1 07 Notre corps physique est intelligent et il contient en son ADN, ses cellules, toutes les infos nécessaires à notre épanouissement, à notre expansion de conscience et la compréhension de qui nous sommes en vérité.
Le
cœur capte l’info venue de l’extérieur et la communique aux cellules qui vont
se conformer au message reçu.
Cette info lui parvient sous forme de fréquences,
de son, de vibration et donc la parole est aussi un de ces vecteurs. Mais ce
verbe devient créateur au service de l’épanouissement si c’est l’être unifié où
l’énergie de la source qui agit ou qui mène la danse.
Et bien évidemment si on en a conscience et si on lui fait confiance.
Et bien évidemment si on en a conscience et si on lui fait confiance.
La lumière ou info parvient jusqu’au cœur qui
traite l’info et retient ce qui résonne avec la vibration de l’individu à un
instant T puis c’est seulement à la toute fin de son parcours, qu’elle est
transmise au mental.
Celui-ci étant traversé par des milliers d’infos à chaque
instant, il est essentiel de faire le ménage dans sa tête afin que le message de
la source soit clair et non filtré par des pensées émotions parasites. Les
pensées parasites sont toutes celles qui s’opposent à l’amour, la fluidité, la
paix…
Le corps émotionnel a aussi besoin d’être pacifié, équilibré et libéré de l’énergie associé aux croyances et conditionnements obsolètes de l’enfance ou plutôt de la personnalité qui tente de comprendre le monde et ce qu’elle est.
Pour
que le cœur puisse transmettre l’info au mental il passe par l’intuition.
L’intuition capte autant le mot que la vibration et interprète de façon neutre,
juste (comme une note de musique), l’info reçue. En ce sens vibrer l’unité en
soi est indispensable afin qu’il n’y ait pas d'altération ou de rupture de circuit de l’info.
Lorsqu’on
voit, perçoit quelque chose, le mental, l’inconscient, interprètent cela selon ses
références, selon les croyances qui sont une forme de connaissance très
relative et limitée puisque conditionné au vécu, aux apparences. Elles sont bâties sur le
système de survie et de déduction logique du mental/inconscient, toujours selon
les mêmes références.
Tant
qu’on ne reconnait pas les fausses croyances, interprétations erronées ou
incomprises des expériences de vie, on va répéter inlassablement les mêmes
schémas de pensées, les mêmes comportements.
Il
est évident que le mental n’est pas à même d’analyser les faits de façon juste
puisque sont point de vue est limité par ces croyances et conditionnements.
Lorsqu’il peut capter une info via le cœur et l’intuition, c’est parce qu’il a
compris certaines leçons de sagesse. Cette compréhension est venue de
l’alignement des corps, mental, émotionnel, intuition donc cœur.
L’info de
base, c’est l’amour lumière et toutes les qualités ou attributs que portent ces
vibrations, compassion, tolérance, ouverture, accueil, acceptation, douceur,
tendresse, fluidité, sagesse, spontanéité, vérité, humilité, liberté,
simplicité…
Lorsque
le mental comprend la valeur de ces qualités, il peut recevoir plus d’infos et
les intégrer dans le quotidien. Chaque fois qu’il y a prise de conscience, cela
apparait comme une évidence du fait que ce sont tous les corps qui reçoivent
simultanément la lumière ou l’info.
En ce sens lorsqu’on lit des messages
canalisés, cela ouvre l’esprit, la conscience humaine et dans le seul fait d’y
trouver une résonance, c’est le signe que le cœur est ouvert, que le mental est
ouvert, qu’il n’est pas limité aux croyances du monde et qu’il sait que les
apparences sont trompeuses.
On accorde beaucoup plus de crédit à un homme en cravate ou en blouse blanche et aux tempes grises, qu’à un enfant ou même à la nature. Mais ces apparats sont loin d’être des preuves de sagesse. On peut constater comment la science évolue selon des théories, des hypothèses qui changent au fil de ses investigations et expériences. De la terre plate à la terre ronde, de l’idée que le corps est juste un appareil mécanique, à la connaissance de son immense intelligence via l’observation intérieure, par les technologies modernes, il y a tout un monde, une époque d’obscurantisme.
Notre nature véritable sait toutes choses, l'enfant en soi, la sagesse du corps physique, l'intuition, peuvent nous transmettre des vérités essentielles.
On
sait aussi que ceux qui ont reçu des infos innovantes étaient ouverts à leur intuition et que très souvent c’est via les rêves, les
images symboliques, les métaphores, qu’ils ont compris les principes universels.
J’ai
vu ce matin, un genre de laser turquoise apparaitre dans le ciel. J’ai été
surprise et j’ai commencé à me demander le sens de cela puis comme j’ai reçu cette
vision alors que je contemplais la nature qui s’éveille, j’ai pris ça comme un
clin d’œil de l’âme, une info qui était reçue et allait être comprise peu à peu
selon l’intuition mais déjà, ça m’a ramenée à ma lecture passée des rayons supplémentaires
au "set de base", les 7 rayons.
Ces rayons constituent l’are en ciel et c’est de la lumière
chargée d’info. J’avais eu aussi la vision d’une colombe et d’un rayon de
lumière qui descendait sur moi alors que je méditais et maintenant avec du
recul, je constate que ça correspond au moment où j’ai vraiment lâché la dualité.
Ceci dit, c’est à chaque instant que nous sommes amenés à choisir de suivre l’amour
ou la peur et l’ouverture de conscience est en perpétuelle expansion mais on peut
noter des sortes de paliers qui une fois qu’ils sont franchis, nous donnent une
certaine stabilité intérieure.
Entre la croyance, la foi, l’intuition et l’assurance
ou certitude, il y a différents degrés d’intégration et quand la paix rayonne
en soi, on a acquis en chemin la force, la détermination, le courage, la
persévérance, la patience, la liberté d’être et la tolérance, ou permissivité, l’acceptation
de la façon dont tourne le monde.
On
peut observer comment un cristal capte et diffuse la lumière et tout le spectre
des couleurs qu’il émane. Chaque couleur est une info, une vibration, une
fréquence spécifique qui correspond à une vertu, un attribut de la sagesse, de
la conscience Une.
Cette image du cristal peut nous aider à comprendre
l’importance de nettoyer les filtres du mental émotionnel afin d’intégrer ces
énergies et de les rayonner dans leur pureté.
Plus on nettoie, c'est-à-dire
plus on centre son attention sur la paix du cœur et plus il peut harmoniser les
énergies décristallisées, celles qui ont été bloquées du fait des croyances et
conditionnements.
Lorsque
ces filtres sont plus propres, lorsqu’on ne s'attache plus au drame, on réalise l’importance d’être en paix à
l’intérieur et ça devient notre seul objectif, les corps s’unissent par la
vibration d’amour lumière du cœur qui bien qu’elle soit constante ne peut pas
être captée/comprise de façon claire tant qu’on est identifié au mental, à la dualité,
positionné d’un côté ou de l’autre des pôles.
L’info sera nécessairement
distorsionné et son traitement via le mental/inconscient nous maintiendra dans
l’ignorance tant de notre vrai nature que de la réalité de ce qui est.
L’info
passera par les mêmes connexions neuronales reproduisant les mêmes
comportements.
C’est
seulement deux heurs plus tard, que j’ai eu l’élan de regarder dans le livre de
Joéliah ce que signifie cette fréquence turquoise. C’est la compassion…
Cela veut dire tout autant que cette fréquence est en moi, comprise et reconnue comme une valeur essentielle puisque c’est un aspect de l’amour inconditionnel mais si elle vient maintenant, c’est qu’il est temps de l’intégrer encore plus afin de la rayonner naturellement.
Elle
va agir à l’intérieur, m’aider à revenir au cœur en toutes circonstances sans
avoir à passer par le raisonnement puisque je ne doute plus du tout ni de qui
je suis en réalité ni d’être guidée en permanence.
Vouloir
vivre paix demande un effort d’attention et de se souvenir que c’est en venant
offrir au cœur tout souci, toute pensée difficile et émotions associée, que
cela se réalise naturellement. Par le fait de porter attention au centre et de
lâcher prise, de faire confiance au cœur en sachant qu’il harmonise tout.
Ce
raccourci fortifie la confiance en soi parce que le doute ne peut pas
s’immiscer puisque l’info ne stagne pas dans le mental émotionnel. C’est
souvent cela, le fait de ressasser, qui nous maintient dans l’incompréhension, le rejet de ce qui est,
et la souffrance.
Une
fois de plus, l’intellect n’a pas la capacité de comprendre les faits de façon
juste, éclairée, élargie. Il peut juste laisser la conscience source agir et
s’ouvrir à capter l’info qu’il est capable de comprendre.
Peu à peu intégrant
plus de sagesse, il pourra interpréter avec justesse ce qui se manifeste. C’est
là son champ de compétence tant qu’on n’a pas une totale confiance née de l’expérience
de la paix en soi.
Lorsqu’on
est dans la souffrance émotionnelle on ne va pas pouvoir comprendre le point de
vue élargi de l’âme, on ne pourra pas accepter l’idée que le pardon ou lâcher prise
ou acceptation soit la clef. Puis plus on s’ouvre à la sagesse innée plus on
comprendra que non seulement le pardon est la clef mais en admettant que
l’unité intérieure, la neutralité, soient aussi une forme supérieure de vision des faits, on saura que
l’effet miracle du pardon vient juste de l’acceptation.
On comprendra que la
dualité est un contexte d’apprentissage et non une vérité universelle. On
comprendra que c’est l’effet contraste qui permet à la conscience humaine de
comprendre et de faire des choix. Qu’en faisant des choix, en décidant de porter
son attention ou sa foi sur tel ou tel énergie, concept, on sera plus ou moins
en paix et heureux.
On
pourra constater avec un certain recul que notre vie a été élaborée afin que
nous puissions ouvroir notre cœur et notre conscience. Que le zèle du mental a
chercher la vérité en prouve sa dignité, sa valeur et son amour pour l’être et
donc qu’on peut lui faire confiance.
Parce que dans l’observation des pensées
troublantes et leur harmonisation, on apprend à distinguer l’outil ; le
mental, des stratégies inconscientes quasi automatiques.
Tant qu’on ne devient
pas conscient de ce phénomène, du fait que les croyances s’élaborent de façon
automatique selon notre ADN, selon les croyances de nos parents, on continuera
de s’identifier aux pensées/émotions, à la souffrance.
Il
est clair qu’il perçoit aussi la résonance des souffrances de ce monde qui
viennent éveiller les blessures d’enfance, d’incompréhension et s’il ne sait
pas que c’est juste un contexte permettant de révéler la nature véritable de l’humain
divin, il restera englué dans ses raisonnements limitants.
Tant qu’on ne vient
pas en soi en suivant l’intuition, tant qu’on ne suit pas la guidance du cœur
et qu’on ne perçoit pas la vibration de la source en soi, on sera identifié au
mental. De cette façon on espère en vain qu’il trouve des solutions à nos problèmes et on
lui confie la charge de notre vie.
Le recul et l’expérience permettent de voir la corrélation entre la souffrance et les schémas répétitifs, le fait de jouer des rôles de ce triangle de Karpman. Quand on sait cela, on va pouvoir s’en détacher et déterminer lorsque ce sont le mental et l’inconscient qui gèrent notre vie par les stratégies vaines.
C’est
une étape où la confusion peut régner parce qu’on se rend compte que le mental
n’a aucun pouvoir, que nos croyances sont pour la plupart erronées et on ne fait
pas encore suffisamment confiance à l’intelligence du cœur pour s’y abandonner.
La peur viendra nourrir le doute
et en ce sens savoir offrir à la source en soi, les peurs, les émotions difficiles,
constitue une étape essentielle parce qu’elle révèle l’essence de l’être, la
paix possible et omniprésente qui demeure en soi.
Cet
"espace" a toujours été "présent" mais comme les fluctuations énergétiques dues à
l’identification au mental, comme on s’est identifié au bruit intérieur, aux
pensées émotions, on n’en a pas perçu la présence.
A
moins de faire le silence en soi, c’est à dire de ne pas donner foi au pensées qui
défilent sans arrêt, on ne pourra pas percevoir cet espace intérieur.
C’est
là notre pouvoir, celui de l’attention et de l’intention. Vouloir faire la paix
en soi et focaliser son attention sur ce désir.
Chaque
fois que quelque chose nous trouble, on se pose et on observe l’énergie
s’équilibrer, s’harmoniser. On commence à comprendre d’où vient la sagesse
véritable et on cesse de vouloir analyser, comprendre. On voit que l’info
circule dans tous les sens et que pour capter celle qui nous élève, il suffit
de laisser le cœur faire le tri. On entrera de moins en moins en réaction vis à
vis du monde extérieur pare qu’on sait que l’info majeure à en tirer, c’est de
revenir à la sagesse du cœur. Nos plus grand soucis seront offerts à la sagesse
du cœur, tout ce qui nous fait réagir, tout ce qu’on rejette intérieurement, ce
qu’on appelle défaut, faiblesse, erreur ne seront plus considéré de la sorte et
même si on en perçoit pas encore le sens profond, on se place en état
d’ouverture, de réceptivité, de confiance.
C’est
alors que vient la compréhension, fluide, évidente mais elle ne peut pas
toujours être exprimée clairement par le mental parce qu’il faudra revivre
plusieurs fois l’expérience pour non seulement faire confiance au cœur mais
aussi pour pouvoir interpréter l’info de façon juste.
C’est un moment qui peut
être difficile pour le mental d’où l’importance de faire confiance au cœur, à
sont intelligence avant tout et d’avoir de la compassion pour ce formidable outil
d’exploration, d’analyse, de communication...
Avec
du recul, je me demande si la déchirure ressentie à l’estomac lorsque j’ai fait
remonter à la surface des images difficiles de l’enfance en effectuant
l’exercice proposé par Nassrine Reza, n’est pas l’expression d’une ouverture de
conscience. Comme si le voile d’incompréhension se déchirait. Je n'avais jamais osé regarder cela en face et en fait, ça n'a pas été si pénible.
Les
symptômes physiques douloureux sont souvent considérés comme des problèmes
alors qu’ils peuvent être le signe d’une ouverture, d’un relâchement, d’une
guérison, tout comme lorsque je sens des pointes au cœur puis par la suite, je
constate que je suis plus tendre, que j’ai plus de compassion ou de confiance.
Toutes les croyances passées se dissolvent en ce moment et c’est une excellente chose parce qu’une croyance est l’expression d’une peur, d’un manque de compréhension et d’acceptation.
J’étais
au jardin et j’entendais des hommes parler du foot. J’ai toujours considéré
cela comme un jeu stupide et barbare qui nait d’un besoin grégaire de l’humain
à se rassembler en meute, comme l’opium du peuple qui permet aux dirigeants de
faire passer des lois liberticides lorsque les masses sont scotchées devant
l’écran de leur télé…bref, une vision plutôt négative. Puis en me contentant
d’observer les réactions intérieures avec neutralité, peu à peu, j’ai vu les
choses autrement. J’ai vu que le manque d’amour et de compassion voilait ma
compréhension et que l’orgueil en était la cause et le résultat.
Chacun
choisi la façon de manifester l’énergie de la source, de l’unité et on peut
constater comment l’opinion publique a changé son regard sur les étrangers
depuis la coupe du monde où l’équipe était composée de personnes d’origine
africaine. Puis au-delà de la compétition, des équipes qui s’affrontent, ça
créé du lien.
Les
deux voisins ont pu échanger quelques mots, partager cette vibration de
communion.
Et encore au-delà, d’un point de vue interne ; qui suis-je pour
juger l’autre ? Je me suis posée cette question non pas comme une
auto-critique ou une forme de rejet de soi mais comme un constat qui m’a permis
d’intégrer plus de compassion vis-à-vis de moi-même et des autres.
On reproche
aux autres d’avoir des réactions primaires mais le seul fait de juger indique
que nous sommes aussi en mode réflexe, dans la comparaison et le sentiment de
supériorité. C’est encore l’expression
du rejet des aspects internes régis par le cerveau reptilien et mammalien, une
forme de violence envers soi qui se projette vers l’extérieur à travers le
jugement.
Même
si je sais que l’amour inconditionnel est la clef d’une vie meilleure, d’un monde
meilleur et que cette vibration ou essence est la source de toute vie, l’intégrer
et la comprendre est un processus infini !
Savoir cela permet de rester humble, de continuer de se référer au cœur et de lâcher les notions de valeurs basées sur des jugements dont le fondement est toujours la peur de l'autre, de l'inconnu.
Savoir cela permet de rester humble, de continuer de se référer au cœur et de lâcher les notions de valeurs basées sur des jugements dont le fondement est toujours la peur de l'autre, de l'inconnu.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr