"De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant
intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes.
Devenus adultes, nous oublions donc (ou
presque) notre individualité première, notre "Je suis". En observant
le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être
eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes
a lui aussi été profondément refoulé.
Ce refoulement de l'enfant intérieur
écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la
capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel
ainsi que le respect de soi.
En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...
L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est.
En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...
L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est.
Il
n'analyse pas ce qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il
est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il
admet son erreur sans se juger.
Lorsque
nous nous jugeons ou que nous nous critiquons, nous nous basons nécessairement
sur le passé, sur ce qui nous a déjà été appris.
C'est donc l'intellect, avec
sa capacité de se souvenir, qui nous mène et qui nous dirige.
Prenons comme
exemple, le temps des fêtes avec ses traditions et ses coutumes. Nous exigeons
d'eux de s'habiller, de se coiffer, de se comporter selon nos goûts et nos
croyances d'adulte. Nous leur achetons les cadeaux que nous aurions aimé
recevoir étant enfants et nous nous attendons à ce que nos enfants soient
reconnaissants. Si un enfant se rebiffe parce qu'il ne veut pas embrasser tous
ses oncles et tantes, nous le disputons, nous lui faisons la morale, nous
essayons par tous les moyens possibles de le faire changer d'idée.
Nous lui enseignons donc que lorsqu'il est spontané et qu'il est lui-même, il n'est pas correct et nous lui donnons l'impression de ne pas l'aimer autant.
Nous lui enseignons donc que lorsqu'il est spontané et qu'il est lui-même, il n'est pas correct et nous lui donnons l'impression de ne pas l'aimer autant.
Il
apprend que faire comme les autres veut dire être aimé davantage.
Si l'enfant
décide de croire à cela, voilà qu'une partie de lui est refoulée et cet enfant
risque de continuer à faire des pirouettes pour être aimé, tout au long de sa
vie d'adulte.
La vie devient très lourde lorsque nous laissons notre mental
(intellect) décider de notre comportement…
Nous devons constamment s'y référer avant de faire quoi que ce soit. Nous devenons alors, par choix, son prisonnier. Nous ne sommes plus maîtres de notre vie, puisque nous avons élu notre mental comme notre maître.
Nous devons constamment s'y référer avant de faire quoi que ce soit. Nous devenons alors, par choix, son prisonnier. Nous ne sommes plus maîtres de notre vie, puisque nous avons élu notre mental comme notre maître.
Si
parfois nous osons agir selon notre intuition, nos désirs, sans vérifier avec
le mental, et que cela s'avère être le contraire de ce que ce dernier croit,
nous nous sentons tout de suite coupable.
De là est engendré le besoin de se
punir et de souffrir car nous nous sommes déclarés coupable. Du même coup, nous
étouffons notre joie de vivre.
Plus nous nous accusons, plus nous nous
jugeons et plus il devient difficile de laisser notre créativité s'exprimer.
Être créatif ne veut pas nécessairement dire "inventer" quelque
chose, ça veut dire aussi savoir ce que nous voulons, décider de le faire
arriver dans notre vie et de passer à l'action.
Être créatif fait aussi partie
de vivre le moment présent.
Lorsque
nous répétons une action machinalement, nous le faisons sur du déjà appris;
ceci n'est donc pas être dans le moment présent.
C'est en créant que nous nous
sentons remplis de bonheur.
Par la suite, il n'y a plus ce sentiment de vide à
l'intérieur de nous, vide que nous devons combler absolument, peu importe
comment.
Quand nous nous laissons diriger plus jeunes, il devient difficile
d'avoir confiance en soi et d'oser passer à l'action sans avoir peur des
résultats à l'âge adulte. Nous oublions de voir tous les bienfaits à retirer
d'une expérience vécue même si le résultat ne s'avère pas ce que nous avions
anticipé.
Pour être créatifs sans être stressés, nous devons nous ouvrir à tous
les résultats possibles, tout en sachant qu'il n'y a pas d'erreurs, qu'il n'y a
que des expériences et que nous y apprenons toujours quelque chose de
bénéfique. C'est ainsi que nous développons la confiance en l'Univers.
Le jeune enfant (pas encore influencé par le monde des adultes) ne s'inquiète pas de son prochain repas ou du lendemain. Il est comme un oiseau qui veut apprendre le plus vite possible à voler de ses ailes afin de faire ses propres expériences.
Le jeune enfant (pas encore influencé par le monde des adultes) ne s'inquiète pas de son prochain repas ou du lendemain. Il est comme un oiseau qui veut apprendre le plus vite possible à voler de ses ailes afin de faire ses propres expériences.
Il n'analyse pas le comment ni le pourquoi. Il est spontané,
naturel.
Par après, l'enfant commence à analyser et à demander
"pourquoi" lorsqu'il devient plus conscient du monde mental des
adultes et de leur comportement peu naturel. Il est déconcerté; il cherche à
comprendre. Alors commencent les peurs en lui; il s'habitue lentement au
raisonnement des adultes; il oublie sa spontanéité et sa capacité de risquer
sans peurs.
Je sais qu'en lisant ces lignes, le mental de la plupart des lecteurs se révolte et dit: "Quel non sens! Nous ne pouvons pas laisser un enfant à lui-même. Nous devons le diriger. S'il n'a pas peur, il risquera n'importe quoi et il lui arrivera des accidents, ou d'autres malheurs !"
Je sais qu'en lisant ces lignes, le mental de la plupart des lecteurs se révolte et dit: "Quel non sens! Nous ne pouvons pas laisser un enfant à lui-même. Nous devons le diriger. S'il n'a pas peur, il risquera n'importe quoi et il lui arrivera des accidents, ou d'autres malheurs !"
Croyez-vous que
vos enfants sont des idiots ?
Qu'ils n'ont aucun instinct de survie ou aucune
intuition ?
Croyez-vous sincèrement que les accidents ne sont que pour les
personnes qui n'ont peur de rien, enfants ou adultes ?
Au contraire ce sont la
peur et la culpabilité qui causent le plus grand nombre d'accidents.
L'adulte
doit guider son enfant au meilleur de sa connaissance afin que cette âme qui
est revenue dans ce corps d'enfant ré-apprenne à vivre dans ce nouvel
environnement terrestre.
Guider ne veut pas dire diriger mais veut dire donner
des conseils, suggérer, enseigner par l'exemple, tout en respectant le choix de
l'enfant.
Si ce dernier choisit le contraire, ce choix lui appartient, il
apprendra ainsi que toute action a une conséquence et qu'il doit assumer les
conséquences de ses décisions.
Cet enfant deviendra un adulte responsable.
Tous les parents désirent avoir des enfants responsables mais la plupart font le contraire de ce qui est nécessaire pour arriver à ce résultat.
Ils
traitent leur enfant comme un idiot en voulant tout diriger pour lui, en ne lui
faisant pas confiance. Ils décident pour lui de l'heure des repas, de ce que
son corps a besoin de manger, de ses vêtements, de ses heures de sommeil, de
ses amis, de ses sorties, de ses études et même parfois du métier qu'il devra
exercer plus tard.
L'enfant grandit avec la croyance qu'il ne peut rien décider
par lui-même ou qu'il n'a pas la force nécessaire pour endosser les
conséquences de ses actes.
Nous devons, dès le jeune âge, enseigner à l'enfant ses droits d'enfant
ainsi que les droits des parents envers l'enfant. En réalité, aucun être humain
n'a de droit spécifique sur un autre. L'enfant ne doit pas croire que ses
parents sont responsables de son existence parce qu'ils l'ont mis au monde. Il
doit reconnaître que ce fut son choix de revenir s'incarner et qu'il n'est
qu'un "hôte" chez eux. Cependant, par la procréation, les parents
s'engagent à s'occuper de leur enfant jusqu'à ce que celui-ci puisse subvenir à
ses propres besoins. Si les parents veulent bien en faire plus, ce sera un
cadeau de plus pour lui.
Les parents n'ont pas de droits sur leur enfant non plus. Ils ne peuvent
exiger qu'il leur soit soumis simplement parce qu'ils sont ses parents. Il doit
y avoir un respect mutuel entre enfants et parents.
Par exemple: si un enfant
accomplit une tâche pour laquelle une autre personne aurait dû être
spécialement engagée s'il ne s'en était pas occupé lui-même, cette tâche
devient un travail utile pour tous et il devrait être rémunéré au même titre
qu'un autre l'aurait été. On lui enseigne ainsi que l'accomplissement d'un
travail ou d'une tâche lui donne des droits. En dehors de cela, dans sa vie
d'enfant ou d'adulte, il n'a aucun droit. Ce qu'il reçoit en surplus est un
cadeau.
Un autre exemple, durant le temps des fêtes ou lors d'un anniversaire, personne n'est obligé de faire un cadeau à une autre personne. Ce n'est pas un dû; c'est tout simplement devenu une coutume. Le parent n'est pas plus obligé de faire un cadeau à l'enfant que l'enfant au parent. L'enfant qui s'attend à recevoir des cadeaux, en croyant que ça lui est dû, sans penser lui aussi à en faire, aura de la difficulté, dans sa vie d'adulte à être en harmonie dans sa capacité de donner et de recevoir. Il deviendra un preneur.
Un autre aspect de l'enfant intérieur avec lequel nous devons reprendre contact est la capacité de s'exprimer. Le jeune enfant encore pur, crie, pleure, est pensif, sourit, rit de bon cœur, dit "non" ou "oui" selon ses besoins, enfin il est naturel.
Un autre exemple, durant le temps des fêtes ou lors d'un anniversaire, personne n'est obligé de faire un cadeau à une autre personne. Ce n'est pas un dû; c'est tout simplement devenu une coutume. Le parent n'est pas plus obligé de faire un cadeau à l'enfant que l'enfant au parent. L'enfant qui s'attend à recevoir des cadeaux, en croyant que ça lui est dû, sans penser lui aussi à en faire, aura de la difficulté, dans sa vie d'adulte à être en harmonie dans sa capacité de donner et de recevoir. Il deviendra un preneur.
Un autre aspect de l'enfant intérieur avec lequel nous devons reprendre contact est la capacité de s'exprimer. Le jeune enfant encore pur, crie, pleure, est pensif, sourit, rit de bon cœur, dit "non" ou "oui" selon ses besoins, enfin il est naturel.
Être naturel est un des aspects qui est le
plus étouffé, brimé, contrôlé par les adultes.
"Sois beau et
tais-toi." Voilà ce que l'enfant perçoit de ses parents très souvent.
Lorsqu'il pleure à un moment qui dérange un adulte, on fait tout pour l'arrêter
de pleurer, même au prix de lui faire du tort, en lui donnant une suce avec du
sucre, en lui donnant une bouteille de lait ou de la nourriture.
Lorsqu'il
grandit, on l'enferme dans sa chambre en le traitant d'insupportable.
Si le
bébé pleure malgré le fait que ses besoins physiques soient comblés, il serait
tellement plus bénéfique de lui enseigner de se donner le droit de pleurer et
que c'est son choix à lui.
Le parent qui sait qu'il a fait au meilleur de
lui-même pour son enfant n'a pas à se sentir coupable si l'enfant choisit de
pleurer. L'enfant apprendra à se laisser aller, à vivre sa peine et assumera sa
décision de pleurer. Il ressentira également qu'il est aimé pareil.
Autrement, on lui enseigne que lorsqu'il a de la peine, il n'a pas le droit de l'exprimer voire même de la ressentir. À la place, il doit soit boire ou manger ou encore se convaincre qu'il est insupportable, qu'il n'est pas correct d'avoir de la peine.
Autrement, on lui enseigne que lorsqu'il a de la peine, il n'a pas le droit de l'exprimer voire même de la ressentir. À la place, il doit soit boire ou manger ou encore se convaincre qu'il est insupportable, qu'il n'est pas correct d'avoir de la peine.
Même chose que lorsque l'enfant dit qu'il a peur, on
essaie de le convaincre qu'il n'a pas peur, que sa peur n'est pas bien fondée,
plutôt que de lui enseigner à accepter cette peur.
Quel monde merveilleux ce serait si tous les adultes pouvaient se sentir à
l'aise d'exprimer ce qu'ils sont, de se donner le droit de dire "non"
ou "oui" à eux-mêmes ou aux autres au lieu de faire le contraire de
ce qu'ils ressentent pour être "correct" ou "aimés" des
autres.
Si l'enfant pouvait donner son opinion ou avait le droit de dire qu'il n'est pas d'accord avec ses parents sans se faire clouer le bec ou se faire culpabiliser, il y apprendrait le respect.
L'enfant grandit en croyant que son
opinion, son idée, ne vaut pas grand chose, qu'il est même mieux de la taire
afin d'être aimé davantage.
Comment s'attendre à ce que l'enfant respecte ses
parents ou le monde des adultes en général ? Comment s'attendre, une fois devenu
adulte, que cette personne se respecte et s'aime pour ce qu'elle est ?
Au
contraire, cette personne développera plutôt plusieurs aspects d'une
personnalité qui vise à plaire aux autres et refoulera ainsi complètement sa
propre individualité.
Ainsi sont rassemblés peu à peu les éléments qui finissent par créer les problèmes de communication, de relation, de poids, les maladies, le stress, d'alcool, de drogue, etc.
Ainsi sont rassemblés peu à peu les éléments qui finissent par créer les problèmes de communication, de relation, de poids, les maladies, le stress, d'alcool, de drogue, etc.
Il est donc impératif, même urgent pour chacun de
nous, de se prendre en mains; de devenir conscient qu'en étouffant l'enfant en
nous, nous avons perdu une clé importante pour notre bonheur et que nous en
sommes le seul responsable.
C'est le résultat de notre réaction à l'éducation
reçue de nos parents et de nos éducateurs. Nous oublions qu'ils nous ont donné
ce qu'ils pouvaient, ce qu'ils savaient, ce qu'ils avaient eux-mêmes reçu de la
génération précédente.
Heureusement que maintenant avec l'ère du Verseau, nous sommes entourés d'aide afin de se prendre en main et de retourner au naturel de l'enfant plutôt que de rester dans le normal des adultes. Nos parents et éducateurs n'ont pas eu cette chance. Alors en faisant notre propre transformation, nous les aidons très souvent, sans le rechercher, à faire la leur.
N'attendez plus, décidez aujourd'hui même que vous pouvez reprendre contact avec l'enfant en vous et passez à l'action. Vous seul pouvez le faire ; aucune autre personne, encore moins la société, ne peut le faire pour vous! Reprenez contact avec votre puissance intérieure! Devenez conscient de votre belle lumière intérieure!
Lise Bourbeau http://www.ecoutetoncorps.com
Heureusement que maintenant avec l'ère du Verseau, nous sommes entourés d'aide afin de se prendre en main et de retourner au naturel de l'enfant plutôt que de rester dans le normal des adultes. Nos parents et éducateurs n'ont pas eu cette chance. Alors en faisant notre propre transformation, nous les aidons très souvent, sans le rechercher, à faire la leur.
N'attendez plus, décidez aujourd'hui même que vous pouvez reprendre contact avec l'enfant en vous et passez à l'action. Vous seul pouvez le faire ; aucune autre personne, encore moins la société, ne peut le faire pour vous! Reprenez contact avec votre puissance intérieure! Devenez conscient de votre belle lumière intérieure!
Lise Bourbeau http://www.ecoutetoncorps.com
J'avais publié cet article en 2013 et je suis tombée dessus, motivée par l'élan de l'instant.
A l'époque, j'avais eu du mal à comprendre ou même à accepter certains passages mais aujourd'hui, je suis totalement d'accord avec ce qu'elle dit.
C'est en se tournant vers l'enfant en soi, en accueillant dans l'amour lumière de la source, tout ce qu'il exprime et qu'on a refoulé, que la sagesse se révèle et que les blessures d'enfance guérissent. Mais en général, on fait tout pour étouffer sa voix, pour ne pas exprimer ce qu'on ressent dans l'instant, de peur d'être rejeté ou par honte.
On est tellement identifié à la souffrance, aux pensées et aux émotions, aux rôles de victime, de bourreau et de sauveur, qu'on ne sait plus qui on est.
En ce sens, se tourner vers l'enfant en soi, s'écouter, accueillir en son cœur ce qui émerge du passé, est un formidable outil de connaissance de soi, de tous les aspects qui forment l'être multidimensionnel.
Savoir reconnaitre les pensées émotions qui viennent du passé, de l'enfance, de l'adolescence, et les offrir à l'amour lumière en soi, permet de libérer les anciennes croyances, de guérir les blessures et d'être libre, souverain, de pouvoir réaliser ses rêves.
Plus on est conscient des voix qui s'expriment en soi et mieux on reconnait les rôles, les masques et en même temps, parmi toutes ces voix intérieures, celle de l'âme; de la sagesse et de l'amour, se révèle. L'être véritable, unifié, émerge enfin.
Mais c'est un processus qui demande de la pratique, de la maturation, de la patience, du courage, de la persévérance. Et c'est en cheminant qu'on acquiert la sagesse ou qu'on peut manifester l'essence de l'être dans nos gestes quotidiens, pas à pas.
Chaque expérience est une leçon de sagesse et l'enfant en nous connait nos aspirations réelles et profondes. Sa capacité de rêver, d'aimer, d'être vrai..., sont de précieux atouts dans la réalisation, l'accomplissement de soi...
Je remets les liens des vidéos où elle aborde le thème "L'Amour de soi":
Ce
sont des vidéos que j’ai crées en 2013, à partir d’extraits de conférence et comme ce
sont les premières, comme je ne maitrise pas bien le programme, c’est moyen
mais audible quand même.
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun.