lundi 4 mai 2020

« Face à la peur de la mort »




2 05 Aujourd’hui, plus que jamais, le positionnement au centre, dans l’observation objective de ce qui est, apparait comme la seule façon de ne pas être emportée par les nombreuses vagues extérieures. 
Déjà, à l’intérieur, je n’ai plus autant d’appréhension face aux remontées émotionnelles parce que j’ai décidé de cesser toute forme de lutte interne. Le fait d’avoir entendu la petite Lydia s’exprimer, dire ce qu’elle pensait de certaines phrases entendues dans la conversation avec mon père, m’a permis de mieux comprendre sur quoi se fondaient les croyances passées. 
Ces phrases qui semblent anodines mais qui sont celles de la manipulation. 
Je ne vais pas accabler mon père d’autant plus que je ne suis pas certaine qu’il soit conscient de cette habitude de projeter ce qu’on ressent en soi, vers l’extérieur. 
Puis ce qui importe, c’est comment je fais pour être en paix avec moi-même. 

J’avais eu une impression partagée après ce coup de fil mais je n’ai pas voulu chercher à comprendre. Je sais que l’évidence apparait d’elle-même lorsqu’on est juste ouvert. Puis le lendemain matin, j’ai eue l’envie spontanée d’écrire à mon père sans me demander si j’allais lui envoyer cette lettre. Deux jours plus tard, je ne saurais dire ce que contient cette lettre mais ça n’a pas d’importance ce qui compte c’est de cultiver l’écoute et l’unité intérieures. 
Depuis deux jours, la douleur au pied me ramène à l’écoute du corps physique. J’avais pris l’habitude de parler aux corps en considérant que ce sont les amis les plus sûrs, mais j’ai vite fait de tomber dans le rituel ou les phrases répétées sans trop y penser. 
Puis "écouter le corps" n’est pas un processus mental, ça consiste juste à être ouvert, à porter un regard neuf et à le soutenir si on peut dire, en revenant à la détente physique. C’est valable évidemment pour le mental et l’émotionnel puisqu’ils sont inséparables.  
Des larmes ont coulé comme un flot de tendresse, une rivière fluide et comme c’est très rare que je pleure, ça m’a fait le plus grand bien.

Comme un témoignage d’une nouvelle alliance, celle de la paix, de l’ouverture, de l’amour libre, de l’accueil, de l’écoute et de la liberté d’expression. Si je dis nouvelle, c’est dans le sens où tout à l’intérieur était parfaitement d’accord, aligné à ce désir de paix totale. 
C’est une des rares choses dont je sois certaine aujourd’hui, ce désir de cesser toute forme de lutte. 
J’ai toujours eu ce désir mais il était souvent associé à des sentiments négatifs, une sorte de lâcheté, de fuite, de démission, mais en fait, aujourd’hui ça devient la seule voie de libération possible. L’expression de la liberté, de l’engagement, qui vaille vraiment la peine. 
Ce profond désir de vérité, de liberté, de transparence, a été remis en évidence par la douleur. Ce langage du corps physique est perçu comme un appel et pas comme un obstacle. 
Même si ça n’est pas trop douloureux, ça me ramène vers l’intérieur, à plus d’attention. Il y a pas mal de stress que l’extérieur à travers les infos anxiogènes, accusatrices, contradictoires, met encore plus en évidence.
Je m’estime déjà contente de pouvoir être en paix malgré ce stress latent, en accord avec ce que je suis et en vie.

J’ai repris les médiations, celles qui consistent à juste être ouvert, à juste observer sans commenter, à constater le flot des pensées incessantes, à laisser être ce qui survient. 
J’ai été étonnée de voir les flux de couleurs apparaitre mais cette fois-ci en spirale ou en vague et pas de l’extérieur vers l’intérieur. Ce n’est pas évident à décrire mais j’ai clairement vu une main au centre de ce flux en spirale. Là encore, je me contente de voir et noter. 
La vision de cette main me ramène à l’idée de la conscience Une, de l’humanité Une et du corps physique âgé de millions d’années. Une façon aussi de me détacher de cette histoire, cette enfance si commune à des millions d'enfants. Et cela appuie mon désir de continuer de faire confiance à cet amalgame d’intelligences, de systèmes harmonieux, ce corps physique qui a acquis des connaissances, de l’expérience au fil du temps. Ces connaissances sont là, au cœur des cellules et elles maintiennent la vie en soi. 

L’idée du fil électrique sur lequel des ampoules sont accrochées et par lequel elles sont éclairées revient comme une évidence. Une image reçue dans l’enfance ou la préadolescence qui déjà me semblait évidente et qui m’a certainement aidée à lâcher prise.
On ne peut nier l’impact du vécu dans l’enfance sur la vie de l’adulte et le reconnaitre c’est déjà s’ouvrir et donner la parole à ces mémoires enfouies. Autoriser le corps physique à exprimer cela, c’est se réconcilier avec la vie en soi, avec l’enfant, avec tous les corps, c’est renaitre à soi. 




Être témoin de tous ces mouvements met en évidence la conscience Une qui embrasse tous les aspects de l’être. C’est le même schéma et le même sentiment, la sensation que ce qui se passe en soi se passe aussi à l’extérieur. Et même si ça ne se passe pas encore dans la matière, c’est déjà une réalité dans l’énergie, dans une ligne temporelle ‘future’. Ou dit autrement, c’est un potentiel qui existe déjà, qui est déjà là et que nous sommes de plus en plus nombreux à reconnaitre, à porter, à vibrer.

C’était encore bien flippant cet après midi. J’ai été emportée par des vagues de peur mais heureusement suffisamment consciente des processus internes, des réactions en chaine pour ne pas sombrer. La sensation d’être à la limite de la crise cardiaque s’est dissipée en cessant de focaliser sur le corps physique. C’est une chose de se tourner vers l’intérieur mais si on est dans l’interprétation des signes, si on projette la peur sur un symptôme, on peut vite basculer. J’ai pu sentir comment les vertiges étaient nourris par la peur, ce qui l’amplifiait et comment ils s’estompaient en respirant profondément et en cessant de m’attacher aux pensées.

C’était lourd, flippant et j’ai été en colère d’être encore une fois "mise à l’épreuve" si on peut dire. Quand j’affirme quelque chose, je le vis concrètement mais à chaque fois j’ai la sensation de ne pas être prête ou pas assez. Apprendre à lâcher prise autant au niveau mental qu’émotionnel n’est pas du tout évident et quand je sens que je suis au bord du précipice, j’appelle à l’aide. 
Déjà à ce stade, il n’y a plus de lutte interne et cet appel n’a pas de nom précis ou disons que ça dépend de l’élan du moment. Comme je n’ai pas été élevée avec les croyances liées aux anges, comme je ne les ai pas sollicités lorsque j’ai été attirée par les rayons, comme je pense en termes d’énergie, j’ai plutôt tendance à demander au cœur de rayonner l’harmonie, aux guides de l’unité éventuellement.
 
Moins je personnifie et plus c’est fluide ou plus je peux appeler à l'aide en confiance. Je ne doute pas de l'existence des égrégores et du fait qu’ils soient nourris par l’intention des gens puis qu’en appelant des êtres qu'on perçoit du côté des "gentils", c’est encore donner de l’énergie à la lutte. 
On appelle la lumière et c’est notre ombre qui sera perçue mais par-dessus tout on la considérera comme une ennemie, ce qui donne aussi de l’énergie ou de l’ampleur à la peur. 
Moins je m’attarde dans ces sphères et mieux je me porte. C’est clair que lorsque des vagues de peurs envahissent le mental il est difficile de s’en détacher, de revenir au calme, à l’observation neutre et justement parce que les forces contraires en nous sont en lutte. Que ce soit au niveau du système immunitaire, de la respiration irrégulière ou au niveau des flux qui peinent à circuler, lorsque ça coince, cultiver la dualité, c’est donner de l’énergie à la lutte, à la peur et douter de la capacité du corps physique à maintenir l'équilibre, la vie en soi. 
J’ai pensé un court instant à appeler de l’aide dans le voisinage mais tout de suite, je me suis dit que j’allais tomber dans le rôle de la victime et que mon corps serait traité en cobaye. Dans ces moments, je perçois plutôt des images symboliques et les réactions en chaine que ça génère. Or c’est une chose que je ne veux pas lui faire vivre, je préfère lui faire confiance et l’aider en ne cultivant ni la peur, ni la dualité. 

Il l’utilise dans différents systèmes mais dans l’intention de maintenir la vie en soi et plutôt dans une dynamique, un équilibre que dans un combat. Par moments tellement la peur prenait de l’ampleur, j’avais de la peine à respirer et je me suis dit qu’en étant identifié à la peur, je pourrais en mourir tellement c’était violent et puissant. J’ai pensé aux crises d’angoisse de quelques maladies et au fait qu’on a vraiment un impact sur notre santé parce que tous ces accidents vasculaires, ces problèmes de santé sont générés par la panique. 
Je rassurais le mental en lui disant que ça n’était pas la peine d’en rajouter, que de toutes façons lui ne mourrait pas. Même si je suppose que ce sont seulement les fonctions rattachées au corps physique qui disparaissent, ce qui est relatif au toucher au niveau des perceptions, alors que la conscience perdure. 
Le mental est une extension de la conscience et je suppose qu’il se dissout en tant que fonction et en tant qu’ego au niveau de la conscience Une. 
Ce qui peut aussi être vécu sur différents niveaux et déjà dans notre corps, en plusieurs paliers, afin de passer de la conscience individuelle à la conscience Une, sans trop de distorsion de fréquences. 
Bon mais là ça reste subjectif et mon but n’est pas d’expliquer cela mais plutôt de transmettre des clefs de connaissance pour apprendre à s’aimer entièrement, à lâcher le passé, les rôles, la dualité, sans rien rejeter, juste en élevant sa conscience, en apprenant à le faire. 
Là encore, élever sa conscience ne veut pas dire être perché en permanence ou défoncé ou cultiver une relation avec des anges, des guides, des maitres…Bien que ça puisse faire partie du retour à soi, ça doit rester épisodique, envisagé comme des expériences ponctuelles, des expériences qui nous aident à prendre conscience de qui nous sommes vibratoirement, au-delà ou à travers l’enveloppe physique. 




Même anatomiquement, le mouvement des électrons autour de l’atome crée de l’énergie et cette sphère énergétique est déjà visible dans la matière. Étant donné que l’énergie n’a pas de limite dans l’espace et le temps, comme elle se propage en ondes, comme elle répond aussi à la loi d’attraction, de résonance, cela implique qu’il y ait des égrégores, des relations au niveau subtil, différents règnes, sphères, degré de conscience et donc des dimensions en conséquences. 
Mais sachant aussi comment le mental peut se faire des films, mieux vaut apprendre à nettoyer les filtres en prenant du recul sur les pensées et en accueillant les émotions de façon à ne pas être dans la confusion. 
Parce qu’on peut constater comment le fait de projeter des images psycho-émotionnelles qui font appel à la mémoire ou à ce qu’on nous a inculqué via les films, les paroles, les images, les pubs, les conditionnements et croyances nous maintient dans la souffrance, l'attente et le doute. 
Toutes ces pensées/énergies existent dans l’astral mais elles nourrissent l’esprit de lutte, l’idée du ‘nous contre eux’,  des forces du mal contre les forces du bien…on n’en sort pas de ce cauchemar. 

Je ne doute pas que cela existe mais mon objectif est la connaissance de soi qui permet d’être autonome à tous les niveaux. A quoi bon exister en tant qu’individu si c’est pour penser et vivre la vie de quelqu’un d’autre que soi. J’ai pu sentir hier comment ce que je nourrissais en moi me reliait de fait aux énergies extérieures de même fréquence et comment cela en rajoutait une couche.

3 05 Revenir à l’observation neutre n’est pas facile dans ces moments là mais on peut sentir le soulagement, la différence, lorsqu’on ramène le mental au calme. Dans la panique, le mental va vouloir se rassurer en cherchant des infos qui donnent de l’espoir, ou en faisant diversion, justement par le divertissement. Il n’y a rien de mal à cela et on peut sentir comment ça l’aide, le soulage. 
C’est clair qu’on ne passe pas d’un mode de fonctionnement à l’autre en un claquement de doigt. Et c’est là où le fait de suivre l’élan du moment, l’inspiration qui vient soit par une idée soit par une envie, ramène à la confiance. Des conversations d’Osho m’ont fait du bien parce qu’il véhicule une énergie douce et lucide à la fois et évidemment parce que je suis en accord avec sa vision. 
Ce qui a été efficace aussi face à la panique, c’est de bouger, de se laisser guider par le corps sans se poser de questions parce qu’alors, les corps sont alignés, le mental est un peu en retrait. 

J’ai remercié aussi ma grand-mère maternelle et mon grand père paternel pour leur présence, leur soutien. Ce remerciement est venu spontanément et c’est après que j’ai compris ou cru comprendre pourquoi j’avais pensé à eux au moment le plus fort de la panique. C’est ce qui m’a permis de faire la différence entre les pensées de peur qui mènent à la lutte, l’impasse, et la réception d’idées sans lien apparent avec la situation mais qui avec le recul prennent du sens. 
Déjà le fait que je considère ces deux personnes comme des amies, des soutiens de leur vivant puisqu’ils m’ont aimée au-delà des apparences, de mon caractère marginal et décidé a dû y faire. 
Mais c’est seulement maintenant que je fais ce lien enfin que je m’explique pourquoi j’ai pensé à eux. C’est difficile à expliquer parce que c’est très intime, c’est de l’ordre du ressenti. Le mental peut ensuite trouver un sens en fonction des personnalités spécifiques et du lien que j’entretenais avec elles. D’ailleurs on ne s’est pas vraiment dit des choses spéciales mais leur énergie, leur capacité d’aimer et d’enseigner par l’exemple, d’être dans l’acceptation et le soutien matériel  au moment opportun sans que j’aie demandé quoi que ce soit, faisait que je les considérais, les ressentais comme des proches sur le plan du cœur, au niveau vibratoire. 

Là encore, ça n’est pas par hasard si leur présence a été ressentie au moment où j’accueille et "transmute" les pensées de l’enfant que j’étais et les émotions refoulées. Elles se logent autant dans le corps émotionnel que dans l’adn, elles ont été traitées comme mes ancêtres l’ont fait, par la lutte et le désir de transmuter cela, le fait de le vivre maintenant, entre en résonance avec ces personnes proches, même si elles sont décédées depuis quelques années. 




Ce qui rend les choses complexes, c’est le fait de pouvoir à la fois projeter ce qu’on pense et recevoir des infos et si je peux distinguer ce qui est émit de ce qui est reçu, c’est parce que ce que je reçois touche le cœur. Le cœur dans le sens de coordinateur, de principe harmonisateur de multiples infos qui sont traitées simultanément. 
Des infos qui parviennent autant de l’intérieur que de l’extérieur. Qui sont à la fois projection de ce qui se vit en soi et qui entrent en résonance avec les sphères correspondantes. 

La pensée de peur entre en résonance avec les égrégores correspondants et la façon de traiter cette peur vibre sur des fréquences et des sphères différentes. Si on donne de l’énergie à cette pensée, si on s’identifie aux scénari d’anticipation négative, si on croit à ces pensées, si on veut les nier, lutter contre elles, on les renforce parce qu’elles sont nourries par les égrégores correspondants. D'où le flot incessant

Si on n’y attache pas d’importance, si on lui laisse le droit d’exister, si on rassure le mental, si on boit une gorgée d’eau en conscience, en même temps, ça passe naturellement et on pourra entendre la voix de la sagesse. Boire de l’eau en conscience c’est concrétiser le désir de fluidité, de mouvement libre porté par la paix, l’amour. 

Bon, je me risque à publier cela avant d’aller en courses. Je dis je me risque parce que chaque fois que j’affirme quelque chose, je le fais dans la fluidité, la confiance, la cohérence intérieure et peu de temps après, je le vis concrètement. 
Là encore, ça n’est pas une mise à l’épreuve bien que sur le moment ça puisse y ressembler fortement, c’est l’occasion de mettre en pratique et de constater par soi-même la validité de ces paroles. 
Du coup, je me suis dit, "j’aurais mieux fait de me taire" mais là encore, à quoi bon freiner l’élan puisque c’est plus fort que moi. 

En continuant de vouloir pacifier ce que je porte, dans cette intention d’élever la vision au-delà de la lutte, peu à peu, je me fortifie et gagne en confiance. Puis la légèreté qui s’en suit me prépare à être davantage dans l’accueil, à ne pas me laisser impressionner autant par les pensées de peur. A pouvoir les lâcher plus rapidement et à nourrir ainsi la confiance, la fluidité, la légèreté d’être. 

4 05 J’ai vraiment la sensation d’avoir franchi un cap important et avec le recul je constate que ça n’était pas si difficile bien que par moments, j’ai eu la sensation de côtoyer la mort de très près. Là aussi, ça n’est pas par hasard si la sensation de proximité avec mes aïeux a été si réaliste. Non seulement ça brise le tabou de la mort maléfique ou perçue comme une fin dramatique mais ça ramène à l’évidence qu’il n’y a pas vraiment de fin. 

Les pensées de culpabilité vis-à-vis du corps physique du fait de ne pas l’aider suffisamment, de ne pas bien savoir en prendre soin, ont été aussi lâchées. Mais il a fallu un certain temps pour lâcher prise, pour me pardonner une erreur insignifiante et je suppose que ça reviendra parce que cette culpabilité a été bien ancrée dans l'enfance.  Même si c'est clair au niveau conscient les réactions démesurées quand je fais une erreur sans importance soulèvent celle que j'aie encore vis à vis des addictions. Là encore, l'absence de lutte est la voie.

Justement parce qu’on ne contrôle pas le flux de vie en soi, parce que l’expert en la matière, c’est le corps physique, le mieux qu’on puisse faire dans ces moments là, c’est de ne pas ajouter des pensées de peur, de culpabilité, ne pas y croire, ne pas leur donner de l’énergie. D’autant plus qu’on va interpréter les faits à travers la peur et l’amplifier. Si déjà on peut se détacher du flux des pensées, si on cesse de leur donner de l’énergie en arrêtant de les nourrir, de se focaliser dessus, ça laisse plus d’énergie au corps physique pour retrouver l’équilibre. 
Au plus fort de la panique, le frigo s'est mis en mode congélation, tout était dur dedans! Là encore j'ai lâché prise parce que je n'avais pas d'autre choix tellement c'était gros. J'ai tout de même râlé de constater comment c'était beaucoup plus facile de sombrer et d'en voir les effets dans la matière que de s'élever et d'en voir les effets concrets immédiats. Mais je me contenterais du changement d'état d'être, c'est déjà beaucoup. 

Je reviens de la source et j'ai croisé des gens prévenants, sympas, ça fait du bien. Comme quoi, même dans la matière, le réel, c'est visible, au moins à l'échelle individuelle. Tout espoir est permis...


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr  Photos privées ©Lydia Féliz