lundi 22 février 2016

« Le pouvoir secret de l’eau & méditation guidée/soin de Corine Lebrat »







En ce moment, je suis de plus en plus focalisée sur la notion d’unité. Évidemment ça concerne l’intérieur pour le moment même si je peux voir comment ça influence ma relation aux autres. 
Avec du recul, je constate qu’à chaque fois que j’émets une intention, que ce soit la paix, le désir d’harmonie, c’est comme si je m‘ouvrais sur une ligne temporelle « future », une expérience nouvelle que l’hypothèse amène à vivre.
Le mental tire des conclusions des expériences passées, prend conscience de nouvelles réalités ou probabilités, met à jour ses données et initie un mouvement, une expérience nouvelle. Comme l’âme est l’inspiratrice, une part importante de l’intuition participe à l’élaboration de ces hypothèses et l’expérience guidée par l’élan de l’instant sera crée par l’attention qu’on y porte et perçue à travers ce filtre précis.

Puis quand l’expérience est validée, quand les blocages énergétiques créés par les croyances qui s’opposent à l’intention émise, en l’occurrence la paix, se décristallisent, la paix s’installe de plus en plus jusqu’à devenir constante.

Il semble que ce soit à chaque fois le même processus, pour intégrer et maintenir une vibration spécifique en soi; il faut l’intégrer en lâchant les pensées émotions qui soutiennent les croyances limitantes, duelles, celles qui sont relatives au passé, aux blessures, à une vision conditionnée de l’individu. 
Et en toute logique, le thème de réflexion au sujet de l’unité révèle les parts internes qui sont encore cachées, qui ont été jugées et rejetées, tout ce qui en moi est éloigné du cœur, de la conscience. 
Si je n’étais pas convaincue de l’efficacité du processus qui amène toujours plus de paix, de confiance en la source, en soi, envers tous les aspects de la personnalité, j’aurais des raisons de m’inquiéter voire même de m’angoisser.

Mais la vie est bien faite, la source ou lumière est bienveillante même si elle montre les choses telles qu’elles sont en l’état, en toute transparence, même si elle révèle ce qui est dans l’ombre, c’est toujours et seulement, si la consciente est prête à le voir et à l’accepter. On n’accède pas aux parts de soi qui sont extrêmes sans y être préparé. Enfin si on veut vivre en paix, apprendre et connaitre, sans passer par les souffrances, les excès.  

Tant que l’humain s’identifie à sa personnalité, son mental, et qu’il ignore ses origines divines, la connexion à la source, il recevra des infos la nuit, provenant de son âme et ainsi, il évoluera dans son mode de pensée, ses croyances, au contact des autres, par les infos reçues de l’extérieur sous formes de synchronicités qu’il ne percevra pas comme telles mais qui l’amèneront à confirmer son point de vue nouveau, par les circonstances de sa vie, par les schémas douloureux récurrents qui le pousseront à se remettre en question, à s’interroger. 
Ça peut prendre des allures de grosses claques si on persiste à se cacher à soi-même, si on refuse de se voir en face. Le temps des révélations du à l’afflux croissant de lumière nous amène à sonder nos profondeurs et si on y résiste, l’effet contraste et boomerang seront violents. On sera face à la noirceur au travers d’images chocs, de situations conflictuelles, de sensations de division et de confusion interne.

Puis quand on sait qui nous sommes, enfin quand on ressent cette vibration spéciale intérieure, mêlée de paix, de confiance, de douceur, de chaleur, de profondeur et de fraicheur pour le mental, quand on a reconnu ce processus de révélation par l’effet de la dualité, on se connecte aux aspects de soi plus éclairés, à notre âme, aux dimensions plus proches ou conscientes de la source, ou encore à la conscience de la terre, on élève sa fréquence en suivant l’élan, l’inspiration, sans avoir besoin de rester coincé dans la douleur, les schémas répétitifs. 

Simplement parce qu’on lâche prise dès qu’on sent une résistance, une tension. On ne se focalise plus sur le problème mais on laisse la paix, l'amour, changer notre mode de réaction, notre vision et notre état d'âme.

On sait par intuition que les périodes de pleine lune ont un impact sur nous et révèlent avec plus d'intensité ce qui est caché en nos profondeurs mais c'est juste une sensation qui calme le mental, lui évite de se prendre la tête, de croire qu'il trouvera les réponses à ses questions, à l'extérieur. 
Quand il admet l'effet miroir en tant qu'outil de reconnaissance, de connaissance de soi, comme une conséquence de l'unité, il ne s'éparpille plus parce qu'on sait que la solution est en soi, dans l'accueil sans conditions de ce qui se manifeste.
La spiritualité envisagé autrefois de façon très dualitaire continue de nourrir les peurs, les fantasmes et la division. Même si les mouvements des planètes influent sur le vivant, la vérité de qui nous sommes ne se cache pas au dehors, ce que nous percevons dans les apparences, est un reflet de l'être, de la conscience Une partagée par tout ce qui est.

On reçoit l’info pendant le sommeil, le mental s’en saisit et on va vivre les expériences qui vont mettre en évidence ce qui n’est pas aligné à ces nouvelles infos. 
Notre attention sera focalisée sur le désir de connaitre, de comprendre ce thème précis alors on percevra que tout nous amène à nourrir ce questionnement, cette hypothèse suggérée et initiée par l’âme. Les synchronicités viendront aider le mental à suivre l'intuition, à structurer l’info et peu à peu le thème développé sera intégré à tous les niveaux de l’être, parce que l’expérience aura permis au mental de valider l’hypothèse, l’idée nouvelle et ça sera inscrit jusque dans nos cellules. 



Pour que ça se réalise, on vivra une expérience qui nous donnera l’occasion de choisir comment on la perçoit et donc comment on la vit. Nos anciennes croyances, celles qui s’opposent à l’idée nouvelle, créeront une réaction en chaine due à la résistance naturelle à la nouveauté.
L’ego et la peur de sortir de sa zone de confort, des "certitudes" sécurisantes, opposeront une forme de résistance saine qui permettra de libérer les anciens modèles réactionnels, de lâcher le contrôle et d’intégrer la paix et l’unité intérieures. D'ailleurs c'est marrant, je n'avais pas remarqué que le mot "unité" veut aussi bien dire "union" qu'"un"...

S’il n’y avait pas cette opposition, nous ne pourrions pas reconnaitre et libérer les anciennes croyances, lâcher le mode de survie, sentir la paix et la connexion au divin. Nous resterions enfermés dans nos croyances limitantes, nos illusions, et nous ne pourrions pas changer notre vision, ouvrir notre perspective et prendre le recul que permet la vision depuis le cœur. De porter un regard neuf sur la situation, d’élargir notre conscience, de sentir la paix qui émane de cette connexion au divin. 

Et quand on sait que pour élargir sa conscience et ouvrir son cœur, pour changer sa réalité, sa vision, ça passe par un mouvement interne chaotique, par l’émergence de la noirceur, on est beaucoup plus détendu et confiant lorsque les pensées émotions se bousculent à l’intérieur. On reste moins focalisé sur elles parce qu’on sait qu’en se posant, en se calmant et en observant simplement les pensées émotions perturbatrices s’exprimer sans s’y attacher, elles vont s’harmoniser naturellement et changer la vibration. On passe de la division, du conflit intérieur, au sentiment réconfortant de l'unité.

Ce réflexe va amplifier l’énergie de la confiance, de la gratitude, de la paix et de la foi qui sont précisément celles qui sont nécessaires à l’accomplissement de soi, à notre évolution, notre bien-être dans l’instant et l’élaboration de nos projets à venir.

Il y a deux façons d’évoluer, soit en étant en mode survie, soit en activant le programme de croissance naturelle. Et c’est visible en notre corps physique, notre système de survie, au niveau cellulaire. 
L'intérêt de connaitre son corps de l'intérieur, d'être présent à soi, de porter un regard positif sur lui, c'est de savoir qu'il porte la vie éternelle, que les cellules sont conscientes et intelligentes parce que le corps réagit au verbe, à l'intention, aux pensées et aux émotions. 

Les recherches au sujet de l'eau, de ses propriétés, de sa capacité à réagir à l'info et à la conserver, ont ouvert l'horizon en matière de guérison, d'auto-guérison, donné un sens nouveau à la prière, à l'intention, à la puissance de l'esprit, expliqué la guérison spontanée parce que notre corps en est composé à 70%. 


Water, Le Pouvoir Secret de l'Eau // Extrait 20min Officiel (HD) - VF


On peut vraiment parler de l'intelligence du corps physique à tous les niveaux. Et sa capacité de régénération est vraiment révélatrice de son aspect divin, miraculeux.
S'en faire un ami, apprendre à le connaitre, à le traiter au mieux en pacifiant les corps subtils, en nourrissant le désir d'harmonie, rend la vie beaucoup plus douce et légère. 
On apprivoise peu à peu cette conscience en la respectant en tant que véhicule sacré. 
On sait la puissance de la psyché, l'impact de nos pensées émotions et on peut sentir concrètement comment il réagit à nos différentes émanations. 
Il nous révèle son amour pour l'esprit que nous sommes et la force de l'unité intérieure, de l'acceptation de ce que nous sommes en totalité. 
Entrer en contact avec lui, lui parler, lui dire notre amour, notre reconnaissance, exprimer la conscience de sa valeur, mais aussi nos soucis, nos difficultés, comme on le ferait à un ami change totalement la vision et la relation à soi. 

Dès lors, on sait qu'il ne nous appartient pas vraiment et qu'à notre mort, ses cellules seront recyclées, transformées, réimpulsées dans une forme vivante. Ça relativise beaucoup de choses et la notion d'appartenance devient celle d'association, de complicité même. 
Le détachement n'est plus relatif au mépris, au rejet de soi mais à la reconnaissance de cette association, de l'équipe de corps subtils harmonisés, en ce véhicule qui nous permet de faire ce voyage sur terre. Une équipe au sol complète qui est soutenue par celle de nos guides, de notre âme, de la conscience Une et nous en sommes le gérant! 

Selon notre façon de réagir soit en étant confronté à des situations douloureuses et en essayant de les fuir, soit en se posant et en laissant l’amour lumière transmuter les énergies, on sollicite différentes forces internes. 
Les deux systèmes permettent d’évoluer mais on le vivra soit dans la paix, soit dans la douleur. Soit dans le stress que l’instinct de survie enclenche et nourrit par l’activation du tronc cérébral, soit de façon plus douce selon le programme de régénération cellulaire, activant la zone du néo cortex. C’est précisément cette zone du cerveau qui permet d’innover, de trouver les solutions appropriées, de s’adapter de façon intelligente et bénéfique.
Plus on lâche prise, plus on accepte ce qui se présente à nous et plus la transmutation s’effectue de façon fluide.
Mais si on résiste, ça veut dire que le mental n’est pas encore convaincu par le processus, la puissance de l’amour, que sa vision est encore très influencée par les croyances communes et la vie se chargera de donner d’autres occasions de lâcher prise. 

Le mode réactionnel qui active les peurs ancestrales, éveille les mémoires traumatiques, les zones réflexes, finit pas épuiser l’organisme et la maladie sera le recours ultime permettant de lâcher prise. En ce sens, la résistance n’est pas mauvaise puisqu’elle amènera tôt ou tard le mental à prendre confiance et il le fera avec la certitude de faire le bon choix. 

La résistance montre qu’il y a quelque chose qui n’est pas compris, et on pourra faire l’expérience par le lâcher prise, de l’évidence, de l’éclair de lucidité qui permet de savoir et non plus de croire ou de supposer. 



Et quand on comprend plus ou moins comment fonctionne l’ouverture de cœur et de conscience, quand on fait confiance à l’amour lumière en soi, on participera activement à ce mouvement d’expansion de conscience.
Les infos seront directement traitées par le néocortex, on n’aura plus besoin de subir de choc violent pour lâcher prise, on saura détecter plus rapidement une tension et ainsi revenir au cœur, à la paix, ce qui facilite le processus d’évolution naturel. 
On passera moins par la maladie, les symptômes physiques n’auront pas le temps de s’incruster dans le corps physique et une simple fatigue soudaine indiquera qu’il est temps de lâcher le contrôle, de s’abandonner à l’amour, de se laisser porter en confiance par la vie. En étant de plus en plus attentif à ce qui se vit en nous, la moindre tension sera détectée et relâchée en toute confiance et en conscience.
Une simple méditation, une relaxation ou même quelques respirations calmes et profondes, suffiront à équilibrer les énergies, à les harmoniser, sans même qu’on ait besoin de penser, de raisonner, donc de lutter. 
On sera beaucoup moins en mode survie et plus apte à se laisser guider, plus réceptif aux signes, aux synchronicités, à la voix de l’âme.

En ce moment, le thème qu’il m’est proposé d’approfondir, de conscientiser, c’est celui de l’unité. L’idée a été émise il y a quelques jours et les synchronicités m’amènent à réfléchir à la question. Si je parle de cela, des différentes façons de recevoir et d’intégrer les infos, c’est que ça permet de prendre confiance en soi au lieu d’attendre de recevoir des réponses de l’extérieur par effet miroir et de façon douloureuse.

Plus on fait la paix en soi et moins on a besoin de se référer aux autres pour asseoir notre foi, notre point de vue. L’attraction, la résonance nous amènera à faire des rencontres avec des êtres portant cette vibration de paix intérieure, d’unité.
Des êtres qui ne chercheront pas à nous convaincre à tout prix, qui ne joueront pas sur la peur, l’idée qu’ils savent mieux que les autres pour asseoir leur dominance, leur estime de soi basée sur l’image et une supposée connaissance supérieure.
On ne sera plus attiré non plus par des gens qui affirmeront haut et fort leur connexion spéciale, leur statut privilégié de canal, voire d’élu de la source, missionné pour éclairé ou même sauver l’humanité.

A mesure qu’on lâche prise, qu’on se confie au divin en soi, l’idée de perfection est repositionnée, celle d’évolution relativisée tout comme la notion de libre arbitre.
Le libre arbitre réside dans le choix d’interpréter les choses, la façon dont nous vivions les expériences que la vie nous présente, soit dans la résistance, soit dans le lâcher prise. Quand on s’abandonne à l’amour en soi on constate que notre mental n’est que le spectateur et la notion de choix se situe uniquement dans notre vision des choses. 
C’est ce qui amène l’humilité tout comme le processus d’accueil de son ombre permet de lâcher peu à peu la notion de jugement.
On constate que nous percevons intellectuellement une infime part de la vérité, qu’elle est subjective, complexe et fluctuante. La notion de but à atteindre est relativisée par la connexion au divin qui nous permet de passer d’une réalité à l’autre selon la vibration, la fréquence depuis laquelle nous observons ce qui est.

En gros, plus on s’abandonne à la source et plus on lâche nos certitudes passées, plus on croit savoir et plus on se rend compte que la réalité de l’âme, de la conscience divine est si différente de celle de l’humain, elle est au-delà de notre conception de l’espace et du temps, sans parler d’incompatibilité, ce qui est sûr c’est que notre mental est dépassé.
On sait que nos anciennes croyances sont fausses enfin relatives à différents point de vue limités du mental et plus on les lâche plus on pénètre dans l’inconnu, l’extraordinaire, sans pouvoir le cerner. 
Ce qui permet de ne pas sombrer dans le désespoir, de rester cohérent malgré ses réalités si différentes qui s’interpénètrent parfois, c’est la confiance en la source intérieure, la connexion ressentie, la paix du cœur qui la nourrit et confirme cette présence bienveillante qu’on ne sait plus vraiment comment nommer.
Les croyances qui sont des constructions mentales sont remplacées par la foi, la foi qui est juste une sensation d’expansion, un ressenti que le mental ne peut pas nommer puisqu’il n’a pas les références, les codes. Il va intégrer peu à peu les lois universelles, concevoir une forme d’amour beaucoup plus vaste, intemporel, universel, mais il sera toujours en deçà de la réalité du divin. Comme on perd ses références passées, celles du mental qui se croyait seul à la barre, on s’accroche si on peut dire, à la vibration qui fait du bien, celle de la paix, de l’unité, de l’harmonie. Ça devient la seule référence valable, celle du ressenti et la perspective est ouverte sur l’inconnu avec pour guide la confiance qu’on porte à la source en soi.
On n’a plus besoin de se poser des questions, d’aller chercher des infos à l’extérieur puisque déjà on sait que la vie nous amène à évoluer naturellement et qu’en affinant ses perceptions, en s’intériorisant, on peut recevoir l’inspiration au moment où c’est nécessaire. 
On sait que lorsqu’un thème de réflexion est posé, notre attention sera dirigée au bon endroit, vers la personne le texte qui viendra nourrir la réflexion. Que la clarté viendra quand nous aurons perçu et relâché la tension qui trahit le blocage émotionnel qui nous permet d’intégrer en profondeur par l’acceptation, une compréhension affinée de l’amour, de la lumière de ce que nous sommes en vérité.  

On apprend à reconnaitre le langage de notre être, notre âme à travers le corps physique et à laisser l’amour et la lumière rétablir l’ordre divin à l’intérieur. L’appel de l’âme qui attire notre attention sur la tension, le blocage et l’abandon à l’amour est le processus intime de révélation de la source en soi qui n’a plus besoin de s’appuyer sur des raisonnements, des connaissances intellectuelles ou même spirituelles.

Ceci dit, rien n’est jamais acquis et les mouvements internes désordonnés invitent à la maitrise, à simplement prendre l’habitude de fonctionner en se référant à l’énergie du cœur, en se positionnant en son centre pour vérifier une fois de plus que la paix et la détente qui reviennent à nouveau ouvre d’immenses perspectives de réalisation.

En commençant la journée par s’ancrer, se positionner mentalement dans la connaissance de la puissance de l’amour lumière, la connexion au divin par une parole et ce regard qui s’élève au-delà de la forme, revenir en son corps au moment présent et juste sentir le cœur qui bat dans ce mouvement régulier apaisant, permet de s’affirmer dans sa foi. 
On aura plus de facilité à être réceptif, ouvert, à voir les choses avec objectivité, recul, à relativiser, à faire confiance à la vie en sachant que la vision du mental est limitée, que le jugement nous maintient dans l’ancien modèle réactionnel celui qui nous fait sentir impuissant et nous donne l’impression de subir, la vie, les autres, leurs choix et décisions.

Je constate que le fait d’avoir recommencé la marche, le jardin me fait gagner deux heures de sommeil. Ce n’est pas rien parce que l’énergie a besoin d’être renouvelée, le corps revitalisé et le contact avec les autres dimensions, la réception des infos que l’âme va ajouter à la psyché, aident le mental à mieux comprendre et interpréter les rêves. Leur signification est intime et elle nous indique ce qui est intégré, ce qui a besoin d’être éclairé, les énergies qui sont prédominantes…
Plus je m‘intériorise et plus je constate la complexité de l’humain et en même temps la cohérence malgré le chaos apparent.
Je ne suis plus autant perturbée par ces remontées et il m'arrive même de me réjouir parce qu'en général, ça ouvre la conscience, la foi et affermie, la confiance en la source et en soi aussi. 
Et ce qui est le plus reposant c'est que le mental accepte l'idée qu'il ne sache pas, qu'il ne puisse pas anticiper, qu'il soit confiant en l'avenir et ne craigne plus d'aller vers l'inconnu. 





J'ai passé la journée à agir de façon à maintenir la joie et l'harmonie à l'intérieur et malgré le ciel rempli de chemtrails, j'ai pu aller au jardin planter des rhizomes. Je suis rentrée juste avant que la pluie se mette à tomber en trombe. 

Puis comme je le pressentais, j'ai fait l'expérience de la force de l'unité mais cette fois ci en écoutant une vibraconférence de Corine Lebrat sur laquelle je suis tombée en suivant l'intuition et j'ai bien fait parce qu'elle a proposé une séance de méditation en groupe qu'elle a guidée, de chakra en chakra, et commenté selon ce qu'elle percevait. 
J'ai pu vérifier une fois de plus, la puissance redoublée de l'énergie quand l'intention d'un groupe est rassemblée sur le même objectif à savoir les libérations émotionnelles, énergétiques. 
C'était puissant au niveau du ressenti, de l'ouverture du cœur, des sensations de détente, de décrispation au niveau du plexus solaire, du chakra sacré et du chakra racine. Je la referais.

Bien que je me connecte régulièrement à la terre, au ciel et demande au corps subtils de s'harmoniser et même si je sens une détente, je ne prends pas le temps de ressentir en profondeur ce qui se passe précisément à l'intérieur. 
Vous pouvez bénéficier de ces énergies à tout moment même si ça n'est pas en directe, l'énergie n'a aucune limite, ni dans l''espace ni dans le temps. 

En insérant la vidéo, je comprends mieux pourquoi je n'ai pas pris la conférence au début! J'aurais sûrement bloqué sur le côté "prédictions" qui a tendance à m'agacer...Je n'ai même pas fait attention au titre sinon je n'aurais pas suivi. Nul doute que l'élan ait été inspiré puisque je suis arrivée sur la conférence au moment où elle proposait la méditation de groupe...
D'un certain côté, ça n'est pas parce que quelques infos ne me parlent pas que ça invalide le reste...
En fait le film au sujet de l'eau qui montre la capacité de l'eau à capter l'information et à la y réagir, la restituer, vient de sa structure, de ses clusters qui forment des cercles qui emprisonnent l'info. Ça rejoint aussi l'esprit d'unité, le cercle qui capte et transmet les énergies de la source en conscience...Il y a de quoi réfléchir mais on verra demain...il est tard...


"Les Prochaines dates importantes de cette année 2016..." VibraConférence en direct avec Corinne ...




 


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