mercredi 12 juin 2013

Cours 3/9 sur la prospérité: Ce qui est spirituel




 Voici la suite des cours sur la prospérité. Encore une belle synchronicité et à la lecture de ce qui suit, je me dis que j’ai bien fait de faire confiance à la vie en cessant de m’inquiéter pour mon rendez-vous avec l’assistante sociale puisque tout se met en place, pour que j’accède à un autre niveau de conscience vis-à-vis de l’argent et du travail. Beaucoup d’entre vous ont déjà lu ce message qui est diffusé sur bon nombre de sites, mais le « problème de pénurie» est si récurent et répandu qu’il vaut vraiment la peine d’être considéré avec attention puisqu’il bouscule des croyances ancestrales, fortement imprimées dans l’inconscient individuel et collectif.

Cours 3/9 sur la prospérité
Transmis par Joéliah le 6 - juin - 2013 
 Métatron avec Reniyah Wolf : 

Quelques citations qui résonnent en moi et rassurent par leur synchronicité




J’ai fait un petit tour sur quelques sites d’éveils et j’y ai glané trois clefs de sagesse piochées, ou pigées pour nos amis francophones d’outre atlantique, sur le site de Monique Mathieu et d’autres extraits de textes, traduits par Marinette Lépine, sur https://www.facebook.com/TransLight

Clef de sagesse n°33
Essayez de ne pas vous considérer toujours comme seul dans vos œuvres, dans votre travail, dans vos relations ! Nous sommes toujours présents près de vous ! Parfois nous vous parlons mais vous êtes tellement préoccupé que vous ne nous entendez pas ! Alors soyez un peu plus attentif à notre présence car nous pouvons beaucoup vous donner, beaucoup faciliter votre tâche. Ayez en conscience, essayez de simplifier votre vie au maximum et tout ira beaucoup mieux pour vous tous !

Clef 786
Lorsque vous avez l'impression d'être petit, de ne plus avancer, de ne plus être à la hauteur de ce que nous vous enseignons, c'est que vous commencez vraiment à avancer. C'est à ce moment-là que vous entrez dans la vraie humilité et le dépouillement.

Clef 741
Si vous nourrissez en permanence les choses les plus belles, il n’y aura pas de place en vous pour les choses inférieures, et non seulement il n’y aura plus de place pour elles mais elles ne se sentiront pas à l’aise. A partir du moment où une pensée n’est plus à l’aise dans votre conscience humaine, votre mental ne la formule plus.

L’importance de libérer la notion de bien et de mal pour être conscient de la connexion permanente à notre âme.



Image trouvée sur TransLight/Facebook

Encore une nuit d’étude dont il me reste la dernière phrase de façon très clair : « Dans une famille, il y en toujours un qui choisi au niveau de l’âme, avant de s’incarner, de prendre sur lui les tares génétiques, qu’il en soit conscient ou non, une fois qu’il est dans le monde. »
Je me souviens avoir rigolé tant ça me rappelait le sketch de Coluche à propos de Dieu : « Dieu a dit, il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes beaux, il y aura des hommes laids, il y a aura des hommes grands, il y aura des hommes petits et tous seront égaux mais ça ne sera pas facile et pour celui qui naitra noir, petit et moche, ça sera très dur ! » 
C’est à peu près ce qu’il disait et si je parle de ça, c’est juste pour donner l'ambiance de la classe; il y a de la légèreté malgré la valeur des enseignements reçus et celle des êtres qui les donnent. Il n’y a donc pas à les estimer au-dessus de nous puisque nous collaborons. Je suppose que c’est le corps astral qui vit cette expérience et le fait que je m’en souvienne si clairement m’indique que j’ai retrouvé la conscience de la complicité et de la proximité de mon âme, que l’auto-jugement avait rendu trouble. Mais comme je n’ai pas lâché le désir d’unité intérieure, j’ai pu être réceptive à ses inspirations, à celles de mon cœur.
Je n’ai rien de spécial sinon que je cherche à comprendre qui je suis et ce que je fais sur cette terre. Les enseignements que l’on reçoit de jour comme de nuit, ne sont pas le résultat d’une attitude fayotte, d’un comportement que la morale appelle « bon », ni même la conséquence karmique de vies exemplaires ou encore le privilège, le mérite. Toutes ces notions n’ont aucun sens pour l’âme. La seule condition nécessaire à la réception d’infos lumineuses, c’est l’ouverture du cœur.
Plus un être aura de l’amour pour lui-même et pour les autres et plus il sera en mesure de recevoir et d’intégrer la lumière de son âme, de ses guides, de ses anges...
Plus j’accepte tout ce que je suis et plus je me reconnais, par conséquence, mes aspects divins tout autant qu’humains.

L’importance de libérer la notion de bien et de mal.

mardi 11 juin 2013

Cœur, Heart, Corazòn*, Herz, Cuore, Coração, Cardia...




Avec un peu de recul, je peux voir que le mois de mai a rempli ses promesses. Je ne voyais plus le sens des choses hier mais aujourd’hui, je mesure combien les ajustements ont été bénéfiques même si sur le moment, il semble que tout parte à la dérive. Dans ces périodes de confusion et de mal être, je garde tout de même en mémoire quelques paroles de Jeshua qui m’aident à lâcher prise et me donnent la confiance nécessaire pour avancer dans le noir. Même si le fait de savoir qui je suis et comment trouver la joie est une bouée de secours que je fini toujours par retrouver, je m’enlise encore, mais de moins et moins. Là est l’évolution, les "problèmes" ne vont pas disparaître mais la façon différente de les aborder, change tout. Le principe de guérison est simple mais pourtant il m’arrive encore de ramer. Je sais que la prochaine plongée dans les profondeurs sera moins difficile parce que c’est en pratiquant la nage libre que j’apprends à respirer sous l’eau. Et puis, c’est dans le fond de la mer que se trouvent les plus beaux trésors. Tant que l’on peut s’en souvenir, le parcours est moins pénible. Ma façon d’aborder le divin intérieur tout comme ce qui constitue mon côté humain, est totalement différente aussi. Je ne "prie" plus trop pour être protégée, je tente d’être dans la voie du juste milieu qui permet d’aborder les choses d’un cœur léger, sans peur. Je ne suis plus dans le doute mais l’interrogation. C’est déjà énorme bien que la nuance puisse sembler très subtile. Le doute nait de la peur tandis que la question vient d’un désir de comprendre. Maintenant, je sais, ça n’est plus une croyance mais une connaissance issue de l’expérience. C’est la seule façon de grandir. Une fois que j’ai libéré la croyance de la notion de bien et de mal, mon point de vue est devenu beaucoup plus neutre et c’est ce qui me donne un certain recul bien qu’il ne soit pas encore instantané. 
Voici quelques passages extraits d’un message de Jeshua qui m‘aident à persévérer, à garder le cap.

Mon cher trio corps-âme-esprit





Ce matin, j’ai retrouvé mon enthousiasme habituel, bien que la journée d’hier n’ait pas été désagréable, je préfère me réveiller avec la joie au cœur.
Hier soir, une image m’est venue, celle du trio corps-âme-esprit et l’expérience de l’Atlantide, du moins ce que j’en ai lu et les "souvenirs" que ces lectures ont suscité, me sont venus en mémoire. 
Je me suis rendue compte que malgré mon désir d’unité, je continue de diviser en différents corps, tout ce que je suis et j’ai mis mon âme un peu de côté. Comme si l’esprit était "supérieur". Je n’ai pas éprouvé un sentiment d’injustice que mon âme aurait pu exprimer mais plutôt une certaine tristesse à être un peu délaissée. 

Même si le cœur et l’âme ne sont pas parfaits, puisqu’ils sont changeants, ils sont néanmoins le pivot central de qui je suis. Comme je sais qu’ils ne sont pas « parfaits », j’ai eu tendance à vouloir considérer ma vie de "haut", à partir de l’esprit et l’erreur ou du moins le sentiment de vide provient de là. L’esprit a une vision extérieure de l’expérience terrestre. Quand nous ne sommes pas incarnés, il ne peut envisager la vie d’un point de vue terrestre et se fier à lui équivaut à vivre dans sa tête. J’ai bien senti que j’étais barrée et que je manquais d’ancrage.
Enfin c’est comme ça que je le vois depuis hier soir.
J’ai demandé pardon à mon âme de l’avoir "jugée" même si ça n’était pas tout a fait conscient, ni heureusement verbalisé ! Le fait de savoir qu’elle veut guérir des blessures, m’a fait considérer son point de vue comme très aléatoire alors qu’elle sait mieux que mon esprit, plutôt qu’elle connaît mieux que l’esprit les besoins inhérents à l’incarnation.

lundi 10 juin 2013

Les jeux du "Je"...vidéos d'animation



 
Bill Brouard
On dirait que ma vision de la véritable nature du masculin divin, s’éclaire. S’affirmer n’est pas s’imposer mais simplement être soi-même, sans se juger, sans évaluer, remettre en question le moindre geste, la moindre pensée. Dès qu’on est dans la confiance en soi, plus de justification, plus d’opposition intérieure amène naturellement l’extérieur à nous accepter tel que nous sommes.
Le piège de l’auto-critique reflètera toujours des sentiments dévalorisants et s’il est question de participer à l’élévation de l’ensemble, s’affirmer en étant simplement ce que nous sommes, dans le moment présent, est suffisant.

Une douche de nettoyage intérieure, de libération des reliquats de 3D avec l’aide du rayon violet de la liberté ; du blanc de la joie et de la pureté, non dans le sens commun moraliste de dualité, mais la simple authenticité ; le rose de l’amour divin, pour le plaisir et cette journée devrait repartir sur le chemin de la joie d’être. Non pas que je sois triste mais tellement indifférente à tout, que j’ai la sensation de ne pas exister. Enfin de ne plus être la même. Rien n’a changé autour de moi ni même en apparence au niveau physique mais c’est le regard que je porte sur les choses et sur moi-même, qui est différent.
C’est normal, Lydiouze, tu es en territoire inconnu bien que ce soit celui de ton être éternel alors, savoure cet état d’être et honore le corps qui te permet de vivre cet expérience. N’attends rien mais reste attentive à ce qui se passe.

Le vide ou le Tout? Vidéos d'animation




Ce matin réveillée et levée à 5h, la sensation de vide mental ressentie depuis quelques temps, s’amplifie au fil des jours, me laissant perplexe. D’un côté, je me sens très légère mais de l’autre, il semble que tout enthousiasme soit envolé. C’est comme si j’étais face au néant, à contempler la « peur » de l’ennui. Ce n’est pas vraiment une peur, c’est plutôt la sensation de le voir en face et de n’avoir aucune réaction. J’ai confiance au processus d’élévation vers plus d‘amour, d’unité et de paix puisque je vérifie chaque jour que c'est La solution à tous problème, cependant ça constitue quelque chose de tellement nouveau que je suis un peu déboussolée. De toute façon, le vide ou le néant n'existe que pour le mental. Le "rien" n'existe pas, c'est forcément Tout.
Ne plus se soucier de quoi que ce soit a longtemps été mon rêve et maintenant qu’il semble que j’y sois rendue, la joie n’est pas au rendez-vous. Remarque, comme je n’ai pas le sentiment d’avoir gagné une bataille, il semble logique de ne pas se sentir vainqueur, de ne pas éprouver les émotions correspondantes. 
Tout ce que je sais, c’est que j’ai appelé le christ intérieur à épouser ma personnalité humaine. Il me reste à amplifier ma confiance en la vie, en l’être multidimensionnel que je suis et à maintenir vivant le désir d’unité. Les actes sont simples, choisir l’amour et la paix en toutes circonstances. Je ne ressens plus le "besoin" d’écrire, juste l’envie de continuer de partager mon ressenti.