dimanche 6 décembre 2015

« Calme et légèreté »





La journée commence tranquillement et en piochant dans "la boîte à idées" de Lulumineuse, comme je le fais de temps en temps, j’ai ri en lisant la phrase qui me conseillait d’être « positive ». Je n’ai pas pensé à la copier coller mais ça m’a renvoyé à mes pensées du moment et comme je venais de lire le début de ce que j’ai écris hier en émettant des critiques, une image m’est venue en tête à propos des émissions de gaz à effet de serre. 
Je me suis dis qu’à l’échelle individuelle, les pensées toxiques, contraires à l’amour, à propos de soi ou des autres, sont comme un enfermement qui nous coupe de l’énergie de vie, consumant notre joie de vivre. 
Juste avant, je venais d’ouvrir ma boite mail dans laquelle le message hebdomadaire de Daniel Desjardins et le protocole qu’il contient, tombe vraiment à pic :
Processus verbal de transformation de la semaine
« J'appelle tout les parties de mon être qui justifient la violence que je m'inflige. Je vous remercie de votre présence et je vous accueille ».

C’est précisément ce qui manquait à mon briefing d’hier ! 
Mais je ne me fait pas de souci pour la question de cette libération des habitudes toxiques puisque je me sens soutenue par mes corps subtils, par l'intelligence du corps physique, en paix et le désir, l’intention, sont puissants.

Je me sens déterminée sans pour autant espérer un avenir meilleur par l’abandon de l’addiction dont je ne fais pas un challenge ou une quête à réussir à tout prix au risque de me déprécier. 
Je sais que c’est par l’amour, par la libre circulation de l’énergie de Vie en moi que ça peut être réalisé sans effort, simplement en étant à l’écoute, attentive aux signes, en suivant l’intuition et sans nourrir d’attente. 
Mais juste être à l’écoute du corps physique, percevoir et libérer les tensions, être à l’écoute des pensées émotions énergies lourdes et pratiquer la détente à tous les niveaux, soit par la cohérence cardiaque, soit en suivant l’élan du moment, s’il m’invite à bouger. 

La méditation n’est pas trop mon truc, dans le sens où on l’imagine en général. 
Disons plutôt que j’ai besoin de techniques concrètes qui ont été vérifiées scientifiquement permettant au mental d'être en confiance. 
Cette préférence est plus liée aux énergies qui sont derrière ces différentes pratiques, aux égrégores qui leur correspondent, qu’au besoin de preuves de l’efficacité du processus puisque je peux le vérifier par moi-même, simplement en pratiquant. 
La démarche n’est pas la même. 

Les méditations qui viennent de religions ont un passé souvent douloureux, chargé de peur, de croyances duelles. L’Inde que tant de gens vénère est tout de même un pays où des enfants sont abandonnés dans les rues, où les castes régissent encore la société et où la pauvreté est perçue comme quelque chose de karmique. 
Leur façon de se soumettre au karma est plutôt malsaine à mon sens. 
La notion de karma telle qu’elle est véhiculée en occident et appliquée en Inde, m’apparait venir des humains tout comme les religions monothéistes qui parlent de punition, d’enfer et de malédictions liées aux jouissances du monde. 

Les choses sont beaucoup plus simples, logiques et à mon sens c’est juste une question de cause à effet. Les pensées émotions énergies entrainent des actes qui eux-mêmes entrainent des conséquences, point. 
Il n’y a pas de notion de bien et de mal, de punition ou de récompense mais plutôt d’effet boomerang entre l’énergie émise et l'accumulation-attraction que ça génère.

Tout commence à l’intérieur de soi et si on gère, si on maitrise ses pensées, ses émotions, si on se centre dans le cœur lorsque ça devient chaotique, lorsque ça s’oppose à la libre circulation de l’amour, de l’énergie du vivant en soi, il n’y a pas de raison que les paroles, les gestes portent préjudice à soi-même ou aux autres.

Pour gérer ses pensées, il faut déjà savoir ce que l’on veut et connaitre justement ces lois de cause à effet, d’attraction et définir ce qu’est l’amour. Et pour élaborer un dictionnaire amoureux qui soit réel, c’est en étant attentif à son état d’être, son intuition, son ressenti qu’on peut savoir ce qu’est l’amour.

Quand on accepte ce qui est, il se produit en soi, au niveau mental, physique, de façon tangible, une détente, de la même façon que lorsqu’on cesse de lutter contre une peur, de culpabiliser, de juger, de critiquer.

Puis au niveau spirituel, les synchronicités, les sensations internes qui viennent confirmer qu’on est soutenu, porté par la vie qui s’écoule en soi librement, par la fluidité, la souplesse, la douceur de vivre, qui se manifestent lorsqu’on s’abandonne à l’amour, au cœur, en toute confiance.

On a nourrit des croyances basées sur la peur, la survie, le rejet, le déni de soi, la notion de sacrifice, de lutte, de compétition, de comparaison, qui ont perverti la vie, et en ont fait un calvaire, un enfer sur terre.

C’était nécessaire d’expérimenter la dualité, la peur, la soumission aux autres pour savoir, par effet contraste, ce que sont l’amour, la liberté, le pouvoir, véritables, puis ainsi devenir responsable et aller vers la souveraineté de l'être, en ayant acquis la sagesse et le respect de toute vie.
Le scénario a été parfaitement écrit et interprété mais il est temps maintenant de changer le film, d’écrire une nouvelle histoire, d’entrer dans la Vraie Vie. 
Cette phase ou ce nouveau monde libre, en paix et heureux que beaucoup souhaitent consciemment ou inconsciemment, s’écrit depuis le cœur de chacun, commence en chaque individu. 
Il ne s’agit plus de jouer le scénario d’un autre, de projeter ses rêves et fantasmes dans le monde mais de laisser le cœur nous guider pour mettre en forme, en pensée, en parole et en acte, notre vie de tous les jours.Faire confiance à l’amour qui va guider la personnalité en conscience afin qu’elle devienne autonome et puisse créer sa vie en conséquence.

Il s’agit d’accepter d’être responsable de son monde intérieur, de ses pensées, de ses émotions et de ses actes dans un premier temps, reconnaitre que nous n’avons aucun pouvoir direct sur les autres. 
Reconnaitre que notre vrai pouvoir est celui de l’amour inconditionnel qui par sa grâce nous guide à chaque instant vers notre épanouissement, notre libération. 

Libération des vieux schémas de pensées, des croyances, des masques de victime, de bourreau, de sauveur, profondément incrusté dans l'inconscient, dans le cerveau reptilien animé par l'instinct de survie qui a développé tout un système de prédation, de dominance. Le corps porte en lui cette mémoire, tant au niveau du cerveau que de l'ADN et le nettoyage qui se réalise à tous les nivaux de l’être, peut demander toute une vie si on résiste à l'appel de l'amour en soi.

La souffrance est très souvent mentale, c’est l’expression d’une résistance qui lorsqu’elle perdure dans le temps finit par créer des maladies à cause des blocages énergétiques que le rejet va créer d’abord au niveau mental-émotionnel et inconscient avant de s'inscrire dans le corps physique. 
Pour que l’énergie de vie puisse circuler librement en soi et nourrir tous les corps qui vont alors s’harmoniser aux fréquences de la paix, de l’unité, il est nécessaire d’être détendu tant psychiquement que physiquement et en ce sens la cohérence cardiaque est une méthode tout à fait adéquate. 
Je parlais tout à l’heure des énergies, des égrégores qui sont derrières les croyances, parce que l’intention qui porte les gestes, qui impulse une démarche quelle qu’elle soit, détermine la qualité et l’efficacité du procédé. 

La cohérence cardiaque a été trouvée par des scientifiques éveillés, conscient et responsables de leur choix d'aider véritablement l'autre, par amour pour l’humanité, pour la connaissance, la conscience, par respect pour le vivant, ce sont ses valeurs qui les ont poussé à sortir du chemin établi par leur profession où beaucoup visent avant toute chose le pouvoir que procure l’argent et la notoriété. 
Ils ont d'abord constaté honnêtement l’inefficacité des protocoles de guérison puis osé s’aventurer dans les médecines alternatives ou dans les connaissances ancestrales, faire des recherches en dehors du cursus habituel, refuser les cadeaux et avantages qu’offrent généralement les lobbies pharmaceutiques, les industriels de la santé et s’impliquer personnellement en dehors des sentiers battus pour trouver de nouvelles manières de guérir.

On sait certainement depuis longtemps l’effet des pensées émotions énergies sur l’organisme et l’autonomie que ça peut amener aux humains qui ne seraient alors plus de dociles consommateurs et ça, c’est inenvisageable, impossible, pour les laboratoires, le corps médical, qui se positionnent en sauveur, en autorité suprême qui fait d’énormes profits, des bénéfices colossaux grâce à la peur, l’ignorance et n’est pas prêt à perdre son pouvoir.

Je ne suis pas non plus en train de dire qu’il faut les dénoncer, les combattre puisque chacun est doté d’un cœur, d’une conscience, chaque individu est responsable de lui-même, de ses choix et doit en assumer les conséquences, en tirer l’enseignement…Puis se serait jouer le rôle d persécuteur et finalement rester coincé dans le triangle émotionnel du drame, de l'inconscience.
La première conséquence douloureuse pour ces personnes c’est de voir que leur soif de pouvoir n’est jamais comblée, qu’elle ne les mène pas au bonheur puis comme ils ont une conscience, celle-ci ne peut pas rester muette indéfiniment. 
Pas plus que l’énergie de l’amour, du vivant ne peut être bloquée sans causer de dégâts. 

Mais ça ne me regarde pas, ou éventuellement, je peux avoir des pensées de compassion envers eux parce que je connais la douleur que la culpabilité et la peur peuvent infliger aux êtres et l'effet de l'amour qui peut éveiller les cœurs, les consciences.

Lorsqu’on juge l’autre, c’est une partie de soi qu’on rejette puisque nous sommes UN et c’est aussi une façon d’éparpiller son énergie, de se dévitaliser par ces fuites et en plus, l’énergie du jugement va attirer des énergies semblables qui vont amplifier au risque de nous enfermer dans la culpabilité, le mal-être... 
Parce que lorsqu’on ignore un aspect de soi en souffrance, il devient autonome et glouton, il va agir en coulisse, saboter nos intentions les plus nobles. 
Les religions ont interprété ça en "entités malveillantes" mais c’est très basique et réducteur. 
L’énergie est neutre, c’est l’intention qu’on lui porte qui la modèle puisque la conscience cocréé avec l’énergie, lui donne une forme spécifique selon le sens qu’elle lui donne, l’étiquette qu’elle lui attribue.





Je repense à la lecture de l’article de Lise Bourbeau d’hier qui aborde le thème de la routine sclérosante et je rigole parce que je l’ai cassée hier mais d’une façon qui n’a rien de spectaculaire, c’est même affligeant de banalité mais c’est un bon début.

Une façon d’intégrer l’idée que tout commence en soi et simplement en faisant un premier petit pas, qui représente un changement d’intention, suffit à orienter l’énergie, à la colorer d’une façon totalement différente et donc à induire tout un comportement une attitude cohérente, harmonieuse, alignée à l’énergie de Vie. 
On se place sur le courant en conscience et en confiance et ça suffit pour attirer la grâce, le meilleur ! 
Le meilleur étant déjà le ressenti intérieur, l’état de paix, d’unité, qui donnent un sentiment de puissance, l’assurance que tout est parfait, que tout se place en soi pour cocréer avec la vie, sous la direction du maitre d’œuvre; l’Amour Inconditionnel, une succession de moments de joie que procurent l’épanouissement, par la créativité, dans son plus beau potentiel !

J’en ai pleuré de joie tandis que je remerciais la Terre mère de me nourrir de son énergie de vie et le ciel de faire la même chose, puis mes corps d’arriver à s’entendre, à se soutenir mutuellement pour canaliser ces énergies cosmo-telluriques de façon harmonieuse et créative. Le fait que j’ai pu évacuer sans aucun problème, blocage, les aliments de la vielle m’a rempli de joie et de gratitude parce que c’est le signe indéniable que tout est fluide à l’intérieur, que la nourriture est digérée naturellement et que le corps physique sait en tirer le meilleur. 
Exactement comme pour l’énergie canalisée sans perte, dirigée par le cœur de façon harmonieuse permettant aux corps subtils d’en tirer le meilleur, la substance vivante, régénératrice, créative. Et le rayonnement ne peut qu'être bénéfique pour l'entourage sans même avoir à y penser, à le vouloir. Du pur amour rayonnant gratuitement, délibérément et sans attendre quoi que ce soit en retour. C'est à mon sens le véritable amour qui s'exprime de cette façon, un amour pur et universel.

Bon, je vais peut-être devoir me calmer même si cet enthousiasme est nécessaire à l’équilibre interne, l’énergie excessive amène toujours son pôle opposé. 
J’offre ces énergies aux aspects internes qui continuent d’être soumis à la peur afin qu’ils se sentent aimés et que l’énergie s’équilibre naturellement dans l’harmonie et la paix du cœur.   
Ça c’est l’aspect mental, psychologique du processus de canalisation mais ensuite, il est bon d’orienter cette énergie jusque dans l’action afin qu’elle ne s’étiole pas, ne stagne pas, ne se consume pas.

Enfin je laisse le cœur agir, lui seul sait ce qui est à faire de la même façon que mon estomac, mon système digestif sait digérer les aliments et en extraire l’énergie de vie…
Et pour ce faire, une petite séance de respiration calme, de cohérence cardiaque est bienvenue. 
En fait j’ai longtemps tourné en rond parce que je me contentais de l’écrire et n’agissait pas. Il fallait que le chaos interne soit à son comble pour que je me pose enfin !

Mais c’est aussi de cette façon que j’ai pu valider le processus d’accueil, d’acceptation, de lâcher prise alors tout es parfait. 
Maintenant, j’apprends à repérer les tensions internes, soit par l’effet miroir, le comportement des animaux autour de moi qui deviennent stressés, ou les choses qui commencent à merder, soit en scannant le corps physique pour détecter les crispations ou encore en respirant profondément. 
L’idée que le fait de fumer soit motivé par ce besoin de détendre les tensions internes apparait de plus en plus. 
Je sens que la porte de sortie de cette accoutumance est dans la capacité à se détendre tant mentalement que physiquement. 
Si on s’observe, on va constater qu’on prend une clope quand on est stressé, quand on a besoin de faire un break alors il serait bon de prévenir plutôt que d‘avoir à guérir. 
Mais, je ne force rien, je vois déjà qu’hier, j’ai beaucoup moins fumé qu’habituellement simplement en étant dans l’action calme et enthousiaste, équilibrée. 

C’est une évidence mais comme on se complique les choses lorsque le mental est en mode recherche, en stress psychologique, on ne voit même pas l’évidence.  

D’ailleurs, les lectures des messages spirituels ont aussi l’inconvénient de faire perdre le simple bon sens. 
C’est vrai que le monde n’est pas ce qu’il parait, que les énergies, les corps et les mondes subtils sont bien réels mais le mental ne peut pas concevoir cela de façon juste, simple. Déjà parce que c’est complexe dans la mesure où tout est soigneusement imbriqué mais surtout parce que son mode de pensée est trop limité pour gérer les données spirituelles, métaphysiques.

Il risque en plus de se focaliser sur un aspect de la vérité et d’en faire un dogme, une croyance. 
Les messages spirituels sont à lire avec le cœur de façon à en tirer la substance bénéfique, utile, tout comme les sciences basées sur les symboles sont uniquement des supports, des miroirs, des directions, mais en aucun cas des vérités auxquelles il faille s’accrocher.

Après, déterminer ce qui est réel et ce qui ne l’est pas, seule l’individu peut savoir ce qui est vrai pour lui-même, ce qui correspond à son propre chemin, son être tout entier. 
Le chemin de chacun est unique et le parcours, le mode d’emploi ou marche à suivre est perçue de l’intérieur.
Les choses qui sont générales, ce sont les lois et la constitution des corps, des systèmes internes, des organes, des membres, mais même là aussi, il y a des exceptions.
Chacun est guidé selon son degré de conscience et de confiance, d’ouverture de cœur et d’esprit.

Pour en revenir au sujet évoqué précédemment, "casser la routine", je ne suis pas allée en courses hier comme je le fais habituellement tous les samedis pour éviter la foule ! 
C’est peu de choses mais derrière cela, il y a l’expression du lâcher prise, de la paix, de la confiance en soi et le choix de suivre la guidance l’élan de l’instant. 
Il y a aussi la conscience que je dois gérer mon budget avec intelligence mais la peur n’est pas dominante, elle vient juste me rappeler comme une indication, de mesurer mes envies. Remarque, à ce niveau là, ça va. Je n'ai jamais été une consommatrice compulsive, on ne peut pas tout avoir, lol!

Enfin tout ceci est l’interprétation mentale que je fais des énergies qui se complètent, s’harmonise dès lors qu’on cesse de les étiqueter, de les qualifier de bonnes ou mauvaises. Il est clair que la peur reste utile dans certains cas. 
Par exemple, à moins d’être rempli d’amour (et encore nous ne sommes pas seuls sur terre, tout le monde rayonne et filtre l'amour selon ce qu'il est, pense et vit…), on ne va pas s’approcher d’un tigre, mettre sa tête dans celle d’un crocodile, en se disant que tout est amour ! 
Certaines personnes le font mais c’est tout un travail sur soi qui est réalisé en amont, des heures et des heures de patience pour apprivoiser l’animal. Et les accidents arrivent aussi. Il suffit que la peur domine ne serait-ce qu’une seconde l’individu pour que le prédateur retrouve son instinct.

Je vois bien, comment le comportement de Bilou répond précisément aux énergies que j’émane. Idem avec la chienne qui arrive à savoir ce que je vais faire et même parfois ce que je pense ! 
Les animaux captent l’énergie même s’ils peuvent comprendre des mots. Après interpréter leur comportement selon nos critères spécifiquement humain, faire de l’anthropomorphisme, c’est à mon avis une déviance égotique. 
Après, certaines personnes perçoivent les « pensées animales », c’est encore autre chose, c’est une histoire personnelle, intime entre l’animal et l’humain. 

J’ai parfois publié des messages sensés être délivrés par des animaux parce que je ne m’arrête pas sur la forme et sait que la réalité est beaucoup plus vaste que ce qu’on s’imagine mais l’intérêt pour ces articles réside dans le contenu du message délivré, la sagesse, la pertinence de la synchronicité.

Bon, je dois aller au tabac et à la boulangerie. Je publierais cela plus tard parce que j’ai enfin compris l’importance de l’action, de répondre aux besoins du corps physique avant ceux du mental et qu’en agissant en conscience, le mental émotionnel sont automatiquement alignés, en paix, dans l’harmonie.

Les mises à jour mentales ne seront plus nécessaires quand il n’y aura plus de questions, de crispation et de blocages, seul le fait d’être présente pleinement en chaque geste, suffira. Mais je ne vois plus non plus ces questions et blocages comme un problème, c’est plutôt perçu et ressenti comme un potentiel énergétique, une occasion d’aligner, d’harmoniser l’ensemble des corps, d’équilibrer les énergies. Je vais quand même publier le message hebdomadaire des guides de l’unité que reçoit Daniel Desjardins avant de me préparer à sortir.
J’ai repensé au rejet de ma candidature et je peux remercier les trois femmes d’avoir pris cette décision inspirée. Sans me préoccuper des raisons qui ont motivé leur choix même si je peux en avoir une idée, je vois les bénéfices de tout cela ! 
Une fois la déception, le sentiment de rejet, d’être à côté de la plaque, d’être même inapte à vivre en société, une fois que tout ceci a été vu et accepté, il reste le meilleur quand tout cela est équilibré énergétiquement, ça donne :
Un déclencheur, un moteur de décision, d’action. 

Plutôt que de me dire que je suis inadaptée, je vois au contraire que la vie me fait confiance, m’aime, qu’elle connait mon potentiel, qu’elle me donne l’opportunité de prendre mon pouvoir de créer, la capacité de gérer mon temps intelligemment, de réaliser mon plus haut potentiel, de parfaire la maitrise des pensées émotions énergies, en situation, en pouvant pratiquer le retour au cœur sans y être contrainte par les stimuli extérieurs.
Une fois qu’on se connait un peu mieux de l’intérieur, on va pouvoir maintenir sa fréquence vibratoire à un niveau qui n’attirera plus de catastrophes et si c’est le cas, on aura le pouvoir de les transcender, d’en tirer l’enseignement. 
Bon, je recommence à partir dans des explications à rallonge…

Je vais peut-être continuer à jouer les décoratrices d’Intérieur aujourd'hui, en silence ou en musique, selon le désir de l’instant mais avant cela, une bonne douche d’amour, d’eau et de lumière, en conscience, afin de témoigner ma gratitude à ce corps magnifique. 
Je ne parle pas de son aspect extérieur, bien qu'il ne fasse pas ces 50 ans et que je commence à m’y intéresser comme lorsque j’étais ado et que j'aimais les fringues. 
Je retrouve le goût d'aligner l'aspect extérieur à l'aspect intérieur mais cette fois-ci, sans aucune envie de plaire, de séduire, juste pour être en harmonie jusqu’au bout des ongles. Je ne parle pas non plus de maquillage parce que je n'aime pas. 

Ce que je mets en avant ici, c’est la magnificence de l’être complet, harmonisé, de son potentiel extraordinaire, son pouvoir de manifester dans la chair, la réalité quotidienne, l’essence de la Source de toute Vie ; la paix, l’harmonie, la liberté d’être, de créer, juste pour se réjouir à chaque instant !

C’est ce que j’ai dit à mes corps, à mes cellules hier, si nous sommes encore en vie, ici et maintenant, autant que ce soit dans les meilleures conditions, dans le plus grand confort, l’abondance à tous les niveaux ! 
Abondance de joie, d’idées, de douceur, de liberté, de potentiel, de choix, de paix essentielle, de jouissance simple, naturelle, de reconnaissance, de gratitude pour chaque instant vécu dans la quintessence de l’être. 
Oh là ! Déjà 7 pages, ça fait beaucoup…

La journée a été calme, pratiquement sans ordinateur et comme j'ai commencé à stresser à l'idée de raconter ma semaine à ma mère, craignant de tomber dans le rôle de la victime, j'ai fait une séance de cohérence cardiaque en exprimant tout ce que je ressentais, pensais dans cette situation spécifique. 
La conversation s'est passé normalement, sans drames, sans émotions, sans bouffées de chaleur, entre adultes responsables, cool! 
J'ai fait les choses du quotidien une par une, en étant le plus concentrée possible et c'est très reposant finalement.

Ce soir, pas besoin d'allumer le poêle, il a fait beau toute la journée malgré les épandages carrément en quadrillage et leur effet plombant en fin de soirée mais l'humidité n'a pas pénétré l'appart. 
Ça aussi, c'est bien agréable de ne plus se prendre la tête avec ces "trucs"!


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteur et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr