15
janvier 2016
Ce matin, je suis électrique ! J’ai été réveillée par la chienne
deux heures après m’être endormie. Je ne sais pas à quelle étape du sommeil:
profond, paradoxal…ça correspond mais j’étais de sale humeur. Elle demandait à
sortir et même si je me suis agacée de devoir m’habiller et aller dans le
froid, plutôt que de rester dans ma bougonnerie, j’ai offert toutes les pensées
émotions qui émergeaient spontanément, à la source.
Je lâche la peur de
recevoir l’amour de la source en ce moment, la puissance de l'amour divin, les croyances inconscientes à
propos du père alors naturellement, les énergies qui sont associées à ses
croyances, se manifestent.
J’ai
d’ailleurs expérimenté la réception de cette vibration en mettant les mains
paumes vers le ciel et en demandant à la sentir. C’est là que j’ai vu que je
bloquais, que je craignais d’être consumée mais comme j’avais les mains gelées
puisque je n’allume pas le poêle depuis trois jours, je me suis dit que c’était l’occasion de
vérifier si j’avais suffisamment lâché les peurs à ce sujet. Mes mains se sont
réchauffées assez rapidement et j’ai senti comme un faisceau dans le creux des
paumes.
Ceci
dit cette expérience ne fait que me donner confiance, je sens qu’il y a encore
des blocages mais déjà, le fait de le reconnaitre suffit à détendre l’intérieur
du corps et le mental. Parce que les questions viennent de la peur, du besoin de contrôle.
Et le fait de ne pas allumer le feu est une sorte d'évitement, de fuite...
Je pressentais que ça serait laborieux et mon intuition ne m'a pas trompée...
Je me sens de plus en plus tentée de me nourrir de
lumière.
Plusieurs
raisons m’y amènent naturellement et logiquement puisque le fait de devoir se
nourrir de matière, enclenche l’instinct de survie, des peurs et obligations
très limitantes. Mais comme il y a aussi l’aspect plaisir, le fait de se sentir
vivant, incarné, je ne force rien et commence par travailler au niveau des
pensées comme la nécessité de manger, de devoir gagner sa vie, toutes ces
croyances basées sur l’ignorance de qui nous sommes en réalité.
Le ‘problème’,
ça n’est pas de faire telle ou telle chose mais de croire qu’on n’a pas le
choix et d’agir sous la contrainte, dans la peur, l’idée de besoin et de
manque.
Et c’est valable pour tout.
En
fait, toutes ces croyances sont concentrées dans ma dépendance aux cachets.
Pendant plus de dix ans, je me suis nourrie exclusivement de sirop pour la
toux, donc de sucre, d’eau et de dérivés d’opium. J’avais de l’énergie, de la
force, la détermination à vivre selon ma
vision de la vie et pourtant j’avais deux hépatites. Je dormais tout de même
près de douze heures par nuit mais j’ai active le reste du temps. Mon corps
n’en garde pas de séquelles parce que je vivais selon mon cœur, en toute
liberté et sans culpabiliser.
Bon,
je crois que je vais, m’occuper d’allumer le poêle parce que le fait que je ne
chauffe pas depuis trois jours ressemble à une punition en même temps que ça trahit aussi une stratégie d'évitement de l'ego.qu’autre chose.
C’est vrai que le fait que le tuyau s’encrasse rapidement m’agace et je
contourne le problème, mais il y a un fond de culpabilité à recevoir tant le confort,
que l’amour où l’argent.
Il y a tout de même des progrès parce que la case don
est cliquée régulièrement et je remercie tant le ciel que ceux qui m’envoient
des chèques mais je sens qu’il reste dans l’étonnement, comme une forme de
difficulté à admettre que je le mérite.
Je
sais pourtant que l’amour ne se mérite pas puisque c’est notre nature
essentielle mais malgré tout, la peur et la culpabilité demeurent.
Je viens de
me reconnecter à la terre et au ciel et constate que j’accueille plus
facilement les énergies de la terre que celle du ciel.
J’ai senti à nouveau de
la chaleur dans les mains mais des larmes ont coulé en même temps.
Le peu de
compréhension que j’ai suffit à lâcher les raisonnements, les questions et
comme les émotions s’expriment, c’est suffisant à me donner confiance dans le
fait que je libère les pensées d’illégitimité, d’indignité, en ce moment même.
J’aime bien me connecter à la source père mère, ciel-terre, avant de prendre
les cachets parce que rien n’est retenu et comme je suis plus sensible,
consciente de ce qui se vit à l’intérieur, je peux constater que les
libérations s’effectuent réellement, concrètement. Après, comme ces croyances
ont été nourries depuis très longtemps, et là, je ne parle que de cette vie, il
est naturel que tout ne soit pas libéré d’un coup.
Mais comme ma vie change au
fur et à mesure que je libère, débloque les énergies, ça suffit à me faire
persévérer en ce sens.
Déjà,
la paix est constante depuis l’année dernière et maintenant c’est la joie qui
s’installe.
Cette
paix maintenue avec aisance, naturellement, par le lâcher prise à bien des
niveaux, me place sur des fréquences qui n’attirent pas d’énergies extérieures
exacerbées, sombres ou écrasantes.
Puis comme la joie s’installe, la gratitude
l’accompagne et ces fréquences de la source manifestent un quotidien en
conséquence. La créativité vient naturellement et comme elle est nourrie dans
les gestes du quotidien, la confection d’un repas, le ménage, ça m’ouvre sur de
nouveaux potentiels, de nouvelles idées.
Il
est clair que la dépendance aux cachets concentre l’ide du manque, de la
séparation d’avec l’amour, la source dans son aspect masculin, sa puissance
d’action.
Bon
je me colle au démontage de la plaque du poêle. Là aussi, le blocage, la
difficulté à mettre la main à la pâte illustre les réticences internes à sentir
les émotions lourdes mais déjà le seul fait de le reconnaitre me donne du cœur
à l’ouvrage.
Un voisin fait des travaux à la perceuse et ça m’invite à lâcher
la peur de souffrir à l’idée de contacter ces peurs ancestrales d’indignité
vis-à-vis de la source parce que même si consciemment je sais qu’il n’y a rien
à craindre, au niveau inconscient et génétique, c’est autre chose !
Je
vais déjà mettre de la musique pour me motiver, pour susciter la joie.
Maintenant que des larmes ont été libérées, il s’agit de maintenir
l’enthousiasme.
C’est souvent là qu’il est risqué de larmoyer de resté bloqué
sur la tristesse.
Mais si l’accueil est sincère, la joie se manifeste doucement
et il suffit de l’amplifier en se focalisant dessus même si elle est minime.
Une
douleur au rein gauche m’indique aussi que je suis en plein nettoyage des
filtres, en plein travail parce que même si les symptômes indiquent des
blocages, c’est aussi le signe qu’il y a du mouvement et comme le corps
physique est programmé pour manifester l’harmonie, ça veut dire qu’il fait son
job.
Lui faire confiance est ce qui peut l’aider le mieux. Puis prendre
conscience de ce que ça révèle au niveau mental, émotionnel et spirituel et
offrir à la source, les peurs qui nourrissent les fausses croyances, est une
autre étape qui mène à la guérison ou résolution d’un problème.
Voyons ce qu’en dit Lise Bourbeau.
Parmi
les causes métaphysique qu’elle donne, celle qui résonne le plus, c’est encore en lien
avec la puissance intérieure, la peur de ne pas pouvoir faire face, de ne pas
être à la hauteur, de ne pas mériter les choses, ce qui renvoie aussi au rôle
de victime.
J’ai
ouvert le lecteur Windows qui révèle où
j’en suis vibratoirement et comme le premier titre qui est sorti, c’est un
morceau de Nina Hagen qui incarne le pouvoir d’être qui on est, ça me conforte
dans l’idée que les croyances inconscientes sont moins victimisantes. Puis
un passage du livre audio d’Abraham qui parle de la création délibérée me
renvoie encore au pouvoir intérieur. Celui de l'âme et de la conscience, évidemment.
Bon, je me colle au poêle !
Ce
blocage est vraiment psychologique parce qu’en fait, en 10 minutes, le truc est
fait ! Derrière ça, il y a aussi l’idée de ne pas vouloir se salir.
Dix
minutes pour retirer la plaque, les résidus et une heure à surveiller la
combustion puisque dès que ça chauffe, les merdes dégringolent à nouveau le
long du tuyau ce qui vient obstruer le passage et rebelote, il me faut
surveiller l’arrivée d’air pour éviter que les résidus ne brûlent et que ça
tire quand même !
Cette fois-ci, le tuyau a cramé à la base ! J’ai
vite fermé l’arrivée d’air mais trop tard puisque c’est encore bleu acier,
rouge orangé et jaune à l’endroit de la brûlure !
Tiens, ce sont les
couleurs de la triple flamme ! Si je transpose, ça voudrait dire que
l’énergie de vie bloque à la base, au niveau du chakra racine et qu’il serait
bon de laisser la source pacifier tout ça.
Là,
je sature, j’en ai marre d’essayer de comprendre alors j’appelle juste la
source, l’amour lumière à équilibrer les énergies en moi et mes corps à rester
unis, solidaires.
Quand je vois que la peur de la mort qui est finalement
derrière tout ça, se manifeste encore, je me dis que tant que je suis
incarnée dans ce corps et sur cette planète, ce sera toujours présent.
Alors
autant l’accepter et revenir au plus simple, à l’essentiel maintenir la paix en
soi.
Cette paix qui permet d’être en confiance et de pouvoir agir avec
enthousiasme, sans être pollué par l’idée que tout ça ne sert à rien et en
profiter pour offrir à la source ce genre de pensées.
C’est vrai que si on
reste focalisé sur l’idée que de toute façon "à la fin on meurt", en voyant cela
comme quelque chose de négatif, on ne fait plus rien, on ne peut pas être
motivé à agir.
Comme si on se disait ça ne sert à rien de manger puisqu’au bout
du compte, ça fini dans les toilettes.
Ce qui m’amène à la conclusion suivante,
ce qui compte, ça n’est pas l’objectif, la fin, mais comment on vit dans
l’instant, dans quel état d’esprit, dans quelle vibration on avance sur le
chemin.
Ça me fait penser à la lettre d’info de Joéliah qui ramène à l’essentiel, la
vibration de l’instant, sa qualité qui détermine le genre de vie qu’on
expérimente.
Et comme chaque jour est un nouveau jour, c’est à chaque instant
qu’il faut maintenir la paix en soi pour éviter de se prendre la tête puisque
de toute façon même si on peut penser qu’on a le choix, c’est toujours la
source qui tire les ficelles, la vie qui choisit.
Alors autant accepter de se
laisser guider, de favoriser la paix, l’écoute et ainsi de sentir la guidance.
Il y a comme une forme de résignation dans ce que je dis mais c’est naturel que
l’ego voit cela comme une perte. C’est plus un choix entre résister ou se
laisser être.
Alors je m’autorise à être ce que je suis, du verbe suivre, à
savoir la paix, l’amour en soi, ou de soi, ce qui revient au même, la joie, la
liberté dans ce choix et l’abandon des croyances, des jugements. Il n’y avait
pas de titre à cette lettre alors j’ai choisi celui-ci qui me semble être
l’idée majeure qui en ressort.
« Faire la paix en soi avant tout »
« Bonjour
et beau moment présent, unique et éternel, le seul qui existe.
Lors des vœux des maîtres, l'accent a été mis sur l'importance de vivre le plus authentiquement possible son 'je suis', d'oser vivre ses rêves à un niveau supérieur même s'il faut pour cela changer complètement ses habitudes et de développer la paix en soi.
Lors des vœux des maîtres, l'accent a été mis sur l'importance de vivre le plus authentiquement possible son 'je suis', d'oser vivre ses rêves à un niveau supérieur même s'il faut pour cela changer complètement ses habitudes et de développer la paix en soi.
C'est en son cœur que la paix doit vibrer pour rayonner dans le monde.
Si
la paix est bien installée en soi, la vibration attire sur la même fréquence.
Or
beaucoup de personnes sont pour la paix, ont envie de paix, rêvent de paix...
mais agissent, inconsciemment à l'opposé de cette énergie.
La paix, c'est l'absence de tension, de jugement, de critique, d'accusation, de
révolte intérieure et extérieure... c'est la sérénité, le calme, l'équilibre.
Pour savoir si la paix existe en son cœur, il suffit d'observer sa vie au
quotidien car ce qui se passe dans notre vie est le reflet de notre
subconscient.
Lorsque
tout est paisible, que tout roule, qu'il n'y a pas de tension avec d'autres
personnes, que l'authenticité se manifeste simplement, alors nous pouvons être
surs qu'elle est installée. Les sourires sont présents facilement, les solutions
se trouvent aisément, la politesse s'installe, le respect avec.
Si notre vie est chaotique, irritée, pleine de tensions et de peurs,
c'est qu'il y a encore à libérer des programmes involutifs.
L'installation
du rayon rubis doré peut aider à manifester cette paix intérieure.
Pour cela,
il est possible de méditer dans son énergie à partir d'une image qui représente
ce que nous désirons développer en nous, puis, de laisser la fréquence du rayon
pénétrer nos cellules et de s'imaginer être cet être paisible ou ce lieu...
Si vous avez besoin de paix, je vous invite à prendre un temps de méditation en
regardant cette image ( en dessous) et, simplement, de calmer votre mental et de vous
imaginer être cette pierre en parfait équilibre... puis d'émaner cet équilibre
dans tous les aspects de votre vie.
Si un aspect de cette photo vous dérange, allez chercher la mémoire activée en vous et libérez-la par le souffle.
Que le meilleur soit ! »
Joéliah
Si un aspect de cette photo vous dérange, allez chercher la mémoire activée en vous et libérez-la par le souffle.
Que le meilleur soit ! »
Joéliah
Pour
découvrir la puissance des 13 Rayons sacrés et comment les activer, vous pouvez
assister à l'un de mes stages ( Les 23 et 24 janvier, à PAU et les 6 et
7 février à côté de Bugarach, puis Château-Thierry, près du Mt
St-Michel, Paris, Charleroi... détails ici)
ou lire l'un des5 livres spécialisés et les mettre en application dans votre vie.
ou lire l'un des5 livres spécialisés et les mettre en application dans votre vie.
C’est
vrai qu’on s’imagine que pour trouver la paix, il faut faire tout un tas de
choses concrètes comme par exemple installer une protection murale acoustique
pour ne pas entendre les bruits des voisins, avoir un compte en banque bien fournit, des réserves de nourriture pour ne pas manquer de l'essentiel, mais c’est avant tout en soi-même
que tout est à faire.
Et en l’occurrence à laisser sortir la colère puis
respirer calmement jusqu’à retrouver la paix. En laissant tout sortir, comme le
font les petits enfants puis en se rappelant que c’est un aspect de nous qui
est dans la peur, que les choses ne vont pas rester en l’état parce que dans
cet accueil inconditionnel, on sent peu à peu la paix revenir.
Il y avait
longtemps que je n’avais pas ressenti de la colère !
Je
crois qu’une sieste après manger s’impose ! Avec tout ça, je n’ai pas fait
grand-chose ni même pensé à manger.
Le
piège quand on pense qu’il faut guérir les blessures du passé c’est que le
mental croit qu’une fois qu’on aura lâché le plus gros, on sera tranquille. Même si on est de plus en plus en paix, comme la vie est en mouvement et passer d’un état de victime irresponsable à
celui d’un être conscient de ce qu’il est véritablement, ça ne se réalise pas
un une seule fois, ça demande de la présence à soi et l'abandon total à l'amour intérieur.
C’est
progressif et à chaque fois qu’on revient à la paix en soi, d’autres situations
nous obligeront à y revenir jusqu’à ne plus rien retenir ou tenter de contrôler
ce qui est.
Déjà le fait de ne pas me laisser embarquer par la peur ou la
colère, c’est une bonne chose et en le reconnaissant, je ressens de la
gratitude, ce qui élève la vibration au point d’en rire.
Finalement tout ça
n’est qu’une farce et le savoir m’aide à lâcher prise à propos de la mort
puisque c’est cette peur qui génère toutes les autres. Je viens de piocher ce
conseil sur le site de Lulumineuse, ça conclue bien cette histoire :
« Il
n'y a aucun drame, uniquement une perception restreinte de la perfection
divine, garde confiance »
J’étais
tellement centrée et focalisée sur l’intérieur hier que je n’ai pas eu le goût
de publier cela. J’ai préféré prendre soin de raviver la joie en prenant la
chanson qui tournait en boucle dans ma tête, comme un appel à faire grandir
cette vibration plutôt que comme une forme de manipulation intérieure.
C’est
toujours l’interprétation qu’on fait des choses qui nous porte sur une
vibration spécifique.
Si
je me dis que le mental est chiant à ressasser et comme je ne peux pas
contrôler ces voix internes, je vais soupçonner une quelconque entité
malveillante de me manipuler de l’intérieur et critiquer mon mental ego, l’accuser
d’être un saboteur, un chieur, alors que si je me dis que tout en moi est
divin, que la conscience et l’âme communique continuellement, déjà, je suis sur
une autre fréquence, ma vision va changer et je vais voir en ce chanteur
intérieur, un appel à cultiver la joie.
Je me suis laissée guider par l'élan et suis restée plus de trois heures à trier des photos de fleurs, à les contempler et ça, c'est quelque chose qui me sort de l'espace temps, avec une belle aisance.
Le temps passe très vite quand on est sur les fréquences de la beauté, de l'harmonie que la nature manifestent spontanément. C'est dans ces moments que j'oublie la clope, la faim, le passé, l'avenir, je suis juste dans l'instant et c'est très libérateur.
Puis
pour élever encore plus la fréquence, j’ai fait de la pâtisserie. Rien de tel
que d’agir en étant présent à ce qu’on fait pour maintenir la vibration dans la
joie, la créativité et c’est quelque chose qui permet aussi de guérir la
relation à l’enfant intérieur, de nourrir l'âme. Comme je sais que c’est cet aspect interne qui
est gourmand, préparer des choux à la crème ne pouvait que le satisfaire. En plus,
j’ai innové en faisant fondre une demie tablette de chocolat au praliné, à
cuire que j’ai ajoutée à la crème pâtissière.
En étant complètement
indifférente quand aux croyances populaires et même New âge, ou encore végans, qui
disent que le sucre est mauvais, que la pâtisserie fait grossir ou encore que
ça plombe la vibration. Ce n’est pas faux non plus mais tout est question de
vibration, d’équilibre, et de savoir écouter le corps physique qui sait dire
quand il a sa dose.
Personnellement
je somatise systématiquement et quand je fais les choses par amour, en l’occurrence
pour les aspects internes enfantins comme le mental l’ego et l’enfant
intérieur, le corps vibre sur des fréquences lumineuses et comme je privilégie
l’intérieur plutôt que l’apparence, comme je n’agis pas par peur ou par
culpabilité, le corps physique digère très bien et je ne prends pas un gramme.
Je
n’irais pas jusqu’à dire que je me fous de mon apparence mais plutôt que j’ai
confiance au fait que tout commence et dépend de la vibration intérieure et si
on maintient sa fréquence sur la paix, l’harmonie, la joie, le corps physique
suit naturellement.
J’ai fini la soirée dans la légère d’être et suis arrivée
sur la fin de la vibraconférence de Sophie Riehl et Yvan Poirier au moment où
il parlait du libre arbitre très relatif.
Mais j’en parlerais plus tard parce
que le sujet mérite d’être développé largement.
Si
vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure
et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain
divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr