vendredi 2 septembre 2016

« La vision au-delà de la dualité conflictuelle »





1 09 Ce matin, je redouble d’énergie et de motivation. Le lâcher prise de ces derniers jours semble avoir permis d’intégrer la fluidité énergétique en ramenant tout au point de neutralité. L’envie de refaire du sport enfin d’entretenir mon corps physique par amour pour cette vie et ce qu’elle peut offrir de nouveau selon la perspective nouvelle, depuis cet espace serein du cœur. Quand je parle de faire du sport, il ne s’agit pas de nourrir l’esprit de compétition mais plutôt de redevenir pleinement vivante, de retrouver le goût de l’action, du mouvement.
Ceci dit, je laisse le désir monter et continue de suivre l’élan de l’instant puisqu’il demeure encore quelques résistances internes. J’ai la sensation d’avoir encore franchit un cap dans l’abandon des croyances et mieux encore que le système de survie qui amène à réagir par rapport aux stimuli externes, ne se déclenche plus aussi facilement. 
La réaction émerge encore mais comme je ne la nourris pas, l’harmonie s’installe en profondeur. 
Pour le moment, le mental a encore besoin de revenir à la paix du cœur mais ça commence à se faire sans son intervention, sans que j’ai besoin de réaffirmer mes choix après de longs raisonnements et même sans avoir besoin d'y penser. 

De toute façon ça ne sont pas ces raisonnements qui libèrent des jeux de rôles, c’est le désir affirmé, déterminé, de lâcher toute forme de lutte interne et le positionnement dans l’espace neutre du cœur, qui réalise cette prouesse.

Vous aurez remarqué que j’aime bien piocher au hasard des pensées, des clefs et ce gif plus bas, reflète parfaitement mon état d’esprit du jour tout comme la vidéo de ce mannequin chinois d’avant-garde.


Deshun Wang, mannequin octogénaire qui réalise ses rêves d’enfant…et qui commence à s’y mettre à 60 ans…Je n’ai pas trouvé de vidéo traduite en français mais c’est assez compréhensible. J’ajoute la version en espagnol.  


Deshun Wang un mensaje inspirador





L’idée de la vieillesse ne fait pas écho en moi. Non pas que je me dise que c’est injuste puisque ça fait partie du cycle de la vie mais je pense plutôt qu’on n’est pas obligé de suivre les croyances mondaines ni de coller aux rôles imposés par la société. 
La mode anti-vieux tout comme le jeunisme sont des partis pris qui demandent à être équilibrés. 
Il ne s’agit pas de performer à mon sens mais de maintenir une relation d’amour sans conditions à l’intérieur, entre tous les corps et les aspects de l’être. 
De communier avec les cellules, de s’imprégner d’énergie de vie et de la laisser circuler, de l’idée à sa réalisation dans la matière. Enfin de devenir plus conscient de ce que je suis en totalité.
Et par rapport à la libération des dépendances, déjà en apprenant à stabiliser les énergies complémentaires par l’accueil des pensées émotions polarisées et à continuer de maintenir la paix et l’harmonie intérieures de nouvelles façon d’être, d’agir, apparaissent naturellement, sans forcer. Parce que pour le moment ça n’est pas encore totalement fluide bien que ce soit nettement mieux qu’avant. 

Reprendre sa vie en main selon la guidance interne dans un juste équilibre, par le maintien de l’unité des corps, voilà qui me parle complètement. En lâchant les jugements, et même ce mode de fonctionnement et au lieu de réagir, laisser le cœur neutraliser la vision, harmoniser les énergies, c’est une toute autre perspective qui s’ouvre.

Même si pour le moment je n’ai que quelques impressions quant au potentiel qui est le mien et donc pas nécessairement de vision quant à la forme que ça prendra, la vibration qui me porte dorénavant suffit à me donner l’envie de poursuivre en ce sens. D’être à l’écoute des corps, de l’élan qui émerge naturellement afin de pouvoir suivre la guidance et de saisir les opportunités qui se présentent. 

Toute la phase passée consistait à repérer le mode de communication des différents corps liés à l'incarnation terrestre, à pacifier l’ensemble, à reconnaitre la guidance et maintenant c’est celle du passage à l’action. Pas besoin de faire des stages de développement personnel, de marketing, de remise en forme ou de découverte de ses talents, juste rester ouverte, réceptive et agir en conséquence. 

La confiance est essentielle et comme elle ne se base pas uniquement sur la personnalité mais sur cette relation interne avec la source, il n’y a pas de crainte d’être dans l’excès, l’orgueil ou l’erreur.

Depuis quelques jours, l’idée de ressortir le vélo émerge de plus en plus souvent et elle vient  d’abord comme une solution pour gérer le trop plein d’énergie. J’ai changé mon alimentation cet été, sans forcer, simplement parce que le jardin est généreux et le fait de le cultiver est aussi motivé par le désir d’être autonome à tous les niveaux, de manger ce que la terre me donne. Ce changement d'alimentation est une façon d’honorer mes choix. D’honorer l’incarnation, mon corps physique, en bref, c’est une histoire d’amour et non de contrainte.
Je n’ai pas eu envie de manger de la viande sans que ce soit guidé par la peur ou le sentiment d’injustice vis-à-vis de la nature. Là encore, ça n’est qu’en lâchant l’énergie, les rôles de victime, de bourreau et de sauveur que la vision peut changer.   




Accepter les conditions de l’incarnation telles que la nature, la source l’ont voulu, permet de lâcher le sentiment d’injustice face à la façon dont elle est organisée, et la chaine alimentaire et alors perçu comme un équilibre nécessaire. 
La façon dont le monde animal s’auto régule correspond à ce règne et en tant qu’humain nous ne sommes pas sensés gérer notre vie par ce système de prédation. 

Nous sommes dotés d’une conscience qui nous permet de voir comment nous sommes faits et de choisir comment nous voulons être intérieurement et avec les autres. 
Les animaux répondent à la mesure de leur potentiel et de leur conscience. 
Ils sont des exemples dans la capacité à se relier à la terre, à la conscience groupe, ou Une et ils ne conceptualisent pas la mort comme nous le faisons. Leur capacité à être vrai et spontané, à être eux-mêmes, à utiliser 100% de leur potentiel, à accepter leur condition animale, est un exemple à suivre ou du moins à adapter à ce que nous sommes en tant qu’humains. 

Reconnaitre notre propre place parmi les règnes et la responsabilité que nous avons de vivre selon nos aspirations profondes, dans la pleine mesure de notre potentiel suffit à agir dans le respect de toute vie.

Lorsqu’on cesse de lutter contre l’aspect animal de l’humain qui comprend tant l’instinct de survie parfois salvateur, qu’une grande part de l’intuition, du système émotionnel, que des énergies brutes à notre disposition, on retrouve le plein potentiel de l’humain divin conscient de tout ce qu’il est. On n’est pas obligé de nourrir la souffrance animale et pour ça il suffit de devenir responsable en tant que consommateur puis de se souvenir que la mort n’est qu’un passage et que tout acte accomplit dans le respect valorise tout autant la personne que l’autre, quel qu’il soit.

Nous ne sommes pas obligés de vivre de façon inconsciente en nourrissant l’esprit de compétition, les manipulations et la domination. 
L’humain a le pouvoir de choisir d’agir dans le respect, l’amour ou la peur. De choisir en conscience et en connaissance de cause, la paix, l'unité et l'harmonie, de s'élever au delà de la dualité conflictuelle.




Mais là encore, ça n’est pas le mental qui peut créer l’équilibre interne qui peut réunir les aspects de l’être et mettre de l’ordre entre tous ces corps si différents mais parfaitement complémentaires. 
Seule la vibration de la Source Une, la connexion en conscience au ciel et à la terre et le désir maintenu de vivre dans la paix, ‘l’unité et l’harmonie amènent à le vivre naturellement. 

L’humanité à toujours opposé les aspects de l’être et les énergies qui le traversaient ont été gérées dans le conflit, le refoulement et c’est cela qui crée les comportements dominants, prédateurs, pervers. 
On ne peut pas gérer sa vie de façon harmonieuse en occultant des aspects de soi ou en refoulant ce côté animal parce que dès qu’il y a rejet, séparation, la vibration qui domine est celle de la lutte. 
Les différents corps et aspects de l’être ne peuvent être sublimés ou au meilleur de leur potentiel qu’en vivant dans la paix et le respect mutuel, en bonne intelligence et il est clair que cette intelligence capable de réaliser l’unité, ne peut pas être de ce monde. 
Du moins ça ne peut pas être gérer par un seul des aspects de l’être. L’ego a tenté de diriger l’humain dans l’illusion de la séparation et il arrive à la limite de l’auto destruction, de la destruction de la planète. 

Seule la conscience qui se situe au-delà des conflits, des partis pris, qui n’est pas impliquée dans les jeux de rôles, peut avoir un regard neutre et suffisamment clair.
La hiérarchie réalisée en force par la personnalité n’est pas juste, seule la source peut rétablir l’ordre et l’équité intérieurs. Et l’amour sans conditions en est la substance, la vibration qui rétablit l’équilibre.
C’est ce sur quoi je suis tombée en cliquant sur l’image gif ce matin...que j'ai retirer parce que ça ne fonctionne pas sur le blog :  
« Instant
Je me fais plaisir, je n’ai pas à le mériter, juste à le vivre. Je n’ai pas à tout gérer, je peux faire confiance et être bienveillant envers moi ». Ozalee
C’est une belle résonance à prendre comme une invitation de la source comme tous les conseils qu’on trouve au hasard, enfin par synchronicité. Une affirmation que la vie va nous donner l’occasion de vérifier en l’appliquant. La pensée du jour de Neale Donald Walsch nourrit la confiance en la source:

"En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
qu’il y a encore bien plus à la source.
C’est un enseignement clé, un message de la plus haute importance.
La bonté de l’Univers n’est pas limitée. Lorsque quelque chose
« semble l’être », ne vous inquiétez pas. Cela, ou quelque chose
de mieux encore, est en chemin.
La suffisance est l’ordre naturel des choses. Les bonnes choses
ne tarissent jamais, bien qu’elles puissent changer de forme.
Vous avez bien compris la dernière phrase ?
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale
Pensée du jour de Neale Donald Walsch traduite par Jean Philippe du site : http://www.conversations-avec-dieu.fr/




Je reviens du jardin où j’ai fait un peu de nettoyage en plus de l’arrosage et de la cueillette quotidienne. J’aime quand je me sens portée par l’enthousiasme sans avoir rien prémédité. Du coup, j’ai préparé le terrain afin de pouvoir repiquer et semer des légumes pour cet hiver. 
Je prends goût à cet autonomie alimentaire et je ne suis pas la seule puisqu’un nombre croissant de villes ont pris cette initiative. Cet article (cliquez sur le lien) trouvé sur le fil d’actualité de facebook est venu nourrir mon désir de persévérer en ce sens. 

Plutôt que de me plaindre de la société de consommation, du gaspillage, de l’élevage intensif, de l’industrie alimentaire, je préfère agir à mon niveau. 
On pense que c’est difficile, que ça demande beaucoup de travail de cultiver un jardin mais si on agit en conscience en se laissant guider, si on choisit ses priorités, ce temps passé au jardin est sublimé parce qu’on y trouve une multitude d’activités diverses qui nourrissent l’ensemble des corps et des besoins essentiels. 

C’est vrai que je passe aussi beaucoup de temps à préparer les repas, de la cueillette à l’assiette prête à consommer mais déjà j’ai tout mon temps, et c’est un luxe si on peut dire. 
Tout est question de perspective et de choix. Puis je ne crains plus d’être débordée si je suis appelée à aller travailler pour l’association « agir ensemble » parce que plus je suis active et plus j’ai d’énergie. 
En plus le nom de cette association est très symbolique parce qu’il pose les choses, l’état d’esprit dans lequel je suis et ma nouvelle façon de concevoir le travail comme une forme de contribution au bien-être de l’ensemble. Une façon de devenir plus autonome en mettant mes talents et mon temps au service de la communauté. 
Je n’ai pas toujours envisagé les choses de cette façon mais en offrant à la source toutes les pensées émotions négatives qui émergeaient quand je pensais au travail, au fait de devoir faire du ménage ou de l’entretien de jardin pour d'autres, peu à peu ma vision a changé. 

Déjà ce fut l’occasion de libérer les croyances de l’enfance, de l’adolescence puis de voir les choses d’une façon plus neutre et juste. Travailler pour se nourrir et avoir une bonne estime de soi n’était pas suffisant pour moi d’autant plus que je ne voyais que les injustices sociales et le statut d’assisté correspondait au rôle de victime auquel je m’identifiais. Ce choix était aussi judicieux puisqu'il m'a permis de me connaitre intimement et de guérir, de libérer le passé. Les rôles ont leur sens, leur intérêt mais quand on devient plus conscient de sa nature véritable et responsable de ses mondes intérieurs, ils ne sont plus utiles.

Oui la société est injuste, il y a des manipulations à tous les niveaux, de l’hypocrisie, des jeux de pouvoirs, mais en étant en paix avec soi-même, en regardant les choses depuis le cœur, de façon objective, on peut se situer avec justesse.

En commençant par s’identifier à la source intérieure, toutes les croyances nourries par le collectif ne sont plus perçues comme des vérités absolues et dans la maitrise de ses mondes intérieurs la puissance de l’être véritable émerge peu à peu.

La forme n’a plus autant d’importance quand on sait qui on est en essence. 
Ensuite, en ayant une vision neutre, je peux constater que j’ai encore besoin de m’affirmer dans la relation aux autres et au niveau du travail. 
C’est une situation où les jeux de pouvoir sont courants mais dans cet amour sans conditions de soi et la confidence envers la source, je vais pouvoir aborder les choses d’une nouvelle façon. Appliquer ce que je vis à l'intérieur dans la relation aux autres.
Le fait d’apprendre à être vrai avec moi-même puis avec mon entourage, en agissant sans masques, sans filtres et dans le respect de soi, de toute vie, est une formation idéale pour aborder le monde du travail sereinement. 

Je vais pouvoir mesurer mes capacités, apprendre l’équilibre entre le don et la réception, savoir poser des limites tout en donnant le meilleur de moi-même. Quand on connait sa valeur intérieure, on ne cherche plus à plaire, à se valoriser en donnant le maximum. Quand je parle de valeur elle est intimement liée à la connaissance intime de soi, de cette source intérieure qui m'anime, de cette essence qui s'incarne en toute vie. 
Donner le meilleur de soi-même sans calcul, sans attente, juste par amour pour soi en étant dans le juste milieu n’a rien à voir avec une attitude forcée où l’on agit pour être reconnu, aimé, validé. Où les réactions des autres définissent qui nous sommes. 




Poser des limites à mon sens, c’est pouvoir dire ‘oui’ et ‘non’ de façon déterminée sans y ajouter de ‘mais’ ou de ‘peut-être’. 
Ceci dit, la vie réserve biens des surprises et il se peut que je sois amenée à faire autre chose mais déjà, je note que l’idée de faire du ménage ne me stress plus comme avant. 

Le conseil que je viens de piocher dans la boite de Lulumineuse à l’instant me fait sourire parce que c’est la deuxième fois que je reçois cette invitation.
"Nous vous invitons à vous faire plaisir aujourd'hui"

Déjà au jardin au moment où je me suis dit que j’avais ma dose pour la journée, j’ai regardé l’heure sur mon portable et comme 11h11 s’affichait, j’ai salué "les anges" en me disant que cette envie de pause était bien inspirée. 
C’est vrai que très souvent, je ne fais pas attention aux envies de jouer ou de se faire plaisir mais ça change parce que ma vision s’adapte à celle du cœur. 
Le plaisir tout comme le désir sont des notions essentielles, c'est l'expression de la source de vie en soi, et j’ai laissé les cachets gérer cela. 
La science et les gens, moi y compris ont cru et croit encore qu’une pilule peut répondre à tous les besoins de l’humain mais c’est clair que c’est un leurre. 

La complexité de la constitution de l’humain et aussi ce qui démontre que nous sommes créés entiers, complets et que nous disposons de tout ce qui est nécessaire pour répondre aux besoins essentiels. 
La maitrise énergétique permet la libre circulation et de l’alignement des corps résulte la matérialisation de l’idée. 
Du désir qui nait, de l’énergie qui monte de la terre, rejoint celle qui descend du ciel, et ces deux forces qui s'harmonisent au centre de l’être, amène le geste spontané. Ainsi, la boucle est bouclée, la joie de créer est complète. 
C’est tous le parcours des énergies, leur rencontre harmonieuse, leur association amoureuse, intelligente, et ce qui en résulte, qui amène la joie. 
La joie de créer, d’être, la joie qui s’exprime lorsqu’on agit de façon spontanée et authentique, dans l’unité et la paix intérieure. 
Elle s’auto-alimente dans cette libre circulation. 
Quand on peut contempler cela, on sait comment créer en conscience, comment nourrir l’ensemble des corps, des besoins essentiels. Hier, c’était un jour de gestation et aujourd’hui d’action.

Je suis allée m’allonger pour aligner les corps et j’ai ressenti à nouveau le besoin d’ancrer profondément cet engagement à agir dans la paix et la neutralité du cœur. En fait, il semble que l'action requise était la maitrise énergétique, avant toutes choses.

J’ai été surprise de constater que je respirais profondément au niveau du ventre et les images de couleurs harmonisées qui sont apparues sur l’écran de mon mental étaient magnifiques. Le calme du mental m’a aussi épatée et la présence, l’âme ou la source guidait ce moment de connexion intime et profonde. 
C’est indescriptible comme toujours mais c’était très relaxant et même planant parce qu’il est clair que la conscience n’était plus tout à fait sur ce monde. 

Avec du recul je constate que la puissance des rayons, la perception d’autres état de conscience, sont devenus ma réalité. Là encore je ne sais pas comment l’exprimer mais ça semble être maintenant bien au-delà de simples croyances malgré que ce soit inexplicable puisque c’est de l’ordre du ressenti, de l’impression et de la vision intérieure.




2 09 L’ambiance est calme ce matin et je suis assez contente d’avoir utilisé la méditation, l’ancrage vertical entre ciel et terre, hier soir alors que les cachets ne faisaient plus effet et que la paix était troublée par des pensées de jugement.
Je vérifie de cette façon la puissance de la focalisation et maintenant de la création consciente de l’état d’être. 
Je commence à visualiser de façon spontanée la connexion au ciel et à la terre et le désir d’unité comme si j’étais guidée à le faire. Enfin "je reçois des images". Une belle spirale montante, dorée et blanche, entourant la colonne de lumière qui relie le ciel et la terre en moi, est apparue hier soir sur l’écran du mental ou peut-être en mon 3ème œil, je ne cherche pas à savoir dans le détail et j’évite de coller des étiquettes. 
J’essaie de trouver les mots justes pour exprimer ce qui semble être une ouverture aux dons ou talents des corps subtils. 
Je n’ai pas envie d’enfermer ce que je vis dans des cases ou de trouver un sens qui corresponde aux anciens enseignements des chakras ou aux nouvelles techniques « new age » parce que ça reste des expériences intimes et vivantes. Puis l'humain divin est en perpétuelle évolution puisque l'énergie est vivante, mouvante et expansive.

Si j’en parle ici c’est pour décrire ce qui se passe lorsqu’on ouvre son cœur, lorsqu’on désire ardemment vivre dans la paix, la neutralité et l’unité intérieure. 
L’expansion de cœur et de conscience qui en résulte ouvre effectivement l’horizon et en intégrant l’invisible dans sa réalité quotidienne on dispose d’outils de création ou de gestion de ses mondes intérieurs. 

Je ne cherche pas non plus à savoir si ces aptitudes viennent de vies antérieures ou simultanées parce que ça se passe aujourd’hui, maintenant, en cette vie, en ce corps, en ces corps unifiés ou tout au moins en phase de l’être continuellement. 
Puis je veux découvrir cela de l’intérieur, selon la guidance interne, le désir manifesté spontanément, ce désir de paix qui ouvre sur les mondes dimensions de l’être plus subtiles et que je pourrais peut-être qualifier de cosmiques ou encore universels. 

J’avais demandé à mon âme de me dire "à quoi elle ressemble", de m’enseigner au sujet des corps subtils, multidimensionnels et les réponses commencent à se préciser. 
Je n’ose pas encore utiliser les rayons sacrés tel que le décrit Joéliah parce que je sens que la façon de le faire est personnelle tout comme la connexion à l’âme est intime et de cette façon révèle sa présence, son essence. 

Puis j’aime quand ça vient spontanément quand l’idée est inspirée et non réfléchie. Quand la volonté émerge du cœur, des profondeurs plutôt que du raisonnement, du calcul.




J’aime apprendre sur le terrain, en ouvrant mon cœur et mon esprit à la nouveauté, à la découverte plutôt que de suivre un mode d’emploi élaboré par d’autres. Après tout c'est à ce niveau qu'on s'individualise, dans la façon d'exprimer, de manifester la source. 
A mon sens c’est en expérimentant ce contact aux mondes intérieurs subtils qu’on apprend la maitrise ou l’utilisation des énergies, de la vibration, et bien évidemment qu’on se connait encore mieux et qu’on peut faire confiance à tous ce que nous sommes. 

"Apparemment", nous sommes immenses ! Et ce contact peut d’établir par le dialogue mais le souci, c’est que ça passe par le mental et tant que ce filtre n’est pas épuré totalement, apaisé et maintenu dans la neutralité, le risque de mal interpréter les choses est encore trop important. En ce sens, développer le ressenti, l’attention par la connexion consciente silencieuse m’apparait comme le meilleur moyen de pénétrer ces mondes.  

La parole initie le contact et les réponses sont reçues de mil et une façon  que chacun doit apprendre à reconnaitre. C'est en cela que le contact s'établit, en cette ouverture, ce pas vers les aspects multidimensionnels et l'attention à ses mondes intérieurs.

"Une nouvelle phase se joue pour toi, tu as juste à être sans chercher à comprendre toutes les données qui s’imprègnent en toi"
Je viens de piocher cette affirmation à l’instant et c’est exactement ce que je ressens ! 
Cela confirme mon intuition quant à la façon de considérer ce que je perçois au niveau intérieur tout en permettant au mental de se détendre totalement. 
J’ai aussi vu de superbe association de couleurs en mouvement hier pendant ma ‘méditation’, du turquoise entouré de jaune orangé sur un fond noir étoilé, illustrant la beauté des contrastes. 
Le besoin d’évasion, de voyager, de rêver, de visiter d’autres dimensions qui a généré l’attachement aux drogues, est nourrit dans ces moments d’introspection et d’ouverture aux mondes subtils. Le mental se saisit de l’info et ça pèse considérablement dans la balance ! Mais je ne le laisse pas spéculer sur ce qui est perçu, je continue de faire confiance, d’être attentive à maintenir la paix, l’unité et l’harmonie intérieures. 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr