Je
continue de faire les méditations guidées de Deepak Chopra même si parfois il faut s'accrocher vu la traduction, mais le fait que je butte là-dessus est encore un signe de ma rigidité, de ma difficulté à lâcher le mental, le contrôle...
Après avoir
essayé de rattraper mon retard puisque j’ai commencé un jour après, je me suis
dit que je n’avais pas à le faire, que je devais respecter mon propre rythme.
D'autant plus que le thème est destiné à développer ses talents, à faire confiance à sa propre guidance pour savoir comment concrétiser ses rêves.
En l’occurrence, le fait de faire ses méditations en groupe formerait plutôt des égrégores de confiance en soi, de désir de suivre sa propre voix selon son cœur, de fluidité, de facilité, de légitimité, de droit au bonheur...
Mais encore faut-il s'autoriser à recevoir!
Certaines d’entre elles ont soulevé des questions qui demandent un lâcher
prise et une écoute profonde de ce qui a besoin d’être libéré.
Surtout au
niveau des croyances à propos du fait d’oser rêver, de s’autoriser à penser à
soi, à ses propres aspirations, à lâcher le sentiment d’indignité, la
peur "d’avoir" liée à la peur de manquer, la peur d’être incapable de gérer plus
d’abondance financière dans ma vie...
Cette peur est très visible en ce moment,
elle apparait à plusieurs niveaux et me permet non seulement de la regarder en
face, en profondeur mais aussi de l’offrir à la source et d’en sentir les
bénéfices immédiats.
La peur de perdre un être cher, en l’occurrence mon ami
Féliz, le chat que je n’ai pas vu depuis 24 heures, la peur de ne pas recevoir
le Rsa ce mois-ci parce que j’ai fait ma déclaration de revenus avec une
semaine de retard. La peur de ne pas arriver à joindre les deux bouts parce que
je suis déjà à découvert du quart de mon budget mensuel.
Toutes ces peurs ne sont
plus aussi handicapantes qu’avant mais j’ai pu sentir qu’elles continuaient
d’être actives.
Alors sans trop intellectualiser les choses, sans aller
chercher dans l’enfance le pourquoi du comment puisque j’ai suffisamment de
souvenir et la connaissance de leur impacte dans ma vie pour ne pas avoir à y
réfléchir encore et encore, je me suis contentée de me poser chaque fois que
cette sensation désagréable de peur se manifestait. D'autant que ce qui est requis maintenant dans mon parcours, c'est d'agir au niveau émotionnel, énergétique, principalement.
Comme je le faisais
remarquer hier à une amie tout autant que dans le commentaire que j’ai ajouté
au message des êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu, il n’est pas
nécessaire d’aller fouiller dans le passé, de comprendre même les causes de
notre mal-être pour s’en libérer.
C'est sûr que le fait de comprendre la raison d'un blocage peut créer un déclic, une ouverture de conscience mais on peut aussi rester coincé dans les raisonnements et s'y embourber.
Le fait de reconnaitre une énergie
lourde et d'accepter qu'elle nous traverse suffit à la libérer mais ça ne se fait pas en une fois surtout si l'énergie bloquée est cristallisée depuis des années.
C'est à chaque fois que cette même pensée émotion se manifeste qu'il faudra la laisser passer et de cette façon par la répétition de "l'exercice", le mental décroche petit à petit.
Il ne faut pas oublier que sa tâche était de contrôler, de veiller à refouler toute énergie perturbatrice.
Accueillir une pensée émotion peut sembler abstrait mais c’est très concret ça signifie
de laisser l'émotion s'exprimer jusqu'à retrouver la paix en soi.
Oui, je sais, je me répète continuellement mais c’est
pour mieux intégrer les choses et comme je sais que vous ne lisez pas tout ce
que j’écris, je suis l’inspiration du moment sans trop me soucier de ces
répétitions sachant que si je suis poussée à le faire, c’est que quelqu’un a
besoin de l’entendre.
Puis selon l’élan de l’instant, quand je sens que
des pensées critiques montent à ce sujet, j’en profite pour les libérer par le
même processus d’acceptation.
La façon de le faire, que ce soit en imaginant
que le soleil les absorbe, que l’amour en soi les harmonise, en récitant des
mantras, en priant, n’est pas le plus important bien que ce soit un support
mental qui lui permet de s’orienter en direction du divin en soi.
C’est juste
une façon d’éviter qu’il ne s’éparpille ou tente de refouler une fois de plus
ce qui demande à être relâché.
Toute technique qui fait appel au mental est un
support parce que nous ne pouvons pas arrêter de penser enfin moi j’en suis
incapable. Et je suis loin d’être la seule.
D’ailleurs ça n’est pas ce qui est
requis en cette incarnation d’autant plus que le fait de vouloir faire silence
et une façon d’aller contre sa nature, de lutter contre une part de soi. Couper son téléphone, se retirer dans un endroit calme où on sait qu'on ne sera pas dérangé peut favoriser le calme mental et amener quelques instants de silence mais ça n'est pas notre tête qui le décide.
Vouloir forcer les choses, comme faire le silence en soi va créer un conflit interne et ainsi modifier
l’intention première en ajoutant du stress. Au lieu d’obtenir la paix en
cherchant le silence on va se retrouver à nourrir encore plus le mental à
vouloir le forcer, à focaliser notre attention sur lui.
L’énergie qui permet la
libération est celle de la paix intérieure qui favorise la communion avec la
source, ouvre le cœur et permet d’être en mode réceptif, prêt entendre les suggestions de l’âme, de la
source.
Le
thème de la gratitude hier m’a portée toute la journée sur les fréquences de la
joie profonde, de la grâce, elle a nourrit le sentiment que tout est parfait,
que je suis à ma juste place et que je peux faire totalement confiance à la
vie, la source de toute vie.
Je n’ai pas eu besoin d’aller au bout de la
méditation pour sentir cette vibration.
J’ai du mal à rester en place mais ce
matin, pour une fois, j’ai pu passer plus de dix minutes à méditer sans me
lever de ma chaise. Le thème d’aujourd’hui, en fin selon mon timing, c'est le service aux autres.
Quand
j’étais à l’église, j’aimais servir parce que déjà, je savais la joie que cela
procure. Jouer de la musique dans la rue m'a permis de connaitre la joie du donner recevoir et ce même quand ce que je recevait était un sourire.
Mais le problème, lorsque je donnais de mon temps à l'église, dans les multiples services, c’est que j’agissais souvent à partir d’une énergie
de manque, liée à la vision de moi-même, au sentiment de devoir puisque derrière ce système de service, il y a l'idée de commandement, d'obéissance qui lui-même
était relié au sentiment d’illégitimité.
Enfin, problème si on veut parce que j’ai
tout de même appris de ces expériences, vécus de beaux échanges fraternels et c’est d’ailleurs le but.
Les fois où j'étais portée où je ressentais l'amour en moi, l'énergie du service au sens noble du terme, c'est quand je témoignais de l'amour de dieu ou quand je faisais un discours puisque j'avais dû l'écrire avant et ça, j'aime. Ou encore quand je tenais la permanence de la généalogie puisque c'est ouvert à tout public et la recherche de mes ancêtres me passionnait. Je constate une fois de plus que lorsqu'on est motivé par l'amour, par quelque chose qu'on aime faire, on est sur la fréquence où tout s'écoule facilement.
Ce n'était pas la même chose quand il s'agissait de rendre visite à des membre avec lesquels je n'avais aucune affinité mais comme l'énergie était bienveillante, fraternelle, ça n'était pas pesant.
On
pense parfois agir pour le bien des autres alors qu’en fait on le fait par
manque d’amour de soi, pour combler ce manque. Ça n’est évidemment pas conscient
cependant on peut le détecter en prêtant attention aux pensées qui émanent, à
la sensation de ne pas recevoir autant que ce que l’on donne. Ou encore lorsqu'on se force ou quand
les autres n’ont aucune reconnaissance, agissent comme si c’était normal qu’on
les aide.
Si on a l’impression d’être toujours celui qui fait l’effort, celui
qui cède afin de ne pas créer de conflit, si on constate que c’est toujours
vers nous que les autres se tournent pour obtenir de l’aide, si on se sent
trahi ou démuni quand c’est à notre tour de recevoir une main secourable ou
même si on pense être un sauveur, qu’on croit faire le bien…
Toutes ces pensées
émotions trahissent un déséquilibre interne, un manque d’amour de soi, un
sentiment que nous ne méritons pas les choses.
Quand on agit aussi par devoir,
par obligation, en craignant la justice divine, quand on le fait dans l’espoir
de recevoir une récompense ou d’être considéré comme quelqu’un de bien,
d’altruiste, et surtout pas comme une personne égoïste, c’est aussi le signe
que nous sommes injuste envers nous-même, que nous pensons devoir mériter
l’amour, que nous avons besoin de reconnaissance, que nous pensons que s’aimer
c’est être égoïste…alors que nous sommes l’amour.
Se
faire passer en premier ne veut pas dire d’être égoïste parce que déjà, ça se
situe au niveau énergétique principalement.
Ça veut plutôt dire à mon sens,
commencer par faire le ménage en soi, par trouver la paix avant d’agir, de
décider, de choisir.
Par écouter son cœur et libérer tout ce qui n’est pas
juste ; les critiques, les reproches, les accusations envers soi-même…, afin
d’émaner l’amour véritable et de recevoir la guidance de l’âme.
Les gestes sont
l’extension des pensées conscientes et c’est surtout la vibration que nous
émanons qui créé, qui attire la réponse de l’univers, définit le comportement
de l’autre, le retour.
Si
mon intention inconsciente est de combler un manque, d’être reconnu ou validé,
je recevrais exactement cela.
D’ailleurs pendant la méditation, je me suis
souvenue de la première fois où j’ai payé la dime quand j’ai intégré l’église.
Mon raisonnement, c’était que je préférais participer plutôt que d’aller dans
une église payée par un mécène, un gourou, par ceux qui dirigeaient.
Derrière
cela, c’est l’énergie de la peur qui se manifestait ; la peur d’être
manipulée, d’entrer dans une secte, de me sentir obligée, de bénéficier de la
charité. Il y avait aussi une forme d’orgueil qui n’est autre que l’expression
du manque de confiance en soi, du sentiment d’indignité, de petitesse…
Bref, le
geste était porté par la peur et l’orgueil alors que dans la forme il
s’agissait de donner, d'aimer. Puis comme je méprisais l’argent c’était une façon de m’en
débarrasser.
Le résultat ne s’est pas fait attendre, les allocations familiales
m’ont réclamé un trop perçu et je me suis retrouvée avec un budget mensuel
largement insuffisant. J’ai dû faire un recours en grâce, demander de l’aide à
ma mère, une vraie galère.
Dans
l’église*, tout problème est perçu comme une mise à l’épreuve de la part de
Dieu, une façon de nous tester, d’amplifier notre foi. Ce n’est pas totalement
faux mais c’est un point de vue qui nourrit la soumission, et encore plus le
sentiment d’indignité, la culpabilité, la peur.
Mon
point de vue actuel est tout autre, je sais maintenant selon la loi
d’attraction et de résonance, que ce sont mes propres énergies qui ont créé
cela afin que je comprenne la valeur du don véritable.
Donner
en espérant recevoir ou par crainte d’être considéré comme égoïste, parce qu’on
estime ne pas mériter ce qu’on a, par culpabilité, n’a rien à voir avec le don
véritable et naturel qui n’a pas besoin d’être pensé ni même voulu.
Ça
n’est pas nous qui donnons, c’est l’amour en notre cœur qui rayonne
naturellement, nous sommes juste porteur et rayonneur de l’énergie de vie, de
joie, de paix et de satisfaction qui nous remplit.
Simplement parce que nous
nous autorisons à la ressentir en nous-même, parce que nous sommes reliés à
l’être véritable, la source, nous sommes juste un canal. Alors le geste suit naturellement et peu importe qu'il soit "petit" ou "grand", c'est l'énergie qui le porte qui fait du bien à l'autre.
Le
seul fait d’être en accord avec l’univers, de manifester des énergies
d’harmonie, de paix, et de joie, est une façon de donner le meilleur de
soi-même et ça peut se manifester par un regard bienveillant et franc qui aura
un fort impact puisqu’authentique, porté par l’énergie de l’amour sincère, de
l’ouverture de cœur, de la conscience que nous sommes frères, sœurs, égaux.
Lorsque
nos corps sont alignés, lorsque le cœur (l’intention), l’esprit (la volonté) et
le corps (l’action) sont accordés, sur la même fréquence, celle de la source,
nous émanons et recevons cette vibration qui par le fait amplifie, se multiplie
dans le mouvement, l’échange, le donner recevoir. La première gratification est là et elle est à double sens.
Il
n’y a pas d’attente mais juste le plaisir d'être, de ressentir l'essence de la source s'écouler librement, avant tout parce
que ça nous fait du bien, ça nous comble. Pas d’attente parce que pas de
projection mentale, nous ne faisons qu’être vrai, nous-même, authentique.
Nous
sommes tous issus de l’amour lumière et qu’on le veuille ou non, nous émanons
en permanence les énergies qui nous traversent, celles sur lesquelles nous
portons notre attention ou encore celles que nous avons refoulées dans
l’inconscient parce que trop douloureuses, incompréhensibles ou inacceptables.
Mais quand on comprend qui nous sommes réellement et que nos savons que nous
créons notre vie selon ce que nous vibrons et surtout que l’amour lumière en
nous, a le pouvoir d’éclairer et d’harmoniser tout ce que nous sommes, on
s’abandonne en toute confiance à cette source bienveillante en nous.
Les
épreuves ou problèmes dans notre vie, sont la manifestation d’une résistance,
d’une fermeture du cœur ou de l’esprit à cette source de lumière et d’amour universelle.
Une manifestation de la rupture du flux naturel de la source qui est
l’abondance pure.
La
nature nous montre que cette énergie se déploie en permanence qu’elle ne laisse
aucun vide dans ce monde. Le moindre espace de terre est recouvert de verdure
et même si nous appelons cela des mauvaises herbes, c’est la manifestation de
l’abondance du vivant. D’ailleurs la plupart d’entre elles sont utiles et
souvent thérapeutiques. Là encore, c’est notre ignorance qui nous fait juger ce
qui est puis interpréter « de travers ».
Ça
aussi cette notion de vrai ou faux, c’est plus une question d’ouverture de
conscience et de cœur que de vérité.
Notre perception de ce qui est, dépend de
ce que nous avons intégré, compris, de ce que nous avons validé par
l’expérience, dans la reliance à la sagesse du cœur.
Nous
ne pouvons recevoir que ce que nous émettons, ce que nous projetons, mais je vais voir, interpréter les choses selon la
compréhension que j’en ai et souvent la confusion vient de l'écart entre mes croyances et le retour de ma fréquence vibratoire qui ne correspond pas à mes espérances.
Si je porte des énergies d’illégitimité,
j’aurais beaucoup de mal à accepter, d’être divin parce que selon mes croyances inconscientes ou même conscientes,
dieu est au-dessus de moi tout comme les autres.
Comme la plupart du temps ce que nous portons vibratoirement n’est pas conscient,
je peux croire que je m’aime, me respecte, tout en émanant des énergies de
manque d’amour et de rejet de soi. Ce qui entrainera des situations en accord
avec ma fréquence et non avec mes croyances conscientes.
Pour cette raison,
affirmer haut et fort qu’on s’aime n’a pas d’impact réel sur notre quotidien,
c’est ce qui peut nous faire penser que la loi d’attraction est fausse. Même si
la pensée est sincère, ça ne fait que constituer un premier pas.
L’amour
véritable de soi c’est la conscience que je suis la source, enfin une de ses
multiples expressions et que cet amour est à vivre, à appliquer dans
l’acceptation totale de ce qui se manifeste en moi, la reconnaissance que ces pensées
émotions énergies ne me définissent pas bien qu’elles créent mon quotidien.
Ma
nature véritable, tout comme la vôtre, c’est l’amour inconditionnel et la
connaissance, la conscience pure, totale. Seulement, il me faut accueillir ces
vibrations, m’autoriser à les laisser circuler à l’intérieur et ainsi à pouvoir les
rayonner.
Les
croyances que nous portons ont été validées depuis notre conception, dans le
ventre de notre mère et aussi à travers nos gènes qui véhiculent le patrimoine
génétique de notre lignée. Sans aller jusqu’à chercher précisément nos origines
cosmiques, galactiques, nous pouvons constater que nous portons les croyances
de nos ancêtres, leurs attributs, qualités, défauts, tout comme nous pouvons
avoir les yeux bleus, verts, noirs de nos parents ou grand parents. Et que nous partageons les valeurs d'êtres spirituels tels que Jésus, Bouddha, ou d'autres mais les nommer, parler en leur nom comporte toujours un risque.
Nous savons que nos pensées
créent et que la somme des pensées des humains forme des égrégores qui deviennent
autonomes et s’intensifient par le phénomène de projection et
d’attraction.
Selon notre fréquence de
l’instant, nous rejoignons des êtres humains ou de l’astral (ou d'autres plans) qui ont une
vibration similaire.
Nous pouvons ainsi "côtoyer" des êtres de différentes
dimensions et comme l’ego a tendance à s’approprier ce qui passe à sa portée, encore plus quand il est en quête de reconnaissance, le risque de se perdre est là.
J'évite de nommer, de demander un nom, aux voix qui se manifestent en moi, je me contente d'écouter et de remercier parce que c'est souvent de bon conseil et ça vient quand j'ai lâché les raisonnements, libéré des peurs, quand je suis en paix.
Tout est interconnecté, relié par la source et selon les fréquences que nous émanons.
Puis nous sommes tous issus de la même
source et de la conscience Une donc au niveau vibratoire, nous sommes Un. Aussi parce
qu’en tant qu’être vibratoire, nous pouvons fusionner avec d’autres êtres,
énergies.
Mais dans cette dimension, cette incarnation, nous sommes
individualisés, nous avons l’opportunité de manifester la source d’une façon
spécifique, unique.
La
nature nous le montre dans la plante et ses fleurs.
Elles ont toutes les mêmes
racines, la même sève qui les parcoure mais elles sont uniques, et se manifestent en tant que fleur portée par une tige, entourée de feuilles uniques qui lui
transmettent les énergies du soleil.
Toutes les fleurs de cette plante sont
nourries par les mêmes racines, la même terre, la même eau mais elles reçoivent
chacune des gouttelettes de rosées uniques et leur forme bien que similaire
n’est pas parfaitement identique.
Une d’entre elles sera pollinisée par une
abeille qui ne visitera pas sa voisine au même moment. Chacune se déploie
selon son environnement proche et particulier; son exposition au soleil, sa protection contre les
éléments selon son emplacement sur la plante, le fait qu'elle soit plus ou moins à l'ombre…
La journée a été encore dédiée au lâcher prise et j'ai finalement décidé d'aller m'allonger pour laisser passer toutes les énergies en me contentant de respirer et de profiter du ronronnement de Féliz enfin réapparu!
Le contraste flagrant avec la journée d'hier me montre encore la valeur des énergies, leur fréquence, l'effet que ça crée en moi et comment ça modèle ma journée.
J'ai senti que j'attirais comme une éponge les énergies négatives des autres, du boucher qui se plaignait d'avoir reçu une grosse facture d'électricité. Il y a aussi les énergies du collectif, la vielle du 11 novembre, commémoration d'une guerre....sans parler des épandages...
C'est l'heure de rêver, de se distraire histoire de finir la journée sur une vibration légère et de lâcher les raisonnements. Je vais écouter des contes en tricotant...et en essayant de ne pas en comprendre le sens, en me laissant juste porter par l'histoire, en formant des images...
* Église de Jésus Christ des saints des derniers jours.
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« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » http://lydiouze.blogspot.fr