dimanche 23 février 2014

AMOUR: âme "our", l'âme Une...?





Même si je suis parfaitement convaincue que l’amour sans conditions est la clef qui ouvre toutes les portes ; celle de la guérison, je devrais dire l’auto-guérison puisque celle-ci dépend de l’autorisation du « malade » ; celle du bonheur, l’épanouissement, la réalisation ; celle du bien-être, de l’harmonie, de l’unité…et je pourrais remplir des pages et des pages en énumérant les bienfaits de cette énergie source, il reste à définir ce qu’elle est réellement. Ce qu'est en vérité cet amour si mystérieux. On s'en approche...
De toutes parts, des points de vue différents nous éclairent et on peut le comprendre aussi à travers son quotidien, sa propre expérience. Les uns tentent de savoir en étudiant, en fouillant dans les connaissances accumulées tout au long de l’histoire par l’humanité, en s’adressant aux mondes invisibles où l’on trouve toutes sortes d’êtres, en se plongeant dans les annales akashiques, en lisant dans les cartes, le ciel, le marc de café…là aussi, la liste est longue, d’autres le vivent à partir du cœur, dans leur relation aux autres, leur rôle de parent, d’amant, d’ami…
Cette diversité me confirme la réalité de l'effet miroir, de l'univers contenu en toute choses.

samedi 22 février 2014

"L'Amour Universel est un amour impersonnel" reçu par Monique Mathieu



 
Florent Courty


J'étais plutôt confuse après avoir parcouru vite fait quelques messages sur le site "les chroniques d'Arcturius" parce que tout se contredit d'un texte à l'autre, d'un point de vue à l'autre. On parle pourtant de la même chose; la spiritualité, mais je ne me retrouve pas du tout dans certains d'entre eux. J'ai fini par me dire une fois de plus," je me fie uniquement à ce qui résonne, vibre en moi et tant pis si j'ai l'impression parfois de ne pas comprendre, si je me dis que ma façon d'interpréter ma foi est très simpliste, que d'autres sont plus "élevés" que moi"...et toutes ces remarques issues du mental, du manque d'estime de soi. 
Puis c'est le choix de mon âme de vouloir rester à portée de l'humain, pas dans le sens d'être du côté de la majorité mais plus de garder le contact avec les humbles, les gens qui ne captent rien à la spiritualité mais qui ont un cœur. 
Ce message reçu par Monique Mathieu me touche beaucoup et décrit assez bien ce que je ressens depuis toujours, sans trouver les mots pour le dire. Il y a en plus un genre de synchronicité qui me remplit de joie, fait sourire mon âme autant que ma personnalité humaine. 
Je me rends de plus en plus compte que je veux vraiment déguster cette élévation vibratoire, la goûter dans tous mes corps et pas l'anticiper par le mental. Je pense que c'est plus un piège qu'autre chose. 
J'ai choisi la transparence, la simplicité, l'authenticité parce que ça me permet de pouvoir être en communion avec tous les humains, naturellement. Puis si je parle tout le temps de moi, c'est parce que je pense que l'intimité, la sincérité, créent une autre forme de communication, un effet miroir, qui peut vous aider à vous aimer comme j'apprends à le faire. Chacun a ses propres "défauts" à accepter mais finalement ce qui nous relie, c'est la tendresse qu'on peut s'accorder à soi-même et automatiquement aux autres. La "méthode" est la même pour tout le monde.

"Amour Divin sur Terre"...puis un message reçu par Aurélie Pech...et un texte de Jean Philippe Ruette


Facebook "Jeremie Daniels"



Voici ce que je retiens de ma ballade sur le Net, ce matin. (écrit hier matin)
Le thème est évidemment celui de l’amour et les différents points de vue sont intéressants puisqu’ils témoignent de l’effet des énergies de la source, produits sur chacun. Notamment sur les hommes puisqu’ils osent envisager la question, à partir du cœur, de leur vulnérabilité. Merci messieurs de me renvoyer des « exemples » de ce qu’est le masculin sacré, l’homme authentique qui ouvre son cœur au divin et ainsi de me confirmer, par effet miroir, que cette énergie pacifiée s’installe aussi  en moi.
Que nous soyons un homme ou une femme, lorsque nous sommes centrés, que nous acceptons notre vulnérabilité parce que nous comprenons qu’elle révèle notre puissance d’aimer, et que c’est le plus grand pouvoir qui soit, nous pouvons communier en toute sincérité, fraternellement.
Le rêve du prince et de la princesse, transféré à celui des flammes jumelles est une conséquence logique, humaine, de notre façon de considérer l’amour. Heureusement, ça appartient au passé et nous allons pouvoir vivre l’amour vrai en nous-même, puis naturellement avec les autres, que ce soit en couple, en famille ou dans des relations amicales. Alors merci à notre présence divine commune, de nous éclairer à ce sujet et de grandir en nos cœurs.

"L’Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, leçon 33


Hideyuki Katagiri




La graduation. Ne pensez pas avoir finalement gagné ma confiance, car une telle chose est impossible. Vous ne pouvez pas gagner quelque chose que vous n’avez jamais perdu. Voyez-le plutôt comme le fait que vous avez gagné confiance en vous. Cette confiance en vous, fut en réalité, l’unique objectif de ce cours, car c’est la seule chose qui vous manquait et qui vous a empêché d’être le ou la Pacifiste Spirituel-le que je perçois en vous. 
Vous n’étiez pas en mesure de contempler la beauté et l’entièreté que je vois en vous, ce qui fait que, vous avez limité votre capacité d’accepter et de donner ce que je vois. C’est comme si un monde entier venait de passer à travers nous. Vous n’êtes plus la personne que vous étiez, depuis ces 99 derniers jours, même si rien n’a changé. 
L’Amour de Dieu est tel qu’il a toujours été, peu importe les choses que vous avez semblé faire pour le diminuer. Vous êtes encore tel-le que Dieu vous a créé-e, cependant vous êtes maintenant prêt-e-s à embrasser qui et ce que vous êtes, de la même façon que je vous embrasse.

"Application immédiate"...





Sans connexion Internet depuis hier matin, le mental est à cent à l’heure. Les pourquoi et comment se succèdent et une fois les émotions évacuées, quelques pistes apparaissent. Il semble logique que dans mon désir pour ne pas dire besoin, de trouver l’équilibre, l’autonomie, le masculin soit à intégrer, de même que la façon de manifester, d’organiser mon temps, entre monde virtuel et monde réel, extériorisation et intériorisation. Je vois donc là l’occasion de tempérer les choses puis de trouver le juste milieu.
 Je suis passée par toutes les émotions entre colère et déception, par toutes les croyances issues de la peur, les confrontant à ma foi. Je n’ai rien retenu de ce qui sortait et finalement, après la tempête, je suis passée à l’action. J’ai attendu de trouver la paix intérieure avant de téléphoner au fournisseur Internet pour ne pas risquer de m’en prendre à mon interlocuteur. Je dois aller chercher un domino pour me connecter avant que ne vienne un technicien lundi matin ! J’ai apprécié que l’homme que j’ai eu au bout du fil, me précise que c’était une faveur ! Même si je suppose que c’est une option offerte dans le cadre du service après vente, et que c’est la moindre des choses qu’ils assument le bon fonctionnement de leur service, j’apprécie le changement. Je ne suis plus dans le rapport de force, la défensive qui amène l’autre à faire le minimum obligatoire, ou même à me raccrocher au nez, comme c’est déjà arrivé ;  je passe dans la phase où je récolte les fruits de la paix intérieure, du centrage ! 

vendredi 21 février 2014

"I'm in love with myself!"






Réveillée à 4h par le froid, je me suis éjectée du lit pour faire du feu et le tableau de mon chat allongé tel un humain, sous les draps, la tête sur la taie d’oreiller, m’a bien fait rigoler ! Ce que je vis avec cet animal, au niveau affectif, est le modèle de ce que je rêvais de vivre avec un homme, à l’adolescence. Un amour sincère, inconditionnel où je peux être moi-même complètement, sans craindre de ne pas plaire à l’autre, où j'aime l'autre quoi qu'il fasse, me réjouisse de le voir libre, où la communion de cœur à cœur se passe de dialogue, où on n’agit pas pour prouver son amour, où l’attachement n’a pas lieu d’être…Et la liste est longue ! Comme je ne suis plus à croire au prince charmant, bien que parfois le désir de fusion avec ma présence divine s’en approche, je me dis que tout commence en soi. Que cette relation idéale doit d’abord être vécue avec tous les aspects intérieurs avant de pouvoir se manifester dans la matière, la chair, l’incarnation. Puis tant que l’autonomie affective n’est pas acquise, le danger d’être dépendant de l’autre, de son amour, planera toujours au dessus de ma tête ! Et oui, c’est bien le mental qui se fait des films, qui ressortirait les vieilles peurs et m’empêcherait de vivre une relation pleinement, en toute confiance. Alors, je me satisfais de pouvoir être libre et voit en cette situation tous les bons côtés. Un célibat choisi, même si l’envie de vivre quelque chose de fusionnel, de charnel, n’est pas exclue, c’est déjà le signe que l’amour de soi est réel. Puis maintenant, je me réjouis de vivre cette relation entre ma personnalité humaine et le divin intérieur! Ce n'est plus une préparation à une éventuelle vie à deux, c'est une union vécue au jour le jour, par l’accueil de Tout ce que je suis, qui me comble. Bien qu'il n'y ait pas de sexualité, le plaisir est néanmoins bien réel et la joie au rendez-vous! 

jeudi 20 février 2014

La vie en perpétuel mouvement






Ressentir les énergies peut amener à vouloir se fermer, se protéger du monde extérieur mais à mesure qu’on intègre l’amour vrai de soi, la confiance en soi s’installe. Cependant, notre âme veille à ce que nous soyons toujours dans l’équilibre, le juste milieu. Il ne s’agit pas de la confiance qui écrase l’autre, qui se construit par la comparaison mais celle qui vient de l’intérieur, de la reconnaissance de ses faiblesses tout autant que de sa force, de ses ombres et de sa lumière, de l’intégration du masculin et du féminin divins ou plutôt de leur guérison qui amène par la réconciliation, l’autonomie et la souveraineté. De cette façon, on peut rayonner sa lumière et communier par le cœur, sans attente, librement en reconnaissant en l’autre un frère, un égal. 
Savoir que nous sommes divins et créateurs, ne nous place pas au-dessus des autres, au contraire, quand on sait, on ne peut plus faire semblant et continuer de jouer les victimes. La puissance qui nait de cette connaissance est « calmée » par l’effet miroir qui nous ramène à notre responsabilité. Accepter ses faiblesses, c’est être pleinement soi-même, ne pas feindre d’être bien dans sa peau sous prétexte que nous savons que la paix et l’amour sont des forces qui nous relient aux autres, mais vivre pleinement notre état d’être du moment, sans se justifier, sans reporter son mal-être sur l’entourage. Quand on peut reconnaitre et « avouer » ses propres faiblesses, non seulement ça nous attendri mais en plus ça peut aider ceux qui vivent les mêmes choses, à accepter leurs propres ombres et par la même, à trouver leur lumière.