(15 juin) Je me sens tellement portée en ce moment que j’ai envie de partager encore
quelques impressions et expériences. Je constate qu'à chaque fois que l'extérieur est chaotique et que plutôt que de réagir en projetant mes propres pensées émotions, je les offre à la paix du cœur, je vis un "saut quantique"; une expansion de cœur et de conscience, intégrant plus de paix, de liberté d'être, de confiance en soi et en la vie.
Alors que je me reprochais d’avoir raté la
méditation guidée du 12ème jour de la série donnée par Deepak
Chopra, j’ai offert ces pensées à la source et peu à peu, des idées me sont
venues telles que « tu n’as pas besoin de t’entendre dire ce que tu sais
déjà », « tu sais que tu es toujours guidée », « apprend à
te/me faire confiance »…
Puis je me suis rendue compte que j’avais vécu la
médiation du chakra de la gorge au travers de l’envie d‘écrire tout au long de
la journée d'hier.
Le chakra de la gorge étant celui de l’expression et la méditation
que j’ai loupée.
Je connais mes points faibles mais aussi mes
capacités et on ne peut pas dire que je sois quelqu’un qui éprouve de la
difficulté à s’exprimer. Je n’ai donc rien perdu de ce qui a été enseigné et en
plus en écoutant celle du 13ème jour qui parle du 3ème œil, de l’intuition, j’ai retrouvé l’essentiel de ce que j’ai écris ce matin à
ce sujet.
C’est
un phénomène difficile à comprendre pour le mental enfin disons qu’il ne
mesure pas la portée de la vérité de la conscience Une. Magali en a un peu
parlé dans son "partage vibral" et plusieurs fois, il m’est venu à l’esprit que
l’inter-reliance n’est pas uniquement un beau concept mais une réalité qui s’étend
à tous nos corps, à tous les aspects de l'être.
Le
fait que nous soyons tous issus de la même source est pour moi une évidence
mais les conséquences de cela apparaissent de plus en plus clairement. Et surtout, je ne le constate plus seulement au niveau des croyances collectives et des blessures.
Il
semble tout à fait logique que nous ayons un point de vue, une vision commune
lorsque nous réalisons l’unité intérieure. Lorsque nous prenons conscience
qu’il n’y a pas de séparation ni en soi ni entre toute vie, on comprend mieux
comment fonctionnent les signes, les synchronicités et pourquoi nous recevons
au même moment les mêmes infos.
Je parle évidemment de ceux qui sont sur la
même longueur d’ondes, qui ont la même foi en cette source divine commune à
tous et en la puissance de l’amour inconditionnel, en l’intelligence du cœur.
Plusieurs fois, j’ai été surprise de lire le contenu de messages des êtres de
lumière via Monique Mathieu ou Magali, qui étaient en parfaite résonance avec
ma pensée du moment.
Ceci démontre que lorsqu’on est conscient d’être connecté
à la source et qu’on est guidé par elle, on capte les mêmes fréquences/infos. Après ce qui diffère, c'est la façon de comprendre et d'interpréter cela et ça oblige à nettoyer les filtres du mental émotionnel.
C’est
une question d’ouverture de cœur, de conscience et de réceptivité.
J’ai reçu la
vision d’une colombe et d’un rayon de lumière au-dessus de ma tête en
accueillant les pensées émotions de critique pour avoir raté une méditation, qui
m’a confirmé la connexion au Soi, l’importance de faire la paix avec soi-même
et les conséquences magnifiques de ce choix. Je ne me suis pas non plus
accrochée à la vision parce qu’elle est juste un message personnel de l’âme et
pas quelque chose à laquelle m’accrocher ou encore à exploiter. Ceci dit, c’est
tout de même agréable de voir qu’on est guidé, soutenu, compris et reconnu par
la source en soi, par le Soi et l’âme.
La vision est un repère, un clin d’œil intime
de l’âme qui n’a de sens que pour celui qui la reçoit, dans l’instant en plus. Il
ne s’agit pas de s’arrêter dessus ou encore de se prosterner devant dieu, les
anges ou les guides.
Chacun est guidé et notre job, c’est d’être ouvert et
réceptif afin de le constater. Devenir conscient de qui on est, pas à pas, en
allant au-delà des mécanismes de la pensée, des croyances, en cherchant d'abord à faire la paix avec tout ce que nous sommes.
La
vision du cœur est celle de l’unité, du rayonnement de l’amour
inconditionnel, impersonnel, universel, le sens du moi devient celui du Je. Le Je unifié aux
autres Je.
On ne peut pas parler d’uniformité puisque chacun conserve ses
particularités mais le fond est le même, la vibration est commune, la vision
est globale et commune.
C’est un mélange de paix, de joie, d’harmonie, une
conscience élargie, ouverte et libre.
Lorsqu’on se confie entièrement à la
vibration du cœur, la confiance est telle que même la mort ne fait plus peur.
Déjà parce que la peur n’est plus considérée comme un obstacle mais aussi parce
que la paix est continue et la conscience d’être éternelle devient évidente. Du
coup, plus de sentiment de perte, de temps ou autre, plus de peur de l’échec
puisqu’on sait qu’il n’y a rien à gagner ni à faire pour être soi mais juste
s’accepter en totalité, se reconnaitre, s’accueillir. Et c'est en le faisant qu'on découvre qui on est en vérité sur tous les plans.
Bien que cette idée soit
contenue en une courte phrase, nous faisons l'inverse et sommes toujours à espérer être validé par
les autres. On revendique le droit à la différence alors qu’on fait tout pour
être apprécié et donc pour correspondre aux attentes extérieures, pour donner
une image acceptable de soi, populaire, qui plaise au plus grand nombre, une belle image bien formatée selon les critères culturels…
On
veut être libre mais on reste enfermé dans nos croyances limitantes, conditionné au regard extérieur, de notre
famille, de nos proches, de ceux qu’on aime et de la société.
Tant
qu’on ne s’individualise pas totalement, on ne peut percevoir l’unité entre
toute vie. Tant qu'on ne réalise pas que tout en soi est viable et qu’il suffit
juste d’amener en notre cœur, les parts rejetées antérieurement, celles qui
risquaient de trop nous différencier des autres et donc de nous exclure du
groupe, on n’existe pas vraiment et tous ces aspects internes sont légitimement
en révolte.
La peur du rejet, de l’exclusion, est si forte qu’on est prêt à se
renier, à se trahir, juste pour être aimé. Cette attitude créé des sentiments de
manque, amplifie la division intérieure et par conséquence nous oblige à
toujours en faire plus pour obtenir l’approbation extérieure.
Le sentiment
amoureux est perverti, on aura l’impression de trouver son âme sœur, sa flamme
jumelle, son "prince charmant", simplement parce que l’autre a quelques affinités avec nous et parce qu’il
daigne s’intéresser à nous.
Mais l’amour
est en soi et l’autre le révèle par son regard focalisé sur nous. On prend
conscience alors qu’on est quelqu’un de valeur et on appelle ça de l’amour en
pensant en plus être chanceux.
Les
dirigeants (ceux qui tirent les ficelles derrière les gouvernements) connaissent
bien les mécanismes psychologiques/émotionnels des humains, leur faiblesses,
leur manque d’amour et leurs besoins.
Ils
font tout pour uniformiser les individus et même la nature, les pays, le
climat, la nourriture…
Les chemtrails, outre le fait qu’ils soient l’expression,
la projection de la façon dont chacun gère ses penses émotions, ont aussi ce
but d’uniformiser le climat et donc les populations. Ce faisant ils contrôlent
les gens, leur font perdre le sens du rythme naturel, les repères essentiels à l'équilibre intérieur et en plus l’agriculture, le tourisme, les besoins vitaux des populations, la
santé, les émotions qu’ils classent en catégories et bien évidemment les
individus par la même occasion.
Il y a donc les peureux, les soumis, les
révoltés, les gagnants, les performers, les talentueux, les intelligents, les gagnants, les perdants…chaque
catégorie est contrôlée à travers ses peurs, ses faiblesses et l'ensemble est hiérarchisé, chaque pion a sa place dans un sous groupe.
Tout le système est géré
de façon à donner à chacun ce qu’il demande.
Ceux qui pensent avoir besoin d’être
gouvernés auront l’opportunité d’élire leur chef, ceux qui se sentent miséreux
pourront entrer dans la compétition afin d’assouvir leur envie d’égalité tout
autant que ceux qui ont du talent et ceux qui ont un QI plus élevé que la
masse.
Tout est fait pour nourrir les peurs et besoins de chacun donnant ainsi
l’illusion de la liberté. Ceux qui sont en quête de justice pourront se
révolter en signant des pétitions, être affiliés à des organismes de défense de
l’environnement, du vivant, ou encore adhérer à des mouvements politiques, des
syndicats. Les artistes pourront rêver de succès, de gloire et espérer être
reconnu par la masse, passer à la télé, et sans s’en rendre compte nourrir l’esprit de compétition, l’élitisme. Également
ceux qui sont en quête de sens pourront se tourner vers la spiritualité, les
sciences, les connaissances mondaines.
Chacun dans son domaine trouvera sa
place et pourra être reconnu dans sa spécialité.
Un semblant de liberté, d’égalité
et de fraternité sera vécu puisque chacun entrera dans la case qui lui a été destiné
en ayant l’impression d’être épanoui et de l’avoir choisi.
Et
même les rebelles pourront se nourrir des révélations des médias alternatifs et
ainsi trouver une raison d’être, en partageant ces infos et ainsi en ayant l’impression
de changer le monde.
On ne se connait pas, on se s’aime pas et c’est ce qui
fait la force des dirigeants occultes qui eux savent donner à chacun l’illusion
d’être important ou de pouvoir le devenir.
Alors
oui, on peut se dire, le monde est pourri, les dirigeants officiels sont des psychopathes
corrompus mais si on y regarde de plus près, on voit que ce système convient à
tout le monde.
Chacun est manipulé de l’intérieur et par l’extérieur selon ce
qu’il occulte en lui-même.
On retrouve strictement les mêmes modes de fonctionnement et les mêmes personnages à l'intérieur et à l'extérieur.
Le politicien sera étudié dans les moindres détails
par ceux qui détiennent le pouvoir financier et connaissent parfaitement l’humain,
afin de trouver son point faible et ainsi de pouvoir le manipuler.
Les
chemtrails que la population ne remarque même pas sont l’extension de cette
mainmise sur l’humanité ignorante de sa vraie nature. Même les religions, la
spiritualité à quelques rares exceptions, nourrissent l’illusion et le besoin
de maitres. Là aussi, le formatage est la règle et peut-être encore plus dans
le mouvement New âge.
On
peut se lamenter et vouloir quitter ce monde mais on peut aussi utiliser cette
situation pour trouver ce qui en soi a besoin d’être reconnu, aimé et lâché. L’extérieur
nous pousse à faire des choix, à nous situer dans une des cases prédéfinies par
l’élite qui se nourrit de nos pensées émotions énergies duelles.
Tant
qu’on se situe d’un côté ou de l’autre de la dualité, déjà c’est un
positionnement qui dépend des croyances collectives puisque ce qui est
considéré comme bien par une société, un pays, peut être considéré comme mal
pour un autre.
Tant qu’on se situe vis à vis de l’extérieur, se considérant comme
des bonnes personnes, on fait le jeu de la dualité, des guerres, on nourrit
grassement le jeu de la division et de l'exclusion. On continue de croire que les autres sont la cause de notre mal-être et notre croyance nous amène à le vivre de cette façon.
Le positionnement à partir de l’ego est
toujours limité et conditionné aux croyances personnelles ou collectives, à l’inconscient.
On pense qu’en étant performant, qu’en étant la meilleure version de soi-même,
on est quelqu’un de bien mais on se leurre complètement. On ne fait que
perpétuer l’esprit de lutte, de compétition, les guerres, les injustices, l’idée
de performance nécessaire, de gloriole, de supériorité, tous ces sentiments qui
donnent l’illusion d’être quelqu’un de valable. Valable parce que mieux que l’autre,
plus fort, plus beau, plus accompli, plus courageux…
Le
courage, c’est de se regarder en face, de reconnaitre ses peurs, ses manques et
de faire confiance à la source intérieure, à l’intelligence universelle qui n’a
rien à voir avec les connaissances intellectuelles, les références du mental ou
des connaissances ésotériques, occultes.
Le
fait de vouloir être la meilleure version de soi-même ou comme certain le
prétendent manifester son Soi supérieur, en mettant en avant de façon calculée
par le mental, nos plus beaux atours, n’est qu’une mascarade égotique.
C’est de cette
façon que l’élite gère le monde et on voit le résultat. Ça nourrit l’inégalité,
l’esprit de guerrier, de prédation, de dominance.
Tant que l’estime de soi sera
associée au besoin de performance, de plaire, et que l’humain se définira à
travers le regard approbateur des autres, on nagera en pleine illusion.
Tant
qu’on pensera devoir changer quelque chose en soi par la force, la contrainte
afin de coller au modèle idéal prédéfini par les autres/par la peur, on sera dans le rejet
de soi et forcément de pans entiers de la population.
Tant
qu’on pensera trouver le bonheur par la dominance, la force ou en changeant les
autres, le monde, la donne, on ne connaitra que de petites joies éphémères appelant
toujours plus, en vain.
Tant qu’on luttera contre soi, on sera en guerre avec les
personnes, les groupes qui correspondent à ces parts internes refoulées.
Nous
sommes nos propres manipulateurs tout simplement parce que nous sommes identifiés au mental et en même temps animés
par l’énergie créatrice de la source, nous portons l’essence du principe même
qui créé et qui régit la vie, les univers, mais notre vision est tellement
focalisée sur notre nombril et nos manques, qu’on ne voit que la surface. Nous
sommes tellement occupés à ne révéler qu’une part de nous-même que nous ne nous
connaissons absolument pas.
Trouver
la lumière en soi ne veut pas dire de mettre en avant ses qualités pour se
sentir valable/supérieur, ça veut dire de se regarder de façon objective et globale
sans occulter un seul aspect de l’être ou le rejeter.
Et quand on le fait
sincèrement, on voit que ce qui se joue dans le monde est l’exacte réplique de
ce qui se vit en soi.
Le
sentiment d’injustice ne vise pas à nous révolter contre les méchants, il nous
invite à venir au cœur afin d’y offrir toutes les pensées émotions qui le génèrent; afin d'offrir notre propre méchanceté, celle que nous exerçons d'abord envers nous-même, à l'amour lumière que nous sommes en vérité. L'amour lumière ou conscience expansive créatrice, qui est notre essence commune à tous.
L’état
actuel du monde est finalement une chance parce qu’il oblige chacun à chercher
la paix et comme celle-ci ne se trouve qu'à l'intérieur, c'est une belle opportunité de savoir. On voit bien qu’on n’a aucun pouvoir de changer le monde puisque la
domination est calculée au millimètre et même ceux qui sont élus n’ont qu'un pouvoir relatif.
J’ai
été choquée par une vidéo de l’inauguration d’un tunnel en Suisse où l’élite
applaudissait un spectacle pour le moins tendancieux. On y voit le schéma de la
dominance de cette élite qui possède le pouvoir financier et le héros de ce
cortège n’est autre qu’un bouc. Des danseurs défilent en portant l’agneau du
sacrifice, bref, un spectacle qui dépeint l’état actuel du monde et l’arrogance
de ceux qui dominent.
Je m’en suis voulue de regarder les photos de cette
procession puis j’ai offert à la source toutes les réactions intérieures de
dégoût, de révolte, de tristesse, d’envie de me barrer de cette planète…
Malgré
tout, j’étais en paix et confiante puis quand les pensées de peur, de colère, de stupéfaction, ont disparu,
j’ai senti que tout est juste, comme toujours.
Lorsqu’on
s’observe honnêtement on peut constater que nous avons des idées de meurtre, de
vengeance, des envies de tout faire péter pour ne plus voir le massacre éhonté
du vivant sur la planète; nous portons tout en nous.
Et ça n’est pas en niant
ces aspects primaires qu’on peut s’en défaire, au contraire, on leur donne du
poids, de l’énergie et ça continue de nourrir le sentiment d’injustice et d’impuissance.
Les
dirigeants pensent bien faire et surtout, ils pensent à sauver leur peau parce
qu’ils n’ont pas le choix. Quand quelqu’un arrive au pouvoir même avec les
meilleurs intentions, il est immédiatement contacté par les gens de l’ombre qui
ont un dossier complet de ses faiblesses, de ses peurs et comme le politicien
doit son succès, sa crédibilité à son image, aux qualités qu’il vend afin d’obtenir
des voix, il est coincé.
Tant que l’humain s’identifiera à ses pensées, son image et que l’amour
de soi sera fondé sur le rejet et la division intérieurs, le monde continuera
de tourner à l’envers.
Mais tout ceci est une formidable chance puisque c’est
tellement flagrant qu’on peut difficilement passer à côté du pouvoir réel.
Du
point de vue de l’élite, de ceux qui se considèrent comme des lumières, tant au
niveau mondain que spirituel, le monde est parfait. Il l'est aussi pour celui qui cherche la vérité.
Les uns parce qu’ils tirent
leur pouvoir ou valeur de la dominance et les autres parce qu’ils voient l’obsolescence
des jeux de pouvoirs et vont au-delà de la mascarade.
Ce
qui divise aussi les gens, ce sont les définitions de la vie, de l’intelligence,
de l’amour et de la source créatrice. On se bagarre à propos de concept
élaborés par le mental. C’est du vent ! La vérité ne peut pas être
conceptualisée pas plus que l’amour ou la vie.
Chacun est amené à savoir par
lui-même, de l’intérieur ce qu’il est en vérité au-delà de toutes les couches
superficielles. Une vérité tout d’abord subjective, relative à la personnalité,
puis absolue, qui englobe tout.
Mais
là encore, c’est à vivre dans l’intimité de son propre cœur.
Entre soi et Soi,
entre tous les aspects de l’être qui sont appelés à collaborer de façon
consciente et harmonieuse. Chacun pourra alors avoir une vision commune de ce qu’est l’amour,
la liberté, un sens profond de l’individualité tout en ayant conscience de
faire partie du tout.
On
prône la liberté, l’égalité et la fraternité mais en soi, c’est sans arrêt la
guerre, la contrainte, le rejet et l’exclusion.
Ce petit exercice proposé par
Byron Katie est très efficace.
« Choisis
la chose dont tu as le plus honte ».
Il peut te falloir un peu de temps pour la découvrir.
Nous sommes tellement secrets quant à ce qui nous fait honte que nous essayons même de l'oublier, en nous accrochant à notre prétendue respectabilité, alors que nos pensées retournent en tout sens à quel point nous sommes pitoyables, estimant impardonnables ce que nous avons commis.
Nos secrets ont grand besoin d'être soumis à investigation.
Il peut te falloir un peu de temps pour la découvrir.
Nous sommes tellement secrets quant à ce qui nous fait honte que nous essayons même de l'oublier, en nous accrochant à notre prétendue respectabilité, alors que nos pensées retournent en tout sens à quel point nous sommes pitoyables, estimant impardonnables ce que nous avons commis.
Nos secrets ont grand besoin d'être soumis à investigation.
Tu
ne peux pas être libre si tu as des choses à cacher.
Et,
au bout du compte, les choses dont nous avons honte se révèlent être les plus
grands cadeaux que nous ayons à offrir.
Nous respectons les gens qui nous disent à quoi ils ont survécu et comment ils l'ont fait. Quand nous rencontrons quelqu'un qui s'est tiré de grandes difficultés en gardant le cœur ouvert, nous sommes attirés par la vérité dont il est porteur et il nous aide à trouver notre propre vérité.
Nous respectons les gens qui nous disent à quoi ils ont survécu et comment ils l'ont fait. Quand nous rencontrons quelqu'un qui s'est tiré de grandes difficultés en gardant le cœur ouvert, nous sommes attirés par la vérité dont il est porteur et il nous aide à trouver notre propre vérité.
C'est
parce que je suis allée au plus profond de mes croyances les plus pénibles que
je peux me joindre à toute personne avec ses croyances douloureuses.
J'ai
regardé le monstre dans les yeux et je
n'ai vu qu'un enfant qui me demandait mon amour.
Byron
Katie
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr