J’ai encore passé une partie de la nuit "à l’école" et la
dernière scène avant le réveil était un dialogue au sujet des émotions et de
leurs rôles. Je me demande par moments si les questions ne sont pas uniquement
des moyens d’occuper le mental, de donner un sens à la vie. Puisque c’est
le divin, notre âme et la conscience de l’autre côté du voile, qui orchestre,
est-on vraiment actif ?
Il semble que deux pensées s’opposent dans les
rangs des gens qui s’expriment à propos de la spiritualité. D’un côté on parle
de la puissance de l’esprit et de l’autre, on nie le libre arbitre. Il me
semble que ça se situe entre les deux comme l’explique Simon Leclerc dans son message d'hier.
Le but, selon ce que je pense, c’est de devenir conscient de ce
que nous créons, de connaitre le processus de création et en suivant l’amour,
de se trouver sur la même fréquence que le divin, donc en accord quand à la
façon de voir la vie et de la diriger par notre intention qui devient la même
que celle de la source. Non par soumission à quelque chose de supérieur ou d'extérieur à nous mais plus parce que notre sagesse, notre raisonnement coïncident avec le point de vue du divin.
Nous avons à gérer nos corps de sorte qu’ils soient
alignés sur la fréquence de l’amour, d’ouvrir notre cœur et par la neutralité trouver la paix et la communion
avec les aspects de notre multidimensionnalité.