J’ai
une belle énergie ce matin, une énergie qui vient de la paix et de l’unité
intérieures et des dernières mises à jour effectuées dans le face à face avec
soi-même. Et pourtant, le ciel est plombé d’un gris sombre à l’ouest mais j’ai
pris soin de me connecter à la source afin qu’elle illumine le plexus solaire,
que le soleil intérieur brille.
Ce soleil, c’est l’énergie de la joie qui
vient de cet alignement à l’amour lumière intérieur. La sensation de paix, que
tout est bien, qu’un nouveau jour commence, me donne envie de danser, de jouer
de la musique.
Le
fait que je sois plus active, moins scotchée sur l’ordi, favorise ce sentiment
de bien-être qui même s’il vient de l’intérieur, -du fait que je me laisse
moins impressionner par les émotions comme la peur puisque la paix demeure-, se
nourrit de l’action juste, équilibrée. L’action juste qui n’est pas réfléchie
mais qui émerge spontanément de cet état de paix intérieure. Pouvoir s’y ancrer
en toutes circonstances est essentiel, c’est le début de la maitrise et de la
liberté d’être.
Quand
on s’interroge à propos du divin, on s’imagine beaucoup de choses complexes, on
conceptualise alors que c’est dans le ressenti, l’ouverture et l’écoute
intérieure que tout se trouve.
On ne trouve pas le bonheur en obtenant le
succès, la gloire ou la richesse.
Même si cela découle d’un état d’être
intérieur puisque lorsqu’on est en paix, en confiance et dans la conscience de
ce que nous sommes en vérité, nous attirons tout ce qui est en résonance avec
la vibration de l’être véritable. Puis lorsque l'être véritable émerge, l'abondance, la richesse, sont naturellement présents, on le reconnait.
La paix, la joie, l’amour, la liberté d’être,
la plénitude, sont les fréquences associées de notre nature véritable et par conséquent lorsqu’on
s’éveille à soi, lorsqu’on s’ouvre à cette vibration divine, on est déjà comblé
à l'intérieur et on attire le meilleur, ou ce qui nous correspond le mieux.
Cet
homme et sa vie montrent ce qu’est la relation de confiance à la source
intérieure, à l’intuition et comment le fait de suivre son cœur mène à
l’épanouissement. Il est clair que c’est un chemin qui dans un premier temps isole
ou qui demande d’aller à l’intérieur. Cela demande de la présence, de la patience et de la persévérance, tout ce qui permet d'acquérir la force tranquille mais néanmoins puissante.
On est souvent seul lorsqu’on choisit de
s’écouter mais quelle joie, quelle paix et quel contentement on en tire ! A mesure qu'on découvre à quel point nous sommes complets, multiples, connectés en permanence à l'âme et à toute vie, le sentiment de solitude n'existe plus. Les voix internes discordantes s'entendent et s'associent pour le meilleur.
Le sentiment de complétude devient évidence et réalité tangible.
Cet
homme a écouté son cœur, son intuition, il s’est fié à la connexion et à la
sagesse innée, naturelle, qui se révèle dans l’observation consciente et l’ouverture.
Plutôt que de se positionner en victime, de se conformer aux convenances, de
chercher la reconnaissance extérieure, il a écouté l’âme qui est reliée à la
nature, à l’âme de la terre et à su s’en faire une alliée.
On voit encore que
la façon de considérer son environnement et de réagir à la vie, d’interagir
avec le vivant, détermine l’état d’être et la qualité de vie.
Il a utilisé les éléments, plutôt que de lutter contre eux. L'eau qui donne la vie tout comme les émotions qui lorsqu'elles sont accueillies dans l'amour et la lumière du cœur offrent leur richesse, leur potentiel. Il
a cherché à connaitre, à comprendre son environnement afin d’en tirer le
meilleur et ce qu’il a créé reflète de façon magnifique son état d’être intérieur.
Yacouba Sawadogo, l’homme qui a arrêté le désert. Copiez-collez le lien dans google https://www.youtube.com/watch?v=umpg8iC05IE
Lorsqu’on
parle de la loi d’attraction ou de résonance, pour que les gens aient envie de
s’y intéresser, à la façon du monde, on va en vanter les mérites en mettant de
côté un de ces principes qui est extrêmement révélateur et libérateur si on le
connait et quand on peut l’utiliser convenablement.
C’est le principe du miroir, le fait que l’autre
nous révèle à nous même, qu’il nous montre ce qui en nous a besoin d’être
pacifié, aimé, observé avec les yeux du cœur, de l’âme.
Le phénomène de répulsion est très révélateur s'il nous conduit au centre de l'être.
C’est en ce processus
qu’on peut ressentir intensément ou même subtilement la vibration de la source.
Mais que cette sensation soit subtile ou intense, ce qui est sûr c’est que le
mental comprend où est son repos, sa liberté, où se trouve la souveraineté.
La
simplicité et la profondeur sont aussi des qualités de l’être qui se révèlent
lorsque le désir de paix et d’unité intérieures deviennent l’objectif premier.
Il
est difficile pour le mental, l’ego, d’admettre cette loi du miroir puisque les
stratégies qu’il utilise pour ne pas souffrir des blessures du passé, visent
justement à projeter sur l’extérieur, tout malaise, toute émotion ou pensée
difficile.
Je
ne mets plus les liens actifs qui sont utilisés pour rediriger vers des sites
pornos la plupart du temps donc si vous voulez accéder à la vidéo,
copiez-collez le lien dans la barre de recherche google ou autre moteur de
recherche
« L’effet
miroir » par Elizabeth Pomarede
https://www.youtube.com/watch?v=owvPlPIGnbY
Son arme, c’est le jugement, l’accusation, la déresponsabilisation, la projection mentale mais c’est un comportement aliénant qui ne résout rien du tout et qui en plus éloigne de l’être véritable.
Les rôles du triangle de Karpman de victime, de bourreau et de
sauveur, engendrent de la souffrance et maintiennent dans l’enfermement mental,
les drames et la sensation de manque, d’injustice, d’insécurité, d’isolement, d’abandon
de perte.
C’est ce qu’ils sont sensés effacer mais ils ne font que renforcer
ces blessures internes qui ont besoin d’être éclairées et aimées véritablement.
En
ce sens, l’effet miroir est une formidable occasion de guérir, de libérer les croyances
adoptées dans l’enfance qui nous limitent et nous rendent malheureux.
Mais il
faut savoir utiliser ce miroir de façon appropriée.
La
première chose à faire, c’est de venir en soi, de ne plus s’occuper de ce qui a
éveillé la blessure, de ne plus s'occuper de la personne qui a mis le doigt sur la cicatrice ou la situation
qui nous a fait réagir.
Il
est naturel que l’ego cherche à argumenter, à avoir raison, à peser le pour et le contre, à chercher les torts...lorsqu’on est
identifié à la personne, aux blessures tellement vivaces qu’on a du mal à
lâcher les stratégies que le mental a élaborées pour nous préserver de la
souffrance.
C’est
un réflexe conditionné, inconscient, mais la lumière qui est en nous peut nous
révéler ce mécanisme. En observant nos pensées, en étant présent à son
ressenti, en revenant à la neutralité, à la vision du cœur, de l’âme, on va
pouvoir reconnaitre ces stratégies d’évitement, de refoulement ou d’accusation.
On va savoir que toute accusation, tout pensée émotion troublée nous invite à
nous intérioriser. C'est Le message primordial et essentiel, le sens premier des réactions.
Lorsqu’on
s’ouvre à la spiritualité par l’intellect en lisant des messages, en écoutant
des personnes qui témoignent de l’existence des mondes invisibles, qui parlent
du karma, des vies antérieures, on aborde les choses avec les mêmes croyances
et du point de vue de l’ego qui se croit en danger, séparé de la source.
On
utilise les mêmes stratégies, on aborde les choses, la vie, selon le point de
vue de la victime, du bourreau et du sauveur.
Lorsqu’on est identifié à un de
ces rôles, on l’est tout autant aux autres.
Quand on se croit victime, on sera
tour à tour, bourreau ou persécuteur puis sauveur. Quand on joue le
persécuteur, on sera aussi la victime et possiblement le sauveur.
Tous
ces rôles s’exercent d’abord à l’intérieur, ce sont des mécanismes de survie
que la vie et les autres nous montrent continuellement. Lorsqu’il y a douleur
et souffrance, on peut être sûr qu’une de nos blessures a été activée et que l’on
est identifié au rôle.
La
douleur fait partie de la condition humaine parce que le seul fait d’avoir un cœur
et un corps émotionnel nous fait réagir à ce qui se passe à l’extérieur.
Le
fait de se croire mortel lorsqu’on est identifié au corps physique et à l’ego,
lorsqu’on pense que la vie s’arrête une fois que le corps physique ne peut plus
se mouvoir, engendre de la douleur, de l’incompréhension et de la peur. On
souffre parce qu’on est identifié à l’aspect éphémère de l’être et parce qu’on s’attache
au personnage, à la vie, simplement par ignorance. Et c’est une opportunité de
savoir.
La
science révèle le caractère intelligent, autonome et immortel des cellules mais
ça ne peut pas non plus nous rassurer complètement ou nous donner la foi.
Lorsqu’on
appréhende la spiritualité par l’intellect seulement en essayant de comprendre
qui nous sommes, on va continuer de projeter nos peurs, nos croyances sur le
monde, sur les mondes éthériques. On va s’imaginer être manipulé par des
entités, par la loi de cause à effet et qu’on mérite de payer pour des erreurs
passées.
Tant
qu’on ne comprend pas, par l’expérience, la loi de résonance, tant que l’effet
miroir n’est pas compris et utilisé de la bonne façon, on va continuer de
souffrir et de se croire impuissant.
Les jeux de rôles nous permettent de
ressentir les conséquences de nos choix, non pas parce que nous somme mauvais
ou maudits mais pour que nous puissions comprendre, connaitre par l’expérience,
au travers de la chair, la valeur de la paix, de l’amour, l'essence même de ce que nous sommes.
Les
blessures d’enfance et les choix d’expérimentation de l’âme nous amènent à
prendre conscience de tout ce que nous sommes et de l’immense potentiel à notre
portée.
Lorsqu’on
se croit victime et quand on offre à la source intérieure toutes les pensées
émotions associées à ce rôle, une fois que le mental et l’émotionnel ont
exprimé les pensées émotions logées dans l’inconscient, la paix se révèle et en
même temps un sentiment de force, de grandeur, de puissance.
On
mesure alors la puissance de l’amour, de l’accueil, de l’offrande ou du fait de
confier à la source en soi tout ce qui nous dérange. C’est l’expérience vécue, ressentie
intérieurement, qui va révéler peu à peu ce que nous sommes véritablement en
essence.
Lorsque le mental accepte l’idée que ce qu’il perçoit au dehors et qu’il
juge, est l’expression du rejet de soi, d’une blessure, que c’est un mécanisme inconscient
de survie, il va essayer de corriger ce qu’il appelle "l’erreur".
Le mécanisme de
refoulement sera alors plus accentué parce qu’il essaiera de ne plus avoir de
pensée ni d’émotion négative.
Les méthodes d’auto-suggestion, de pensée
positive, de pardon même, peuvent maintenir en place le système de survie avec
plus de force que lorsqu’on n’est pas conscient de ces mécanismes. Ce sont des
techniques intellectuelles qui ne peuvent pas résoudre le mal-être ni mener au
bonheur si ça reste superficiel. C’est comme mettre un pansement sur une
fracture ouverte. On ne voit plus la plaie mais la douleur et l’infection
demeurent.
Le
réflexe de protection de l’ego, c’est de
projeter vers l’extérieur l’objet de la souffrance, la pensée, l’émotion, sous
forme de jugements, d’accusations, de critiques. C’est exactement ce qui se vit
à l’intérieur lorsqu’une pensée émotion difficile est refoulée, ignorée, niée ou rejetée.
Et c'est aussi le même processus lorsqu'on est attiré vers quelqu'un, on projette nos besoins, nos manques et nos frustrations en appelant ça de l'amour. mais c'est un autre aspect de l'effet miroir qui demande à être développé bien que le principe de guérison ou que la clarté viennent de la même façon.
En
observant la pensée dite négative, en laissant l’émotion s’exprimer, on va
sentir la paix qui vient juste après. Elle est subtile au départ tant que le
mental doute encore de la capacité du cœur, de l’amour lumière intérieurs, d’alchimiser,
d’harmoniser les énergies. Plus on va devenir conscient de cet espace
tranquille en soi, de cet état de paix qui résulte du lâcher prise et plus le
mental va se calmer. Il aura moins tendance à bloquer l’émotion ou à essayer de
raisonner, de se convaincre qu’il fait le bon choix en confiant tout à la
source.
On saura que la blessure n’est plus aussi intense, lorsque le mental
sera plus serein et confiant. On le saura aussi parce que la vie devient plus
facile, les drames n’existent plus. Lorsque quelque chose de difficile arrive,
on revient plus facilement à la paix du cœur. On ne supprime pas la douleur
mais elle est prise en charge à l’intérieur et nous révèle "ses secrets".
L’autre
éveille en moi quelque chose qui a besoin d’être considéré avec lucidité et
bienveillance.
Il ne s’agit pas d’être compatissant avec l’autre mais de
revenir tout d’abord en soi.
Et c’est seulement lorsque j’accueille sans
jugements tout ce qu’il a éveillé en moi, les pensées de victime, la peur d’être
manipulé, la peur de poser des limites, la confusion, le fait de ne pas savoir
comment réagir, le sentiment d’injustice ou lorsque je suis consciente que je joue un rôle, les pensées de culpabilité, les repproches…que la clarté vient et que l’action
juste émerge.
C’est
d’abord en soi qu’il faut aller et c’est à l’intérieur que l’action est à
poser.
Le simple retour au cœur, à la paix, à la neutralité, éveille la sagesse
interne, et déjà par le fait de sentir la paix, on sait qu’il n’y a rien à
faire vis-à-vis de l’autre.
Si notre survie n’est pas immédiatement en
question, la meilleure attitude vis-à-vis de l’autre, c’est le silence, la non
réaction.
Il ne s’agit pas non plus de sauter des étapes.
Le
mental ne peut pas se mettre "à la place de l’âme" et "décréter le pardon". C’est d’abord
en soi qu’il faut venir afin de changer sa vibration et ça ne se fait pas non
plus par la volonté de l’ego.
D’ailleurs, le pardon est encore une vision
humaine de la situation.
Il s’agit plutôt d’avoir de la compassion envers
soi-même, envers la réaction de colère, de rejet, de critique, d’accusation vis-à-vis
de l’autre. Non pas en se disant qu’on a eu tort ou raison mais en laissant la
source élever la vibration par l’alchimie ou le pouvoir de l’accueil, de l’acceptation
de soi.
Avoir
de la compassion pour les pensées émotions qu’on juge inappropriées lorsqu’on
veut vivre depuis l’espace du cœur ou selon l’idée qu’on se fait de la
spiritualité.
En ne se jugeant pas, en ne se faisant pas de reproches, la
vision va s’élargir parce que la paix du cœur va se révéler et s’établir.
On
pourra éventuellement comprendre avec le cœur que l’autre nous a permis de
voir, de libérer une croyance, de casser le réflexe inconscient de survie, d’intégrer
plus d’amour et de lumière, de conscience de ce que nous sommes en vérité.
On
passera de la volonté de pardonner à la conscience que tout est juste, que les
âmes travaillent ensembles.
Mais là encore, inutile de vouloir se substituer à
l’âme, de jouer les grands seigneurs, ou les grands sages capables de pardonner.
Inutile de dire à l’autre qu’on le remercie de nous avoir éveillé ou montré
quelque chose qui avait besoin de notre amour et de notre lumière, si cette
personne est identifiée au personnage et encore moins si elle est consciente d’être
une âme incarnée qui se veut spirituelle. On peut cependant dire à notre âme de remercier l'âme de la personne pour l'expérience vécue. On passe alors peu à peu de l'amertume à la gratitude, à mesure que la clarté revient, que l'amour agit en soi.
En même temps qu’on se libère des rôles et des masques, les
notions de mérite, de récompense, de pardon, de contrat d’âme, se transforment
en conscience d’être guidé en tous temps et sur le juste chemin.
La
perspective change totalement parce qu’alors l’autre est perçu comme un
partenaire de route au même titre que tout ce qui nous environne et l’équilibre
se crée dans la conscience que le parcours est intime, personnel et unique.
L’autre
me révèle autant à moi-même, que je le fais, dans cet effet miroir, par la loi
d’attraction et de répulsion. La notion d’égalité, d’équilibre est alors perçue
avec justesse parce qu’on sait que c’est à chacun de prendre en charge ses
propres réactions, blessures.
On oublie cet aspect essentiel dans la loi de
résonance où l’attraction est associée à celle de répulsion, dans le
contexte de la dualité. Les deux pôles sont susceptibles de nous ramener vers le centre, la non dualité.
On
se reconnait autant sinon plus, au travers de celui qui nous dérange que dans
une relation d’attraction selon des préférences ou des convictions communes.
On apprend plus dans
la différence que dans la ressemblance.
Les voyages le démontrent, le fait d’aller
vers l’inconnu ou en pays étranger nous révèle notre vraie personnalité. Celui
qui n’est pas comme moi, me place face à moi-même, me révèle des aspects encore
inconnus ou cachés de ce que je suis.
L’inconnu suscite les réactions, les
peurs profondes, originelles et en les observant depuis l’espace du cœur, elles
nous enseignent de vérités universelles.
Pour
en revenir à l’effet miroir et au fait de réagir en projetant sur l’autre ce qu’on
ne veut pas voir, sentir en soi, le mental peut comprendre ce phénomène d’attraction/répulsion
d’abord dans la sensation de paix.
C’est seulement après que la vision s’éclaire
et que l’élan juste apparait.
Puis la capacité du mental à observer et à
analyser est cultivée dans cette mise en retrait qui lui permet de reconnaitre
l’intuition, la voix de l’âme.
Il apprend à différencier les nombreuses voix
internes et à se fier à celle de l’amour.
Il ne juge plus les pensées de l’enfant
blessé auxquelles il ne s’identifie plus et comme il sait y voir les
aspirations de l’âme, il apprend à écouter avec les oreilles du cœur.
Il
est bon de positiver, mais tant que la vision de ce qui est n’est pas amenée à
la lumière de l’être, on reste dans la sélection, le contrôle. Focaliser l’attention,
la conscience sur le cœur, dans la paix permet de voir objectivement.
Dans
cette paix la vision, les pensées sont nécessairement et naturellement positives.
Chaque fois qu’on confie au cœur le soin de remette de la clarté, de l’ordre
dans nos pensées et nos émotions, on apprend quelque chose d’essentiel ;
le pouvoir de l’accueil.
Dans cette paix ressentie, on sait sans aucun doute
que la libération, la guérison et la souveraineté sont en "ce lieu", cet état d'être.
Cette communion régulière à l’être véritable, à la source, libère de tous
conditionnements, de tout enfermement, de tous rôles.
La
foi ou le ressenti en l’espace du cœur remplace les croyances qui sont devenues
obsolètes, naturellement, sans forcer, de façon réelle, authentique, en
profondeur.
On peut le constater dans l’effet miroir, dans ce que notre
environnement nous renvoie, dans ce que la vie nous donne à vivre.
L’effet miroir révèle tout autant l’être ou le
divin intérieur que la vraie personnalité et ses atouts, ses rêves. Il démontre
la loi de résonance, d’attraction/de répulsion et donc le potentiel créatif de
l’humain.
L’ancrage en la paix du cœur laisse émerger la lumière et l’amour que
nous sommes en vérité et en essence. Cette vibration qui se révèle et se
cultive dans l’offrande à l’amour lumière en soi, la confidence qui démontre la
reliance et la guidance permanente de l’âme et du soi.
Cette relation intime
nourrit tous les besoins essentiels et le mental apaisé n’a plus qu’à se
laisser porter, enseigner, illuminer, la personne se laisse alors Être.
Comme d'habitude, je livre tout ça en vrac mais c'est dans le feu de l'action bien que je prenne un peu plus de recul avec le temps, ce temps qui devient un allié...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr