Hier,
j’ai vécu une journée comme je les aime, épanouissante et bien remplie, dans la
paix, l’équilibre, sous la guidance consciente de la source intérieure. La connexion
vécue comme une association intime d’égal à égal, en étant juste à l’écoute et
dans la confidence afin d’agir selon cette guidance et bien évidemment en commençant
par trouver la paix et l’harmonie d’où l’élan rempli d’enthousiasme jaillit, redonne un sens au quotidien. Il lui rend son caractère sacré et magique.
J’ai
la nette impression d’avoir passé un cap, celui de la maitrise énergétique.
Enfin on peut toujours améliorer les choses mais déjà, je ne me laisse plus
envahir par des émotions lourdes et par le fait de tout confier à la source
intérieure et d’ouvrir les oreilles du cœur, de suivre l’élan spontané sans
douter ou juger, j’ai pu sentir le changement de vibration et agir en
conscience avec légèreté.
J’avais
regardé un extrait du film « What are they spraying... » qui aborde le
sujet des chemtrails et bien que sur le moment, j’ai offert à la source toute
la tristesse, la colère et l’incompréhension qui montaient, l’équilibre et l’harmonie
était revenu mais pas suffisamment pour que je retrouve l’enthousiasme à agir.
Hier matin, je me suis levée avec des pensées lourdes, à la limite de la
dépression, aucune motivation mais pas d’envie de suicide malgré la profonde
tristesse qui demeurait.
Je
n’ai pas essayé de changer mentalement ces pensées, j’ai fait comme d’habitude,
lorsque la tristesse montait, je la confiais à la source intérieure. Je n’ai
pas forcé, je ne me suis pas obligée à agir malgré que j’aie pas mal de choses
à faire dans la matière, j’ai honoré chaque élan motivé par le désir, sans
réfléchir. Plutôt que d’écrire, j’ai écouté et joué de la musique et au lieu de
lire des messages spirituels pour essayer de trouver de l’espoir, j’ai fait
appel sans réfléchir, au rayon nacré. Je me suis étonnée de cela parce que je n’ai
pas encore intégré ou compris les qualités des rayons complémentaires aux 7 premiers et d’ailleurs,
il s’agit en fait plus précisément du rayon argent nacré.
Je
n’ai pas lu de suite à quoi ça correspondait mais j’ai senti que cet appel
spontané était guidé et qu'il avait était entendu puisque peu à peu l’enthousiasme à agir s’est manifesté
dans le désir de prendre soin d'abord de mon corps physique et d’aller prendre une
douche. Une douche en conscience, en demandant à la source de nettoyer les
corps subtils en même temps que le corps physique.
Plutôt que de me compliquer
la vie à essayer de formuler les choses en
y réfléchissant, je me suis laissée guidée par l’intuition et j’ai surtout
demandé à mes corps de rester unis, solidaires, dans le respect mutuel afin de
canaliser l’énergie de vie, d’amour et de lumière pour que cette vibration
rayonne et soutienne chacun d’eux dans ce désir d'entente mutuelle.
Après la douche qui m'a bien allégée vibratoirement, l’élan d’aller faire des
courses s’est manifesté alors que je repoussais l’idée depuis trois jours. Là
encore pas question de m’obliger à y aller si je n’en avais pas eu envie.
C’est
souvent l’erreur qu’on fait parce qu’en se forçant, en essayant de se
raisonner, on nourrit l’ancienne façon d’être qui est motivée par la peur, la
culpabilité, le devoir…le contraire de l’amour et du désir de vivre.
On ne s’imagine
pas à quel point ça peut changer notre vibration et donc influencer directement
le quotidien puisqu’on vivra des situations, des rencontres en rapport avec l’énergie
qu’on émane.
J’ai donc agis selon ma nouvelle devise, « fais comme tu le
sens » et « la première idée est la bonne ». Mais sans non plus
l’intellectualiser, sans m’y obliger juste en le gardant en mémoire, dans un
coin de ma tête histoire de ne pas cogiter, de me laisser porter par la
vibration de paix et d’unité, de confiance en tout ce que je suis.
Il n’y a pas
"d’erreur" dans ce qui émerge, il y a juste une mauvaise interprétation de ce qui
est, une incompréhension ou un forme de résistance face à ce qui se manifeste en soi.
J’ai
donc choisi d’honorer chaque élan sans me poser de questions et peu à peu, dans
le mouvement, je me suis mise à faire du ménage en déplaçant les meubles. Fait
plutôt exceptionnel puisque je fais généralement le minimum pour ne pas être
dans la crasse. Avec un chien dans l’appartement, ça n’est pas évident de
garder l’espace propre et j’ai autre chose à faire que de passer derrière elle
sans arrêt.
D’autant
plus que c’est un "vrai" chien qui se plait à piétiner dans le
canal surtout quand l’eau ne coule pas et qu’elle peut marcher dans la boue. Au début je râlais puis en me centrant, en
revenant à la raison du cœur, en laissant de côté la tendance à l’anthropomorphisme, je
me suis dit que si elle le faisait c’est que cela avait un sens pour elle. Puis
le fait d’aller au jardin et de trimballer de la terre sous les pieds ne permet
pas d’avoir un carrelage nickel mais un coup de balai me suffit largement.
Je
ne suis pas du genre à imposer des patins, lol, une maison où il y a de la vie,
ne peut pas être impeccable.
Je ne veux pas être esclave du ménage comme les
générations de femmes qui m’ont précédée même si ma mère avait déjà lâché la
peur du regard extérieur, la morale qui veut que la femme soit une bonne
maitresse de maison, relol.
Je lâche en ce moment le sens du devoir, pour agir
uniquement par désir.
Il ne s’agit pas de refuser d’agir ou de passer sont
temps à glander mais de commencer par s’aligner sur la bonne fréquence, d’agir
au niveau de la vibration ou de s’aligner à la source en soi.
Le
désir vient naturellement quand on est en paix avec soi-même, avec son passé et les
circonstances actuelles de sa vie.
Comme je sais que tout commence en soi, que
tout dépend de la vision et de l’interprétation des faits et surtout que ça n’est
pas mon mental à lui tout seul qui peut m’amener sur la bonne fréquence, j’apprends
d’abord à canaliser l’énergie. A l’orienter en direction du cœur afin d’agir
seulement lorsque la paix laisse émaner l’élan spontané porté par la joie.
Ça
n’est pas un processus mental même s’il est important d’orienter la pensée ou
de se rappeler de l’importance de confier tout ce qu’on ne comprends pas, tout
ce qu’on n’accepte pas, tout ce qu’on ne veut pas nourrir, à la source ou à l’amour
lumière intérieurs. C'est toujours l'intention profonde qui donne le sens, la couleur, la vibration qui va se manifester en conséquence dans la matière.
Maintenir le désir de paix et d’unité intérieure, c’est
comme dire au divin en soi « que ta volonté se fasse » ou encore, « guide
moi vers ce qui est en accord avec mon désir profond de paix et d’harmonie ».
Ce
ne sont pas les mots qui sont vraiment importants mais plutôt l’intention/vibration qu’ils
portent et chacun utilisant les mots selon sa propre compréhension, le sens qu’il
leur donne selon son vécu, sa personnalité, sa culture, sa foi, un mot, une
phrase pour un n’aura pas le même impact que pour l’autre.
Maintenant que je
reconnais bien la guidance de l’âme, sa présence et les signes qu’elle me fait, c’est
plus facile de me laisser guider, porter même parce que je ne résiste plus à ce
qui se manifeste en moi.
La tristesse que je sentais semblait ne pas m’appartenir
totalement puisque ma conscience d’adulte accepte les règles de l’incarnation
et mon enfant intérieur est suffisamment libéré du poids du passé pour ne plus se faire
de souci. Néanmoins j’ai continué de maintenir le désir de paix et d’harmonie
et en réalisant que la date du jour commémorait des évènements douloureux je me
suis dit que j’étais encore influencée par les égrégores.
Mais pas tant que ça
puisque en offrant la tristesse à la source, en l’espace de quelques minutes,
la motivation à agir est revenue. Là encore je constate que le fait de m’être
volontairement centrée tant au niveau des pensées émotions que dans la matière
en évitant d’aller sur le net, a facilité l’alignement intérieur.
Plutôt que de
mettre l’accent sur le besoin de protection, s’ancrer dans le cœur et rester centré sur
son désir de paix en confiant toute peur, toute colère, toute tristesse à la
source, est une façon de canaliser, de rassembler, de concentrer son énergie, qui
préserve l’intégrité de l’aura.
La différence est immense au niveau énergétique
puisqu’on ne lutte pas contre quelque chose, on n’est pas porté par la peur ni
le rejet mais par l’amour lumière intérieur qui se charge de rétablir l’ordre,
la paix et l’harmonie.
C’est quelque chose que je ne peux pas prouver puisque c’est
intérieur mais je peux en constater la véracité par la façon dont ça influence
mon comportement, mon quotidien et donc la matière.
Je
vois qu’en lâchant la peur, la culpabilité, les critiques mais aussi les
regrets du fait de penser que je n’ai pas réalisé mon plein potentiel ou du
moins que j’aurais pu mieux faire, la confiance qui s’installe modifie ma vision, mon
comportement et les gestes compulsifs ne le sont plus autant.
Quand je parle du
potentiel ou de la puissance amour lumière en chacun, il s’agit de voir et d’agir
en conscience, avec bienveillance vis-à-vis de soi.
Parfois voir en conscience
revient à admettre qu’on ne comprend pas tout et en reconnaissant cette
réalité, en acceptant le fait d’avoir une vision et une compréhension limitées
de ce qui est, c’est alors qu’on est lucide et par le fait que notre
vision/compréhension s’élargissent.
Reconnaitre
nos limites nous place sur la fréquence de l’humilité, de l’ouverture d’esprit
et on est alors prêt à recevoir, à mieux comprendre, à avoir une vision plus
large et plus éclairée. De cette vision plus vaste nait une compréhension
nouvelle.
Il
faut pour cela se faire confiance, faire confiance à la source en soi, mais
aussi à l’élan qui émane de la paix du cœur même si sur le moment on n’a aucune
idée de l’endroit où il nous porte. Déjà quand on sent la paix en soi, au-delà
des pensées émotions douloureuses, cette confiance ‘aveugle’ s’installe et on
se libère de toute forme de jugement, d’à priori qui limitent nos perceptions
et notre compréhension.
Cette confiance aveugle n'a rien de péjoratif, ça n'est pas de l'inconscience ou une forme de démission, au contraire, c'est la manifestation de cette reconnaissance intérieure, de cette connaissance que quelque chose de beaucoup plus vaste, plus intelligent que notre personnalité humaine, est à l’œuvre.
L’énergie
précède la forme ou disons qu’elle la détermine, l’oriente, alors en apprenant à
élever son taux vibratoire ou du moins à le maintenir stable, équilibré, pacifié,
la forme va s’y conformer naturellement.
Il y a une grande leçon aussi dans ce
constat, c’est le fait que ça nous permet de nous détacher de la forme, de
mieux l’accepter puisqu’on comprend qu’elle est l’aboutissement d’un processus
qui commence dans le subtil, la pensée, l’émotion.
Elle est donc malléable ou
non finie, non statique.
La souplesse d’esprit entraine celle du corps, de la
forme, des situations de vie.
Je me rends compte que lorsque je demande à mon
âme de m’apprendre à vraiment prendre soin de moi, ce sont toutes sortes d’énergies
qui me soutiennent.
Le monde de l’âme n’est pas individuel comme il peut l’être
dans la forme.
L’amour n’est pas non plus exclusif, il ne privilégie personne,
il s’offre à tous librement mais c’est à chacun de le recevoir, de lui faire de
la place.
Hier,
l’idée du suicide apparaissait de temps en temps mais pas comme avant dans une forme de
désespoir, plutôt comme une invitation à lâcher prise, au détachement.
Ce
détachement est nécessaire si on veut agir en toute légèreté, en toute
authenticité et avec insouciance. L'insouciance ne veut pas dire l'inconscience ou la déresponsabilisation. Il ne s’agit pas d’agir n’importe comment
mais d’associer la sagesse de l’âme, de l'adulte conscient, à celle de l’enfant en soi. Ou d'unir l'esprit et la chair. L'intelligence et la spontanéité du vivant.
J’ai d’ailleurs
demandé à cette part de rayonner ses énergies spécifiques. L’enfant en soi
porte les rêves, l’espérance, la nouveauté, la souplesse de l’esprit et la
capacité de se réjouir d’un rien.
J’ai
été amusée de voir que mon savon préféré était enfin arrivé à la pharmacie. Ils
venaient juste d’être livrés. Là encore, ça n’est pas grand-chose mais c’est l’ensemble
qui créé la magie. Le fait que ce produit arrive juste le jour où je me sens
portée à nettoyer des énergies intérieures/extérieures, le fait que son parfum
soit la violette de la couleur/fréquence de la liberté et pour finir, le côté
surprenant qui vient quand on n’attend rien.
L’effet que ça m’a fait a confirmé
aussi la présence de l’enfant guéri, son soutien tout comme la guidance de l’âme.
Idem pour les chiffres miroir que j’ai associés à la présence de guides, d’anges,
en tous cas d’énergie de soutien.
Il est 11h et je n’ai pas encore eu envie de
prendre un bout de cachet. Là encore, je pourrais me dire que c’est peu de
chose mais déjà, je parle d’envie et plus de besoin.
La vibration n’est pas du
tout la même, ça témoigne du détachement progressif vis-à-vis du produit, de la
stratégie. Peu à peu, le fait de miser plus sur l’état vibratoire que sur le
geste dans la matière, de commencer par revenir à la paix, la stabilité mentale
émotionnelle, change le comportement petit à petit.
Et sans forcer, sans se
raisonner ou s’obliger à agir selon des convenances, des croyances basées sur
la notion de devoir, d’obligation et de manque.
On ne peut pas changer une
stratégie de l’ego en se raisonnant, en se privant et même en faisant des
séances d’hypnose. Même si cela peut être efficace un temps, la stratégie est
juste "déplacée".
Une stratégie s’inscrit tant dans le mental, la conscience qui
choisi que dans l’inconscient et sa part dans la prise de décision est
majoritaire.
Sans parler de celle de l’âme qui veut expérimenter quelque chose
de spécifique. En l’occurrence, le retour à la source, à l’amour lumière, à la
conscience d’être multidimensionnel, d’exister simultanément sur différents
plans qui ne sont limités ni dans l’espace ni dans le temps.
L’inconscient, la
pensée, l’émotion, l’âme, nous relient à toute l’humanité au cours de toute son
histoire. Et c’est en se réappropriant tous les corps, tous les aspects de l’être,
en unifiant tout ce que nous sommes, en laissant la source le faire, que nous
construisons notre place d’abord en nous-même et par répercussion dans l’espace
et le temps.
Lorsqu’on se tient solidement ancré au centre de l’être la force
de l’unité et la stabilité nous positionnent au carrefour de tout ce que nous
sommes et de tout ce qui est.
Naturellement on sait qu’on est toujours au bon
endroit, au bon moment et surtout dans notre plus haut/grand potentiel.
Si on
trace un cercle, on voit aisément que le meilleur "endroit", celui qui offre le
champ de perspectives le plus vaste et le plus complet, c’est le point au
milieu.
En cet espace, nous sommes protégés par la bulle énergétique qui se
créé lorsque les corps sont unifiés, lorsque le désir de paix et le centrage
sont la priorité des priorités.
Au début de cet apprentissage de la maitrise
énergétique, le temps entre le moment où on se centre et celui où l’ordre s’installe
est un peu long parce qu’on a tendance à résister, à douter mais à mesure qu’on
prend confiance et qu’on est déterminé, la sensation de sécurité est
simultanée.
Et c’est très précieux dans le monde dans lequel nous vivons.
En ce
centre on est à la fois en paix avec soi-même mais aussi avec les autres.
Je le constate nettement dans les pensées émotions qui émergent lorsque je vois un voisin
qui avant m’agaçait par certaines de ses attitudes.
Maintenant, je m’en fous, ça
ne vient plus heurter ma sensibilité parce que je sais que chacun fait toujours
de son mieux et que chaque point de vue, chaque être apporte un plus à l’ensemble.
Faire de son mieux, ça n’est pas répondre aux attentes extérieures qui en plus
sont toujours le reflet de l’auto critique, des attentes personnelles selon un modèle prédéfinit.
Faire de son mieux à mon sens, c’est
ouvrir son cœur, son esprit et se laisser enseigner, guider de l’intérieur, c’est
suivre sans douter cette guidance alors même qu’on ne sait pas où l’on va. Mais
bien qu'on ne sache pas où le pas qu’on engage nous mène, on se sent en accord
parfait avec tout ce qu’on est.
Le fait d’avoir choisi hier de ne pas écrire a
permis aussi l’équilibre entre don et réception parce que même si je le fais de
bon cœur et selon l’élan porté par le désir, c’est souvent au détriment de mon
propre bien-être physique, de mon confort personnel.
Vous allez me dire que
personne ne me force à écrire, à témoigner de la métamorphose qui s’opère
lorsqu’on choisi de se centrer, de s’ancrer en son cœur et de réaliser, de
constater la paix et l’harmonie qui ont toujours été là.
Personne sinon mon
goût pour le partage de l’essentiel mais là aussi l’équilibre est requis. Et c’est
encore à l’intérieur que ça se réalise en premier, dans le désir de paix et d’unité
d’où émerge le geste cohérent qui sert l’ensemble des corps, des besoins.
Ce
geste parfait dans l’instant qu’on reconnait simplement parce qu’il est porté
par le désir d’agir.
Un désir c’est l’énergie de vie qui circule librement de
l'idée au geste, dans la fluidité, la confiance et sans attente quant au
résultat.
Lorsqu’il n’y a pas de résistance entre le désir et sa manifestation
dans la matière, lorsqu’aucune pensée de doute, de jugement, de peur, ne vient
le perturber, on est alors dans son plein potentiel et la joie est présente du
début à la fin. La joie d’être, de créer, d’agir en cohérence, en conscience, en totale présence et en confiance. Le fait que je puisse retrouver le goût d'être pleinement présente à mon corps physique alors que des douleurs soient encore là, que je me sente confortable malgré tout, témoigne de l'efficacité du processus et de la maitrise intérieure qui s'installe.
En apprenant à voir les choses avec plus d'ouverture, non seulement je note la guérison qui est en cours mais la douleur vient juste me rappeler cela. C'est immense parce que depuis trois semaines la peur de devenir handicapée s'est manifestée plusieurs fois et le progrès, c'est de ne pas avoir nourrit cette peur mais au contraire d'avoir amplifié la foi.
Là encore, l'offrande à la source intérieure de tout ce que cette situation faisait remonter en surface a facilité la guérison. Et même si quelques douleurs persistent et montrent que l'assurance est encore un peu fragile, je nourrit la confiance en soi plutôt que la peur.
Je ne cherche pas à rassurer le mental intellectuellement mais je laisse la source équilibrer les points de vue, harmoniser les énergies. Je focalise mon attention sur la sensation intérieure de sécurité plutôt que sur les pensées liées aux anciennes croyances.
La maladie n'est pas une punition ou la conséquence de mauvaises actions mais elle témoigne d'une incompréhension, d'un manque d'équilibre et de foi en la vie. Ce sont des réactions en chaine qui créé la disharmonie et c'est toujours la vibration majeure qui détermine le comportement lui-même issu des croyances, des pensées émotions en conflit.
Lorsqu'on cesse de vouloir guérir à tout prix et qu'on s'ouvre à recevoir l'amour lumière, à donc mieux comprendre/accepter ce qui se joue en soi, la perspective n'est plus du tout la même et ça change tout. On se libère déjà de la peur et donc du sentiment d'urgence qui fausse la vision, le geste. Pour que la légèreté s'installe, pour que la joie trouve sa place, il est nécessaire d'accueillir les peurs, les doutes, les obligations, les attachements, de lâcher toutes les croyances relatives au sentiment d'impuissance, de perte et d'appropriation.
Mon corps physique ne m'appartient pas mais c'est un partenaire de vie qui a beaucoup à m'apprendre alors je m'ouvre à sa connaissance innée, à son intelligence et nourrit l'amour qui nous unit. J'apprends à le connaitre de l'intérieur et à rayonner la paix, à accepter ce qu'il est tel qu'il est, à comprendre son langage, ses messages et donc à l'aimer davantage. Ce désir suffit à nourrir l'amour et l'unité intérieure mais aussi la joie de l'enfant qui s'émerveille face à tant d'intelligence naturelle.
Merci aux photographes amateurs, amies sur facebook, pour leurs belles prises de vue.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr