La
période de fumette m’a ramenée à une forme de réalité plus vivante, moins
intellectuelle et ça m’a fait le plus grand bien parce que je vis la plupart du
temps dans ma tête. Même au jardin, les pensées émergent sans cesse mais quand
j’ai les mains dans la terre, je ne m’en préoccupe pas, je les laisse aller.
Les
dérives du mental qui tente de comprendre le monde qui l’entoure, sont parfois
dévastatrices parce qu’elles nous maintiennent dans une bulle et les gestes sont
calculés, le comportement calqué sur un modèle prédéfini.
On ne sait pas vivre
simplement, de façon spontanée, tellement nous sommes formatés dès la
naissance.
D’un
autre côté, le fait que nous soyons influençables dans l’enfance est aussi le
signe que nous sommes interconnectés avec notre entourage, au-delà de la forme
et en elle.
Devenu adulte, on continue de vivre selon des schémas inscrits dans
l’enfance et on s’étonne de se sentir petit et impuissant.
L’idée
de guérir ou pour le moins de contacter l’enfant intérieur, de faire face aux
émotions qu’il porte, en rebute plus d’un parce que c’est trop abstrait et en
plus ça fait peur. On ne sait pas ou trop peu se dissocier des pensées émotions
alors on craint de ressentir celles qu’on qualifie de désagréables.
Retrouver
la spontanéité ne se fait pas en un jour, le mental qui vielle à ce que l’individu
ne souffre pas, va bloquer tout ce qu’il a identifié comme un danger et l’habitude
d’agir pour obtenir l’approbation extérieure ne perd pas si facilement.
Il faut
déjà en être conscient.
Souvent je me suis dit que j’étais fayotte, que j’agissais
pour plaire à ma mère enfin plutôt que je lui disais ce qu’elle voulait entendre.
Cette idée apparaissait et de suite, je la mettais de côté en argumentant, en passant
en revue toutes les choses qui nourrissaient ma liberté d’être.
Je confondais
liberté d’être et liberté de faire.
Ce livre audio de Thomas D’ansembourg décrit
bien ce phénomène humain, cette compulsion à vouloir plaire, à être gentil
plutôt que d’être soi-même.
Thomas D'Ansembourg – « Cessez d'être gentil,
soyez vrai! »
On a peur de nos propres ombres parce qu’on n’ose
pas les regarder en face, parce qu’on craint de ne plus être aimé si on exprime
ce qu’on pense ou ressent.
On a tellement besoin d’être approuvé qu’on est capable
de mentir, de faire n’importe quoi ou d’agir à l’inverse de ce que notre cœur nous
dicte juste pour être admis dans un groupe. Les différents bizutages en sont l’expression
la plus extrémiste.
Et plus on tente de plaire à l’autre, plus on se trahit,
plus on perd le sens de qui nous sommes en vérité. La peur du rejet, de l’exclusion,
en pousse plus d’un à jouer la comédie et le pire c’est que c’est automatique,
on ne s’en rend même pas compte. Pourtant cette peur tout comme les autres, ont quelque chose à nous apprendre, elles nous invitent dans un premier temps à nous tourner vers l'intérieur où nous pourrons observer le phénomène de pacification, de transmutation, d'harmonisation.
Il
est clair qu’on ne passe pas du statut de victime à la souveraineté en une fois
et il est fort possible que ça demande encore des siècles puisque ça fait des
éons que l’humain se croit séparé de la source, impuissant et indigne d’être
aimé de cette source père mère.
Même
si nous sommes originaires de cette soupe cosmique, nés des principes masculin
et féminin, de ces forces complémentaires créatrices, qui sont plus une
substance et un mouvement que des êtres ou des formes, pour le mental humain il
est plus facile de voir le créateur comme un homme et une femme ou comme des
êtres lumineux.
C’est
là que commence les problèmes et les nombreuses déviances !
On sait que la
pensée crée et que depuis le début de l’humanité, toutes les pensées émotions
ont formé des égrégores.
Chaque individu les nourris et généralement on le fait
de façon collective, l’opinion publique l’emporte ou créé des masses immenses
qui vont former des entités à l’image des dieux.
Il suffit de voir les
religions sur terre et la division que ça créé pour comprendre qu’on est loin
de la vérité, de la paix et de l’amour pur, en figurant la source.
Le dieu de
la bible, de l’ancien testament est construit à l’image de l’humain.
C’est un
dieu belliqueux, vengeur, génocidaire, dictateur, qui considère les hommes
comme des pêcheurs et les femmes comme des objets de reproduction qui sont soit
des mères respectables, soit des prostitués.
Et
ce tableau arrange ceux qui gouvernent puis les hommes qui dans cette
hiérarchie trouvaient une place honorable même s’ils étaient considérés comme
des esclaves ou de la chair à canon.
Le christ mettait en garde contre les
icônes parce que ça ne sont que des projections mentales auxquelles on risque
de s’attacher, de s’identifier, au lieu de focaliser son attention sur la
vibration, sur le cœur.
Là aussi, c’est un concept trop abstrait pour le mental
qui a besoin de voir, de comprendre, de contrôler.
Par définition, l’infini n’est
pas concevable pour l’intellect, pas plus que l’énergie, la vibration de l’amour, de la
source ou encore la foi.
La foi se fonde sur un ressenti, une évidence qui ne
trouve pas d’explication rationnelle tandis que la croyance est une forme de
repère qui tente d’enfermer les choses, de donner une définition à ce qui ne
peut pas l’être.
L’imagination
fertile de l’humain est à la foi un cadeau et un piège.
Tenter de donner un
sens au ressenti est plutôt aléatoire et en général on perd l’essence de ce qui
a été vécu. Le besoin de savoir, de contrôler, de comprendre pour se
situer, sont autant de postures qui nous éloignent de qui nous sommes en
vérité. Même si ça nous permet d'être en mouvement, d'avancer, on a vite fait de tourner en rond
La
connaissance intellectuelle n’amène pas au savoir, seule l’expérience nous y
conduit.
Et comme chacun est unique, même s’il y a des blessures communes qu’on
peut répertorier en 7 catégories selon le Dr Véronique Baudoux, chacun est une
combinaison de plusieurs corps, de paramètres spécifiques et uniques.
Le
mental est habitué à valider quelque chose si le résultat est immédiat et
spectaculaire.
Il ne tient pas compte des changements profondes et réels qui
pour lui semblent insignifiants.
Se libérer des masques, des conditionnements
et des rôles demande juste d’être présent à soi et de pouvoir accepter ce qui
se manifeste dans l’instant.
Il ne s’agit pas de suivre cela, d’en faire un
credo, une vérité mais d’honorer ce qui émerge et de l’offrir à la source, au cœur,
dont le pouvoir est d’harmoniser, d’englober, de transmuter, d’équilibrer.
La science
nous le montre, il est organe majeur, placé au centre de l’être et il régit la
coordination des organes, le flux de vie, le flux sanguin qui va nourrir l’être
tout entier. Associé au souffle, il maintient la vie, les mouvements, les interactions entre les cellules...
On
l’a tellement associé aux sentiments, à la vulnérabilité, aux émotions, qu’on ne
se rend même pas compte de son rôle essentiel, de la puissance de sa vibration tellement
nous avons érigés de murs afin de ne pas sentir les émotions désagréables.
Notre
mental sélectionne ce qu’il juge valable, utile et met au rebut ce qui ne lui
convient pas enfin ce qui risquerait de le mettre en danger. La source de nos difficultés, de nos souffrances, c’est que nous
nous identifions à notre intellect, nous croyons que notre conscience est
localisée dans notre cerveau.
On croit être notre mental et pourtant, on se
sent impuissant face aux pensées négatives, on se laisse facilement embarquer
comme si c’était une fatalité, comme si on n’avait aucun pouvoir sur celles-ci.
Quand
on sait que le cœur est vivant, vibrant, qu’il nous inspire, nous guide, que son
intelligence est la sagesse innée, la sagesse du vivant, on ne peut plus s’identifier
au mental. On sait que c’est un corps subtil puissant mais on n’en est pas l’esclave
puisqu’on sait aussi, par ailleurs, que le mental est relié aux égrégores et que
ce qui émerge en notre tête ne nous appartient pas vraiment.
Il
y a tous les conditionnements du collectif, ceux de la famille, ceux du modèle
que nous avons établi et que nous tentons de poursuivre. Si on ajoute à cela,
tous les égrégores qui les accompagnent, on comprend que nos pensées ne nous
définissent pas vraiment.
A la question "qui suis-je ?", on peut déjà répondre ce
que nous ne sommes pas vraiment ou ce qui est juste superficiel, éphémère.
De
la même façon quand on sait que les cellules du corps humain se régénèrent
régulièrement, on ne peut pas considérer que l’enveloppe charnelle est fixe,
immuable.
Les milliards de cellules, les milliards de bactéries qui composent
notre corps physique ne nous définissent pas non plus à moins qu’on considère
que nous sommes la vie.
La vie qui s’exprime en des milliards de formes, qui est
aussi sans forme.
Ainsi,
répondre à la question "qui suis-je ?", peut être un casse tête sans fin.
Je
pensais qu’en lâchant la dépendance aux cachets, je retrouvais celle que j’étais
à l’adolescence, j’essayais de me souvenir de mes rêves d’enfant mais là
encore, c’est insensé de vouloir se définir selon le passé, même avant le
trauma.
Le
plus juste me semble être "je suis ce que je suis dans l’instant" et "je suis en
perpétuelle évolution, en mouvement". Ce qui veut dire que si je suis (suivre) mon cœur, je suis (être) l'amour lumière, la conscience unifiée, vivante, en expansion.
Déjà,
quand on ne s’identifie pas aux pensées et aux émotions, on va pouvoir les
aborder d’une façon nouvelle, dépourvue de peur et d’à priori puisque si elles
ne me définissent pas, je n’ai aucune raison de m’y attacher ou encore de les
rejeter.
Choisir
les pensées qu’on veut nourrir ou croire est déjà une façon de ne plus subir ce
flot incessant, de reprendre sa vie en main. Mais très souvent on retombe dans
le mode sélectif et on casse la spontanéité qui fait que les automatismes
perdurent.
Tant
qu’on ne libère pas la charge émotionnelle d’une croyance, d’un
conditionnement, on nourrit le mensonge, ou ce qui n’est pas notre nature
véritable.
C’est très efficace de ne pas bloquer, projeter ou refouler une
émotion mais là encore, il faut oser l’affronter, la regarder en face sans témoin
si ce n’est l’amour en soi.
Ça peut sembler très abstrait d’offrir à la source
tout ce qui nourrit les croyances invalidantes mais en fait, c’est logique.
Si
je ne lutte pas contre une pensée, une émotion, elle va se stabiliser ou
passer.
Le seul fait de focaliser sa conscience sur le cœur, ou sur le corps
physique et de ne rien faire, suffit à libérer la charge énergétique.
C’est
vrai qu’il n’est pas facile de changer son mode de fonctionnement mais ça vaut vraiment
la peine. Peut être qu’il faut avoir fait le tour de ce qu’offre le monde, être
lassé des jeux de rôles, du semblant de pouvoir par la manipulation, la
séduction et la domination, pour oser faire ce face à face honnête avec soi.
Et
même là, c’est un chemin qui commence par la déconstruction des croyances, ce
qui entraine la perte de repères. Mais si on se focalise sur le cœur, si on
suit l’élan de l’instant sans juger et si on est prêt à se découvrir en vérité,
à se laisser être, la vie va nous porter à chaque instant. On comprend peu à
peu que le sens des choses a été faussé et qu’il ne s’agit pas de penser la
vie, mais d’être pleinement vivant.
Accepter
de se laisser dénuder par la conscience vraie, le sens inné de ce qui est
juste, c’est découvrir qui nous sommes au-delà de la forme, des à priori, des
rôles, des masques. Évidemment on est face à l’inconnu puisqu’il ne s’agit plus
d’agir pour obtenir un résultat spécifique, de jouer un jeu, mais d’être vrai.
La
vie est courte, éphémère, et on passe un tiers du temps à dormir. Pour le
mental, c’est flippant de se dire "je ne suis rien" parce que lorsqu’on retire
les masques, lorsqu’on ne s’identifie plus à un seul aspect de la personnalité,
on trouve la vie, le mouvement, la substance et le désir qui fait avancer.
Je suis
la vie qui s’exprime à travers un corps qui ne m’appartient pas, pas plus que
mes pensées, mes émotions, un corps à l’existence éphémère dans cette forme et qui
retournera à la terre un jour ou l’autre.
La
question de l’éternité répond à la peur de la mort, à l’attachement à la
matière, à la forme et pourtant c’est une sensation qui émerge lorsqu’on
ressent la vibration du cœur et lorsqu’on est conscient que tout est recyclé.
La nature nous le montre, rien ne se perd, tout est transformé, nourrit le
cycle de vie.
Si
le fait de porter des masques nous rendait heureux, il n’y aurait aucun
problème mais c’est la cause de nos frustrations, de nos souffrances et de nos
croyances.
Tant
qu’on n’est pas soi-même, on est mal dans sa peau, divisé intérieurement, on
trahit notre cœur, notre être véritable. Et si on attend de savoir qui on est
en réalité pour vivre, pour agir, on peut rester des siècles à penser.
On sait qui
on est en étant au plus prés de soi, en agissant selon l’instant, dans la
spontanéité et l’authenticité, tout en sachant que notre être véritable c’est l’essence
de la source, de la Vie.
La
société nous pousse à être productif, à établir un plan de carrière, à avoir de
l’ambition, à être sans arrêt en compétition alors que nous sommes
fondamentalement amour et lumière, paix et joie. Tout est faussé à la base et
grassement nourrit par les croyances collectives qui ont tenté de donner une
définition, un sens à la vie.
La vie est mouvement permanent et en se laissant
porter par elle, on peut réaliser qui nous sommes au-delà de la forme et vivre
à partir de notre cœur sans avoir besoin de se raccrocher à des croyances
aléatoires.
La
perte de sens amène les gens à rechercher les visions, à se tourner vers l’astral,
à imaginer les mondes invisibles, à vouloir être en contact avec les êtres de
lumière...
Nous
sommes ces êtres de lumière, l’humain a créé l’astral à l’image de ses pensées,
de ses peurs, de ses croyances et ça n’est certainement pas dans ces mondes qu’on
saura qui nous sommes en vérité.
On a besoin de s’accrocher à quelque chose, à
des images tout comme on suit le modèle prédéfinit selon notre race, notre
genre, notre culture…Soit on suit la mouvance collective, soit on prend le
risque de se rebeller mais dans un cas comme dans l’autre, on ne fait que
réagir et exprimer un seul aspect de ce que nous sommes. Une image
superficielle qui est sensée nous représenter.
Le
monde de l’image est aussi éphémère et changeant que celui de la forme, celui
des pensées, des émotions. En cessant de jouer un rôle, en revenant en son cœur
pour y trouver la paix, en aimant ce que nous sommes sans conditions, sans sélectionner
ou rejeter des aspects de soi, on trouve l’unité intérieure.
Et comme on ne
focalise plus sur un aspect périphérique mais sur le cœur où l’ensemble des
corps s’unissent de façon harmonieuse, on agit dans l’amour et la confiance.
Plus
cette confiance s’installe et moins on se pose de question, plus le geste est
spontané et plus la vie devient épanouissante.
Alors
évidemment, quand on voit l’état du monde, le gâchis, le ciel qui se charge de
nuages gris à mesure que passent les avions, il y a de quoi se demander ce qu’on
fout là.
Ce qui me réconforte, c’est de savoir qu’en revenant au cœur, je
trouve la paix et l’insouciance de l’enfant qui prend la vie comme elle vient.
Puis à chaque fois que je vois un avion parasite, j’appelle l’amour lumière à
se déverser sur les aspects internes qui sont dans le déni, l’autodestruction, ces
parts qui tentent de contrôler la vie, les émotions, les pensées, de façon chimique.
Puis dans la paix et l’équilibre retrouvés, la peur de la mort est absorbée dans
le désir d’être tout simplement vrai, ici et maintenant.
Et je me souviens que
tout ceci n’est qu’un jeu grandeur nature et que mon pouvoir se situe dans
le positionnement qui détermine mon état d’être.
Je pourrais me rassurer en me
disant que d’autres subissent des inondations, que j’ai de la chance de pouvoir
être épargnée mais je préfère accueillir en mon cœur tout ce que cela fait
émerger.
Là
aussi ce qui est difficile, c’est de croire en l’intelligence du cœur, de
penser qu’elle est supérieure à celle de l’intellect mais chacun peut en
vérifier la puissance en revisitant les moments intenses où l’amour s’est
manifesté dans sa vie.
On
a du mal à croire que l’autre ne fait qu’amplifier ce que nous portons lorsqu’on
est amoureux parce que ça touche tous nos centres énergétiques, nos corps
subtils, et en plus l'énergie du désir vient amplifier l'effet alors évidemment comme en général, il sont encombrés, chargés d’énergies
refoulées, la confusion est grande.
Quand la paix s’installe en soi, quand on
ne se juge plus, quand les énergies s’harmonisent, on commence à comprendre que
l’amour est une vibration, une combinaison de fréquences et que c’est l’enfant
en soi qui est le plus à même de manifester cela.
Le fait de figurer ces
énergies sous l’aspect enfantin, est un repère et aussi un outil puisque cet
enfant, c’est aussi ce que nous étions au moment où les croyances ont été
adoptées.
C’est l’expression de la vie en nous et comme elle est enfouie sous
des couches de peur, de croyances, d’émotion refoulées, on n’ose pas vivre
vraiment, on survit.
En
contactant les émotions et pensées qui nourrissent les fausses croyances, les
corps subtils s’allègent et la spontanéité permet ce nettoyage en profondeur.
Ce qui en émerge peu à peu, c’est l’être véritable, pacifié, unifié et libre.
Et
comme pour toute naissance, il y a un timing précis que seul notre cœur, notre
âme connaissent.
Là
encore ça nous ramène à la foi qui est un ensemble de sensations plus qu’un
concept. Des sensations et surtout celle de la confiance, confiance en la source et en la vie, en l'amour et l'intelligence du vivant.
En ce sens réapprendre à ressentir ce qui se vit en soi, s’ancrer dans
la matière et ne pas coller d’étiquette à ce qui est vécu, révèle l’essence de
l’être.
Je
fais la méditation guidée par Deepak Chopra depuis trois jours et ça me fait du
bien de focaliser mon attention à l’intérieur plutôt que de m’agacer avec ce
qui se manifeste à l’extérieur. Je remets le lien pour ceux qui seraient
intéressés.
Prendre 10 minutes de relaxation le matin pour se positionner sur la fréquence du cœur, de la paix et de l'harmonie, nourrit et amplifie la foi en ce pouvoir de créer son état d'être. La journée se déroule alors avec plus de fluidité, de souplesse et de légèreté.
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr