des plus résistants à un tel concept. Cette prise de conscience est une partie essentielle de votre processus de réveil en cours, et même les plus imperméables à cette idée jusqu’à ce jour se rendent compte que leurs enfants et petits-enfants ont besoin d’un environnement dans lequel règnent la paix et l’harmonie, ce qui explique pourquoi eux aussi choisissent de devenir conscients et de devenir le changement qu’exige la survie de l’homme sur Terre.
Ceux dont les relations ont « échoué », bien que consumés par l’amertume envers l’autre, aiment néanmoins leur progéniture et veulent le meilleur pour elle. Leur conception de ce qui est le mieux pour elle est peut-être discutable, mais l’intention est aimante. Et en vérité il n’y a pas de relations qui ont « échoué » parce que chaque relation est une série de leçons choisie mutuellement que tous les acteurs ont décidé d’assumer — leçons qui relèvent en grande partie de la futilité du ressentiment et de la faute. Lorsque le choix est fait par l’un ou l’autre des partenaires de voir la colère, l’amertume et les attaques comme un appel à l’amour, la relation change — peut-être en s’améliorant, ou peut-être en montrant à l’un des partenaires qu’il est temps de passer paisiblement et calmement à autre chose, libérant ainsi les deux.
"Démystifier la méditation" avec Fabrice Midal
La méditation... Comment s’ouvrir à une dimension plus
grande et passer du méditant grenouille à la posture du yogi ? Fabrice Midal
pense que c’est en se confrontant à la réalité du monde et à nos souffrances
que nous pouvons trouver le véritable bonheur. Il nous livre le fruit de 25 ans
de pratique dans son livre « Frappe le ciel, écoute le bruit ».
Non, la méditation n'est pas une sorte de technique de
bien-être qui nous donnerait le bonheur sans effort, ni non plus une pratique
austère réservée à quelques privilégiés. Selon Fabrice Midal, la méditation
peut nous permettre de trouver un chemin permettant une prise de conscience
plus grande, plus mystérieuse et passionnante.
"Voyage au coeur de l'amour???"
Une belle nuit remplie de rêves, de voyages intra-terriens,
d’enseignements de rencontres et de partage, qui me laisse toute souriante et détendue au réveil.
Féliz, « mon chat préféré », a dormi à mes pieds et ce rituel est
chargé de sens, et très utile au niveau énergétique, dans le travail d'équilibre que je réalise en ce moment (enfin en tout temps...). Je tique sur ces trois mots entre parenthèse et ressens le besoin de l’expliquer. Déjà, « mon », c’est très possessif et je l’utilise de façon
ironique bien que je sache que l’amour vrai n’enferme pas. Puis "préféré" est très sélectif mais là aussi, accepter ce qui est tout en sachant que ça n'est pas "juste", permet de restaurer les déséquilibres intérieurs. Et ça n’est pas
par hasard que je les prononce puisque s’autoriser à être ce que l’on refoule,
est un moyen de libérer les fausses croyances et d'intégrer l'amour vrai de soi.
D’autant plus que ce chat m’apprend
justement à lâcher le besoin de posséder quelqu’un lorsqu’on ressent un amour
particulier envers un être. Par son caractère indépendant et sa détermination à
être libre, à refuser de se laisser corrompre, à donner son amour seulement quand
il en a l’élan, il m’enseigne le détachement, l’amour libre, sincère et spontané.
Les chats, selon certains messages reçus par Caroline Leroux , ne semblent pas avoir d’émotions.
Cette caractéristique
leur permet de vivre l’amour d’une façon très spéciale. On préfère souvent les chiens
pour leur capacité à pardonner et j’avoue que c’est en grandissant (je ne dis
pas vieillissant parce que je n’ai pas du tout cette impression d’autant plus
que nous sommes en l’an 2, de cette ère nouvelle…), que j’apprécie de plus en
plus leur personnalité indépendante.
mardi 1 avril 2014
"Comment bien vivre sa colère ?" par Lise Bourbeau
Klaus Wiese |
Êtes-vous une personne colérique ? Ne répondez pas
trop vite à cette question ! La plupart des gens ne se croient pas colériques
mais en réalité, tous les humains vivent de la colère à des degrés différents,
de façon différente et pour des raisons différentes.
Comment vivez-vous les situations suivantes ?
- Quelqu'un vous fait une promesse, s'engage à faire quelque chose et ne le fait pas.
- Vous prêtez un objet ou de l'argent et l'autre ne vous le remet pas, ou vous remet l'objet endommagé.
- Quelqu'un vous ridiculise ou vous humilie devant d'autres personnes.
- Votre conjoint(e) oublie votre anniversaire.
- Vous êtes sûr(e) d'avoir raison alors qu'une autre personne vous obstine.
Les situations précédentes impliquent au moins une autre personne. Que se
passe-t-il en vous lorsque vous vivez une des situations suivantes ?
- Vous oubliez quelque chose d'important.
- Vous avez dit oui à quelqu'un alors que vous auriez voulu dire non.
- Vous avez trop mangé de chocolat ou abusé de tout autre aliment ou substance.
- Quelque chose que vous n'auriez pas dû dire revient contre vous.
- Vous voulez exprimer quelque chose à quelqu'un et vous n'y arrivez pas.
- Vous avez laissé quelqu'un profiter de vous.
"Nager avec son dauphin intérieur" par Hugo Verlomme
Leina Sato |
Nager avec un
dauphin… Aujourd’hui tout le monde en rêve, alors qu’hier ce genre d’exploit
était réservé à quelques plongeurs, nageurs, navigateurs, hommes de l’eau.
Désormais, nager en compagnie des cétacés est devenu possible pour tout un
chacun, pourvu qu’on y mette le prix. Qui aurait imaginé, il y a une génération
à peine, qu’on en viendrait à publier des annuaires de rencontres avec les
dauphins, les orques, les baleines, des règles de bonne conduite pour les
groupes, les bateaux, les plongeurs ? Et voilà les dauphins devenus stars
(malgré eux) de l’éco-tourisme, du développement intérieur ou de la
guérison ?
Certes, nager
avec un dauphin est un rêve que beaucoup d’entre nous voudraient à tout prix
accomplir. Au départ, une telle envie procède de bons sentiments : les
dauphins sont libres, intelligents, et l’on espère, en les approchant, capter
un peu de leur sagesse. Certains traversent la planète, bravent les eaux
froides, dépensent des fortunes pour quelques instants en leur compagnie. D’autres
choisissent de fermer les yeux sur les grilles qui retiennent les cétacés
captifs pour assouvir leur pressant désir : approcher, caresser un
dauphin. Mais faut-il vraiment rendre les dauphins « accessibles » au
plus grand nombre ? N’y a-t-il pas quelque chose d’orgueilleux et de
violent à s’imposer ainsi par la force à ces pacifiques habitants des
mers ?
lundi 31 mars 2014
"L’Énergie Féminine" Yosuel via Martine
Linda Brunker |
Ce que Vous appelez « Énergie Féminine » et
« Énergie Masculine » ne sont autres que vos attributs Vous
permettant d’être bien en relation avec vos 2 polarités.
Lorsque l’une de ces polarités est en déséquilibre,
Vous basculez dans le pouvoir en fonction de ce que Vous voulez dominer sur
l’Autre.
Maintenant, il y a aussi les aspects liés à ces 2 polarités pour Vous
amener à ressentir ce que Vous ne voulez pas admettre de votre propre
Conscience en voulant transgresser toutes les données requises pour faire
l’expérience de la 3D sans déséquilibre.
Il y a une chose que Vous n’avez pas compris, et
surtout admis, c’est que ces 2 polarités sont l’équivalent de vos 2 pôles
médians Vous permettant de vivre ici sur cette Terre pour en comprendre
l’exacte finalité de ce que Vous Vous êtes donnés le droit pour vivre toutes
les expériences de tous les aspects directement liés à l’Humain dans sa
recherche à vouloir être ce qu’Il est dans la conformité de ce monde tel qu’il
a été requis pour que Vous puissiez être à la fois dans « la force »
et dans « la créativité ».
"Transformer les oui à tout, en non constructifs" rédigé par Anne-Laure Gannac
Non : un mot difficile à prononcer pour beaucoup d’entre nous. Pourtant, à toujours tout accepter, le risque est grand de se laisser envahir par les autres. Au point d’en oublier ses propres désirs.
Comment briser le cercle du « oui à tout » ? Le point en
six questions.
Sollicité par un patron, un
ami, un conjoint, qui n’a jamais dit oui ou peut-être, quand il pensait non ?
Radicale, irréversible, signifiant l’opposition et le rejet, la syllabe est
passée sous silence. Décryptage d’une censure qui, au-delà du souci de
politesse, révèle un manque réel d’affirmation de soi.
Pourquoi faut-il savoir dire non ?
Parce que cela permet de
trouver sa place parmi les autres et de faire en sorte qu’elle soit respectée.
Nous avons tous en tête une idée de ce qui est acceptable pour nous, de ce qui
ne l’est pas, mais il nous appartient de bien signifier ces frontières aux
autres. Sinon, le risque est de se laisser envahir par le désir des autres, de
se laisser détourner de ses propres objectifs au point de ne plus savoir qui
l’on est ni ce que l’on veut.
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