On
est tellement conditionné, habitué à marcher à l’envers, que même quand on
croit être divin, créateur de son monde, on se laisse abuser par nos peurs,
croyances et illusions. Mais si on décide d’apprendre à se connaitre, à se voir
avec les yeux de l’amour, à s’écouter, se comprendre et surtout s’aimer sans
conditions, on va alors marcher sur le chemin étroit dont parlait Jésus.
Étroit non pas parce qu’il est difficile bien qu’il demande du courage mais parce que
c’est le nôtre, un chemin Unique qui constitue tant la redécouverte de soi que
l’initiation à la souveraineté, la réalisation de l’être entier, intègre,
créateur, libre et heureux.
On le qualifie d’étroit en comparaison aux
autoroutes toutes tracées qu’emprunte la masse qui suit aveuglément "le bon
berger". Et ce qui est énorme, c’est que chacun suit le sien, celui dont il est
sûr qu’il est le meilleur.
En fait c’est la vérité parce que chacun suit son
propre chemin qui consiste en un premier temps à suivre aveuglément puis à se
prendre naturellement un mur, une claque pour réaliser que tout ce qui se
manifeste à l’extérieur est la réponse à la vibration intérieure.
Un évènement
va permettre de prendre conscience de la réalité, du fait d’être dans
l’illusion, de vivre selon des conditionnements, des manipulations de masse et
on peut dire que ça balance en ce moment.
Mais ceci n’est qu’une étape censée
ramener vers soi.
Voir
l’état du monde et tous les mensonges, toutes les magouilles participe à notre
ouverture de conscience mais si le cœur n’est pas l’observateur et l’acteur
principal de ces prises de conscience, on va faire encore plus le jeu de la
dualité qui est une forme de simulation.
Le
sentier est qualifié d’étroit parce qu’il est intérieur, il est en notre corps
et nous mène de la tête au cœur. Cet organe majeur est la porte du divin en
nous, de la sagesse innée, des connaissances universelles, celles-là même qui
nous affranchissent de tout conditionnements, systèmes et croyances.
Il nous
ouvre les portes de notre conscience dite "supérieure" parce qu’elle est élevée, par ce sa vision est large,
parce qu’elle est omniscient, omnipotente et omniprésente.
Ces connaissances
que nous portons tous, ont été délivrés par des humains qui avaient rétabli la
connexion intérieure et réalisé l’unité.
La
dualité est un contexte, d’apprentissage, une dynamique, un moyen et non une
fin. Tous les maitres spirituels ont aboutit à la même conclusion, la voie du
juste milieu, de la paix et de l’unité, mène à la source.
Voir
que le monde est construit sur des valeurs erronées, un système injuste,
pyramidale et patriarcal n’est pas censé nous pousser à la révolte mais à révolutionner notre façon de voir et d'être, à faire ce retour au cœur, au centre de l'être.
Là
encore l'état du monde est montré afin d’être transcendé, afin de venir en notre cœur pour
voir clairement ce qui en nous manifeste cette apparente réalité.
Et
c’est en constatant dans notre quotidien que les situations que nous vivons
correspondent à nos pensées, croyances et blessures qu’on va vérifier en toute
humilité, les principes de la loi d’attraction, de résonance et à travers ça,
notre pouvoir créateur.
Le monde est le parfait reflet de nos conditionnements, de la façon
dont nous gérons notre monde intérieur. Tous les personnages que nous montrons
du doigt à l’extérieur sont les mêmes que ceux que nous rejetons en nous-même
et pourtant ce sont eux qui régissent notre vie de façon inconsciente.
Tant
qu’on ne se connait pas de l’intérieur, on va accuser les autres de créer notre
malheur et ce faisant on leur donne tous pouvoirs de nous manipuler, de
disposer de notre libre arbitre, de nous juger, de nous accorder de
l’importance ou pas, de la valeur ou non, du mérite ou pas, en bref, de nous
définir.
Tant
qu’on attend quoi que ce soit de l’extérieur on se prive de connaitre notre
pouvoir, notre valeur, notre être.
Si
on pense que pour toucher dieu, il nous faut appartenir à une église, une
secte, un groupe spirituel, voir et dialoguer avec les anges, les guides, les
maitres ascensionnés…on nie l’être divin, multidimensionnel et souverain que
nous sommes en vérité.
Et comme on se limite par ses croyances on vivra
exactement cela.
On sera manipulé, obligé de se tourner vers l’extérieur pour
être convaincu d’être issu de la source, dépendant de la lumière, des
connaissances des autres pour avoir foi en nous-mêmes. Là encore, ça peut être
une étape mais ça peut aussi nous maintenir dans l’impuissance, le déni et le
rejet de soi.
Il
n’y a qu’un chemin qui mène à la source d’amour lumière en soi, il va de la
tête au cœur mais pour intégrer et manifester cette vibration, il nous faut
parcourir le chemin particulier, qui est le nôtre et va nous permettre de
comprendre en vérité, ce que sont ces énergies qui constituent la source Une.
On
ne peut incarner ce qu’on ne connait pas, ce qu’on ne reconnait pas et le
monde, ses institutions, ses systèmes, les interactions, vont nous permettre de
connaitre et reconnaitre ce qu’est l’amour, comment le vivre, quelles sont les
conséquences de nos actes, l’impact de nos choix. On va surtout apprendre ce
que l’amour n’est pas pour mieux définir ce qu’il est parce que notre cœur sait
la vérité et il peut nous montrer ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Mais ça se fait graduellement et la "vérité" des croyances est changeante.
Le
chemin de connaissance de soi va nous permettre de vivre l’amour inconditionnel
et c‘est en l’appliquant à soi-même, en lui permettant de rayonner sur tout ce
que nous sommes que nous allons le connaitre en vérité.
En même temps qu’on va
l’appliquer, lui confier tous nos conditionnements, le sentir vibrer en nous,
notre conscience va s’éclairer, s’élargir tout comme notre capacité d’aimer et
de manifester une réalité individuelle en conséquence.
Elle affectera notre
propre monde intérieur et plus on va activer cet amour, plus son rayonnement
impactera notre environnement.
Peu à peu on retrouvera une vision juste de ce
qui est en sortant de la réalité conflictuelle qui gère le monde. L’illusion de
la séparation se révèlera dans la connexion au divin en soi.
La notion de
division s’étiolera à mesure qu’on recontactera tous les aspects refoulés dans
notre inconscient. On va constater que plus on s’aime sans condition et plus
notre vie, les autres, nous renvoient ce même amour, que la paix s’installe à
mesure qu’on accepte de ressentir ce qui se manifeste en soi dans l’instant, on
va goûter le pouvoir de l’amour, de l’acceptation, de l’accueil, du lâcher
prise.
La vision de soi va changer en même temps que celle qu’on portait sur le
monde et en cela on va vérifier que nous sommes Un, d’abord que nous sommes
tous issus de la source puis que nous sommes interconnectés.
Nous
constaterons que nous ne sommes plus seulement reliés par nos blessures, par
l’inconscient et la conscience collective de masse mais avant tout par le cœur.
Puisqu’on va voir que chacun aspire à l’amour, à aimer et à être aimé, à vivre
en paix et dans l’harmonie seulement, dans cette simulation inversée de la
vérité, ceux qui s’identifient à leur souffrances, vont agir dans la violence,
l’auto-destruction, manipulés par leurs propres peurs et fausses croyances
qu’ils perçoivent comme des certitudes.
Lorsqu’on
accueille les personnages rebelles, violents, ignorants qui vivent en nous, on
commence à sentir et à savoir ce qu’est l’amour véritable et où se place notre
pouvoir, comment l’utiliser.
On voit que si nous pouvons trouver la paix en
toutes circonstances, la peur n’aura plus d’impact sur nous, pas plus que ce
qui se passe dans le monde.
Tant
qu'on croit qu'il y a un ennemi en soi, on se prive de tout l'amour qu'on peut
ressentir en reconnaissant et en acceptant que nous sommes parfaits.
Parfait
dans notre entièreté, notre constitution, notre divinité.
Et nos imperfections
nous relient à l'humain la vie, nous donnent l'humilité et la légèreté de
l'enfant qui peut alors aller en toute sécurité à la découverte du nouveau
Monde, celui quoi est à l’intérieur.
On
retrouve son pouvoir dans cette reconnaissance et acceptation des aspects
intérieurs qu’on refoulait parce qu’on sent à quel point l’amour modifie notre
état d’être et notre vision. Et quand on a validé les lois universelles
d’attraction et de résonance par cet accueil inconditionnel des personnages et
énergies jugées négatives, on porte notre attention d'abord sur nos pensées, nos
émotions en se contentant de maintenir la paix en soi, l’équilibre et
l’harmonie.
Ces énergies vont modifier notre état d’être, notre vision et on
n’aura plus besoin de reconnaissance extérieure, de voir le monde changer pour
enfin se sentir en paix, en sécurité et aimé.
Sentir
l’amour en soi lorsqu’on s’accepte tel qu’on est, c’est aussi savoir que nous
sommes cet amour, qu’il est en nous, juste là en notre cœur et que nous n’avons
pas besoin de l’extérieur pour nous le refléter, pour le ressentir. Qu’il
suffit que nous nous donnions l’autorisation de le vivre pour qu’il croisse et
nous remplisse tout en nous affranchissant du besoin d’être aimé par les autres.
C’est immense parce qu’on ne craint plus le regard extérieur, ça n'est plus notre référence, notre vérité définitive.
On a compris que
l’autre nous envoie un reflet de nous-même.
Soit une image
« négative » auquel cas, nous pourrons venir accueillir en notre cœur
le personnage interne révélé par cet effet miroir et ainsi annuler son effet
perturbateur, son côté saboteur.
Soit l’autre nous renverra un aspect lumineux,
puissant, intelligent, sage et là, cette fréquence étant révélée aussi en soi,
on l’ajoutera à la liste de nos qualités.
On aura confiance que nous portons
aussi ce potentiel qu’il est disponible et on osera le reconnaitre et le
développer.
Lorsqu’on
découvre le principe de l’effet miroir, on va mettre un certain temps déjà à
l’admettre puis à l’utiliser correctement. Mais tant qu'on ne saisit pas son
impact et qu’on ne sait pas l’utiliser à son avantage, on va continuer de
nourrir l’illusion d’être manipulé, la sensation d’impuissance.
D’un autre côté
ce sera l’occasion d’intégrer encore plus l’amour en soi qui nourrit la
confiance en soi en ne jugeant pas notre difficulté à utiliser l’effet miroir
pour notre progression, notre libération des conditionnements.
Parce que c’est
son but, c’est la raison d’être de cette simulation gigantesque qu’est le monde
et sa façon de tourner.
Chacun joue le jeu de miroir afin qu’on puisse se
dépouiller de tout ce qui n’est pas le vrai soi, de tomber tous les masques qui
cachent notre véritable nature, notre être tout entier.
Et
c’est en le faisant qu’on va pouvoir s’exprimer librement, de façon authentique
sans plus avoir à s’opposer pour exister, s’affirmer.
On va agir en soi pour
ramener la paix en toute circonstance, utiliser les scandales du monde pour
intégrer notre pouvoir en revenant au centre, à la vision éclairée du cœur.
En
réintégrant peu à peu toutes les énergies polarisées en notre cœur, on va amplifier
l’amour, la puissance, la foi, retrouver notre potentiel en latence et par la
réunification de tous les aspects de l’être, vibrer sur la fréquence de la
source, de l’unité.
On
comprend que notre pouvoir s’exerce concrètement par la focalisation sur ce que
nous voulons vivre en nous et à l’extérieur donc, on arrête de donner de l'énergie à ce que nous ne voulons pas cautionner, ce que nous pensons être injuste et scandaleux. On n'y prête tout simplement plus attention parce que c'est de cette façon qu'on perpétue l'injustice.
On va
être épaté de voir que le monde se conforme précisément à ce que nous portons,
rayonnons, émanons, sans même que nous cherchions à le changer, à convaincre les
gens. Ceux que nous connaissions avant restent eux-même mais nous entrons alors
en résonance avec leur aspect divinement humain, leur côté lumineux.
Je
viens d’ailleurs d’en faire immédiatement l’expérience avec le voisin qui m’a
interpellée alors que je sortais la chienne. Nous partageons le système
d’irrigation au jardin et il m’a souvent aidée à réaliser des choses que je ne
sais ou ne peux pas faire comme le ramonage, l’installation du conduit jusqu’au
toit, celle du système d’irrigation de mon côté…bref, des travaux plus faciles
à réaliser quand on est un homme ou simplement quand on sait le faire.
Quand
j’ai aménagé dans le quartier en 2010, il était très dominateur, séducteur, sûr
de lui enfin en apparence parce que ça trahit un manque d’amour vrai et de confiance
en soi et il était convaincu que je ne resterais pas célibataire, qu'il pourrait me changer.
J’ai affirmé mon point
de vue, respecté mes choix dont celui de devenir autonome d’emblée lorsqu’il
tentait de me persuader qu’il arriverait à me faire changer d’opinion.
Bref
peu à peu nous avons appris à nous connaitre, à nous respecter, à lâcher des à
priori vis-à-vis du masculin, du féminin, de l’autorité, de la liberté
d’être…chacun a aidé l’autre à mieux se comprendre, s’aimer, et s’affirmer dans
le respect des différences.
Il m’a dit qu’il avait commandé du fumier, une
pleine benne et de fil en aiguille, m’a proposé de l’épandre sur mon bout de
terrain et de retourner la terre au motoculteur.
Ce n’est pas la première fois
qu’il me le propose mais j’ai toujours refusé.
Je préférais le faire à la
bêche, prendre mon temps et surtout je ne voulais pas avoir l’impression d’être
redevable, de le laisser me dominer, me diriger puisqu’il avait tendance à
vouloir contrôler les autres.
En continuant d’agir seule, librement de façon
intègre quant à mon comportement en cohérence avec mes opinions, peu à peu la
relation a changé parce que nous avons gagné en confiance intérieurement,
chacun de notre côté.
En cela, je reconnais que tout le monde est bousculé,
éclairé, poussé à changer ses croyances, son comportement. Très souvent quand on réalise, quand on comprend que nous sommes des êtres d'amour et de lumière ou divin, on a tendance à se croire supérieur aux autres parce qu'on n'est pas encore dans l'amour véritable. L'estime de soi qui s'est toujours construite sur la comparaison fausse notre vision de nous même et des autres. Et c'est en nourrissant le désir de transparence, d'harmonie, que tout va s'ajuster, s'équilibrer.
Il a appris à me
respecter tout comme j’ai appris à le respecter.
Nous avons été des miroirs,
lui sans le savoir mais comme c’est la vibration qui agit et l’exemple qui
enseigne, il a changé ses à priori à propos des femmes et moi à propos des
hommes, dans ces échanges ponctuels.
J’ai tout de même dû instaurer des bases
saines en choisissant de ne pas jouer le jeu de la séduction, en étant honnête,
spontanée et sincère.
Ce qui ne veut pas dire que j’aie plus de mérite que lui
mais que si nous voulons avoir des relations enrichissantes avec les autres, ça
demande de la clarté, de l’honnêteté, de l'intégrité. Il faut savoir ce que l'on veut et s'y tenir.
Bref,
je lui ai dit qu’il devait lire dans mes pensées pour me proposer spontanément
son aide puisque dans mes questionnements à propos de la façon de gérer au
mieux mon temps pour pouvoir assumer le jardin, le quotidien, les blogs et la
mise en forme de mon projet d’accompagnement, je restais en attente.
Je me suis
juste contentée de reconnaitre que je me collais de la pression, que je
cafouillais et que j’avais de la difficulté à établir les priorités favorisant
encore les besoins du mental au détriment de ceux du corps physique.
Je n’ai
pas essayé de projeter, de visualiser ou de calculer comment gérer au mieux, au
lieu de ça, j’ai accueilli en mon cœur les questions précitées et surtout
l’aspect interne critique, la voix qui dit que je devrais assumer mieux que ça,
que je néglige les besoins du corps physique, que je manque d’amour, que je ne
suis pas sur la bonne fréquence…bref, tout ce qui nie l’amour lumière que je
suis, qui est soumis à la peur, peur de ne pas être à la hauteur, qui nourrit
des croyances de devoir, d’obligation, de mérite, de sacrifice, d’illégitimité,
de nécessité de travailler dur pour espérer obtenir un résultat…
Toutes
ces pensées sont faussées mais elles sont aussi justes d’une certaine manière.
Elles sont simplement polarisées, excessives et mal positionnées.
Au niveau
énergétique, elles portent un potentiel, elles ont une valeur mais demande
juste à être équilibrée, perçus avec les yeux du cœur.
Par exemple, la notion
d’effort se situe dans l’attention portée à son monde interne et ses mouvements
afin de lâcher les peurs et les conditionnements.
Il s’agit d’être attentif à
soi, centré, afin de détecter les déséquilibres, tout ce qui s’oppose à l’amour vrai et
à lâcher prise quand c’est nécessaire.
C’est un effort qui demande d’être plus
conscient de soi et quand on l’est, on va pouvoir mieux se connaitre, apprendre
la maitrise de ses pensées et de ses émotions.
C’est cela à mon sens manifester
l’amour et la lumière de la source intérieure.
Devenir plus lucide sur soi-même pour agir en conscience et apprendre à
utiliser son pouvoir créateur de façon délibérée et bienveillante. Ce pouvoir s'exerce vis à vis de son état d'être qui laisse place à la guidance intérieur, permet d'entendre et de suivre l'élan du cœur.
Pour en
revenir à l’histoire avec le voisin de jardin, Jacques, quand je l’ai vu
avant-hier, travailler la terre, l’envie d’aller aussi au jardin est montée.
Mais j’ai senti que la motivation était déséquilibrée, qu’elle venait plus d’un
esprit de compétition que d’un désir du cœur alors plutôt que de suivre cet
élan, je me suis posée et j’ai demandée à être guidée, soutenue.
Puis j’ai
continué de faire ce qui sur le moment me motivait réellement, à savoir écrire
et cuisiner, sans plus me poser de question au sujet du jardin.
J’étais juste
confiante puisque la paix retrouvée dans l’accueil des pensées émotions critiques
mais aussi celle de l’excitation suscitée par l’esprit de compétition, je
savais que les solutions et réponses viendraient.
Pour gagner en confiance en
soi, il est important d’apprendre à faire confiance à la vie, à la source
intérieure et à sa propre guidance, celle du cœur qui s’exprime par un désir.
Un désir qui émane spontanément dans cette paix retrouvée, cet alignement à la
source en soi qui accorde les corps subtils permettant que l’énergie de vie, de
la terre s’associe à celle du ciel et que l’harmonie rayonne en soi.
Cette
vibration aligne systématiquement les corps à la volonté de l’âme, de l’amour
lumière intérieurs.
Cette volonté c’est juste d’être soi, de manifester l’unité,
de se réjouir de parcourir le chemin unique de l’être unifié, conscient et
bienveillant. De s’aligner sur les fréquences de l’harmonie, celles là-même qui
régissent la vie, la nature, les univers.
Dans mon introspection-demande d’aide à la
source, j’en ai conclu que je devais apporter des nutriments à la terre et j’avais
prévu d’aller chercher du fumier et de retourner la terre pour l’insérer. Ça
représentait des heures de travail mais je n’ai pas rechigné parce qu’il faut
savoir ce que l’on veut et pourquoi on fait les choses.
Bien sûr, seule, j’aurais
dû y passer des heures et le fait de ne pas avoir demandé quoi que ce soit à
Jacques mais au lieu de ça, de s’ouvrir à recevoir de l’aide sans se demander
comment elle viendrait, à suffit à recevoir.
On
ne peut pas faire les choses à moitié, pour gagner en confiance en soi afin de
matérialiser ses rêves ou ses désirs, il faut faire confiance à la vie en tous
points.
Ne pas chercher à savoir comment les choses vont se faire mais être
juste attentif à saisir les opportunités qui vont se présenter.
Là encore, la
connaissance de soi, de son monde intérieur et l’écoute sont indispensables et c'est aussi la matière, la substance qui nourrit la confiance.
Cette
connaissance du fonctionnement interne, des systèmes, des lois universelles et
des énergies se révèle dans l’accueil sans conditions de ses mouvements
énergétiques internes.
C’est
trop cool parce que cette petite conversation avec Jacques vient aussi nourrir
le sentiment de liberté, la force de l’unité intérieure qui se reflète à l’extérieur,
le fait qu’en restant focalisé sur ce que l‘on veut vivre en soi, suffit à le
manifester !
Chaque
fois que je vérifie ces lois universelles de résonance, je suis ébahie par tant
de puissance ! Du coup comme la confiance en la guidance interne qui se
manifeste par un désir pur, pur dans le sens où il n‘est pas motivé par la peur
même si elle peut en être le déclencheur, l’élément qui poussera à venir au centre
afin d’ajuster, d’harmoniser les énergies et impulser un élan équilibré, ça m’aide
à prendre confiance en moi.
Je lâche prise quant aux projections, la planification
du temps parce que je vois que plus je me laisse guider en me contentant de
maintenir la paix et l’harmonie intérieures et plus mes journées sont
créatives, riches, épanouissantes et surtout joyeuses dans l’instant, c’est carrément
magique !
Il
suffit de définir ce qu’on veut ressentir, quelques priorités quant à la forme
et puis de se laisser guider, d’être à l’écoute et ouvert aux opportunités. C’est ça la vraie liberté, le pouvoir de l'être !
Magnifique, du coup il est 11h30 et je n’ai
pris que la moitié de dose de médocs !
Là
aussi je constate que plus je m’accorde de liberté, plus je suis créative et
moins l’envie de prendre un cachet se manifeste.
Il est clair que c’est en
nourrissant l’amour lumière en soi, en cultivant son pouvoir d’aimer que la
sensation de manque et d’impuissance se dissolvent.
Finalement le manque dont
je souffrais, c’était le manque d’intégrité parce que je me coupais de l’amour,
je me refusais d’activer cette énergie tant pour moi que vis-à-vis des autres.
En
laissant cet amour lumière circuler librement à l’intérieur tout se remet en
place et je retrouve le pouvoir d’être ce que je suis véritablement tant au
niveau humain que divin.
La gratitude qui nait de cette reconnaissance de l’être
tout entier, amplifie l’amour la confiance en soi, en la puissance de l’amour,
c’est une spirale ascendante qui maintenant me maintient sur les fréquences de
la joie de vivre !
Et cette combinaison d’énergies, de paix, d’amour
inconditionnel, d’harmonie, d’unité, modèle ma vie et garantit un avenir
toujours meilleur et ce indépendamment de ce qui se passe dans le monde.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr