2 05 Aujourd’hui, plus que
jamais, le positionnement au centre, dans l’observation objective de ce qui est,
apparait comme la seule façon de ne pas être emportée par les nombreuses vagues
extérieures.
Déjà, à l’intérieur, je n’ai plus autant d’appréhension face aux
remontées émotionnelles parce que j’ai décidé de cesser toute forme de lutte
interne. Le fait d’avoir entendu la petite Lydia s’exprimer, dire ce qu’elle
pensait de certaines phrases entendues dans la conversation avec mon père, m’a
permis de mieux comprendre sur quoi se fondaient les croyances passées.
Ces
phrases qui semblent anodines mais qui sont celles de la manipulation.
Je ne
vais pas accabler mon père d’autant plus que je ne suis pas certaine qu’il soit
conscient de cette habitude de projeter ce qu’on ressent en soi, vers
l’extérieur.
Puis ce qui importe, c’est comment je fais pour être en paix avec
moi-même.
J’avais eu une impression partagée après ce coup de fil mais je n’ai
pas voulu chercher à comprendre. Je sais que l’évidence apparait d’elle-même
lorsqu’on est juste ouvert. Puis le lendemain matin, j’ai eue l’envie spontanée
d’écrire à mon père sans me demander si j’allais lui envoyer cette lettre. Deux
jours plus tard, je ne saurais dire ce que contient cette lettre mais ça n’a
pas d’importance ce qui compte c’est de cultiver l’écoute et l’unité intérieures.
Depuis deux jours, la douleur au pied me ramène à l’écoute du corps physique.
J’avais pris l’habitude de parler aux corps en considérant que ce sont les amis
les plus sûrs, mais j’ai vite fait de tomber dans le rituel ou les phrases
répétées sans trop y penser.
Puis "écouter le corps" n’est pas un processus
mental, ça consiste juste à être ouvert, à porter un regard neuf et à le
soutenir si on peut dire, en revenant à la détente physique. C’est valable
évidemment pour le mental et l’émotionnel puisqu’ils sont inséparables.
Des
larmes ont coulé comme un flot de tendresse, une rivière fluide et comme c’est
très rare que je pleure, ça m’a fait le plus grand bien.
Comme un témoignage
d’une nouvelle alliance, celle de la paix, de l’ouverture, de l’amour libre, de
l’accueil, de l’écoute et de la liberté d’expression. Si je dis nouvelle, c’est
dans le sens où tout à l’intérieur était parfaitement d’accord, aligné à ce
désir de paix totale.
C’est une des rares choses dont je sois certaine
aujourd’hui, ce désir de cesser toute forme de lutte.
J’ai toujours eu ce désir
mais il était souvent associé à des sentiments négatifs, une sorte de lâcheté,
de fuite, de démission, mais en fait, aujourd’hui ça devient la seule voie de
libération possible. L’expression de la liberté, de l’engagement, qui vaille
vraiment la peine.
Ce profond désir de vérité, de liberté, de transparence, a
été remis en évidence par la douleur. Ce langage du corps physique est perçu
comme un appel et pas comme un obstacle.
Même si ça n’est pas trop douloureux, ça
me ramène vers l’intérieur, à plus d’attention. Il y a pas mal de stress que l’extérieur
à travers les infos anxiogènes, accusatrices, contradictoires, met encore plus
en évidence.
Je
m’estime déjà contente de pouvoir être en paix malgré ce stress latent, en
accord avec ce que je suis et en vie.
J’ai
repris les médiations, celles qui consistent à juste être ouvert, à juste
observer sans commenter, à constater le flot des pensées incessantes, à laisser
être ce qui survient.
J’ai été étonnée de voir les flux de couleurs apparaitre
mais cette fois-ci en spirale ou en vague et pas de l’extérieur vers
l’intérieur. Ce n’est pas évident à décrire mais j’ai clairement vu une main au
centre de ce flux en spirale. Là encore, je me contente de voir et noter.
La
vision de cette main me ramène à l’idée de la conscience Une, de l’humanité Une
et du corps physique âgé de millions d’années. Une façon aussi de me détacher de cette histoire, cette enfance si commune à des millions d'enfants. Et cela appuie mon désir de
continuer de faire confiance à cet amalgame d’intelligences, de systèmes
harmonieux, ce corps physique qui a acquis des connaissances, de l’expérience
au fil du temps. Ces connaissances sont là, au cœur des cellules et elles
maintiennent la vie en soi.
L’idée du fil électrique sur lequel des ampoules
sont accrochées et par lequel elles sont éclairées revient comme une évidence.
Une image reçue dans l’enfance ou la préadolescence qui déjà me semblait
évidente et qui m’a certainement aidée à lâcher prise.
On
ne peut nier l’impact du vécu dans l’enfance sur la vie de l’adulte et le
reconnaitre c’est déjà s’ouvrir et donner la parole à ces mémoires enfouies.
Autoriser le corps physique à exprimer cela, c’est se réconcilier avec la vie
en soi, avec l’enfant, avec tous les corps, c’est renaitre à soi.
Être témoin
de tous ces mouvements met en évidence la conscience Une qui embrasse tous les
aspects de l’être. C’est le même schéma et le même sentiment, la sensation que
ce qui se passe en soi se passe aussi à l’extérieur. Et même si ça ne se passe
pas encore dans la matière, c’est déjà une réalité dans l’énergie, dans une
ligne temporelle ‘future’. Ou dit autrement, c’est un potentiel qui existe
déjà, qui est déjà là et que nous sommes de plus en plus nombreux à
reconnaitre, à porter, à vibrer.
C’était
encore bien flippant cet après midi. J’ai été emportée par des vagues de peur
mais heureusement suffisamment consciente des processus internes, des réactions
en chaine pour ne pas sombrer. La sensation d’être à la limite de la crise
cardiaque s’est dissipée en cessant de focaliser sur le corps physique. C’est
une chose de se tourner vers l’intérieur mais si on est dans l’interprétation
des signes, si on projette la peur sur un symptôme, on peut vite basculer. J’ai
pu sentir comment les vertiges étaient nourris par la peur, ce qui l’amplifiait
et comment ils s’estompaient en respirant profondément et en cessant de
m’attacher aux pensées.
C’était
lourd, flippant et j’ai été en colère d’être encore une fois "mise à l’épreuve"
si on peut dire. Quand j’affirme quelque chose, je le vis concrètement mais à
chaque fois j’ai la sensation de ne pas être prête ou pas assez. Apprendre à
lâcher prise autant au niveau mental qu’émotionnel n’est pas du tout évident et
quand je sens que je suis au bord du précipice, j’appelle à l’aide.
Déjà à ce
stade, il n’y a plus de lutte interne et cet appel n’a pas de nom précis ou
disons que ça dépend de l’élan du moment. Comme je n’ai pas été élevée avec les
croyances liées aux anges, comme je ne les ai pas sollicités lorsque j’ai été
attirée par les rayons, comme je pense en termes d’énergie, j’ai plutôt
tendance à demander au cœur de rayonner l’harmonie, aux guides de l’unité
éventuellement.
Moins je personnifie et plus c’est fluide ou plus je peux appeler à l'aide en confiance. Je ne doute pas de l'existence des
égrégores et du fait qu’ils soient nourris par l’intention des gens puis qu’en
appelant des êtres qu'on perçoit du côté des "gentils", c’est encore donner de l’énergie à la lutte.
On appelle la lumière et c’est notre ombre qui sera perçue mais par-dessus tout
on la considérera comme une ennemie, ce qui donne aussi de l’énergie ou de l’ampleur
à la peur.
Moins je m’attarde dans ces sphères et mieux je me porte. C’est
clair que lorsque des vagues de peurs envahissent le mental il est difficile de
s’en détacher, de revenir au calme, à l’observation neutre et justement parce
que les forces contraires en nous sont en lutte. Que ce soit au niveau du
système immunitaire, de la respiration irrégulière ou au niveau des flux qui peinent à circuler, lorsque ça
coince, cultiver la dualité, c’est donner de l’énergie à la lutte, à la peur et douter de
la capacité du corps physique à maintenir l'équilibre, la vie en soi.
J’ai pensé un court
instant à appeler de l’aide dans le voisinage mais tout de suite, je me suis dit que j’allais
tomber dans le rôle de la victime et que mon corps serait traité en cobaye. Dans
ces moments, je perçois plutôt des images symboliques et les réactions en
chaine que ça génère. Or c’est une chose que je ne veux pas lui faire vivre, je
préfère lui faire confiance et l’aider en ne cultivant ni la peur, ni la
dualité.
Il l’utilise dans différents systèmes mais dans l’intention de
maintenir la vie en soi et plutôt dans une dynamique, un équilibre que dans un
combat. Par moments tellement la peur prenait de l’ampleur, j’avais de la peine
à respirer et je me suis dit qu’en étant identifié à la peur, je pourrais en
mourir tellement c’était violent et puissant. J’ai pensé aux crises d’angoisse de
quelques maladies et au fait qu’on a vraiment un impact sur notre santé parce
que tous ces accidents vasculaires, ces problèmes de santé sont générés par la
panique.
Je rassurais le mental en lui disant que ça n’était pas la peine d’en
rajouter, que de toutes façons lui ne mourrait pas. Même si je suppose que ce
sont seulement les fonctions rattachées au corps physique qui disparaissent, ce
qui est relatif au toucher au niveau des perceptions, alors que la conscience perdure.
Le mental est une
extension de la conscience et je suppose qu’il se dissout en tant que fonction
et en tant qu’ego au niveau de la conscience Une.
Ce qui peut aussi être vécu
sur différents niveaux et déjà dans notre corps, en plusieurs paliers, afin de passer de la conscience
individuelle à la conscience Une, sans trop de distorsion de fréquences.
Bon
mais là ça reste subjectif et mon but n’est pas d’expliquer cela mais plutôt de
transmettre des clefs de connaissance pour apprendre à s’aimer entièrement, à
lâcher le passé, les rôles, la dualité, sans rien rejeter, juste en élevant sa
conscience, en apprenant à le faire.
Là encore, élever sa conscience ne veut
pas dire être perché en permanence ou défoncé ou cultiver une relation avec des
anges, des guides, des maitres…Bien que ça puisse faire partie du retour à soi,
ça doit rester épisodique, envisagé comme des expériences ponctuelles, des
expériences qui nous aident à prendre conscience de qui nous sommes
vibratoirement, au-delà ou à travers l’enveloppe physique.
Même
anatomiquement, le mouvement des électrons autour de l’atome crée de l’énergie
et cette sphère énergétique est déjà visible dans la matière. Étant donné que
l’énergie n’a pas de limite dans l’espace et le temps, comme elle se propage en
ondes, comme elle répond aussi à la loi d’attraction, de résonance, cela
implique qu’il y ait des égrégores, des relations au niveau subtil, différents
règnes, sphères, degré de conscience et donc des dimensions en conséquences.
Mais sachant aussi comment le mental peut se faire des films, mieux vaut
apprendre à nettoyer les filtres en prenant du recul sur les pensées et en accueillant
les émotions de façon à ne pas être dans la confusion.
Parce qu’on peut
constater comment le fait de projeter des images psycho-émotionnelles qui font
appel à la mémoire ou à ce qu’on nous a inculqué via les films, les paroles,
les images, les pubs, les conditionnements et croyances nous maintient dans la
souffrance, l'attente et le doute.
Toutes ces pensées/énergies existent dans l’astral mais
elles nourrissent l’esprit de lutte, l’idée du ‘nous contre eux’, des forces du mal contre les forces du
bien…on n’en sort pas de ce cauchemar.
Je ne doute pas que cela existe mais mon
objectif est la connaissance de soi qui permet d’être autonome à tous les
niveaux. A quoi bon exister en tant qu’individu si c’est pour penser et vivre
la vie de quelqu’un d’autre que soi. J’ai pu sentir hier comment ce que je
nourrissais en moi me reliait de fait aux énergies extérieures de même
fréquence et comment cela en rajoutait une couche.
3 05 Revenir
à l’observation neutre n’est pas facile dans ces moments là mais on peut sentir
le soulagement, la différence, lorsqu’on ramène le mental au calme. Dans la
panique, le mental va vouloir se rassurer en cherchant des infos qui donnent de
l’espoir, ou en faisant diversion, justement par le divertissement. Il n’y a
rien de mal à cela et on peut sentir comment ça l’aide, le soulage.
C’est clair
qu’on ne passe pas d’un mode de fonctionnement à l’autre en un claquement de doigt.
Et c’est là où le fait de suivre l’élan du moment, l’inspiration qui vient soit
par une idée soit par une envie, ramène à la confiance. Des conversations
d’Osho m’ont fait du bien parce qu’il véhicule une énergie douce et lucide à la
fois et évidemment parce que je suis en accord avec sa vision.
Ce qui a été efficace aussi face à la
panique, c’est de bouger, de se laisser guider par le corps sans se poser de
questions parce qu’alors, les corps sont alignés, le mental est un peu en
retrait.
J’ai remercié aussi ma grand-mère maternelle et mon grand père
paternel pour leur présence, leur soutien. Ce remerciement est venu
spontanément et c’est après que j’ai compris ou cru comprendre pourquoi j’avais
pensé à eux au moment le plus fort de la panique. C’est ce qui m’a permis de
faire la différence entre les pensées de peur qui mènent à la lutte, l’impasse,
et la réception d’idées sans lien apparent avec la situation mais qui avec le
recul prennent du sens.
Déjà le fait que je considère ces deux personnes comme
des amies, des soutiens de leur vivant puisqu’ils m’ont aimée au-delà des
apparences, de mon caractère marginal et décidé a dû y faire.
Mais c’est
seulement maintenant que je fais ce lien enfin que je m’explique pourquoi j’ai
pensé à eux. C’est difficile à expliquer parce que c’est très intime, c’est de
l’ordre du ressenti. Le mental peut ensuite trouver un sens en fonction des
personnalités spécifiques et du lien que j’entretenais avec elles. D’ailleurs
on ne s’est pas vraiment dit des choses spéciales mais leur énergie, leur
capacité d’aimer et d’enseigner par l’exemple, d’être dans l’acceptation et le
soutien matériel au moment opportun sans
que j’aie demandé quoi que ce soit, faisait que je les considérais, les
ressentais comme des proches sur le plan du cœur, au niveau vibratoire.
Là
encore, ça n’est pas par hasard si leur présence a été ressentie au moment où
j’accueille et "transmute" les pensées de l’enfant que j’étais et les émotions
refoulées. Elles se logent autant dans le corps émotionnel que dans l’adn,
elles ont été traitées comme mes ancêtres l’ont fait, par la lutte et le désir de transmuter
cela, le fait de le vivre maintenant, entre en résonance avec ces personnes
proches, même si elles sont décédées depuis quelques années.
Ce qui rend les choses
complexes, c’est le fait de pouvoir à la fois projeter ce qu’on pense et
recevoir des infos et si je peux distinguer ce qui est émit de ce qui est reçu,
c’est parce que ce que je reçois touche le cœur. Le cœur dans le sens de
coordinateur, de principe harmonisateur de multiples infos qui sont traitées
simultanément.
Des infos qui parviennent autant de l’intérieur que de
l’extérieur. Qui sont à la fois projection de ce qui se vit en soi et qui
entrent en résonance avec les sphères correspondantes.
La pensée de peur entre
en résonance avec les égrégores correspondants et la façon de traiter cette
peur vibre sur des fréquences et des sphères différentes. Si on donne de
l’énergie à cette pensée, si on s’identifie aux scénari d’anticipation
négative, si on croit à ces pensées, si on veut les nier, lutter contre elles,
on les renforce parce qu’elles sont nourries par les égrégores correspondants. D'où le flot incessant
Si on n’y attache pas d’importance, si on lui laisse le droit d’exister, si on
rassure le mental, si on boit une gorgée d’eau en conscience, en même temps, ça
passe naturellement et on pourra entendre la voix de la sagesse. Boire de l’eau
en conscience c’est concrétiser le désir de fluidité, de mouvement libre porté
par la paix, l’amour.
Bon, je me risque à publier cela avant d’aller en
courses. Je dis je me risque parce que chaque fois que j’affirme quelque chose,
je le fais dans la fluidité, la confiance, la cohérence intérieure et peu de
temps après, je le vis concrètement.
Là encore, ça n’est pas une mise à
l’épreuve bien que sur le moment ça puisse y ressembler fortement, c’est
l’occasion de mettre en pratique et de constater par soi-même la validité de
ces paroles.
Du coup, je me suis dit, "j’aurais mieux fait de me taire" mais là
encore, à quoi bon freiner l’élan puisque c’est plus fort que moi.
En
continuant de vouloir pacifier ce que je porte, dans cette intention d’élever
la vision au-delà de la lutte, peu à peu, je me fortifie et gagne en confiance.
Puis la légèreté qui s’en suit me prépare à être davantage dans l’accueil, à ne
pas me laisser impressionner autant par les pensées de peur. A pouvoir les lâcher
plus rapidement et à nourrir ainsi la confiance, la fluidité, la légèreté
d’être.
4 05 J’ai vraiment la sensation d’avoir franchi un cap important et avec le
recul je constate que ça n’était pas si difficile bien que par moments, j’ai eu
la sensation de côtoyer la mort de très près. Là aussi, ça n’est pas par hasard
si la sensation de proximité avec mes aïeux a été si réaliste. Non seulement ça
brise le tabou de la mort maléfique ou perçue comme une fin dramatique mais ça
ramène à l’évidence qu’il n’y a pas vraiment de fin.
Les pensées de culpabilité
vis-à-vis du corps physique du fait de ne pas l’aider suffisamment, de ne pas
bien savoir en prendre soin, ont été aussi lâchées. Mais il a fallu un certain
temps pour lâcher prise, pour me pardonner une erreur insignifiante et je suppose que ça reviendra parce que cette culpabilité a été bien ancrée dans l'enfance. Même si c'est clair au niveau conscient les réactions démesurées quand je fais une erreur sans importance soulèvent celle que j'aie encore vis à vis des addictions. Là encore, l'absence de lutte est la voie.
Justement
parce qu’on ne contrôle pas le flux de vie en soi, parce que l’expert en la
matière, c’est le corps physique, le mieux qu’on puisse faire dans ces
moments là, c’est de ne pas ajouter des pensées de peur, de culpabilité, ne pas y croire, ne
pas leur donner de l’énergie. D’autant plus qu’on va interpréter les faits à
travers la peur et l’amplifier. Si déjà on peut se détacher du flux des pensées,
si on cesse de leur donner de l’énergie en arrêtant de les nourrir, de se
focaliser dessus, ça laisse plus d’énergie au corps physique pour retrouver l’équilibre.
Au plus fort de la panique, le frigo s'est mis en mode congélation, tout était dur dedans! Là encore j'ai lâché prise parce que je n'avais pas d'autre choix tellement c'était gros. J'ai tout de même râlé de constater comment c'était beaucoup plus facile de sombrer et d'en voir les effets dans la matière que de s'élever et d'en voir les effets concrets immédiats. Mais je me contenterais du changement d'état d'être, c'est déjà beaucoup.
Je reviens de la source et j'ai croisé des gens prévenants, sympas, ça fait du bien. Comme quoi, même dans la matière, le réel, c'est visible, au moins à l'échelle individuelle. Tout espoir est permis...
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr Photos privées ©Lydia Féliz