J’ai
envie de partager un peu de mon intimité
qui j’en suis certaine parlera à beaucoup de personnes qui sont en cette phase
délicate d’abandon des croyances, dans ce désir de rayonner la paix intérieure.Et surtout parce que je retrouve avec plaisir la joie d'écrire, de publier, partager.
Pour
commencer, je voudrais poser les bases de ma vision :
Le
corps mental, le corps émotionnel et le corps physique sont des émetteurs
récepteurs de lumière soit d’information. Selon ce qui est retenu, selon qu'on lutte, qu'on résiste à ce qui est, selon ce
auquel on accorde du crédit, selon ce qu’on veut, ou selon ce qui compte le
plus pour soi, notre vibration varie en fréquence et en intensité. L'énergie, le mouvement sont plus ou moins fluides aussi.
Lorsqu’on
veut lâcher les croyances et conditionnements parce qu’on a compris qu’ils nous
limitent et par-dessus tout qu’ils sont des hypothèses émanant de la conscience
et de l’inconscience collectives, hypothèse validées par l’ensemble, le mental
a tendance à paniquer, à s’interroger et à être confus.
Tout
naturellement, lorsqu’on sait que nous sommes amour lumière/conscience en
essence, et quand on constate que ces corps sont des outils de perception de
l’information, information traitée, analysée et restituée, selon les références
mentales, les croyances et les conditionnements, on comprend aussi qu’un
dialogue, une communication est possible avec chacun d’eux. Par le positionnement, l'écoute dépourvue d'à priori, l'ouverture, la transparence, comme dans la relation aux autres.
On
comprend aussi que cette équipe magnifique mise à notre disposition dans cette
incarnation est l’extension de notre être, le véhicule de ce voyage dans la
matière.Et que tout ceci, les corps, l'incarnation, les expériences sont initiés par l'amour, sont pur amour.
Je
vais prendre un exemple très récent qui se répète régulièrement et qui me donne
l’occasion de cultiver la paix, la connexion intérieure et d’en constater les
effets.
Mon
approche, c’est l‘écoute, l’accueil qui demande d’être convaincu que nous
sommes la conscience qui observe. Ou de savoir que nous sommes la conscience en
mouvement, c'est-à-dire l’âme incarnée. De mon point de vue, l’âme est le
mouvement de la conscience Une. C’est la nature de l’amour que de s’ouvrir,
d’aller vers l’autre, d’être sans jugement et pas sans discernement.
Lorsque
je laisse les pensées s‘exprimer librement, sans y accorder du crédit puisque
c’est l’expression de croyances et conditionnements qui n’entrent pas en
résonance avec ma vision de la vie, mes valeurs, je suis ouverte, prête à
recevoir mais sans attendre quoi que ce soit de particulier et encore moins de
spectaculaire.
Une pensée, une croyance, émanant d’une peur cachée ou
consciente se présente et c’est en accueillant l’émotion que l’équilibre et la
paix s’installent. Puis, seulement ensuite, un signe, une image symbolique ou une
idée apparaissent venant donner un sens plus profond à la pensée, la question
qui a suscité l’émotion. Cela correspond à mes plus grandes peurs et surtout
aux critiques, jugements projetés vers l’extérieur.
Puis l’image ou concept de
miroir apparait selon la loi de résonance et me ramène à l’intérieur.
Vis-à-vis
des chemtrails, beaucoup de colère, de tristesse, de révolte, se manifestent
légitimement pour l’humain que je suis aussi. Invariablement, ça me ramène à ma
façon de considérer la prise de médicaments, le fait de fumer des clopes ou de
l’herbe.
Je vois que c’est ma vision négative de moi-même qui émerge face à ces
comportements auto-destructeurs. Une part de moi se dit que c’est de la triche,
que ça n’est pas en bloquant les émotions que je peux évoluer, changer….toutes
les pensées et concepts négatifs émergent en même temps que les raisons
inconscientes qui maintiennent en place ces addictions.
Déjà, là, je ne vois
plus les choses de la même façon, je considère que ces addictions sont des
outils de compréhension, d’intégration de l’amour, de la lumière ou conscience
ou compréhension. La charge négative s’équilibre avec son contraire et des
images, des pensées apparaissent. L’idée de l’effet révélateur de la dualité,
l’effet miroir, qui se confirment, et avec cela, la notion d’interconnexion,
d’unité. Et enfin cela peut se manifester comme la phrase qui suit.
Mais je le
répète, c’est un processus de déconstruction, de lâcher prise, d’abandon de la
lutte, un processus progressif de prises de conscience et de confirmation de ma
vision de l’humain, des lois universelles. Ce n’est pas tout à fait une
croyance puisque le mental n’a pas ces références de façon claires. La mémoire
participe à cela dans le sens où cela valide les croyances relatives aux
énergies, aux lois de résonance mais je sais, je sens que c’est la vision
émanant du cœur ou de l’âme, de l’amour.
Une nouvelle perspective s’offre à
moi depuis ce point d'observation neutre :
« Le
giec est le catalyseur de toutes nos stratégies visant à repousser, à combattre
la peur. Ce qu’ils répandent est l’émanation des pensées négatives collectives,
ils sont le bras des égrégores, ou ceux qui mettent cela en forme ». « Ils
sont les exécuteurs à grande échelle de ce besoin de contrôle en chacun »
Une
façon de savoir que ça vient du cœur/conscience élargie, c’est le fait que certains éléments
n’entrent pas dans la logique du mental et par-dessus tout, ça n’est pas le
fruit d’un raisonnement, ça n’est pas non plus perçu de façon douloureuse.
Bien
sûr comme ça passe par des mots, le mental participe mais davantage selon sa
capacité à capter et à traduire l’info. La rapidité avec laquelle elle est
traitée est aussi un indicateur.
La
sensation qui l’accompagne en est aussi une confirmation puisqu’il n’y a plus
de jugement, cela ne fait pas émerger de colère, de tristesse, d’émotions.
C’est perçu comme une évidence qui ne vient pas heurter les croyances et qui
souvent laisse le mental sans voix, sans commentaires. Pourtant, c’est perçu
comme vrai du point de vue de la conscience qui observe objectivement et d’un
point de vue élargit tenant compte des lois universelles. Mais ça, je le
comprends après.
Puis
je considère tout ce que ce questionnement à révélé à l’intérieur, le fait
qu’il ait déclenché des réactions, réactions qui accueillies ont laissé la
place à une nouvelle conception des choses, une nouvelle vibration, une
nouvelle perspective.
Bref, je suis enseignée directement de l’intérieur. Sans
en faire non plus une vérité qu’il faudrait imposer aux autres puisqu’il s’agit
de comprendre par soi-même et aussi de savoir que chacun apprend par lui-même.
Pour mieux se connaitre, mieux s’aimer, mieux se comprendre, mieux comprendre
l’humain, les autres, l’intérieur et l’extérieur.
C’est
aussi cette phrase/vision qui m’a inspirée à écrire l’article au sujet de la
dualité. J’aime écrire de façon spontanée et quand je le fais, quelques temps
après, il y a une expérience qui me permet de valider ce que j’ai exprimé de
façon impulsive.
Là encore, cette forme d’écriture montre que ce sont plusieurs
aspects de soi qui participent à son élaboration, son émergence, cela vient du mental et de
l’âme qui se trouvent alors en cohérence. Il y a une reliance évidente, une
entente, entre l’aspect spontané et la raison, comme une résonance vibratoire
ou comme on dit, ces aspects internes "sont sur la même longueur d’onde". Le
mental reçoit et traduit en mots de façon simultanée.
Ce principe vient me
confirmer la fonction émetteur/récepteur du mental qui alors n’est plus
encombré par les croyances générées par le rejet de la peur. Ou dit autrement,
il s’exprime sans filtre, sans le filtre des croyances et conditionnements, ça
coule tout seul, ça va de soi. Est-ce que ça vient du fait qu’il a validé en
amont la grande partie de l’info, c’est certainement le cas.
Là encore, c’est
l’occasion de constater la façon dont le mental fonctionne, comment il intègre
de nouvelles infos, comment il les digère, les valide par l’expérience, l’état
d’être.
Et comme il le fait à partir d’une hypothèse, d’un postulat de départ,
une idée inspirée ou venue comme « tombée du ciel », cela se passe
donc dans un certain cadre de références mentales. D’où l’idée de la croyance
qui permet d’intégrer la lumière par palier, par prises de conscience
successives.
Et
comme il n’y a pas de hasard mais seulement des synchronicités relatives à la
nature même des énergies, de la fréquence vibratoire et des lois qui régissent
l’univers, je tombe sur le texte suivant qui vient confirmer et mettre en mot
ce que j’essaie d’expliquer ici. Merci Magali !
« Les sauts quantiques » Message du
collectif Miriadan
Pendant
votre évolution, vous entendez parler des sauts quantiques sans véritablement
saisir l'essence de cet événement intérieur, personnel.
Le
terme " saut quantique " vous paraît scientifique, très éloigné de
votre vie quotidienne. Pourtant, vous explorez les possibilités de votre
conscience chaque jour selon ce système d'évolution que vous connaissez sous
d'autres noms.
Si
je vous dis : " Eurêka ! ". Si je vous ramène à un moment de votre
vie où vous avez soudain ressenti une illumination, une compréhension
explosive, vous comprendrez alors le " saut quantique ". Car il
s'agit tout simplement de l'éclosion en vous d'une vérité qui est d'une
évidence criante, d'une justesse incomparable.
Lorsque
vous vivez cet instant, le temps s'arrête. Seuls demeurent votre conscience et
cette Vérité qui prend place dans tout votre corps. Et la Joie, la Paix qui
accompagnent cette ouverture. Vous venez de passer une porte. Sans retour. Sans
regret. Avec plénitude.
Le
saut quantique est vécu au niveau cellulaire comme une explosion
supra-atomique, un mouvement intra-nucléaire. Vous libérez une quantité
d'énergie qui redéfinit instantanément votre vie, votre positionnement. Vous
accueillez en vous à chaque fois l'Esprit Saint. A votre niveau.
Progressivement. Car si l'Esprit Saint venait à vous entier, vous vous
désintégreriez sous les vibrations éternelles de l'Amour.
C'est
pourquoi le saut quantique est un cadeau d'Amour de l'Un pour Vous.
Pour que
vous approchiez de votre Essence avec douceur, avec tendresse, graduellement.
Et surement. Et c'est ce à quoi vous vous préparez depuis votre incarnation.
Vous avez choisi de plonger dans l'océan quantique de votre Essence, de
caresser votre multi-dimensionnalité. De vous retourner vers Vous."
http://groupemiriadan.blogspot.com/
J’ai
mis le lien du blog mais ce message a été publié sur facebook. Je n’y vais plus
trop et là encore, le fait que je me sois sentie poussée à parcourir le fil d’actualité
à ce moment précis est pour moi, le signe de cet appel, guidance, résonance.
Plus on a d’amis sur ce réseau et plus le fil d’actualité est fourni ce qui
peut amener à y passer des heures, ça devient ingérable. Alors je suis l’élan
du moment. Et toc
C’est
évident qu’une idée ne vient pas de nulle part, elle "flotte dans l’air" et entre
en résonance avec les énergies, les personnes dont la vibration est équivalente.
La vibration
se compose autant de l’énergie de la pensée que de celle de l’âme, c’est une
harmonisation qui s’effectue par attraction autant entre les corps subtils de
l’individu qu’avec les pensées, énergies qui entrent en résonance.
Ceci dit
lorsqu’on reçoit une idée inspirée, je n’ai pas l’impression que l’émotionnel y
participe autrement qu'en tant que déclencheur. Il m’apparait plutôt que cela se perçoit, se reçoit, en l’absence d’émotion ou quand
l’équilibre interne est là. C’est à découvrir…ou à confirmer, à éclairer.
L’émotionnel est le récepteur d’infos sensorielles qui enseignent l’individu
sur son état intérieur, qui délivre des messages afin de libérer la mémoire
traumatique, de révéler ce qui est coincé, refoulé, cristallisé.
C’est aussi ce
qui nous permet d’entrer en résonance avec les autres par effet miroir dans le
même objectif de percevoir les messages internes, ceux qui alimentent les
croyances de façon énergétique. Ces mêmes croyances qui déclenchent des
automatismes, des réactions en chaine jusque dans le corps physique via la
chimie.
Pour qu’on puisse prendre conscience des effets de nos pensées, de nos
croyances sur notre état vibratoire mais aussi de nos actes envers les autres.
Ce que les tous petits apprennent en pinçant leur camarade par exemple ;
lorsque le pincé se mets à pleurer, le pinceur comprend sensoriellement où sont
ses limites puisqu’il pleure à son tour.
La
prise de conscience ne laisse pas de trace émotionnelle. Elle n’éveille pas de
peur, de jugements, de rejet. Elle apparait comme une vérité pour soi-même et
parfois universelle, une évidence, quelque chose qu’on ne conteste pas. Il y a
cependant un sentiment de paix, de clarté, de joie mais c’est très subtil, éphémère. On
voit alors que les émotions et les sentiments n’ont pas la même « origine » ni la même fonction mais que tout deux sont issus de la même source finalement.
C’est
toujours dans l’abandon de la lutte, du jugement, de l’accusation qu’on a
ses prises de conscience. Et ce processus demande de la transparence, la
reconnaissance et l’accueil de ce qui a été éveillé en soi.
On va intégrer peu
à peu l’idée que l’émotion positive ou négative est une messagère et donc qu’il n’y a plus lieu de
la juger, de la repousser, de s'y accrocher ou de s'en méfier.
Et il faudra vivre régulièrement ce processus d’accueil
pour intégrer concrètement cette idée.
Le résultat, c’est davantage de présence
à soi, de connaissance intime, de confiance en soi, et en la vie, de patience, de persévérance, d'envie d'explorer, de légèreté, la capacité de changer sa
vision, sa vibration, d’oser suivre l’inspiration, l’élan du moment.
Si je
parle d’élan, c’est qu’il s’agit d’un mouvement qui pousse à agir sans douter
de sa pertinence. La vie devient alors plus facile, plus douce parce qu’on n’a
plus autant besoin de choc émotionnel pour revenir à cette perspective.
…Une
heure plus tard, d’un seul coup, je réalise que je ne suis pas allée au bout de
mon raisonnement qui fait que les épandages aériens me ramènent à ma propre
façon de vouloir contrôler les émotions, via la chimie.
La vision change aussi à ce sujet, ce
qui était un problème est perçu comme un outil d’intégration de ces principes,
loi de résonance, effet miroir, retour à soi, à l’accueil…donc à davantage d’amour
en soi, de compassion pour ces aspects internes qui luttent, qui croient que les
émotions sont dangereuses, davantage d’amour vis-à-vis du mental qui continue
de croire qu’il doit contrôler, protéger…moins de critiques vis-à-vis des
jeunes ou moins jeunes, accrocs aux substances, idem vis à vis des élites.
L’idée que ce comportement
serait une forme de déni des souffrances, un manque d'authenticité devient la nécessité d’intégrer les
choses petit à petit. Ce qui modifie aussi la vision vis-à-vis de l’ego, des
stratégies de survie, de l’inconscient, de ces gardiens internes dont on perçoit l'intention "positive", tout l'amour qui est derrière. On y voit un équilibre bienveillant, un mouvement naturel entre l'intérieur et l'extérieur...
Et cela
entraine plus de capacité à sonder les profondeurs dont les objets sont perçus
comme des révélateurs, des occasions d’intégrer davantage d’amour, de lumière,
de conscience…
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de "chaque Un/Une".