jeudi 4 juillet 2013

Vous espérez ce que vous ne connaissez pas ! message reçu par Monique Mathieu



Voici un message reçu par Monique Mathieu, il y a quelques jours. Je suis dans une période où les moments de silence prédominent. 

« La vigilance »





Bien que je sois absolument convaincue de trouver la paix par l’acceptation, je vois que j’ai vite fait de retomber dans le jugement. Heureusement qu’une âmie sur le même parcours, veille à m’éclairer. 
Il est vrai que le recul d’une personne extérieure à soi, quelqu’un qui ne vit pas les mêmes émotions au même moment, peut aider par son regard détaché mais néanmoins bienveillant, à élargir la vision. 
Ma tendance à culpabiliser reste bien ancrée et je dois être vigilante à ne pas m’identifier à cette part de moi qui veut aimer ou pardonner par « devoir » ou même avoir peur de le faire. 
Tout ce qui créé une tension intérieure est à embrasser. Ce réflex n’est pas encore imprimé mais les séances d’EFT sont justement ce qui permet d’intégrer dans la chair, par les points spécifiques, par la fluidité énergétique. Le geste appuyé par l’intention ; la vibration d’amour, aligne les corps physique et énergétiques sur la fréquence d’amour inconditionnel, du cœur, de l’âme.

Je n’ai plus de tristesse concernant Maya puisqu’elle est encore très présente dans ma vie. Le fait de la voir par moments, m’aide à intégrer la réalité que la mort n’est qu’un passage vers une autre dimension. Mes autres compagnons, la chienne et les chats m’ont enseigné l’illusion de la mort par leur calme, leur facilité à accepter ce qui est. 
Les relations avec mon entourage sont devenues beaucoup plus tendres. 
J’ai la chance de côtoyer des gens dont la simplicité permet d’accueillir les énergies d’amour et tout le monde ici, change au fil du temps. La solidarité devient naturelle, elle n’est plus motivée par le besoin de se sentir accepté ou de montrer qu’on a le sens du partage. 

L’harmonie intérieure ouvre le cœur et la conscience




Ce matin, la joie de vivre est revenue. J’ai évalué la situation de façon objective et quelques scénettes de ces derniers jours m’ont permis de voir que Maya était au bout du rouleau et qu'elle m'avait préparée à son départ. C’est une chatte que j’avais récupérée dans un refuge où je faisais du bénévolat et on l’y avait amené après qu’elle eut été jetée de huit étages. Comme elle gardait quelques séquelles de cet accident, je l’ai prise avec moi, dans un minuscule deux pièces que je partageais avec un doberman nommé Willy, en souvenir du dessin animé Maya l’abeille. C’est donc logiquement que j’avais décidé de l’appeler ainsi. A cet époque, j’étais avec les Mormons et je n’avais aucune idée de la tendance New Age ni des prédictions des Mayas ni même du fait que le mot signifiait illusion. En repensant à ce qu’il s’est passé il y a quelques jours ; une voiture a du freiner pour éviter d’écraser Maya qui passait beaucoup de temps sur la route et devenait de plus en plus sourde, je me dis que la nature s’est chargée de la soulager. Outre les crises où elle se crispait et se contorsionnait, le fait qu’elle se faisait pipi dessus, ne contrôlant plus son arrière train, pour des raisons  que même le véto n’arrivait pas à déterminer, elle montrait des signes de fatigue que seuls, son appétit et ses ronronnements m’empêchaient de prendre la décision de la faire piquer. Le fait qu’elle ait été victime de l’inconscience du voisin, ne m’appartient pas. Je ne me plaindrais pas auprès du propriétaire ni même de sa mère pour ne pas inverser les rôles.

mercredi 3 juillet 2013

La paix dans l’acceptation de ce qui vient



Malgré la peine et le trouble causés par la violence de la situation, la journée s’est passée dans le plus grand calme, la douceur et la tendresse. J’ai repensé à l’arc en ciel qui est apparu au moment où je confiais mes peines et l’âme de Maya, à la rivière. Ce clin d’œil de ma présence et la confiance que tout était « pris en charge » dans d’autres plans, m’ont réconfortée. Ma certitude en l’humain divin et en la bienveillance de mon âme, me permettent de ne pas m’attacher aux questions qui se manifestent. 
L’étude de la notion d’acceptation effectué ces derniers jours, prend toute sa raison d'être et devient une réalité dans ma vie. Je n’ai toujours pas réagi par rapport à l’extérieur ; me plaindre auprès du propriétaire ou même aller voir le maitre du chien. Ces deux réponses ne feraient qu’amplifier ma douleur et me détourner de ce qui est le plus approprié dans de telles circonstances; gérer ses émotions, les accueillir l’une après l’autre, sans jugement, sans interprétation.

Accueillir le chagrin...vidéos d'Isabelle Padovani





Chère âme, C’est le cœur rempli de chagrin que je m’adresse à toi, ce matin. 
Je suis paumée, partagée entre le dégoût de la violence, de l’inconscience de ce monde, la peine d’avoir perdu Maya et la colère envers cet abruti. 
La culpabilité est aussi présente, celle de n’avoir pas fait ce qu’il fallait, de ne pas avoir pu l’accompagner dans ces derniers instants alors que j’avais pressenti la chose. Celle de me demander ce que j’ai fait pour attirer ça. Je ne culpabilise pas d’avoir pris un bout de cachet hier soir, c’est déjà ça ! Tout se mélange, et si toute ma foi était le fruit de mon imagination ?
Les larmes ne cessent de couler et je les laisse aller, emportant la charge émotionnelle, la colère, la douleur, le chagrin, la culpabilité.
Quand la voisine est venue me dire que Maya était morte, je ne l’ai pas cru, quelque chose en moi refusait de l‘admettre. Je ne peux croire qu’une vie puisse être ôtée par l’inconscience, la connerie humaine et pourtant c’est ce qui arrive tous les jours, dans le monde. 
J’ai ressenti une vague de mal-être me parcourir de la tête au pied. Je n’en veux pas au chien qui l’a tuée puisqu’il a été dressé pour assumer le manque de courage de son maître. 

Dans la matinée, je l’ai entendu gueuler après ses chiens et je n’ai pas voulu y croire. Je me suis dit que je me faisais un film une fois de plus, que ma paranoïa était à l’œuvre. Idem quand le lecteur a affiché « le petit, chat est mort » de Renaud, j’ai juste zappé le morceau. 

Je précise qu'en général, la liste aléatoire qui se crée reflète très souvent mon état d'esprit ou des situations du moment. Quand je suis allée étaler le linge, j’ai appelé Maya que je ne voyais pas et l’ai finalement vue allongée sous une voiture, comme elle fait souvent. 
Je lui ai même dit qu’elle aurait pu répondre à mes sifflements puisque c’est comme ça que je l’appelais. 
Une part de moi savait puisque pendant que je l’appelais, je me faisais le film et une autre part refusait la réalité. Malgré tout, je n’étais pas en conflit intérieur. Hier soir, je n’arrivais même pas à pleurer tant j’étais tendue,  hébétée. Je me suis lâchée une fois que je me suis retrouvée seule à la maison avec mes autres chats et la chienne qui m’ont consolée par leur calme et leur tendresse. 

mardi 2 juillet 2013

Loi d'attraction et acceptation


Autumn Sky


Une fois de plus je me sens poussée à parler de l’EFT. Quand on croit en la loi d’attraction comme un moyen de créer ce que l’on veut, par magie, on tombe dans un piège qui est un gouffre. Celui de ne plus supporter aucun échec. Même les plus petites contrariétés deviennent les signes qui nous montrent que nous ne pratiquons pas bien la loi d’attraction, que nous ne sommes pas capables de créer en conscience notre bonheur. Or, la vie n’est pas uniquement une succession de moments de joie, elle est faite de haut et de bas. Celui qui voudrait contrôler les événements, s’engage dans une lutte sans fin et se promet une vie de souffrances faite d'illusion et de déception. La culpabilité et la dévalorisation qui naissent de l’échec, de l’incapacité à réussir à créer ce que l’on veut, peuvent plonger non seulement dans le rejet de soi mais on peut aussi perdre la foi en ces lois universelles dont nous avons une interprétation enfantine, naïve et capricieuse. 
Oui, nous créons notre vie selon les fréquences vibratoires que nous émettons mais comme nous sommes des êtres multidimensionnels, certains aspects de nous interfèrent en amenant leur propre fréquence dans le processus de création. Tant que nous ne connaissons pas nos parts d’ombres et tant que nous ne les acceptons pas, celles-ci vont saboter toute tentative de réussite. De même que si nous ne connaissons pas le sens de cette vie, l’intérêt d’être sur terre, le choix de notre âme, nous serons toujours dans des créations aléatoires. Il est donc essentiel de se connaître sincèrement et intimement, de savoir quelles sont nos ombres et quels sont nos aspects divins et leurs aspirations afin de réunir tous ces aspects dans l’acceptation de chacun d’eux. Cette découverte nécessite de comprendre le danger de nourrir la notion de bien et de mal, et un amour inconditionnel pour soi-même afin de ne pas tomber dans la dévalorisation, le jugement et l’auto-critique qui bloque la libre circulation de l'énergie de vie, en nous. L’humilité et la pureté, j’entends par là, l’honnêteté vis-à-vis de soi sont indispensables sur ce parcours initiatique. Il s’agit de sonder les profondeurs de notre être afin de trouver notre lumière. J’ai publié hier, des articles qui expliquent plus ou moins comment contacter son âme et sa présence divine. On parle beaucoup de la nécessité de faire silence.
J’avoue que c’est un « sport » que je suis incapable de pratiquer. On peut apprendre à reconnaître les différentes voix qui s’expriment en nous par l’écoute attentive du contenu des phrases entendues. Tout ce qui est tolérant, permissif, amoureux, neutre, peut émaner de la source de toute vie qui est en nous et de nôtre âme ? Là, par la pratique, dans la transparence totale, on arrive à discerner qui nous parle en dedans. Notre esprit, la part de nous égotique, celle qui veut le succès, le chevalier conquérant intérieur, peuvent se faire passer pour la présence divine. Pour ne pas qu’il y ait méprise, la notion de dieu, autorité supérieure, doit être abandonnée. Il n’y a pas une part de nous qui soit plus importante que l’autre, chacune d’elle apporte sa pierre à l’édifice.

lundi 1 juillet 2013

La communication inter-dimensionnelle, par Joéliah.




Ellen Milinich

Je suis tombée par « hasard » sur ce texte publié dans la presse galactique, il y a déjà quelques mois. Cette question de la connexion à l’âme est assez récurrente en ce moment d’élévation parce qu’elle est une aide considérable. L’appel à se tourner vers l’intérieur, vers sa propre guidance est plus que jamais d’actualité. J’ai déjà parlé de nombreuses fois de ce sujet puisque c’est devenu un « acte » conscient et quotidien dans ma vie. Il est vrai que tant qu’on assimile cette communication à de la sorcellerie et que la notion de bien et de mal  basée sur la peur, reste une vérité, on se coupe de cette possibilité d’être éclairé pour soi-même. Développer l’intuition, écouter son cœur et son ressenti n’a pas pour but de lire l’avenir puisque celui-ci se dessine selon le moment présent. C’est un moyen de se connaître en profondeur et d’acquérir plus de foi et de confiance en soi. Il faut juste s’adresser à son âme en pensant qu’elle est une partie égale de qui nous sommes, qu’elle est en nous et que son souhait, c’est d’être en contact conscient avec notre personnalité afin de nous amener à réaliser ce que nous sommes en vérité. Il n’y a pas à s’enorgueillir de cette connexion qui est naturelle comme le dit Joéliah dans le texte qui suit. La communication se fait simplement et nous recevons des réponses intimes que nous sommes seuls à pouvoir comprendre. On peut prier mais personnellement, je me contente de lui parler en étant convaincue qu’elle m’entend puisque je ne doute pas de cette réalité. Je peux savoir que c’est elle qui me « parle » selon le contenu du message et la façon dont ça me vient. C’est toujours rempli d’amour, sans aucun jugement, sans tambour ni trompette, dans la simplicité et la familiarité.  J'ai choisi ce dessin, en haut de ce message pour illustrer la simplicité, la familiarité et la bienveillance de cette connexion à l'âme. Pour ce qui est de celle avec des guides, il suffit de les appeler de la même façon. Ils nous accompagnent dans cette incarnation et nous inspirent puisque c'est leur "rôle".