1
09 Ce matin, je redouble d’énergie et de motivation. Le lâcher prise de ces
derniers jours semble avoir permis d’intégrer la fluidité énergétique en
ramenant tout au point de neutralité. L’envie de refaire du sport enfin
d’entretenir mon corps physique par amour pour cette vie et ce qu’elle peut
offrir de nouveau selon la perspective nouvelle, depuis cet espace serein du
cœur. Quand je parle de faire du sport, il ne s’agit pas de nourrir l’esprit de
compétition mais plutôt de redevenir pleinement vivante, de retrouver le goût
de l’action, du mouvement.
Ceci
dit, je laisse le désir monter et continue de suivre l’élan de l’instant
puisqu’il demeure encore quelques résistances internes. J’ai la sensation
d’avoir encore franchit un cap dans l’abandon des croyances et mieux encore que
le système de survie qui amène à réagir par rapport aux stimuli externes, ne se
déclenche plus aussi facilement.
La réaction émerge encore mais comme je ne la
nourris pas, l’harmonie s’installe en profondeur.
Pour le moment, le mental a
encore besoin de revenir à la paix du cœur mais ça commence à se faire sans son
intervention, sans que j’ai besoin de réaffirmer mes choix après de longs
raisonnements et même sans avoir besoin d'y penser.
De toute façon ça ne sont pas ces raisonnements qui libèrent des
jeux de rôles, c’est le désir affirmé, déterminé, de lâcher toute forme de lutte interne et
le positionnement dans l’espace neutre du cœur, qui réalise cette prouesse.
Vous
aurez remarqué que j’aime bien piocher au hasard des pensées, des clefs et ce
gif plus bas, reflète parfaitement mon état d’esprit du jour tout comme la vidéo de ce
mannequin chinois d’avant-garde.
Deshun Wang, mannequin octogénaire qui réalise ses
rêves d’enfant…et qui commence à s’y mettre à 60 ans…Je n’ai pas trouvé de
vidéo traduite en français mais c’est assez compréhensible. J’ajoute la version
en espagnol.
Deshun Wang un mensaje inspirador
L’idée de la vieillesse ne fait pas écho en
moi. Non pas que je me dise que c’est injuste puisque ça fait partie du cycle
de la vie mais je pense plutôt qu’on n’est pas obligé de suivre les croyances mondaines
ni de coller aux rôles imposés par la société.
La mode anti-vieux tout comme le
jeunisme sont des partis pris qui demandent à être équilibrés.
Il ne s’agit pas
de performer à mon sens mais de maintenir une relation d’amour sans conditions à
l’intérieur, entre tous les corps et les aspects de l’être.
De communier avec
les cellules, de s’imprégner d’énergie de vie et de la laisser circuler, de
l’idée à sa réalisation dans la matière. Enfin de devenir plus conscient de ce que je suis en totalité.
Et par rapport à la libération des
dépendances, déjà en apprenant à stabiliser les énergies complémentaires par
l’accueil des pensées émotions polarisées et à continuer de maintenir la paix
et l’harmonie intérieures de nouvelles façon d’être, d’agir, apparaissent
naturellement, sans forcer. Parce que pour le moment ça n’est pas encore
totalement fluide bien que ce soit nettement mieux qu’avant.
Reprendre sa vie
en main selon la guidance interne dans un juste équilibre, par le maintien de
l’unité des corps, voilà qui me parle complètement. En lâchant les jugements, et
même ce mode de fonctionnement et au lieu de réagir, laisser le cœur
neutraliser la vision, harmoniser les énergies, c’est une toute autre
perspective qui s’ouvre.
Même
si pour le moment je n’ai que quelques impressions quant au potentiel qui est
le mien et donc pas nécessairement de vision quant à la forme que ça prendra,
la vibration qui me porte dorénavant suffit à me donner l’envie de poursuivre
en ce sens. D’être à l’écoute des corps, de l’élan qui émerge naturellement afin
de pouvoir suivre la guidance et de saisir les opportunités qui se présentent.
Toute la phase passée
consistait à repérer le mode de communication des différents corps liés à l'incarnation terrestre, à pacifier
l’ensemble, à reconnaitre la guidance et maintenant c’est celle du passage à
l’action. Pas besoin de faire des stages de développement personnel, de
marketing, de remise en forme ou de découverte de ses talents, juste rester
ouverte, réceptive et agir en conséquence.
La confiance est essentielle et
comme elle ne se base pas uniquement sur la personnalité mais sur cette
relation interne avec la source, il n’y a pas de crainte d’être dans l’excès,
l’orgueil ou l’erreur.
Depuis
quelques jours, l’idée de ressortir le vélo émerge de plus en plus souvent et
elle vient d’abord comme une solution
pour gérer le trop plein d’énergie. J’ai changé mon alimentation cet été, sans
forcer, simplement parce que le jardin est généreux et le fait de le cultiver est aussi motivé par le désir d’être
autonome à tous les niveaux, de manger ce que la terre me donne. Ce changement d'alimentation est une façon
d’honorer mes choix. D’honorer l’incarnation, mon corps physique, en bref, c’est
une histoire d’amour et non de contrainte.
Je
n’ai pas eu envie de manger de la viande sans que ce soit guidé par la peur ou
le sentiment d’injustice vis-à-vis de la nature. Là encore, ça n’est qu’en
lâchant l’énergie, les rôles de victime, de bourreau et de sauveur que la
vision peut changer.
Accepter les
conditions de l’incarnation telles que la nature, la source l’ont voulu, permet
de lâcher le sentiment d’injustice face à la façon dont elle est organisée, et la chaine alimentaire et alors perçu comme un équilibre nécessaire.
La
façon dont le monde animal s’auto régule correspond à ce règne et en tant
qu’humain nous ne sommes pas sensés gérer notre vie par ce système de
prédation.
Nous sommes dotés d’une conscience qui nous permet de voir comment
nous sommes faits et de choisir comment nous voulons être intérieurement et
avec les autres.
Les animaux répondent à la mesure de leur potentiel et de leur
conscience.
Ils sont des exemples dans la capacité à se relier à la terre, à la
conscience groupe, ou Une et ils ne conceptualisent pas la mort comme nous le
faisons. Leur capacité à être vrai et spontané, à être eux-mêmes, à utiliser
100% de leur potentiel, à accepter leur condition animale, est un exemple à
suivre ou du moins à adapter à ce que nous sommes en tant qu’humains.
Reconnaitre notre propre place parmi les règnes et la responsabilité que nous
avons de vivre selon nos aspirations profondes, dans la pleine mesure de notre
potentiel suffit à agir dans le respect de toute vie.
Lorsqu’on
cesse de lutter contre l’aspect animal de l’humain qui comprend tant l’instinct
de survie parfois salvateur, qu’une grande part de l’intuition, du système
émotionnel, que des énergies brutes à notre disposition, on retrouve le plein
potentiel de l’humain divin conscient de tout ce qu’il est. On n’est pas obligé
de nourrir la souffrance animale et pour ça il suffit de devenir responsable en
tant que consommateur puis de se souvenir que la mort n’est qu’un passage et
que tout acte accomplit dans le respect valorise tout autant la personne que
l’autre, quel qu’il soit.
Nous
ne sommes pas obligés de vivre de façon inconsciente en nourrissant l’esprit de
compétition, les manipulations et la domination.
L’humain a le pouvoir de
choisir d’agir dans le respect, l’amour ou la peur. De choisir en conscience et en connaissance de cause, la paix, l'unité et l'harmonie, de s'élever au delà de la dualité conflictuelle.
Mais là encore, ça n’est
pas le mental qui peut créer l’équilibre interne qui peut réunir les aspects de
l’être et mettre de l’ordre entre tous ces corps si différents mais
parfaitement complémentaires.
Seule la vibration de la Source Une, la connexion
en conscience au ciel et à la terre et le désir maintenu de vivre dans la paix,
‘l’unité et l’harmonie amènent à le vivre naturellement.
L’humanité à toujours
opposé les aspects de l’être et les énergies qui le traversaient ont été gérées
dans le conflit, le refoulement et c’est cela qui crée les comportements dominants,
prédateurs, pervers.
On ne peut pas gérer sa vie de façon harmonieuse en
occultant des aspects de soi ou en refoulant ce côté animal parce que dès qu’il
y a rejet, séparation, la vibration qui domine est celle de la lutte.
Les
différents corps et aspects de l’être ne peuvent être sublimés ou au meilleur
de leur potentiel qu’en vivant dans la paix et le respect mutuel, en bonne
intelligence et il est clair que cette intelligence capable de réaliser
l’unité, ne peut pas être de ce monde.
Du moins ça ne peut pas être gérer par
un seul des aspects de l’être. L’ego a tenté de diriger l’humain dans
l’illusion de la séparation et il arrive à la limite de l’auto destruction, de
la destruction de la planète.
Seule la conscience qui se situe au-delà des
conflits, des partis pris, qui n’est pas impliquée dans les jeux de rôles, peut
avoir un regard neutre et suffisamment clair.
La
hiérarchie réalisée en force par la personnalité n’est pas juste, seule la
source peut rétablir l’ordre et l’équité intérieurs. Et l’amour sans conditions
en est la substance, la vibration qui rétablit l’équilibre.
C’est
ce sur quoi je suis tombée en cliquant sur l’image gif ce matin...que j'ai dû retirer parce que ça ne fonctionne pas sur le blog :
« Instant
Je
me fais plaisir, je n’ai pas à le mériter, juste à le vivre. Je n’ai pas à tout
gérer, je peux faire confiance et être bienveillant envers moi ». Ozalee
C’est
une belle résonance à prendre comme une invitation de la source comme tous les
conseils qu’on trouve au hasard, enfin par synchronicité. Une affirmation que
la vie va nous donner l’occasion de vérifier en l’appliquant. La pensée du jour de Neale Donald Walsch nourrit la confiance en la source:
"En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite
que vous sachiez …
qu’il y a encore bien plus à la source.
qu’il y a encore bien plus à la source.
C’est un enseignement clé, un message de la plus
haute importance.
La bonté de l’Univers n’est pas limitée. Lorsque quelque chose
« semble l’être », ne vous inquiétez pas. Cela, ou quelque chose
de mieux encore, est en chemin.
La bonté de l’Univers n’est pas limitée. Lorsque quelque chose
« semble l’être », ne vous inquiétez pas. Cela, ou quelque chose
de mieux encore, est en chemin.
La suffisance est l’ordre naturel des choses. Les
bonnes choses
ne tarissent jamais, bien qu’elles puissent changer de forme.
ne tarissent jamais, bien qu’elles puissent changer de forme.
Vous avez bien compris la dernière phrase ?
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale
Neale
Pensée
du jour de Neale Donald Walsch traduite par Jean Philippe du site : http://www.conversations-avec-dieu.fr/
Je
reviens du jardin où j’ai fait un peu de nettoyage en plus de l’arrosage et de
la cueillette quotidienne. J’aime quand je me sens portée par l’enthousiasme
sans avoir rien prémédité. Du coup, j’ai préparé le terrain afin de pouvoir
repiquer et semer des légumes pour cet hiver.
Je prends goût à cet autonomie
alimentaire et je ne suis pas la seule puisqu’un nombre croissant de villes ont
pris cette initiative. Cet article (cliquez sur le lien) trouvé sur le fil
d’actualité de facebook est venu nourrir mon désir de persévérer en ce sens.
Plutôt que de me plaindre de la société de consommation, du gaspillage, de
l’élevage intensif, de l’industrie alimentaire, je préfère agir à mon niveau.
On pense que c’est difficile, que ça demande beaucoup de travail de cultiver un jardin mais si on
agit en conscience en se laissant guider, si on choisit ses priorités, ce temps
passé au jardin est sublimé parce qu’on y trouve une multitude d’activités
diverses qui nourrissent l’ensemble des corps et des besoins essentiels.
C’est vrai que je passe aussi beaucoup
de temps à préparer les repas, de la cueillette à l’assiette prête à consommer
mais déjà j’ai tout mon temps, et c’est un luxe si on peut dire.
Tout est
question de perspective et de choix. Puis je ne crains plus d’être débordée si
je suis appelée à aller travailler pour l’association « agir
ensemble » parce que plus je suis active et plus j’ai d’énergie.
En plus
le nom de cette association est très symbolique parce qu’il pose les choses,
l’état d’esprit dans lequel je suis et ma nouvelle façon de concevoir le travail comme
une forme de contribution au bien-être de l’ensemble. Une façon de devenir plus
autonome en mettant mes talents et mon temps au service de la communauté.
Je
n’ai pas toujours envisagé les choses de cette façon mais en offrant à la
source toutes les pensées émotions négatives qui émergeaient quand je pensais
au travail, au fait de devoir faire du ménage ou de l’entretien de jardin pour d'autres, peu
à peu ma vision a changé.
Déjà ce fut l’occasion de libérer les croyances de
l’enfance, de l’adolescence puis de voir les choses d’une façon plus neutre
et juste. Travailler pour se nourrir et
avoir une bonne estime de soi n’était pas suffisant pour moi d’autant plus que je ne
voyais que les injustices sociales et le statut d’assisté correspondait au rôle
de victime auquel je m’identifiais. Ce choix était aussi judicieux puisqu'il m'a permis de me connaitre intimement et de guérir, de libérer le passé. Les rôles ont leur sens, leur intérêt mais quand on devient plus conscient de sa nature véritable et responsable de ses mondes intérieurs, ils ne sont plus utiles.
Oui la société est injuste, il y a des
manipulations à tous les niveaux, de l’hypocrisie, des jeux de pouvoirs, mais en
étant en paix avec soi-même, en regardant les choses depuis le cœur, de façon
objective, on peut se situer avec justesse.
En
commençant par s’identifier à la source intérieure, toutes les croyances
nourries par le collectif ne sont plus perçues comme des vérités absolues et
dans la maitrise de ses mondes intérieurs la puissance de l’être véritable
émerge peu à peu.
La
forme n’a plus autant d’importance quand on sait qui on est en essence.
Ensuite, en ayant une vision neutre, je peux constater que j’ai encore besoin
de m’affirmer dans la relation aux autres et au niveau du travail.
C’est une
situation où les jeux de pouvoir sont courants mais dans cet amour sans
conditions de soi et la confidence envers la source, je vais pouvoir aborder
les choses d’une nouvelle façon. Appliquer ce que je vis à l'intérieur dans la relation aux autres.
Le fait d’apprendre à être vrai avec moi-même
puis avec mon entourage, en agissant sans masques, sans filtres et dans le respect
de soi, de toute vie, est une formation idéale pour aborder le monde du travail
sereinement.
Je vais pouvoir mesurer mes capacités, apprendre l’équilibre entre
le don et la réception, savoir poser des limites tout en donnant le meilleur de
moi-même. Quand on connait sa valeur intérieure, on ne cherche plus à
plaire, à se valoriser en donnant le
maximum. Quand je parle de valeur elle est intimement liée à la connaissance intime de soi, de cette source intérieure qui m'anime, de cette essence qui s'incarne en toute vie.
Donner le meilleur de soi-même sans calcul, sans attente, juste par
amour pour soi en étant dans le juste milieu n’a rien à voir avec une attitude
forcée où l’on agit pour être reconnu, aimé, validé. Où les réactions des autres définissent
qui nous sommes.
Poser des limites à mon sens, c’est pouvoir dire ‘oui’ et
‘non’ de façon déterminée sans y ajouter de ‘mais’ ou de ‘peut-être’.
Ceci dit,
la vie réserve biens des surprises et il se peut que je sois amenée à faire
autre chose mais déjà, je note que l’idée de faire du ménage ne me stress plus
comme avant.
Le conseil que je viens de piocher dans la boite de Lulumineuse à
l’instant me fait sourire parce que c’est la deuxième fois que je reçois cette
invitation.
"Nous
vous invitons à vous faire plaisir aujourd'hui"
-- Lulumineuse
Déjà
au jardin au moment où je me suis dit que j’avais ma dose pour la journée, j’ai
regardé l’heure sur mon portable et comme 11h11 s’affichait, j’ai salué "les
anges" en me disant que cette envie de pause était bien inspirée.
C’est vrai que
très souvent, je ne fais pas attention aux envies de jouer ou de se faire
plaisir mais ça change parce que ma vision s’adapte à celle du cœur.
Le plaisir
tout comme le désir sont des notions essentielles, c'est l'expression de la source de vie en soi, et j’ai laissé les cachets
gérer cela.
La science et les gens, moi y compris ont cru et croit encore qu’une
pilule peut répondre à tous les besoins de l’humain mais c’est clair que c’est
un leurre.
La complexité de la constitution de l’humain et aussi ce qui
démontre que nous sommes créés entiers, complets et que nous disposons de tout
ce qui est nécessaire pour répondre aux besoins essentiels.
La maitrise
énergétique permet la libre circulation et de l’alignement des corps résulte la
matérialisation de l’idée.
Du désir qui nait, de l’énergie qui monte de la
terre, rejoint celle qui descend du ciel, et ces deux forces qui s'harmonisent au centre de l’être, amène le geste
spontané. Ainsi, la boucle est bouclée, la joie de créer est complète.
C’est tous le parcours des énergies, leur
rencontre harmonieuse, leur association amoureuse, intelligente, et ce qui en résulte, qui amène la joie.
La joie de créer, d’être, la
joie qui s’exprime lorsqu’on agit de façon spontanée et authentique, dans
l’unité et la paix intérieure.
Elle s’auto-alimente dans cette libre
circulation.
Quand on peut contempler cela, on sait comment créer en
conscience, comment nourrir l’ensemble des corps, des besoins essentiels. Hier,
c’était un jour de gestation et aujourd’hui d’action.
Je
suis allée m’allonger pour aligner les corps et j’ai ressenti à nouveau le
besoin d’ancrer profondément cet engagement à agir dans la paix et la
neutralité du cœur. En fait, il semble que l'action requise était la maitrise énergétique, avant toutes choses.
J’ai été surprise de constater que je respirais
profondément au niveau du ventre et les images de couleurs harmonisées qui sont apparues
sur l’écran de mon mental étaient magnifiques. Le calme du mental m’a aussi
épatée et la présence, l’âme ou la source guidait ce moment de connexion intime
et profonde.
C’est indescriptible comme toujours mais c’était très relaxant et
même planant parce qu’il est clair que la conscience n’était plus tout à fait sur
ce monde.
Avec du recul je constate que la puissance des rayons, la perception
d’autres état de conscience, sont devenus ma réalité. Là encore je ne sais pas
comment l’exprimer mais ça semble être maintenant bien au-delà de simples
croyances malgré que ce soit inexplicable puisque c’est de l’ordre du ressenti,
de l’impression et de la vision intérieure.
2
09 L’ambiance est calme ce matin et je suis assez contente d’avoir utilisé la
méditation, l’ancrage vertical entre ciel et terre, hier soir alors que les
cachets ne faisaient plus effet et que la paix était troublée par des pensées
de jugement.
Je
vérifie de cette façon la puissance de la focalisation et maintenant de la
création consciente de l’état d’être.
Je commence à visualiser de façon
spontanée la connexion au ciel et à la terre et le désir d’unité comme si j’étais
guidée à le faire. Enfin "je reçois des images". Une belle spirale montante, dorée et blanche, entourant la colonne de lumière qui relie le ciel et la terre en moi, est apparue hier soir sur
l’écran du mental ou peut-être en mon 3ème œil, je ne cherche pas à
savoir dans le détail et j’évite de coller des étiquettes.
J’essaie de trouver
les mots justes pour exprimer ce qui semble être une ouverture aux dons ou
talents des corps subtils.
Je n’ai pas envie d’enfermer ce que je vis dans des
cases ou de trouver un sens qui corresponde aux anciens enseignements des
chakras ou aux nouvelles techniques « new age » parce que ça reste
des expériences intimes et vivantes. Puis l'humain divin est en perpétuelle évolution puisque l'énergie est vivante, mouvante et expansive.
Si j’en parle ici c’est pour décrire ce
qui se passe lorsqu’on ouvre son cœur, lorsqu’on désire ardemment vivre dans la
paix, la neutralité et l’unité intérieure.
L’expansion de cœur et de conscience
qui en résulte ouvre effectivement l’horizon et en intégrant l’invisible dans
sa réalité quotidienne on dispose d’outils de création ou de gestion de ses
mondes intérieurs.
Je ne cherche pas non plus à savoir si ces aptitudes
viennent de vies antérieures ou simultanées parce que ça se passe aujourd’hui,
maintenant, en cette vie, en ce corps, en ces corps unifiés ou tout au moins en
phase de l’être continuellement.
Puis je veux découvrir cela de l’intérieur,
selon la guidance interne, le désir manifesté spontanément, ce désir de paix
qui ouvre sur les mondes dimensions de l’être plus subtiles et que je pourrais peut-être
qualifier de cosmiques ou encore universels.
J’avais demandé à mon âme de me
dire "à quoi elle ressemble", de m’enseigner au sujet des corps subtils, multidimensionnels et
les réponses commencent à se préciser.
Je n’ose pas encore utiliser les rayons
sacrés tel que le décrit Joéliah parce que je sens que la façon de le faire est
personnelle tout comme la connexion à l’âme est intime et de cette façon révèle
sa présence, son essence.
Puis j’aime quand ça vient spontanément quand l’idée
est inspirée et non réfléchie. Quand la volonté émerge du cœur, des profondeurs plutôt que du raisonnement, du calcul.
J’aime apprendre sur le terrain, en ouvrant mon cœur
et mon esprit à la nouveauté, à la découverte plutôt que de suivre un mode d’emploi
élaboré par d’autres. Après tout c'est à ce niveau qu'on s'individualise, dans la façon d'exprimer, de manifester la source.
A mon sens c’est en expérimentant ce contact aux mondes
intérieurs subtils qu’on apprend la maitrise ou l’utilisation des énergies, de
la vibration, et bien évidemment qu’on se connait encore mieux et qu’on peut
faire confiance à tous ce que nous sommes.
"Apparemment", nous sommes immenses !
Et ce contact peut d’établir par le dialogue mais le souci, c’est que ça passe
par le mental et tant que ce filtre n’est pas épuré totalement, apaisé et
maintenu dans la neutralité, le risque de mal interpréter les choses est encore
trop important. En ce sens, développer le ressenti, l’attention par la
connexion consciente silencieuse m’apparait comme le meilleur moyen de pénétrer
ces mondes.
La parole initie le contact et les réponses sont reçues de mil et une façon que chacun doit apprendre à reconnaitre. C'est en cela que le contact s'établit, en cette ouverture, ce pas vers les aspects multidimensionnels et l'attention à ses mondes intérieurs.
"Une
nouvelle phase se joue pour toi, tu as juste à être sans chercher à comprendre
toutes les données qui s’imprègnent en toi"
-- Lulumineuse
Je
viens de piocher cette affirmation à l’instant et c’est exactement ce que je
ressens !
Cela confirme mon intuition quant à la façon de considérer ce
que je perçois au niveau intérieur tout en permettant au mental de se détendre
totalement.
J’ai aussi vu de superbe association de couleurs en mouvement hier
pendant ma ‘méditation’, du turquoise entouré de jaune orangé sur un fond noir
étoilé, illustrant la beauté des contrastes.
Le besoin d’évasion, de voyager,
de rêver, de visiter d’autres dimensions qui a généré l’attachement aux drogues,
est nourrit dans ces moments d’introspection et d’ouverture aux mondes subtils.
Le mental se saisit de l’info et ça pèse considérablement dans la balance !
Mais je ne le laisse pas spéculer sur ce qui est perçu, je continue de faire
confiance, d’être attentive à maintenir la paix, l’unité et l’harmonie intérieures.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr