samedi 18 avril 2020

« On apprend toujours de ses "erreurs" »







17 04 « On apprend toujours de ses "erreurs" », voilà la phrase qui me vient après avoir constaté que j’avais fait bien des détours pour oser écouter l’enfant en moi. 
Dans un sens, tous ces détours m’ont permis de mieux comprendre plusieurs choses et notamment comment fonctionnent les énergies et c'est pour ça que j'ai mis des guillemets autour du mot erreur. 
Déjà, tout comme les émotions, elles ne peuvent être ni contenues, ni manipulées indéfiniment. La manipulation passe par la sphère mentale principalement et comme les croyances sont constituées et nourries par l’énergie des pensées et des émotions qui leurs sont associées, ces deux corps peuvent être sujets à manipulation.

On le voit très bien au travers des médias et des effets d’annonce qui impactent directement l’opinion publique. Si je parle d’opinion publique c’est pour évoquer cet esprit de masse qui suit par ignorance l’avis de ceux qu’il estime supérieur à lui.

Malgré les termes employés, il n’y a pas de mépris dans ce que je dis c’est juste un constat, une réalité qu’on peut vivre aussi en soi.
Lorsqu’on est identifié au mental, ou plutôt aux croyances et aux pensées conditionnées, habitué à fuir les émotions, on ne se rend même pas compte à quel point on est manipulé et manipulable. 
On l’est déjà de l’intérieur parce qu’on laisse nos croyances et nos conditionnements gérer nos mondes internes.
On nous a appris à contenir les émotions dites négatives et à s’interdire des pensées de même type. C’est cette tendance qu’on retrouve dans la plupart des médias où les journalistes sont tenus de répéter les discours et les éléments de langage de la pensée dominante sous peine de perdre leur job. 
Quand on transpose cela à l’individu, à ses mondes intérieurs, on peut voir le même procédé. Les conditionnements et croyances font la loi parce qu’ils semblent justement répondre à la peur de la mort, du manque, de la perte. 
Et si on a conscience de l’aspect énergétique de l’être, on continue de percevoir cela par ce même angle, ce "prêt à penser", à agir, inculqué à la fois par les parents, la société mais aussi soutenus par nos gènes, par les mécanismes de survie gérés par le tronc cérébral.


Ces systèmes, cette façon d’appréhender les pensées et les émotions, nous enferme et nous prive à la fois du bien-être, de la connaissance intime de soi et par conséquent de la souveraineté, de l’autonomie. Souveraineté de penser, d’être et d’agir. 

La situation de confinement actuelle montre les conséquences de cette ignorance, de la méconnaissance de qui nous sommes réellement et de la capacité de vivre selon son propre élan, sa propre vision du monde, quoi que vivent les autres. 
Ce besoin d’être guidé par des instances supérieures, qu’elles soient humaines ou extra-terrestres, anges, archanges…inclus, nous rend esclave, aveugle, impuissant et malheureux.

Considérer les pensées et les émotions comme des énergies, voir et sentir comment les émotions nous guident, nous enseignent et nous donnent l’élan, la force de vivre selon notre propre vision/vibration/désir, permet de démystifier pas mal de croyances. 
Les émotions expriment par l’effet duel ou le contraste offert par la dualité, notre positionnement interne du moment, ou le degré de pureté de l’énergie d’amour qui circule en nous.

Si je parle de pureté, c’est justement parce que la dualité a posé l’hypothèse que la peur est l’opposé de l’amour. Non pas comme une vérité absolue mais comme une hypothèse d’expérience, un moyen de connaitre les énergies, les différences fréquences et surtout de constater la force des corps mental, émotionnel, leur ressources, la façon dont le traitement de l’information agit sur notre état d’être. 

La même énergie est ainsi exprimée en tout un panel d’émotions, de fréquences, qui entrainent des réactions en chaine en tous nos corps.
La pensée et l’émotion associées crée des fréquences vibratoires différentes et des réactions physiologiques qui vont impacter notre état d’être et notre corps physique en bout de chaine.

Là encore, ce ne sont pas les énergies qui sont en cause mais plutôt la façon dont on traite ces énergies. Comment on les canalise, par quelles croyances, quels limitations, quels systèmes elles sont traitées et comment, selon le chemin emprunté, le résultat sera différent, l’interprétation en cohérence avec les croyances. D'où la forte sensation d'avoir raison parce que la vision est en cohérence avec le mode de traitement de l'info. En l’occurrence, ce qui peut être perçu comme des "erreurs" pour le mental conditionné, c'est le fait de dire les choses telles qu'elles ont été vécues ou perçues, de se dire que les interprétations sont aléatoires et que j'aurais mieux fait de ne parler que du résultat, des conclusions plutôt que de raconter l'histoire dans son ensemble. Qu'ainsi j'aurais évité de passer pour une tarée, une dégueulasse, une perchée voire une sorcière et d'être critiquée.  

Mais l'intérêt de ce blog, de ce partage très intime, c'est de dire ce que je vis et pense, honnêtement parce que ces pensées conditionnées et ces perceptions différentes habitent chacun, chaque humain, puisque justement ce sont des pensées formatées, issues des systèmes de croyances et conditionnements que nous portons génétiquement. 
Ces pensées qui sont à la fois portées génétiquement mais aussi collectivement sur le plan des égrégores ou de la conscience de masse. C'est cette conscience groupe qui fait qu'on trouvait une certaine cohérence dans la vision générale de la société et c'est ce qui est en train de s'écrouler. On est rendu au stade où de plus en plus de consciences s'individualisent mais ça reste encore soumis aux égrégores dans le sens où la façon de traiter les infos en mode binaire, attraction/répulsion, relie les consciences par "petits groupes". Puis il y a aussi de plus en plus de gens qui s'individualisent en prenant conscience de l'unité au niveau vibratoire, de l'individu complet, autonome, fractale de l'univers... 




Le sens de la création, c’est depuis la vibration en direction de l’extérieur ou jusque dans la matière. Ce qui veut dire que les émotions nous invitent à revenir au centre, nous ramènent à l’équilibre où on s’accorde à l’amour lumière ou à la sagesse de l’amour. Ou tout au moins où la vision est neutre, dépourvue de dualité, de la notion de bien ou de mal. Où dans ce centre, notre vibration s'accorde à celle du cœur, selon sa nature, sa fonction d'harmonisation.

Ainsi, ce qu’on vibre, cet amour Libre, nous régénère mentalement amenant à lâcher les jugements et l’action sera portée par cette énergie source qui tient compte de tous les éléments internes et externes. En cet espace, l'info qu'elle provienne du mental ou de l'émotionnel, des sens, est traitée selon ce mode d'harmonisation ce qui a pour effet de ramener les corps à l'équilibre. 

Suivre l’élan qui émerge de ce retour au centre, au non jugement, à la paix, la stabilité psycho-émotionnelle, est la garantie du succès. Dans le sens où le geste sera bénéfique pour soi-même et pour les autres. Sans même que le mental n’ait à anticiper, prévoir, calculer, le geste sera approprié parce que vrai. 
Dans l’émergence de la colère, de la peur, il y a une "intention/vibration" de vérité ou disons que cette explosion est la vérité du moment. 

Elle est la voix de l’ignorance en nous, celle de l’innocence qui lorsqu’on l’écoute, lorsqu’on pose un regard neutre, sans jugement, dans la conscience que cet aspect est en demande d’attention, déjà on ne projette plus vers l’extérieur cette colère légitime dans l’instant. 
Cette énergie qui lorsqu’elle est exprimée en vérité puis en mots par l’enfant en soi, est naturellement équilibrée par le contact avec l’amour en soi. L’amour, centre de paix, d’accueil tout autant qu’énergie de vie en libre circulation. On prend de plus en plus conscience qu'il y a un observateur et un observé, ce qui permet de lâcher l'identification à ce qui est observé.

J’ai été inspirée à faire appel au rayon doré hier soir afin que ma nuit soit plus apaisée mais ce n’est pas venu d’un calcul mental, de la volonté de se protéger, l’intention était portée par l’amour, l’amour pour le corps physique, le désir de contribuer à son bien-être, à l’intégrité de tous les corps.

Il est clair pour moi que la nuit, la conscience n’est pas vraiment au repos même si le mental est en pause ou endormi, les projections psycho-émotionnelles via les rêves, sont en pleine activité sur le plan énergétique, vibratoire. 
Juste parce que l’énergie est mouvement perpétuel, parce que la conscience est infinie, illimitée et toujours en éveil.

Une voisine vient de m’apporter un masque confectionné par la mairie et le premier réflexe a été de lui dire que je ne l’utiliserais pas mais je l’ai quand même pris pour éviter une amande éventuellement mais aussi pour souligner ce geste solidaire.

J’ai toujours pensé que le premier danger extérieur venait du ciel, des épandages, eux-mêmes reflets de cette volonté de contrôler le ciel intérieur, le climat, l’état d’être généré par nos pensées, les émotions associées et par conséquent les énergies.
Mais comme je connais aussi la force des croyances ou l’influence des pensées inconscientes sur l’état d’être, la solution est "la lumière", le fait de porter la conscience sur cette part de soi reléguée aux oubliettes parce que jugée trop animale, imprévisible, instinctive et surtout incontrôlable. 
Mais cette part cachée contient autant de potentiel que de connaissances, autant d’intuition que d’inspiration et une énergie phénoménale à en constater l’effet des croyances justement inconscientes sur notre quotidien, notre comportement.

Vouloir lutter contre ces forces revient à vouloir contenir l’éruption d’un volcan.
Ceci dit, il ne s’agit pas non plus de se tenir au bord du cratère en se disant qu’on va être épargné par la force de l’amour ou que les coulées de lave nous épargnerons juste parce qu’on le veut. 
Il s’agit plutôt de considérer ces profondeurs et la puissance de l’énergie, en observant les impulsions qu’elle génère au travers des pensées et des émotions dites négatives afin d’en comprendre le processus, la force créative. 
On peut voir comment la nature est florissante lorsqu’elle émerge des cendres, une fois que les coulées sont éteintes. Et cela se fait naturellement parce que les cendres sont riches d’éléments nourrissants. 

Mais il y a un cycle à respecter, un temps de refroidissement qui peut être représenté par l’observation neutre, ce regard dépourvu de jugement, curieux de savoir, de comprendre les processus créatifs. Et là, dans la dimension mentale, énergétique, ça va très vite. Les répercussions dans la matière sont aussi de plus en plus rapides.


C’est là où les qualités de l’enfant en soi, libéré des contraintes des croyances et conditionnements, dont les blessures, synonyme d’incompréhension ont été juste éclairées, vont pouvoir être très utiles.  




Juste constater ces blessures ou "points d’incompréhension" qui se traduisent par des tensions physiques, des crispations mentales, le refoulement des émotions ou la sensation de contrainte, de blocage au niveau émotionnel, physique, change déjà la vibration générale. Cela peut se traduire par l’incapacité de pleurer, la perte d’appétit, la constipation, le mental en hyperactivité, autant de signes qui démontrent que l’énergie peine à circuler, que l’attention est appelée à revenir à l’intérieur. Et si on n’est pas attentif à ces signes c’est dans le quotidien que cela se révèlera comme l’histoire du chat.

Ceci dit là encore, je peux mesurer le progrès dans la capacité d’écouter, de revenir au centre parce que ces signes sont perceptibles à l’intérieur. Je ne vis plus de scènes choc ou violentes pour m’obliger à me poser au centre.
C’est clair que la simplicité de l’accueil, de l’ouverture, de l’écoute de l’enfant en soi peut amener le mental à résister d’autant plus qu’il a été habitué à gérer et contrôler les mondes intérieurs.

Quand on est inspiré spontanément à faire quelque chose, c’est le signe que l’intention est pure, qu’elle vient du centre, de la sagesse intérieure et c’est ensuite l’interprétation qui devient aléatoire mais en apprenant à écouter les voix en soi, on comprend mieux comment nous sommes guidés et quels outils sont utiles. Mais quand cet élan est spontané, il a quelque chose à nous apprendre, à nous montrer et peu importe d'où il émerge en fait. Ce qui compte, c'est qu'on se souvienne qu'en revenant à l'observation neutre, l'info sera délivrée et peu à peu on comprendra que tout ce qui arrive est une invitation à connaitre, à savoir par soi-même, à sentir l'espace de paix en soi, la force de ce positionnement, à reconnaitre notre identité, vibration source, véritable ou originelle. 

Les rayons sacrés, les couleurs tout simplement, ont une valeur à plusieurs niveaux et leurs fréquences différentes correspondent à des qualités qui ne sont pas positives ou négatives mais plutôt utiles à certains moments. 
C’est en ce sens que le choix spontané de certaines d’entre elles est bénéfique à ce moment précis. Il s’agit d’un ensemble d’infos traitées simultanément et dont la réponse est cohérente à cet instant. 

Une cohérence dans le temps et la vibration où le contexte est tout aussi important que le choix de cette couleur, de cette fréquence précise. Lorsqu’on choisit un vêtement par goût, par envie, on ne se rend pas compte qu’on obéit à la guidance interne, qu’on canalise la sagesse des corps. 
Cette impulsion nait à la fois de l’instinct de survie/vie que de l’intelligence du cœur capable d’harmoniser toutes les infos simultanément afin de maintenir l’équilibre interne à chaque instant. L’équilibre des fonctions, systèmes, la circulation des fluides et des énergies simultanément.

Plus ça va et donc plus j’apprends à revenir à l’intérieur, à observer comment l’équilibre se réalise dans cette élévation/purification vibratoire et plus je peux prendre du recul sur les infos. 
Déjà, il est évident qu’on lit tout et son contraire, que les infos se succèdent et qu’elles se démentent régulièrement. On peut observer ce mouvement qui est le même que celui qu’on vit en soi lorsqu’on veut contrôler nos émotions, nos ressentis. Le mental cherche à comprendre et lorsqu’on prend du recul comme la vision change, l’interprétation des faits change aussi.

D’un point de vue où on résiste à la peur, cette situation apparait autant comme un drame que comme un complot dont le coupable change au fur et à mesure. Je ne nie pas qu’il y ait des responsables, une volonté de mondialiser, formater, contrôler…et une habitude les élites à manipuler l’ensemble par l’émotionnel mais premièrement, on n’est pas obligé de subir et deuxièmement si on est honnête envers soi, on constatera que les mêmes choses se passent à l’intérieur.

Ce parallèle devient de plus en plus évident et laisse émerger la vision de la conscience Une, de la reliance entre les humains à différent  niveaux, du fait que chacun soit à la fois une cellule de ce grand corps et la parfaite réplique de l’ensemble, de l’univers. 

Depuis cette perspective on voit que chacun joue un rôle particulier dans l’échiquier mondial et que celui-ci peut évoluer selon nos propres états d’être. 
On voit que chacun nourrit un égrégore selon les croyances auxquelles il adhère, cautionne sans le savoir ou volontairement, le positionnement de ceux qui sont appelés bourreaux.




La violence commence en soi tout comme la paix émerge de l’intérieur. 
Elle est le fruit d’une lutte, d’une incompréhension, d’un refus, d’une résistance à ce qui se manifeste en soi. Elle nait de l’ignorance mais surtout du fait de ne pas écouter cet enfant qui représente autant l’incompréhension que l’énergie vitale, la créativité, l’authenticité et la spontanéité. 
Cela se traduit par une attitude faussée, un sourire alors qu’on souffre à l’intérieur, une colère qui s’adresse à l’autre pour minimiser le mal être en soi. Et il suffit de peu pour que l’on s’enflamme lorsqu’on s’identifie à la victime dans une situation donnée.

Lorsqu’on se croit lésé ou trompé d’une façon ou d’une autre, on réagit avec violence mais c’est en fait l’expression de la souffrance de l’enfant en soi ou du manque d’attention qu’on lui porte. 
C’est sûr que ça peut paraitre compliqué parce qu’il est difficile d’expliquer ce qui se vit à l’intérieur et en plus parce que ça se passe en quelques secondes et parfois même en moins de temps que ça. 
Mais on peut en faire l’expérience juste être à l’écoute de la petite voix en souffrance ou de la vérité du moment. Reconnaitre que cet enfant souffre de ne pas être reconnu, écouté, c’est ouvrir son cœur à la tendresse. 
Admettre qu’on a peur d’écouter ou de ressentir les souffrances intérieures, c’est déjà s’ouvrir et s’attendrir. L’amour et la lumière font le reste parce que finalement il s’agit juste de s’ouvrir à soi. 

Écrire est déjà un pas vers soi, vider son mental et son cœur, revenir à la confiance, à l’intimité, mais on peut aussi s’enfermer dans ce monde du mental si gigantesque et aux nombreux étages, aux dimensions multiples. 
Elles apparaissent parfois comme un labyrinthe lorsqu’on tourne en rond dans les limites des croyances. Elles peuvent nous transporter dans les mondes de l’imaginaire, dans ceux des égrégores, dans des sphères idylliques en lien avec nos croyances et nos conditionnements mais elles peuvent aussi apparaitre dans l’infini des possibles. 

Ces visions sont furtives mais imprègnent l’être tout entier parce que la sensation vient lui donner un air de vérité. Je n’ai pas encore voyagé dans celui des émotions parce que pour le moment, je m’autorise seulement à laisser ces énergies s’exprimer librement. 
Je vois le lien entre pensée et émotion, comment ensembles elles sont nées par association et nourrissent les croyances, les conditionnements et les préjugés. 
J’en perçois aussi le caractère informatif et la beauté des couleurs, des sons, de la musique. 
Autant d’indices qui me donnent envie d’explorer ses zones de sensibilité. 
Puis par-dessus tout j’en perçois l’effet sur l’état d’être, l’effet de ces réactions en chaine qui produisent des hormones et change l’humeur, l’état d’esprit, la sensation physique. 

Je suppose qu’il est aussi vaste et riche que le monde, les mondes du mental puisqu’ils sont liés vibratoirement, énergétiquement ou selon les fréquences qui les associent. Et que tout comme le mental, l’observation détachée permet de porter un regard neuf sur sa nature. 

Déjà, le fait de savoir intimement, sensoriellement que la peur est une forme de résistance, l’expression d’une fermeture et que par nature ou que son essence est celle de l’énergie de vie, change totalement l’approche, la perspective et modifie lentement mais sûrement l’espace mental.

Bon je vais enfin sous la douche avec l’élan du désir, celui de finaliser ces libérations afin de marquer dans la chair ce passage à autre chose, à une autre  vibration plus proche de celle de la source, plus élevée, plus tendre et plus sereine. Là aussi j’attendais d’y aller sous cet élan porté par l’amour, la joie, plutôt que de le faire par obligation, par peur, et même si je commençais à avoir la sensation de porter un casque, je ne voulais rien forcer. 
Il vaut mieux agir par amour que par contrainte, suivre l’élan du désir et ainsi cultiver la joie d’être, de vivre.

Je pense que l’habitude de parler aux aspects internes encore dans l’ombre, à l’enfant ou aux parts encore fortement influencées par les croyances, est en train de s’ancrer, de devenir une réalité de plus en plus présente. 
Mais mollo quand même là-haut (ciel-soi-âme-guides…) parce que c’est encore vertigineux ! Il n’y a aucune urgence ni de besoin de se précipiter, j’ai plutôt envie de goûter chaque pas vers l’inconnu/l’oublié, avec une intention curieuse, joyeuse, innocente et renouvelée. Contente de ne plus avoir la nausée mais de sentir la faim poindre son nez. C’est bon signe et ce langage du corps est aussi un guide. 
Pas besoin de suivre l’avis d’un nutritionniste, d’un médecin alternatif, d’un mouvement écolo, pas besoin de suivre une mode, un régime, puisque le meilleur médecin, le meilleur guide, le meilleur expert en matière de bien-être, c’est le corps physique lui-même. 
Des millénaires d’accumulation de milliards d’expériences dont il a su tirer des connaissances et le seul fait d’être en vie,  ne peuvent qu’amener à lui faire confiance. 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr  Photos privées ©Lydia Féliz