Ce
matin, j’expérimente quelque chose que je n’ai jamais pensé faire, c’est de
juste ressentir les sensations de manque physique qui se manifestent avant de
prendre les médicaments. Habituellement, je me contente de prendre un bout de
cachet quand je ressens ces petits signes comme des tensions musculaires.
Voyons…
Et
bien, les bâillements accompagnés de larmes se sont succédé et me montrent que
mon corps est disposé à lâcher prise au sujet de la peur. Quand je parle de la
peur, je parle des réactions physiques et psychologiques, de cette énergie de
fermeture, de blocage, d’évitement, de tension, qui gèrent le système interne de
survie.
Ça se traduit par de l’angoisse et surtout ces fameuses stratégies
d’évitement mises en place pour x raisons.
Qu’elles soient réelles ou
imaginaires, elles enclenchent le système de survie.
Et elles sont nombreuses
mais ce qui m’intéresse ici, c’est d’aller au cœur de ce système et juste
d’apprendre à le reconnaitre, le ressentir, le comprendre ou l’embrasser.
Je ne
doute plus du tout d’être continuellement guidée, éclairée puisque les
synchronicités et les signes se succèdent tout autant que les idées qui me
viennent spontanément ou encore des réponses à des questions posées « en
l’air ».
Avec
du recul, je vois que j’ai été préparée mentalement à effectuer cette
observation des crispations internes.
Déjà, le fait d’être neutre, de ne plus
me critiquer et d’être ouverte à ce qui vient, dans un premier temps au niveau
des pensées et un peu aussi au niveau émotionnel. Je précise ‘un peu’ au niveau
émotionnel parce qu’en observant le corps physique et ses réactions, je
constate qu’à part la colère/défense, très peu d’émotions dites "négatives" peuvent se manifester
de façon spontanée sans être immédiatement empêchées de s’exprimer.
Plusieurs
fois, l’idée que j’avais peur de la peur est apparue et j’en ai même parlé ici
puisque c’est une évidence qui se révèle lorsqu’on a à cœur de se connaitre en
vérité, en toute humilité, dans la transparence.
Nous
passons notre vie à contourner la peur soit en la réprimant, soit en
l’ignorant, soit en se protégeant d’elle par des actions du style assurance
vie, porte blindée, alarme de sécurité…tout un business très florissant
largement encouragé par la société qui vit de cette habitude à refouler les
émotions dites négatives, de l'ignorance de soi.
Quand
je dis que je suis guidée en permanence, c’est par l’écoute intérieure et surtout la résonance
ressentie à certains mots, images, messages.
Notre guide intérieur ou âme
ou conscience christique ou Soi…communique avec nous par vibration, par
ressenti, parfois aussi par des images symboles comme le rayon de lumière et la
colombe que j’ai vus hier ou encore par des pensées formulées à la deuxième
personne du singulier et à l’impératif comme « fais toi confiance »
ou « garde foi en l’amour »...
Elle/il
utilise tous les supports pour communiquer avec nous, les livres, les films,
les paroles entendues…et ce qui ressort comme une évidence ou fait écho en
nous, nous donne une sensation d’ouverture, des frissons aussi, est un message.
Ce qui est de l’ordre du ressenti, très souvent, est un clin d’œil, une façon de
nous faire savoir que nous ne sommes pas seuls ou abandonnés, que nous sommes
toujours relié à notre âme/conscience ou esprit.
Puis il y a les idées
spontanées, les mots qui font écho en nous, afin de nous préparer à recevoir une réponse
ou à réfléchir sur quelque chose qui détient une clef de libération.
J’écoute
de temps en temps l’émission de radio « les grosses têtes » en replay (donc sans pubs)
pour maintenir la légèreté, le lâcher prise mental et même si c’est débile,
comme je ne suis pas subjugué par le monde et ses croyances/manipulations,
c’est un moyen de détendre le mental qui a moins de répercussion douloureuse
que l’herbe par exemple.
La dernière expérience avec l’herbe m’a confirmée les
limites du produits, les côtés pervers plus nombreux que les supposés
avantages. Oui, c’est une aide si on veut maintenir la paix en soi à condition
de ne pas s’identifier aux pensées émotions qui sont exacerbées par le produit.
Et si on ne lui donne pas un pouvoir quelconque soit de croire qu’on est
rebelle à la société parce qu’on fume un produit interdit ou encore de
culpabiliser.
C’est toujours l’intention qui colore, qui donne une énergie
spécifique à l’expérience.
Si on est convaincu que ça nous fait du bien, ça
sera le cas. Mais là, on va devenir dépendant du produit et se couper de la joie véritable.
Le fait que j’ai pu offrir la culpabilité à la source en moi m’a
permis de voir objectivement les effets du produit. Il est clair que ça donne
une forme de sensation d’ancrage dans le sens où ça alourdit. On a la sensation
que les jambes sont lourdes, qu’elles s’enfoncent dans le sol. Puis comme ça
rend plus sensible au ressenti vu que le mental est déconnecté, ça peut aider à
se sentir présent en son corps physique.
C’est aussi un moyen de se centrer en
soi mais au lieu d’être positionné dans le cœur, l’ego est le centre.
D’une
certaine manière, ça peut aider à s’affirmer mais comme c’est l’ego qui est aux
commandes, ça peut rendre égocentrique, nombriliste et orgueilleux.
Et le pire, c’est si on ne
sait pas qu’on peut choisir nos pensées, si on croit y être soumis. C’est la
même chose vis-à-vis des émotions d’où les crises de paranoïa que ça peut
amener à vivre.
Dans certains cas, comme la nécessité de s’affirmer, de poser
des limites, de se défendre, ça peut être utile parce qu’un des avantages,
c’est de rendre spontané et vrai.
Le souci, c’est que très souvent, c’est
l’enfant en souffrance en soi qui s’exprime (comme avec l'alcool) et ça peut amplifier le malaise
parce que ça ne guérit pas durablement les blessures. Ça ne fait qu’apporter un
soulagement temporaire puisqu’on a exprimé sa vérité mais tant qu’on projette
notre mal-être sur les autres, on reste victime.
Ce qui est certain c’est qu’on
n’est plus ouvert à notre conscience divine mais on plane plutôt dans les
mondes astraux. A moins d’être très présent à soi, on est déconnecté de la
réalité de l’instant, celle qui est au-delà des pensées émotions, de la source
en fait.
Les chamanes utilisent les herbes, les plantes hallucinogènes, en
connaissance de cause, pour faire des
voyages astraux, sonder l’inconscient. Mais ils connaissent le goût de chaque
émotion et savent naviguer dans les mondes occultes de la psyché.
La plupart
des gens et surtout les jeunes utilisent ses produits pour fuir la réalité sans
savoir que tout commence en soi et ce qu’il essaie de fuir, ce sont leurs
propres énergies, pensées de peur, de doute, de manque d’estime de soi, de
rejet…On pense lorsqu'on est ado qu'en fumant une substance interdite, on est fort parce qu'on brave l'interdit mais on ne se rend pas compte qu'on fait le jeu du système.
Il ne faut pas se leurrer, ceux qui en font le commerce en grandes quantités, sont les gens qui en ont les moyens et donc qui sont au pouvoir. En ce sens, il est beaucoup plus intéressant pour eux que ces produits soient considérés comme illégaux puisqu'alors, ils sont exonéré d'impôt, c'est du pur bénéfice. Celui qui cultive chez lui croit être dégagé de ce système qui côtoie le trafic d'arme, la prostitution...tout ce qui nourrit les pouvoirs occultes mais bien que ce soit un moindre mal, il nourrit sa propre inconscience.
Je
reviens à ce qui a fortement résonné en moi lorsque j’écoutais l’émission
de radio. J’aime bien leur énergie de grandes gueules même s’ils sont à fond
dans le système, au moins ce sont des personnalités affirmées. Puis je peux
aussi ressentir les différents énergies selon les différents groupes de
chroniqueurs. Et comme le jeu, c'est de trouver les auteurs de citation, c'est une occasion de se cultiver dans la légèreté.
Bref, le mot qui a percuté, c’est « phobophobie » ou la
peur de la peur, la peur d’avoir peur. L’image de l’enfant que j’étais est
apparue en même temps que l’idée résonnait fortement.
Il
est clair que j’ai passé les 10 premières années de ma vie conditionnée pas la
peur de l’autre mais en même temps, la connexion à l’âme, à une réalité
beaucoup plus vaste m’a permis de ne pas m’identifier à ces pensées émotions. Les stratégies de survie ont été efficaces et en ce sens je ne peux pas les regarder d'un mauvais œil. Puis à
l’adolescence, j’ai fuit littéralement ce foyer toxique avec la forte
conviction que plus personne n’aurait la main mise sur moi.
Je ne savais
évidemment pas que c’était mes propres pensées émotions que je tentais de fuir
et encore moins qu’il était possible de les embrasser et ainsi de les libérer.
Cette
vision de moi enfant m’a poussée à être à l’écoute de mes mondes intérieurs et
réceptive aux messages de l’âme. Ce mot phobophobie révèle les stratégies
d’évitement mises en place, que ce soit par la prise de médicaments anesthésiant
les émotions ou l'observation des systèmes de
croyances.
Ceci dit, il n’y a aucune critique vis-à-vis de cela puisque ça m’a permis de lâcher des croyances avilissantes, celles du monde, de
la victime et ainsi de préparer le terrain afin d’être à même de confronter mes
émotions.
Déjà en commençant par les voir non plus comme des ennemis mais comme
des messagers. C’est un premier pas dans la libération des croyances qui est
nécessaire.
De plus on comprend et constate qu’on peut choisir nos pensées,
qu’on n’en est pas esclave et ça, c’est énorme.
J’ai
cherché la définition exacte du mot phobophobie sur google en me laissant
guider par la résonance interne. A ce sujet, cette résonance s’exprime par une
vibration, c'est-à-dire l’alignement de la pensée, de la sensation à l’amour
lumière en soi. Ce qui donne cette impression de savoir sans aucun doute.
J’ai
donc copié collé ce que j’ai trouvé à ce sujet depuis le site d’un psychologue
qui propose de guérir de cette peur de la peur. Il décrit le processus de
guérison en trois étapes et là encore, ça me confirme la guidance intérieure
puisque c’est ce que je fais.
Déjà, voici la définition qu’il en donne. Et si on est transparent, honnête avec soi-même, on peut tous reconnaitre que nous sommes dotés de ce système de survie interne qui vise à éloigner la peur ou à la nier.
« Plus que la peur, ce sont les réactions
de peur que le phobophobe craint par dessus tout. En effet, le sujet va
redouter d'avoir des symptômes de type anxieux : palpitations, sueurs,
tremblements. Dans certains cas, le patient est "craintif" et peut
sursauter au moindre bruit "suspect" par exemple.
Dans
tous les cas, les phobiques mettent en place des stratégies d'évitement de
la peur. Cela a un avantage immédiat : l'atténuation voire la disparition
de la peur et un inconvénient majeur à plus long terme : l'augmentation en intensité
de la peur, sa chronicisation dans le temps et la perte de confiance du
sujet en ses propres ressources personnelles. » A. Mokeddem, psychologue clinicien
Sa
pratique dans le traitement de cette phobophobie ou peur de la peur:
Tout
d'abord, j'informe le patient et je lui fournis un certain nombre
d'explications sur les phobies en général et sa phobie en particulier.
La
deuxième étape va consister à isoler puis à traiter les pensées
dysfonctionnelles. Pour une raison ou une autre, le patient a développé une
peur par rapport à un "objet". Des pensées automatiques
(dysfonctionnelles) vont se mettre en place et provoquer l'angoisse du patient.
Il s'agira de travailler sur ces pensées (restructuration cognitive) afin
qu'elles n'angoissent plus le sujet. On modifie le schéma de pensée.
La
troisième étape, souvent confondue avec la deuxième consiste à un exposition
graduée à "l'objet" redouté. Or, si une personne a peur des chats par exemple, cette dernière a déjà essayé
d'aller au delà de sa phobie "en se forçant".
Cela n'aura eu pour
effet que de l'angoisser davantage et d'en garder un mauvais souvenir. En
thérapie, ces expositions deviennent possibles car j'apprends aux patients
des techniques simples qui lui permettent de ne jamais se forcer et de ne pas
avoir peur.
Contrairement
à ce que pense souvent le patient, le traitement d'une phobie est relativement
aisé et ne demande le plus souvent que quelques mois de traitement.
Une
seule chose est importante, le patient doit être motivé c'est-à-dire vouloir
vraiment se débarasser de sa phobie.
Les
thérapies comportementales et cognitives sont des thérapies dites
"interactives" autrement dit, patient et psy sont partenaires dans le
changement.
Le psychologue parle, donne des conseils et des indications. Il
n'est pas une statue de cire. Le passé du patient n'est quasiment pas évoqué,
seul compte la phobie et son traitement.
La
lecture de ceci me confirme encore non seulement que je suis guidée en permanence mais aussi que si on
écoute son cœur, son intuition, ses corps, on peut se connaitre sans avoir
besoin de faire des études.
La sagesse, les connaissances sont en nous et
accessibles, n’est-ce pas formidable !
Là encore, l’intention, le désir
sincère de savoir, de se connaitre en vérité, la transparence que ça demande et
l’ouverture, l’écoute, sont les facteurs de révélations personnelles.
Pour
résumer :
1/
reconnaitre les systèmes de défense, de survie interne à chacun, les stratégies
employées: reconnaitre sans juger, c'est déjà libérer, décristalliser l'énergie
2/
chercher des infos au sujet de la constitution de l’humain, de la psyché, si
possible chez les scientifiques ou tout personne ayant un regard neutre sur le
sujet. Et se fier à son intuition pour accéder à la bonne info qu’on va
recouper, expérimenter et ainsi vérifier.
3/
Libérer les croyances invalidantes, celles du monde, en se référant à son
propre cœur, sa vision de la vie et du monde. Ce qui peut prendre pas mal de
temps mais en même temps, c’est ce qui nous permet de savoir comment on
fonctionne au niveau humain, de reconnaitre les messages de l’âme et donc d'amplifier la confiance en soi.
Ce qui
revient à se dissocier de la personnalité, par le recul et la neutralité et
ainsi à percevoir de plus en plus l’énergie ou vibration de la conscience Une,
de l’amour lumière. C’est en amplifiant la foi qu’on pourra aborder l’étape
suivante qui va finaliser la guérison.
Changer ses croyances au sujet des
émotions en s’appuyant sur le vécu, sur l’observation de la dissolution des
pensées de peur. Dans ce nettoyage du mental, on va faire l’expérience de
prises de conscience, apprendre à distinguer l’intuition du mental, reconnaitre
la présence de la source en soi.
4/
Apprendre à accueillir les émotions sera l’étape finale qui permet non seulement
de guérir du passé, de savoir prendre du recul sur ce qui se manifeste en soi
mais aussi de ne plus s’identifier au personnage. Tant qu'on a pas admis que la neutralité est nécessaire, tant qu'on continue de lutter et de diviser intérieurement, on ne pourra pas oser sentir ses émotions.
Dans cet accueil ou non jugement des pensées émotions, on apprend la maitrise (et surtout pas le contrôle) des
corps subtils et on intègre la vibration de l’unité, de la source. On est
libéré du carcan de la dualité qui n’est plus perçue comme une vérité ou comme
une prison mais comme un outil. Une invitation à retourner au cœur, à s’y
installer, à s’y référer.
Quand
on prend conscience de notre constitution, du fait d’être un ensemble de corps
et que chacun d’eux à sa propre vision, dimension, existence, conscience, et
comme ces connaissances sont véhiculées par la spiritualité en général, on sait
aussi que nous sommes "divin". Enfin on ressent qu'on est plus qu'un corps physique.
C’est très souvent là qu’on risque d’amplifier
encore plus la division intérieure parce qu’on va hiérarchiser nos corps
puisque on nous dit que ceux du bas sont inférieurs à ceux du haut.
On va
chercher à contacter les corps spirituels en pensant que ceux qui concernent la
personnalité, pensée, émotion, sont coupables, qu’ils nous empêchent d’accéder
au divin intérieur.
On va encore plus amplifier la division interne, la dualité
et donc s’éloigner de la source qui est unité, amour inconditionnel, paix,
liberté d’être, authenticité.
On va croire qu’on est connecté à notre soi alors
que c’est notre ego qui prend plus de place puisque les stratégies de rejet, de
refoulement vont mener la barque.
Tant qu’on n’aura pas le désir de vivre dans
la paix, l’unité et l’harmonie, on restera soumis/identifié aux stratégies de survie, à
l’inconscient et on vivra de plus en plus la dualité de façon douloureuse.
Beaucoup
de gens se tournent vers la spiritualité en espérant être sauvé, guéri par l'extérieur, les autres. Ils
considèrent la guérison de leurs blessures sous l’angle de la justice divine,
ils attendent d’être sauvés, élus, reconnus par la source, par un dieu qui viendra les
venger de leurs agresseurs et rétablir la justice. Ils pensent que leurs
prières seront exaucées s’ils se conforment aux rituels, aux dogmes, s’ils
obéissent aux lois bibliques, coraniques…ou ésotériques. Ils voient le divin
comme un personnage extérieur à eux qui va les libérer par magie.
Or
le divin, c’est la conscience omnisciente, omnipotente et omniprésente qui
anime toute vie et c’est en devenant conscient de cela, en étant de plus en
plus lucide, présent à soi, amoureux de la vie, qu’on va le découvrir peu à
peu.
En ce sens, se tourner en son cœur, être à l’écoute de ses pensées
émotions depuis l’espace de non jugement intérieur va nous y amener pas à pas.
Mais comme nous sommes construits au niveau de la personnalité sur les peurs et
leurs stratégies associées, sur les croyances basées sur l’idée de séparation,
c’est par le lâcher prise, la confiance en l’amour de la source, que la foi va
grandir.
Au début, avant d’expérimenter l’accueil/offrande des pensées émotions,
lorsqu'on veut suivre son cœur, son intuition, on avance à l’aveuglette puis chaque
fois qu’on va être dans l’observation neutre, on va cultiver nos perceptions,
les affiner et la foi/confiance va amplifier jusqu’à devenir certitude.
Il
s’agit de devenir conscient de tout ce que nous sommes, intérieurement,
profondément et au-delà, dans tous les sens de l’être, les aspects et c’est
possible seulement dans la neutralité donc dans le cœur, l’amour
inconditionnel.
Tant qu’il y a jugement, il y a résistance, fermeture, rejet,
donc déconnexion ou du moins ignorance de la connexion constante à la source.
La
confiance en la source passe par la reconnaissance de nos corps subtils et
aussi physique. C’est à travers l’exploration neutre de nos corps mental,
émotionnel, nos sentiments, nos sensations corporelles qu’on va entrer en
contact avec notre vrai moi, notre vrai soi, notre unicité par l’unité des
corps.
Nous
avons un outil de connaissance formidable dans cette exploration, c’est la
communication non violente.
La conscience que chacun des corps est vivant,
autonome et le fait de leur parler va engendrer une énergie d’unité, d’union,
de communion.
On va commencer à comprendre comment chacun d’eux s’exprime et
quel est leur rôle véritable.
Parler à son corps physique est très révélateur
de cette intelligence qui habite chacun.
Elle s’exprime au travers de
sensations, de la joie, de la douleur aussi puisque dans la dualité, l’amour
lumière peut s’exprimer de deux façons opposées.
Soit par son absence
apparente, sa contrainte, son aspect « négatif », soit dans sa
polarité opposé par le contentement, la joie, la sensation de gagner.
L’une
comme l’autre, la pensée émotion positive ou négative n’est que l’expression
polarisée de la lumière invitant à chercher le centre.
La joie véritable ou
celle de l’être n’a aucun raison d’être, elle vient spontanément et témoigne de
la reconnaissance, la gratitude d’être simplement en vie.
Elle peut s’exprimer
dans la communion avec le corps physique lorsqu’on exprime de la gratitude à ce
corps en sachant ce qu’il est en vérité.
La reconnaissance, la gratitude sont
des expressions de l’amour divin, qui viennent spontanément de la conscience
d’être et elles peuvent être sollicitées.
On peut focaliser son attention sur
les choses pour lesquelles nous sommes reconnaissants et ainsi s’ouvrir à la
grâce.
Ces quelques mots ont fortement résonné et j’y ai donc reconnu un signe
de l’âme puisque je partage ce point de vue et j’ai ressenti cette joie hier soir en adressant justement des
pensées de reconnaissance envers mon corps physique. J’ai eu la sensation que
mes cellules pétillaient de joie.
Vos
Cellules Sont à l’Écoute.
La
Façon dont Vous Parlez à Votre Corps Vous Aide à Guérir.
"Chaque
partie de votre corps a sa propre Conscience ou sa propre Âme".
Jain
108 Mathemagics
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of The Diamond Light Codes
Transmis/traduit par TransLight https://www.facebook.com/TransLight
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On
a tous vu l’expérience de Masaru Emoto avec l’eau et la puissance de
l’intention, du verbe. Ses expériences nous montrent l’impact des prières, du
verbe mais c’est surtout l’intention qui est émanée, au-delà du verbe qui agit.
Lorsqu’elle est alignée au cœur, à la pensée et aux actes, le résultat est
miraculeux. Et c’est aussi pour cette raison que lorsqu’elles sont
silencieuses, émises simplement par la vibration de paix en soi, lorsque le
mental est en paix, confiant, que la réponse sera entendue et qu'elle correspondra à notre demande.
Le
message de l'eau de Masaru Emoto
Pouvoir
prendre du recul sur nos pensées émotions permet de voir comment nous
fonctionnons : toujours en mode survie, stratégique.
Il n’est donc pas
étonnant d’avoir de la difficulté à pouvoir accéder à nos émotions pures
puisque l’instinct de survie va tout faire pour les cacher, les rejeter, ou les modifier.
On peut parler de l’art d’accueillir ce qui se manifeste en soi parce que c’est
toute "une pratique" qui demande juste d’être présent et de ne pas intervenir du
tout.
C’est là que ça se corse puisqu’on va voir à quel point nous avons
élaboré de stratégies d’évitement.
Le
fait de modifier sa respiration, de chercher la paix immédiatement est une
forme de fuite, c’est un réflexe conditionné qui correspond au rôle protecteur
du mental qui agit simultanément au
niveau physique par une décontraction, un bâillement comme tout à l’heure. C’est
naturel, instinctif et bien que ça dévie l’émotion, donc ça ne permet pas de la
vivre pleinement dans sa forme initiale, on libère tout de même la charge
énergétique, la première couche si on peut dire.
Peu à peu, on va lâcher la
peur de la peur, la peur de sentir des émotions douloureuses ou négatives. Jusqu'à faire totalement confiance à nos corps et surtout à notre cœur.
Notre
Conscience est extrêmement puissante puisque le seul fait de reconnaitre
quelque chose sans porter de jugement, harmonise, équilibre l’énergie.
Considérer
ses corps comme des outils de perception, des corps dotés d’une conscience autonome,
du moins habités aussi par la conscience Une qu’ils expriment à leur façon, c’est reconnaitre qu’on
peut interagir avec eux.
Et lorsqu’on le fait, on sait qu’on n’en est plus
victime, esclave ou prisonnier.
Rien que ça, c’est déjà immense parce qu’on se
libère du conflit, de la division, du rejet et de l’exclusion. Et même si ce savoir est surtout mental comme il est en paix et associé au corps émotionnel, ce dernier pourra s'exprimer plus librement.
La conscience
divine peut alors se répandre et éclairer ces corps qu’elle va nettoyer, aligner à sa vibration. On sentira une grande libération intérieure et la paix va s'installer.
On continuera de refouler l'émotion par réflexe mais déjà, comme l'énergie de vie peut circuler plus facilement en ce corps, la peur de la peur va se dissoudre peu à peu.
Le
fait de considérer les corps comme des ‘entités’ intelligentes est aussi ce qui nous
permet le détachement, on peut s’en désidentifier non plus par rejet mais par
la reconnaissance de ce qu’ils sont en vérité: des associés.
Dès lors, l'expérience terrestre d'être un humain devient une exploration, une aventure palpitante!
Et
lorsqu’on considère les choses de cette façon la sensation d’être un ensemble,
de vivre l’unité, d’être l’Un, va nous porter, expanser notre conscience, notre
amour et notre confiance.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr