mercredi 6 juillet 2016

« Utiliser l’effet miroir pour revenir à soi, au centre et à la paix »






5 07 Se laisser guider par l’élan spontané porté par la joie nous conduit sur un chemin de découverte, d’émerveillement, d’enseignements, d’initiations, de leçons de sagesse et la vie prend tout son sens, ses sens, sa valeur inestimable !
Une fois qu’on a validé le fait que nos croyances soient issues de l’ignorance, de la peur, que ce sont des théories qui répondent tant bien que mal aux angoisses ou questions existentielles, la paix commence à s’installer à l’intérieur parce qu’alors, on fait confiance à l’intelligence du cœur. 
Cet organe est essentiel et ça n’est pas par hasard s’il se situe au centre de l’être. Il est à la fois le portail qui conduit à l’être véritable, tant la personnalité authentique que l’âme et la conscience source. Il ouvre sur tous les potentiels, les possibles, il restaure l’équilibre, l’harmonie, la paix et le sentiment de sécurité qui fait que les peurs apparaissent comme de simples énergies en mouvement. Oser suivre les élans spontanés portés par la joie nous rend libre, authentique et intègre.

Je me réjouis de me lever chaque matin en sachant que je vais découvrir un peu plus ce que je porte, ce que je suis au-delà des conditionnements, des croyances, et surtout de pouvoir cocréer en conscience, la paix, la joie, mon état d’être à chaque instant. 
Il y a comme un vent de liberté d’être, de légèreté, de lâcher prise dû à la période estivale qui vient résonner en moi et me donne encore plus confiance en tout, en moi-même, mon âme, la guidance intérieure, la vie, les autres.
Tout ce qui est à l'extérieur reflète ce que nous portons et lorsqu’on nourrit la paix, la liberté et la joie en soi, ça change totalement la relation aux autres, c’est magique !


Nous sommes reliés à toute vie à plusieurs niveaux et quand on a conscience de cela, quand on se positionne dans le cœur, la paix et la joie, on se relie aux autres au niveau de l’âme et de la conscience Une. 
L’âme de la terre vibre aussi à l’unisson et la connexion au corps physique avec cette planète mère, nourrit le sentiment de sécurité. 
Lorsqu’on considère la terre comme la mère de notre corps physique au niveau élémentaire et matériel puis le soleil comme l’essence de l’être au niveau énergétique, subatomique, on se sent aimé sans conditions par la vie.

De plus en plus de gens découvrent leur nature véritable et cela affecte la vibration de la terre, la conscience collective sur les plans subtils, énergétiques. C’est vraiment une époque formidable même si lorsqu’on vit à partir du cœur, dans l’élan de l’instant, la notion de temps n’a plus vraiment de sens. 
Lorsqu’on accueille la peur de l’inconnu, la joie devient le guide et quand on fait confiance à son cœur, la peur du lendemain se transforme en attention aux mouvements internes. 
Et ce qui est passé ne reste pas imprimé dans la mémoire. De ce fait, le mental est beaucoup pus léger et serein. Je ne sais plus ce que j’ai écris hier. 

Dès que ça coince, qu’une pensée ou une émotion qui n’est pas la joie ou la paix se manifeste, en revenant simplement au centre de soi, à la conscience de qui nous sommes profondément, tout se stabilise et on peut le constater à l’extérieur parce que tout est aussi fluidifié, facilité.
Sachant que les croyances sont des projections de la conscience humaine, du mental qui interprète les émotions, le ressenti, selon l’idée que chacun est séparé du tout, de la source et des autres, l’idée de la réincarnation telle qu’elle est exprimée en général me semble de plus en plus aléatoire. 
J’ai eu cette sensation plus d’une fois et à chaque fois, la raison qui me faisait douter de cette hypothèse ne semblait pas provenir d’une peur quelconque ou d’une forme de rejet de soi, de l’incarnation. 

En général pour savoir si quelque chose est juste, je cherche le sens au travers de l’émotion que ça suscite et une fois que le mental émotionnel se calme, j’ai une vision un peu plus claire de la situation. Très souvent, j’en conclue que c’est le fait d’être issus de la même source et de partager l’âme commune de la terre, celle de la conscience Une, qui fait qu’on peut entrer en contact avec des énergies, des êtres en résonance avec ce que nous sommes et portons. 




Nous sommes reliés aux autres par nos souffrances, au présent et donc par les énergies des rôles, celles des masques et stratégies utilisées le plus fréquemment. Puis par notre mémoire génétique, nous sommes aussi connectés à nos ancêtres et lorsqu’on libère un schéma comportemental, on peut avoir la vision du moment où cette blessure a été vécue par un de nos ancêtres. Certains se diront qu'ils contactent une autre vie passée ou simultanée mais j'ai bien l'impression que c'est une projection de ce qu'ils portent. 
Il y a aussi tout un monde, ou des mondes invisibles, éthériques, ceux de l’âme, des égrégores, des énergies projetées dans l’espace depuis le début de la création. Et l’espace de la conscience Une tout comme le vide, les trous noirs, les étoiles, les constellations…auxquels nous sommes aussi reliés. 
La théorie des fractales me semble appropriée parce que tout se retrouve en tout et semble être la projection infinie de la source.

Ce qui me dérange avec l’idée de la réincarnation, ce sont toutes les croyances et conditionnements que ça entraine et le fait que ça nourrisse la peur, la dualité, la culpabilité. 
Dès qu’on essaie de conceptualiser la vie, les mêmes schémas se mettent en place, on élabore des théories qui deviennent des croyances puis des institutions et dès lors ça enferme dans le mental et ses stratégies, on n’est plus qu’une expression limitée et morcelée de soi. 
Les jeux de pouvoir, de domination par la peur, les notions de punition et de récompense, de supérieur et d’inférieur, le fameux « diviser pour mieux régner » semble être la règle.

C’est la projection des stratégies du mental ego à grande échelle. 
Puis si on suit ce raisonnement, on se rend compte que la vie sur terre est un vaste scénario, une scène de théâtre ou une salle de cinéma où se jouent des drames, des scénarii qui se répètent inlassablement. 
A l’échelle individuelle, dans la relation de couple, dans la société, c’est toujours les mêmes luttes, le même schéma de rejet, d’exclusion et de division.  Comme si la vie sur terre n’était qu’une projection de la conscience collective et surtout de l’inconscience.

On parle d’éveil des consciences au niveau collectif et selon notre vécu, si on est sur ce chemin de retour à soi, à l’être véritable, on va recevoir des infos qui le confirment. Comme nous sommes au stade où la lumière ou conscience se projette sur tout ce qui est, révélant les secrets, les ombres, les manipulations, ça créé des mouvements de panique général qui sont le reflet de notre réaction face à nos mondes intérieurs. 
D’une certaine manière,  dans le contexte de la dualité, il y a un certain équilibre où chacun joue un rôle particulier et nécessaire à l’évolution de l’humanité. 
On nourrit encore la croyance qu’il faille souffrir pour trouver la lumière en soi mais ça n’est pas le cas si on lâche justement les croyances.
Ou si on les considère comme de simples repères, des projections de la conscience et de l’inconscient collectif visant à donner un sens à la vie, à valoriser certaines énergies plutôt que d’autres, à s’orienter et se situer, on ne s’y attache plus autant. 

Beaucoup de gens croient en dieu comme étant le créateur mais ils n’arrivent pas à accepter l’idée que tout soit divin. Et on peut voir les dérives de la croyance en une autorité supérieure créatrice de toute vie. C’est assez significatif de constater que sur les cathédrales, il y ait des gargouilles et que celles-ci se trouvent toujours en hauteur. Comme pour montrer la dimension qui se trouve entre ciel et terre et les êtres qu’on y trouve. 

Quand on sait que les énergies se rassemblent par fréquences et formes des masses autonomes, on peut aisément imaginer que le monde éthérique est à l’image des pensées/émotions conscientes et inconscientes de l’humanité. 
Le mental a une grande capacité d’imagination et il projette sans arrêt des images correspondant aux émotions qu’il perçoit. Ces émotions émergent lorsque le mental ne comprend pas ce qui l’entoure. La pensée et l’émotion forment alors un troisième élément qui est l’interprétation du ressenti. Cette image énergie rejoint d’autres formes de même fréquence et la masse obtenue peut être perçue par les personnes sensibles. 




Lorsque le corps émotionnel est divisé parce que certains évènements douloureux on amené à refouler cette masse énergétique sombre, le mental est très polarisé et s’attache à la notion de bien et de mal avec force. La souffrance intérieure est telle qu’on va chercher à équilibrer les énergies en soi et on sera hypersensible, à fleur de peau, donc réceptif aux égrégores. Si notre corps émotionnel est rempli d’énergies sombres refoulées, on va vouloir fuir ce monde et se tourner vers les mondes invisibles en cherchant la lumière à tout prix. 
Si on observe la nature, le cosmos même, on va constater que ce qui permet à la vie de s’exprimer, c’est un subtil mélange harmonieux des énergies, des éléments. 
La souffrance ou la mort viennent de l’excès, du fait d’être divisé et déséquilibré au niveau énergétique. Trop de soleil tue, trop d’eau inonde, amène des maladies, des épidémies, pourtant ces éléments sont essentiels à la vie…

J’ai suivi l’élan à agir et donc mis en pause l’écriture puis je suis tombée sur de nouveaux messages canalisés par Pamela Kribbe. Avant c’était une vraie joie de pouvoir lire des messages de Jeshua dans lesquels je me reconnaissais au sujet de l’amour, de l’âme…mais cette fois-ci, non seulement je n’ai rien ressenti d‘agréable mais je n’ai pas pu le lire jusqu’à la fin tellement ça me semble désuet.

Je ne sais pas si c’est le thème de la réincarnation qui me semble de plus en plus relever de la croyance qu’autre chose mais ça ne passe pas. Ceux qui sont fortement convaincus d’avoir vécu plusieurs vies, époques…me diront que des résistances intérieures en sont la cause mais je n’ai vraiment pas l’impression de porter de la culpabilité à l’idée d’avoir pu être bourreau. D’autant plus qu’on a souvent ce rôle pour quelqu’un sans s’en rendre compte. Il suffit qu’on tienne un discours qui heurte les croyances sécurisantes de l’autre pour qu’on lui apparaisse comme quelqu’un de mauvais voir de maléfique. 

Nous avons tous une vision unique des choses et de la vie mais très souvent pour être accepté dans un groupe, on va faire des concessions, tout comme lorsqu’on vit en couple. Pour éviter la rupture, on va sans cesse céder ou batailler pour avoir raison mais dans un cas comme dans l’autre, on est dans un rôle et c’est la peur qui mène la danse. La peur d’être rejeté, dévalorisé pour l’un et celle de perdre le pouvoir pour l’autre. Les relations humaines ne sont pas simples et elles nous renvoient toujours à la façon dont nous sommes à l’intérieur.

Lorsqu’on a confiance en soi parce qu’on apprend à ne plus craindre ses pensées émotions négatives, à ne plus les retenir et à les offrir à la source, ce qui revient à les laisser s’exprimer librement, à ne rien en faire, plutôt que de les projeter vers l’extérieur, on devient de plus en plus vrai et en paix. Ce que les autres disent ou font n’a plus vraiment d’importance parce qu’on sait qu’à l’intérieur nous sommes en sécurité et la solitude n’existe plus puisque le dialogue avec les corps, les aspects de l’être, permet de sentir que nous sommes plus qu’un mental, un corps physique, un corps émotionnel. 

Je manque de sommeil et lutte pour ne pas aller m’allonger mais je crois que je vais tout de même finir par céder. D’un autre côté, lorsqu’on est fatigué, les émotions n’ont pas le temps d’être retenues et ça peut être l’occasion d’accueillir ce qui émerge, de se centrer.





06 07 J’ai bien fait de ne pas aller m’allonger parce que j’ai pu offrir à la source des pensées émotions de peur, de colère, de révolte, de doute, de tristesse, simplement en ayant lu un article qui rebondissait sur une phrase prononcée par le président de la commission européenne. Il a parlé d’êtres très lointains qui nous observaient et s’inquiétaient de l’état de la communauté européenne. Une forme d’aveu que certains prennent pour un lapsus et qui pour d'autres, vont nourrir les théories complotistes.

Il est clair que le monde est dirigé par les égrégores de pouvoir, de dominance, d’avidité et quand on voit l’état du monde, des sociétés, il y a de quoi se demander si l’objectif des gens de pouvoirs n’est pas l’extinction de toute espèce vivante sur terre. 

Mais plutôt que de m’éparpiller en adhérant à une théorie ou une autre, je me suis tournée vers l’intérieur pour observer les réactions, les pensées émotions qui émergeaient. 
Je note aussi que la forte sensation de vivre dans un monde illusoire que j’ai ressentie le matin, ressemble à une préparation. 
Comme si cela me permettait de relativiser ce que je perçois au sujet des manipulations et de me souvenir que le mental projette ses peurs, ses doutes, ses émotions refoulées sur le monde. 
Si je veux pouvoir maintenir la paix à l’intérieur et l’harmonie, il est nécessaire de vider l’inconscient des énergies contenues, refoulées. Et cela se fait par l’émergence spontanée de ces pensées émotions. J’ai pu vérifier l’efficacité du lâcher prise, une fois de plus parce que l’émotion offerte à la source, finit par s’équilibrer. Le seul fait de pouvoir observer cela est déjà un grand pas vers la libération totale. Vers la désidentification à la personne seulement au profit de la sensation de paix et d'unité intérieures. 

Ce matin, les pensées sombres sont encore présentes mais comme je me fie à la guidance de la source et surtout, comme je ne les nourris pas, comme je sais que l’équilibre se trouve en reconnaissant ce qu’on porte et en l’offrant à la source, c’est relativement supportable. 
Il est clair pour moi, que le sens de cette vie c’est d’atteindre la maitrise mentale et émotionnelle, il est donc logique de confronter tout ce que l’inconscient recèle. 
Puis je remarque aussi que cela est progressif, que chaque émotion libérée en cache une autre. 
Si on considère que la dualité est un outil et non une vérité à laquelle adhérer en se positionnant d’un côté ou de l’autre, on peut sentir que le centre, le cœur est vraiment l’endroit où tout s’équilibre.

Puis, c’est légitime pour le mental de vouloir comprendre et se situer et quand on ne le rejette pas pour ça lorsqu’on sait qu’il est un partenaire limité dans ses perceptions, la conscience va s’élargir.

Vouloir comprendre le monde avec le mental seulement est impossible mais si on s’occupe déjà de ramener la paix en soi, de laisser la source réaliser l’équilibre et l’harmonie, l’idée même de vouloir comprendre le monde n’a plus d’intérêt. 
Alors je continue à demander à la source d’harmoniser tout ce que je suis et utilise l’effet miroir pour apprendre à revenir systématiquement au centre, à la neutralité.

Une fois le came revenu, après avoir aussi offert les critiques envers le mental de fouiller dans la m…, je me suis simplement occupée de moi-même, de mon corps physique, de ses besoins puis je me suis souvenue que j’enlevais les barrières de protection érigées autour du cœur et ça me rend naturellement plus sensible aux émotions et aux énergies. Le sevrage amène naturellement les pensées émotions refoulées à s’extérioriser et c’est une bonne chose parce que c’est libérateur. 




Hier soir, j’ai failli reprendre un bout de cachet parce que les pensées négatives et les sensations très désagréables émergeaient avec intensité mais au lieu de ça, j’ai parlé à mes corps, demandé à la source de calmer le mental. Je n’ai pas tardé à m’endormir confiante en ce processus d’accueil, d’abandon à la source.

Je n’ai pas cherché non plus à changer mes pensées négatives ce matin mais en les offrant à la source, ma vision au sujet du monde a changé et je me suis contentée de savoir que tout commence en soi, que la seule chose dont je sois responsable et sur laquelle j’ai du pouvoir si on peut dire, c’est mon propre corps, mon état d’être et ce que je fais de ma vie. 
Tant qu’on n’accepte pas les règles du jeu, tant qu’on ne sait pas que ça n’est qu’un jeu qui vise à nous rendre plus conscient et intelligent, on va s’identifier à nos pensées émotions difficiles et se pourrir la vie. Tout notre entourage en sera affecté et on continuera de croire qu’on est victime de la vie, des autres…

La notion de pouvoir est tellement faussée lorsqu’elle est perçue et interprétée par le mental seulement qu’il est nécessaire de revenir au cœur afin d’équilibrer cela en goûtant la puissance de l’amour en soi, de l’unité et de la paix. 
C’est aussi une leçon d’humilité qui rappelle que vouloir sauver le monde est un rôle que le cœur peut harmoniser afin que ces énergies servent l’être tout entier. A l'intérieur comme à l'extérieur, c'est la vie elle-même, la source, qui peut harmoniser les choses, les éléments de façon juste et équilibrée alors autant lui faire confiance.

Je constate que le mental s’apaise peu à peu, par l’effet des cachets mais surtout par ce rappel essentiel que tout est en soi et que c’est à l’intérieur que le pouvoir de l’amour s’exerce puis rayonne vers l’extérieur selon sa volonté et non selon celle de l’ego.

« Chers corps, mental, émotionnel et physique merci de vous laisser guider et harmoniser par la source. Merci aux ‘corps’ plus éclairés, plus sages, à la vision plus large et lucide, de guider la personnalité humaine afin que l’intelligence l’éclaire. Afin que les mondes intérieurs manifestent la paix, l’amour et le respect mutuel. Merci à la source de pacifier et d’harmoniser tous mes corps et les énergies. Merci à vous tous de m'apprendre à être à l'écoute de vos besoins et à les nourrir de façon équilibrée,  je nous aime. » 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr