On peut considérer que les premières études sérieuses
sur la génétique ont débuté en 1865 avec les travaux de Mendel, qui ont ensuite
été oubliés pendant plus de 30 ans.
La molécule de l'ADN
Suivant les travaux de James Watson, Francis Crick et en 1953, la molécule de l'ADN se présente sous la forme d'une double hélice tridimensionnelle.
Dans l’analyse de la structure de la molécule de l’ADN, on a découvert les gènes (petite structure formée d’une séquence de nucléotide qui représente une base azotée).
Suivant les travaux de James Watson, Francis Crick et en 1953, la molécule de l'ADN se présente sous la forme d'une double hélice tridimensionnelle.
Dans l’analyse de la structure de la molécule de l’ADN, on a découvert les gènes (petite structure formée d’une séquence de nucléotide qui représente une base azotée).
Ces bases se transmettent 3 par 3 et elles forment la
"bibliothèque" d'informations patrimoniales… Il y a 3 milliards
de ces petites structures (gènes) dans chacune de nos cellules ; à partir
de là le nombre de possibilités offertes par les gènes sont quasiment
infinies !
Le matériel génétique à l'intérieur du noyau d'une cellule implique une substance qui est la chromatine : élément de formation des chromosomes. Les 46 chromosomes que nous avons dans nos cellules sont organisés en 23 paires et, formés de gènes.
Le matériel génétique à l'intérieur du noyau d'une cellule implique une substance qui est la chromatine : élément de formation des chromosomes. Les 46 chromosomes que nous avons dans nos cellules sont organisés en 23 paires et, formés de gènes.
Le gène est un segment de la molécule de l'ADN. Chaque
gène à une fonction, une caractéristique.
Jusqu'à présent, la science estimait que le gène était responsable de la
production d'informations. Mais le gène ne fait que transmettre
l'information ; ce n'est qu'une structure de transmission d'informations
qui ont leur origine ailleurs et qui seraient dirigées vers des régions
différentes pour former une protéine et définir une caractéristique de l'être
humain.
La dictature des gènes
Le dogme central de la génétique, c’est-à-dire : un gène produit une protéine
Le déterminisme génétique serait : un gène produit une protéine, qui génère une fonction, une caractéristique.
C'est le concept qui prévaut chez la plupart des chercheurs. Cependant, le
changement qui s'opère actuellement montre de nouveaux horizons pour nous
permettre de comprendre comment fonctionne la génétique dans le domaine
moléculaire.
Le projet Génome
Le projet Génome humain a été initié en 1990 et coordonné par Francis Collins a engendré des concepts révolutionnaires qui ont beaucoup altéré les dogmes qui existaient dans la science.
Le premier d'entre-eux : le déterminisme génétique (un gène = une protéine = une fonction/caractéristique).
Notre organisme contient en moyenne plus de 100 000 protéines pour développer toutes ses fonctions, d'où l'espoir des chercheurs de trouver plus de 100 000 gènes… surprise : seulement 25 000 ont été trouvés pour composer le Génome humain !
Le projet Génome humain a été initié en 1990 et coordonné par Francis Collins a engendré des concepts révolutionnaires qui ont beaucoup altéré les dogmes qui existaient dans la science.
Le premier d'entre-eux : le déterminisme génétique (un gène = une protéine = une fonction/caractéristique).
Notre organisme contient en moyenne plus de 100 000 protéines pour développer toutes ses fonctions, d'où l'espoir des chercheurs de trouver plus de 100 000 gènes… surprise : seulement 25 000 ont été trouvés pour composer le Génome humain !
Un gène à donc la capacité de produire plus d'une
protéine.
Ce premier axiome a donc été anéanti.
Ce premier axiome a donc été anéanti.
Une autre découverte, c'est que les gènes fonctionnent en étant activés ou
désactivés, et qu'il n'y a que 5 à 10 % de nos gènes qui sont actifs. Les
autres : 90 à 95 % sont là, inactifs, en attente de développer une
fonction quelconque, qui sera découverte progressivement.
Découverte intéressante : le cytoplasme commande le noyau de la cellule,
alors qu’auparavant, on imaginait que toute la dynamique de la cellule était
commandée par le noyau, certains travaux ont démontré qu’après avoir retiré le
noyau de la cellule, celle-ci continuait ses fonctions de base de reproduction,
de métabolisme, de mouvement... pendant plus de 90 jours. Elle ne meurt pas par
l’absence de noyau, mais par la conséquence du métabolisme qui n’a pas pu être
évacué.
Les travaux du Dr J.O. Asmin ont mis en évidence la présence du génome
versatile, définissant la caractéristique, la versatilité, d’éditer plusieurs
messages à partir d’une seule information génétique.
Les gènes travaillent dans le mécanisme activation et désactivation, avec des gènes régulateurs qui exercent cette fonction.
Suite à toutes ces découvertes apportées par le projet Génome humain, à la science, on peut considérer que le déterminisme génétique initial affirmant qu’une caractéristique/fonction est liée à un gène, est devenu obsolète.
Les gènes travaillent dans le mécanisme activation et désactivation, avec des gènes régulateurs qui exercent cette fonction.
Suite à toutes ces découvertes apportées par le projet Génome humain, à la science, on peut considérer que le déterminisme génétique initial affirmant qu’une caractéristique/fonction est liée à un gène, est devenu obsolète.
Les travaux du Dr
Eva Lamb nous apportent l’information suivant laquelle le séquençage du génome
peut nous apporter des renseignements sur notre ADN et sur nos gènes. Toutefois,
les interrelations entre les gènes et le milieu ambiant sont si complexes, que
nous ne pouvons pas simplement prévoir les caractéristiques d’une personne en
se basant uniquement sur la présence d’un gène donné.
Il faut que nous considérions également les interrelations très complexes entre l’information génétique et les facteurs externes, en particulier du milieu ambiant.
Il faut que nous considérions également les interrelations très complexes entre l’information génétique et les facteurs externes, en particulier du milieu ambiant.
La séquence de l’ADN n’a donc plus de
rapport direct avec le caractère.
Si nous considérons que seulement 2 % des maladies dites "héréditaires", comme l'anémie falciforme, fibrose cystique et maladie de Tay-Sachs, ont une caractéristique monogénétique, les 98 % des autres maladies liées aux facteurs génétiques sont interconnectées avec des réseaux génétiques, le style de vie et le milieu ambiant.
Si nous considérons que seulement 2 % des maladies dites "héréditaires", comme l'anémie falciforme, fibrose cystique et maladie de Tay-Sachs, ont une caractéristique monogénétique, les 98 % des autres maladies liées aux facteurs génétiques sont interconnectées avec des réseaux génétiques, le style de vie et le milieu ambiant.
Ce n'est pas juste un gène qui détermine une maladie donnée, c'est une
association de nombreux gènes qui peuvent être activés ou non, par
l'intermédiaire de facteurs externes ou internes, associés au style de vie de
chaque individu. Dans toute cette complexité, c'est là où nous pourrons définir
les qualités d'une personne ou la manifestation d'une entité morbide ou de
maladie d'un autre organisme.
Émergence d'une seconde voie de transmission
héréditaire
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|
Les questions qu’on peut se poser sont les suivantes :
·
si le gène n’est plus le responsable pour déterminer
nos caractéristiques et est juste un transmetteur d’information, qui est à l’origine
des stimulations nécessaires pour que les informations soient transmises ?
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•
|
comment et de quelle façon ces stimulations
peuvent-elles arriver jusqu'au gène et déterminer l'endroit spécifique pour
la transmission et la codification ?
|
•
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comment la régulation de cette transmission
s'opère-t-elle ?
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90 à 95 % des gènes inactifs dans la zone de
transmission, avec les gènes régulateurs, ont aussi des fonctions pour
déterminer ces caractéristiques... mais alors : qui régule les gènes
régulateurs pour qu'ils initient le processus de transmission ?
|
|
Suivant les conclusions de certains chercheurs,
d'avant-garde en matière de génétique, notamment le Dr Evelyn Fox :
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|
•
|
le gène à perdu une bonne partie de sa spécificité
et de sa suprématie.
|
•
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dans ce cas, quelle protéine doit-il produire et
sous quelles conditions ?
|
•
|
comment le gène choisit-il ? En fait il ne
"choisit" pas.
|
•
|
aussi, si ce n'est pas le gène qui choisit, quelles
sont les protéines qu'il faut produire ?
|
•
|
d'où vient la "commande" ? La
responsabilité de cette décision se trouve "ailleurs", provient
d'autres "endroits", c’est-à-dire dans la complexité de la
dynamique de régulation de la cellule dans son ensemble.
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•
|
le contexte cellulaire doit être considéré dans son
intégralité au moment de l'activation des gènes. Et c'est la cellule dans son
ensemble qui va fonctionner dans un processus d'interaction continue avec les
stimulations externes et les stimulations qui proviennent du milieu ambiant.
|
Il ressort de ces conclusions qu'il existe une
deuxième voie de transmission de l'hérédité que la voie génétique ; il
s'agit de la voie constituée par les facteurs externes et le milieu ambiant.
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|
|
Les quatre dimensions de l’évolution héréditaire,
définies par le Dr Jablonka :
1. Génétique
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3.
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Comportementale : modifications que nous
promouvons, que nous encourageons dans notre information génétique, par
l'intermédiaire de notre style de vie, de notre mode de vie. Ce sont ces
modifications que nous transmettons de générations en générations.
|
4.
|
Symbolique : langage et autres formes de
communication. C'est l'apprentissage social qui est à l'origine d'un volume
immense de modifications qui sont également transmises de générations en
générations.
|
La première dimension : génétique, liée
directement à l'ADN et au code génétique comme on la connaissait jusqu'à
maintenant, ne représente qu'une parcelle des possibilités de transmission et
d'évolution héréditaire. Elle est importante, mais les autres dimensions
altéreront le mode d'expression de cette dimension génétique que nous portons
en chacun de nous.
|
La transmission génétique n'est pas absolue
Donc, cette définition ancienne qui fait que lorsqu'un individu avait une
caractéristique particulière, on disait : « oh, c'est
"génétique", cela ne changera pas, car il l'a hérité de son père, de
sa mère, de son grand-père... ».
Le fait "d'hériter" un gène donné,
lié à une maladie, ne veut pas dire nécessairement que cette maladie ou cette
pathologie se présentera dans notre vie.
Pourquoi ? Et bien, parce que le modèle peut être le même, mais l'expression génétique peut changer. D'où l'importance de tous ces facteurs que nous avons vus.
Pourquoi ? Et bien, parce que le modèle peut être le même, mais l'expression génétique peut changer. D'où l'importance de tous ces facteurs que nous avons vus.
Pour le Dr Kazuo Marakami, recteur de l'Université de
Kyoto : « Jusqu'à présent, nous n'avons pas pu établir clairement
ce qui est déterminé par des facteurs génétiques et ce qui est l'effet d'autres
stimulis. »
Facteurs impliqués dans l'activation des gènes
|
|
Les quatre dimensions de l'évolution héréditaires,
définies par le Dr Jablonka :
|
|
1.
|
Les gènes (les gènes régulateurs activent la
transmission génétique).
|
2.
|
L'esprit (pour extérioriser nos sentiments et nos
émotions)
Les émotions extériorisées se propagent dans notre organisme sous formes d'ondes électromagnétiques, qui donnent des formes à nos pensées. Nous savons déjà que la pensée se propage sous la forme d'une onde électro-magnétique et engendre des modifications cellulaires qui se transmettent de l'extérieur à l'intérieur de la cellule, et ainsi altèrent la manière dont les gènes sont activés. |
3.
|
Le milieu ambiant (interne et externe).
|
4.
|
Les facteurs culturels (lieu de naissance ou de
vie).
|
5.
|
Les facteurs géographiques.
|
6.
|
Les facteurs temporels (époque de naissance).
|
7.
|
Les facteurs éducationnels (apprentissage social).
|
Ainsi que l'on peut le constater, de nombreux
facteurs peuvent être responsables de l'activation ou la désactivation de nos
gènes, et qui sont différents des facteurs proprement dits, génétiques, comme
le modèle connu jusqu'à présent.
|
|
La réalité de la dynamique Génétique versus
l'Environnement, assure l'interaction des gènes de toute personne avec le
climat, l'altitude, la culture, l'alimentation, le langage, les coutumes, la
spiritualité, enfin avec tout ce qui l'entoure, produisant ainsi des
trajectoires de vie uniques.
|
Nous sommes tous uniques
Chacun d'entre-nous à une conscience unique, dans la
création divine. Pourquoi ? Parce-que l'interaction entre notre
information génétique et tous ces facteurs dont nous avons déjà parlé, fait en
sorte que chacun de nous se construit soi-même, tout au long d'une période
d'expérience que nous traversons sur la Terre.
Le Dr Eric
Turkheimer de l'université de Virginie, élargissant encore ce thème où chacun
est responsable du développement de soi-même nous dit :
Les gènes individuels et l'environnement qui les entourent, interagissent pour commencer un processus de développement complexe qui détermine la personnalité humaine.
Les gènes individuels et l'environnement qui les entourent, interagissent pour commencer un processus de développement complexe qui détermine la personnalité humaine.
Ce que nous sommes aujourd'hui est le produit d'une interaction entre
les gènes et le milieu ambiant, qui s'est produit durant des milliards d'années
pendant lesquelles chacun de nous à acquit des expériences par l'intermédiaire
des occasions de vie, que nous avons eues, durant notre parcours évolutif.
Chaque fête, chaque information, chaque moment, que nous avons vécu, nous les
transformons en des expériences, et c'est par ce processus d'interaction que
nous pouvons nous définir nous-même.
Chaque environnement nouveau modifie la trajectoire du développement, qui à son tour, modifie l'expression génétique future, et ainsi de suite...
Aujourd'hui ce que nous devons considérer, c'est : l'expression génétique.
Chaque environnement nouveau modifie la trajectoire du développement, qui à son tour, modifie l'expression génétique future, et ainsi de suite...
Aujourd'hui ce que nous devons considérer, c'est : l'expression génétique.
Les modèles sont les mêmes, mais l'expression peut changer. Une expression
génétique surgit exactement dans ce processus d'interaction entre le gène et
l'environnement et d'autres facteurs externe dont nous avons déjà parlé.
Ainsi les
caractéristiques de chaque type de tissus sont donc déterminées par le modèle
d'expression génétique des gènes de nos cellules, c’est-à-dire les gènes qui
sont activés ou désactivés. Chacune de nos cellules présente le même modèle
génétique : les 23 paires de chromosomes.
Mais pourquoi donc les cellules du foie continues à développer leurs fonctions pour le foie et pourquoi d'autres cellules, rénales continuent à développer des fonctions rénales. Les cellules musculaires travaillent pour le système musculaire et ainsi de suite. Si chacune d'elles a le même modèle, le même code génétique, pourquoi y a-t-il cette diversité de cellules dans notre organisme, qui développent des fonctions aussi différentes les unes des autres ?
C'est dû justement à l'expression génétique qui est différente dans chacune d'elle. A son tour, l'expression génétique dépend de l'activation ou de la désactivation de certains gènes, qui sont présents dans la cellule.
Le Dr Lawrence Harper de l'Université de Californie a montré l'interaction des facteurs génétiques entre les différentes générations : « Il n'y a aucune modification dans l'héritage génétique, mais l'expression du gène (le phénotype, la caractéristique externe), qui est modifiée dans les générations ultérieures, ce qui amène une continuité entre les générations, même lorsque les jeunes n'ont jamais vécu sous les conditions qui ont induit la caractéristique chez leurs parents. »
Encore une fois : le modèle est le même, mais les altérations qui se produisent, sont transmises d'une génération à l'autre.
Mais pourquoi donc les cellules du foie continues à développer leurs fonctions pour le foie et pourquoi d'autres cellules, rénales continuent à développer des fonctions rénales. Les cellules musculaires travaillent pour le système musculaire et ainsi de suite. Si chacune d'elles a le même modèle, le même code génétique, pourquoi y a-t-il cette diversité de cellules dans notre organisme, qui développent des fonctions aussi différentes les unes des autres ?
C'est dû justement à l'expression génétique qui est différente dans chacune d'elle. A son tour, l'expression génétique dépend de l'activation ou de la désactivation de certains gènes, qui sont présents dans la cellule.
Le Dr Lawrence Harper de l'Université de Californie a montré l'interaction des facteurs génétiques entre les différentes générations : « Il n'y a aucune modification dans l'héritage génétique, mais l'expression du gène (le phénotype, la caractéristique externe), qui est modifiée dans les générations ultérieures, ce qui amène une continuité entre les générations, même lorsque les jeunes n'ont jamais vécu sous les conditions qui ont induit la caractéristique chez leurs parents. »
Encore une fois : le modèle est le même, mais les altérations qui se produisent, sont transmises d'une génération à l'autre.
Les gènes ne dirigent pas notre destin !
Les recherches sur la synthèse des protéines, par les Dr Bray et Schmuker, révèlent que les contrôles épigénétiques peuvent créer plus de 2000 variations de protéines à partir d'un même modèle génétique.
Donc, à partir d'un seul modèle génétique, plus de 2000 protéines différentes peuvent être créées, par l'intermédiaire d'un mécanisme d'activation et de désactivation de certains gènes, pour former ces protéines.
Les recherches sur la synthèse des protéines, par les Dr Bray et Schmuker, révèlent que les contrôles épigénétiques peuvent créer plus de 2000 variations de protéines à partir d'un même modèle génétique.
Donc, à partir d'un seul modèle génétique, plus de 2000 protéines différentes peuvent être créées, par l'intermédiaire d'un mécanisme d'activation et de désactivation de certains gènes, pour former ces protéines.
Le plus
intéressant, est de considérer que ces modifications peuvent être – et sont –
transmises d'une génération à l'autre. Le modèle de l'ADN est le même, mais les
modifications et les expressions sont transmises.
Les Dr Pray et Silverman ont déclaré : « Les modèles d'ADN
transmis au moyen des gènes ne sont pas définitifs, c'est-à-dire que les gènes
ne dirigent pas notre destin ! ».
L'importante influence de nos pensées sur nos gènes
C'est l'idée centrale que nous devons intégrer : nous pouvons altérer l'expression de nos gènes, sans modifier leur modèle, par des stimulations extérieures que chacun de nous développer. Parmi les multiples facteurs déjà cités : les pensées ont un rôle extrêmement important. Elles se manifestent par l'intermédiaire d'ondes électromagnétiques.
C'est l'idée centrale que nous devons intégrer : nous pouvons altérer l'expression de nos gènes, sans modifier leur modèle, par des stimulations extérieures que chacun de nous développer. Parmi les multiples facteurs déjà cités : les pensées ont un rôle extrêmement important. Elles se manifestent par l'intermédiaire d'ondes électromagnétiques.
Le Dr Bruce Lipton
estime que : « Les pensées, qui sont l'énergie mentale, influent
directement sur la manière dont le cerveau physique contrôle toute la
physiologie du corps. ».
Pourquoi ? Et bien parce que cette onde
électromagnétique qui se propage dans notre corps entier, porte des
informations, et lorsqu'elle arrive au niveau cellulaire, elle vient par la
partie extérieure : membrane des cellules, et ces informations captées par
la cellule sont transmises à l'intérieure de la cellule et peuvent déterminer
l'activation ou la désactivation des gènes.
Les Dr Pophrist et Goodman expliquent dans leur étude, que « ce sont
les lois de la physique quantique et non celles de Newton qui contrôlent les
mouvements moléculaires générateurs de la vie. ».
C'est maintenant un fait connu que ce qui détermine les fonctions et le comportement cellulaire, ce n'est pas l'information génétique, mais plutôt la forme des protéines et ce sont les modifications de la structure de la forme des protéines, qui génèrent les mouvements au sein de la cellule. Des forces quantiques à l'intérieur-même des protéines, qui structurent les microtubes, contrôlent leur forme et celle-ci, à son tour, contrôle l'activité des neurones et des muscles, mais aussi notre comportement.
C'est maintenant un fait connu que ce qui détermine les fonctions et le comportement cellulaire, ce n'est pas l'information génétique, mais plutôt la forme des protéines et ce sont les modifications de la structure de la forme des protéines, qui génèrent les mouvements au sein de la cellule. Des forces quantiques à l'intérieur-même des protéines, qui structurent les microtubes, contrôlent leur forme et celle-ci, à son tour, contrôle l'activité des neurones et des muscles, mais aussi notre comportement.
Le Dr Stuart Hameroff affirme que le changement de la forme des protéines est
le point d'amplification entre le monde quantique et notre interférence dans le
monde "classique", c'est-à-dire dans tout ce que l'homme produit de
bon et de mauvais. Il semblerait donc, qu'il y a un point de transduction,
d'information de pensées qui serait responsable et expliquerait comment
certaines informations partent de réalités subjectives, pour atteindre une
autre réalité objective. Tout cela se produit au niveau moléculaire,
c’est-à-dire à l'intérieur des cellules.
Il dit que la forme géométrique tridimensionnelle est responsable de certains comportements et caractéristiques des protéines. L'origine de cette information qui détermine les comportements et les fonctions cellulaires, était dans le noyau des cellules, mais est maintenant déplacée dans d'autres endroits ; la forme des protéines, leur changement... qui déterminent un comportement différent pour une fonction donnée
Le contrôle des lois de la génétique
Il dit que la forme géométrique tridimensionnelle est responsable de certains comportements et caractéristiques des protéines. L'origine de cette information qui détermine les comportements et les fonctions cellulaires, était dans le noyau des cellules, mais est maintenant déplacée dans d'autres endroits ; la forme des protéines, leur changement... qui déterminent un comportement différent pour une fonction donnée
Le contrôle des lois de la génétique
Il est intéressant de constater qu'en 1958, l'auteur Spirituel André Luiz, dans
le livre "Évolution dans les deux mondes", écrit par
l'intermédiaire du medium Francisco Candido Xavier, avance déjà cette idée
d'une autre forme et il affirme : « (...) c'est par le centre
cellulaire – structure composée d'un réseau de micro-tubes (microtubulaire) –
que s'opère la jonction des forces physiques et spirituelles. Point d'impact du
stimulus mental de nature électromagnétique, qui déclenche le mouvement des
chromosomes de l'équateur, vers les pôles de la cellule, transposant ainsi les
lois de l'hérédité et de l'affinité (...) ».
Nous pouvons considérer le monde quantique et la réalité objective, si nous
voulons utiliser le langage actuel. C'est dans ce point : le centre
cellulaire, que l'on observe le stimulus mental comme étant le point
d'amplification de ce processus quantique de nature électromagnétique.
Le
stimulus mental est donc la pensée elle-même, de nature électromagnétique, qui
déclenche le mouvement des chromosomes de l'équateur vers les pôles de la
cellule et actionne les lois de l'hérédité.
L'auteur spirituel Emmanuel, dans son livre "Le consolateur",
apporte quelques précisions de nature spirituelles, liées à la génétique.
D'abord, il dit que : les lois de la génétique sont régies par des agents
psychiques. Ces agents psychiques à leur tour sont déclenchés par les messagers
du plan spirituel, c’est-à-dire les agents psychiques qui contrôlent les lois
de la génétique peuvent aussi être contrôlés par les guides spirituels.
Les
combinaisons des gènes, les activations et désactivations des gènes, dépendent
des réalisations évolutives des Esprits incarnés.
C’est-à-dire ce que chacun de
nous à déjà concrétisé tout au long de son parcours évolutif, enrichi par les
expériences, influe sur la détermination des combinaisons entre nos gènes.
Ainsi, la vocation ou les facultés, les dons sont des attributs de
l'individualité spirituelle de l'Esprit et ne sont pas déterminés par les
gènes. L'individu n'est donc pas "bon" ou "mauvais",
seulement en fonction de ses caractéristiques génétiques, mais plutôt par ses
caractéristiques individuelles qui sont le fruit d'un apprentissage de l'Esprit,
au long de toutes ces expériences évolutives.
Nous ne subissons pas nos gènes, mais en avons le contrôle
D'ailleurs le Dr Bruce Lipton dit : « Nous ne sommes pas victimes de nos gènes mais seigneurs de notre propre destinée, capables de créer une vie riche de paix, de bonheur et d'amour ».
Nous construisons réellement notre propre destin, nous sommes les acteurs de notre propre évolution, indépendamment du patrimoine génétique que nous portons ou que nous avons hérité de qui que ce soit, et ne sommes en aucun cas des "victimes".
D'ailleurs le Dr Bruce Lipton dit : « Nous ne sommes pas victimes de nos gènes mais seigneurs de notre propre destinée, capables de créer une vie riche de paix, de bonheur et d'amour ».
Nous construisons réellement notre propre destin, nous sommes les acteurs de notre propre évolution, indépendamment du patrimoine génétique que nous portons ou que nous avons hérité de qui que ce soit, et ne sommes en aucun cas des "victimes".
Par contre, nous pouvons par nos attitudes, par les
décisions que nous prenons, modifier notre propre existence, avec de nouveaux
choix, qu'aujourd'hui la physique quantique met à la base de ses théories.
Dr
Bruce Lipton : Révolution des connaissances en psychologie ! Reprogrammer ses
croyances
Par les innombrables possibilités qui existent dans l'univers, l'individu peut
créer une onde qui crée une possibilité, fruit du libre arbitre et de la
volonté de chacun. Ainsi nous pouvons nous créer la vie que nous souhaitons,
pleine de paix, de bonheur et d'amour, si nous faisons et assumons les bons
choix.
C'est comme cela que
nous arrivons au message de celui qui a proposé le plus grand message d'amour
pour l'humanité : « Aimez-vous les uns, les autres comme je vous
ai aimés. » Jésus
Ses principes moraux fonctionnent comme une source inépuisable et incomparable, de stimulation pour chacun de nous.
Ses principes moraux fonctionnent comme une source inépuisable et incomparable, de stimulation pour chacun de nous.
Lorsqu'il nous a enseigné l'amour et le pardon, il nous a enseigné à créer des
structures saines pour notre propre évolution.
Lorsqu'il nous a donné des règles morales pour notre vie en commun, non seulement il voulait définir des préceptes religieux, mais plutôt un mécanisme de progrès, de perfectionnement vers le bonheur pour l'homme.
L'amour inconditionnel et le pardon activent les gènes les plus importants, ceux qui sont responsables d'un fonctionnement sain de notre organisme, et désactive ceux qui apportent les situations de maladie et/ou qui ont des prédispositions morbides. Ceci afin que chacun d'entre-nous puisse acquérir la santé intégrale.
Lorsqu'il nous a donné des règles morales pour notre vie en commun, non seulement il voulait définir des préceptes religieux, mais plutôt un mécanisme de progrès, de perfectionnement vers le bonheur pour l'homme.
L'amour inconditionnel et le pardon activent les gènes les plus importants, ceux qui sont responsables d'un fonctionnement sain de notre organisme, et désactive ceux qui apportent les situations de maladie et/ou qui ont des prédispositions morbides. Ceci afin que chacun d'entre-nous puisse acquérir la santé intégrale.
Mon message final à cet exposé est que:
- chacun est libre d'altérer les modèles génétiques qu'il possède.
•
|
cette expression peut être bénéfique à partir du
moment où nous activons les gènes bénéfiques, principalement par une vie
fondée sur l'amour, sur le pardon et sur un code de vie moral que Jésus a
légué à toute l'humanité.
|
•
|
notre patrimoine génétique intervient pour très peu
(moins de 10 %) dans notre destinée.
|
Intervention du Dr Carlos Roberto de Oliveira Souza,
au 4e Congrès Francophone de Médecine et Spirituallité, en octobre 2011, à Paris.
Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net
au 4e Congrès Francophone de Médecine et Spirituallité, en octobre 2011, à Paris.
Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net