Je
disais dans le commentaire du message canalisé par Monique Mathieu, que je privilégie l’action avant d’écrire mais, pour calmer le mental,
puisqu’il est très présent et actif dès le réveil alors que le corps physique
est encore endormi, la connexion à la Terre par les chakras racines, par les
pieds mais aussi les mains, histoire de sentir l’énergie, la connexion à l‘âme,
à l’énergie de Vie, à l’amour, puis au soleil pour lui demander d’éclairer le
mental afin qu’il accède à la connaissance et soit guérit de ses illusions,
instaure l’harmonie.
Le
mental est un outil essentiel au processus de création mais très souvent pour
ne pas dire toujours, on s’identifie tellement à lui qu’on pense qu’il est le
créateur.
La
personnalité, l’ego croit qu’il suffit de commander la vie pour qu’elle se plie
à ses exigences mais le processus est beaucoup plus complexe, complet et
permettre au mental d’être inondé d’amour en reconnaissant son utilité, en se
connectant au divin en soi remet chacun à sa juste place.
Chaque corps est
indispensable à cette existence, au processus de création délibéré mais celui
qui orchestre, c’est le "divin" intérieur ou la conscience pure. Sa vision élargie tient compte de tous
les paramètres que le mental ignore totalement.
Cependant, en l’honorant pour
sa fonction de protecteur et en apprenant à lui confier ce rôle seulement comme
sonnette d’alarme, comme un rappel à se tourner vers la source en soi, on se
désidentifie peu à peu de lui et comme il est honoré, il sert l’ensemble avec
enthousiasme.
Il aime apprendre, comprendre et son avidité à savoir peut être
nourrie par la connexion consciente au divin en soi. Il sera utilisé pour
sonder ses profondeurs, enseigné afin d’interpréter ce qui est selon l’amour et
entrainé à repérer les synchronicités, à voir avec les yeux du cœur, de l’âme,
en l’amenant au centre de l’être.
Concernant
les vies antérieures, il n’est absolument pas nécessaire de savoir qu’elle est
la source dans une vie passée. Bien-sûr, ça peut aider mais ça peut aussi
grandement compliquer les choses et nous extraire de la réalité du quotidien en
espérant qu’une "réparation" se fera sans nous, comme par magie, parce que nous
le méritons, parce que nous avons pardonné et ainsi, nous avons droit à une
sorte de récompense.
Le mental réagit selon le bien et le mal, la punition et
la récompense…
On peut rester bloqué sur le besoin de justice divine, enfermé
dans le mental, l’ego, la dualité et attendre indéfiniment que la justice divine fasse son œuvre,
punisse les coupables…
En tant que co-créateurs nous sommes les seuls à pouvoir
décider de laisser l’énergie d’amour circuler librement en nous.
C’est une décision à
prendre en son âme et conscience mais ça n’est pas le mental qui réalise la transmutation
énergétique nécessaire, ce sont les énergies de la source qui vont harmoniser les
polarités et guérir les blessures. Il n'y a que le cœur, l'amour inconditionnel et l'unité qui permettent d'accéder au Soi divin unifié à l'âme.
Le
pardon c’est une question d’amour inconditionnel et de compréhension de ce qu’est
cette énergie. Pour la comprendre, il faut la vivre, l’expérimenter et le
pardon, tout comme la gratitude, nous donnent accès à cette vibration.
Quand
on fait l’expérience, du pardon, on peut sentir une grande libération due au
fait que l’amour que nous sommes en essence et en vérité, peut à nouveau
circuler librement. De cette façon on commence à comprendre véritablement ce qu’est
l’amour, on en devient accroc, on veut maintenir sa fréquence dans cette sphère
qui nous rapproche de notre être, de la sagesse innée et divine.
En
le faisant, on prend conscience que cet amour est en nous et qu’il nous suffit
de l’autoriser à circuler en tous nos corps pour qu’il grandisse et nous élève
en même temps. L’autoriser signifie lâcher prise sur ce qui est, sur ce qui se
manifeste.
On
peut savoir si le pardon est effectif, si les blessures sont cicatrisées,
lorsque les scénari dramatiques récurrents se font de plus en plus rares.
Et
ceci se réalise pas à pas, par l’amour, l’acceptation totale de tout ce que
nous sommes.
Ce processus, cet intégration de l'amour lumière devra atteindre tous les domaines de l’être, de la
vie qui ont été affectés.
Pardonner
aux autres nous libère aussi parce que nous aurons plus de facilité à nous
pardonner nous-même. C’est très souvent là que ça bloque et c’est pour cette
raison que j’ai ajouté un double astérisque à ce paragraphe dont je cite la phrase clef:
« Se
pardonner d’avoir imprégné cette souffrance dans notre âme ».
Là,
il est bon aussi de développer parce que d’un premier abord, on peut se dire qu’on
ne choisit pas de souffrir et comme l’âme est « invisible », pourquoi
devrions nous appliquer le pardon envers notre âme ?
L’âme
choisit de vivre des expériences parce qu’elle connait la valeur de l’amour et
comment aider l’humain à le comprendre, à y accéder certainement.
Elle sait qu’un
humain doit ouvrir son cœur afin que l’énergie essentielle d’amour lumière qui
la constitue, l’éclaire et le nourrisse.
Elle sait que c’est très souvent par
les crises, la douleur, un cœur brisé, que l’humain s’interroge et va au fond
de lui-même où il rencontre ses hauteurs en même temps que ses profondeurs.
Selon mon vécu et mon ressenti, il serait plus juste de pardonner à l’âme d'avoir choisi les épreuves afin de révéler nos croyances, de se révéler à la personnalité.
C'est ce qui nous permet d'adopter son regard et de sentir cet amour en nous, d'avoir de la gratitude, de la reconnaissance pour les expériences vécues.
On peut lui demander de nous enseigner ce qu’est l’amour et comment le cultiver en soi.
Lorsqu’on
est dans une situation qu’on trouve injuste, en se disant qu’elle révèle un
schéma que nous reproduisons inconsciemment et nous montre quelle blessure nous
devons guérir, il est beaucoup plus facile de pardonner, de se responsabiliser
et donc de passer du statut de victime à celui de maitre. Maitre de ses
pensées et donc de ses énergies, de son monde, de sa vie.
La maitrise énergétique et donc celle de la
création consciente, délibérée, se réalise par la pratique, comme je le disais
hier.
Pardonner nous ouvre le cœur et nous réalisons un saut quantique en
élargissant notre conscience qui va alors pouvoir entrer dans la gratitude, par
la reconnaissance de la guidance intérieure, de la puissance de guérison de l’amour,
du pardon qui permet aussi d’avoir de la compassion pour l’autre puisque on
comprend, en le vivant, que nous agissons selon des programmations inscrites
dans l’enfance et que celles-ci nous manipulent en coulisse.
Comprendre cela
permet de voir que l’autre agit de façon inconsciente, automatique.
Il ne s’agit
pas de continuer de souffrir en laissant l’autre nous maltraiter mais de
retrouver une juste estime de soi qui posera naturellement des limites et on
distinguera les actes de la personne.
On pourra demander à notre âme de s’adresser
à l’âme de la personne afin de la remercier d’avoir permis cette découverte si
précieuse du pouvoir de l’amour, du divin en soi. De cette façon, le contrat est honoré et nous en sommes libéré dans cette sphère de l'être.
Il
est évident que le pardon se réalise en plusieurs étapes.
Il
faut déjà devenir conscient des schémas qui trahissent un blocage de l’énergie
d’amour en nous, ce qui se traduit par des scénari dramatiques dont la récurrence
révèle la blessure qui s’inscrit durant l’enfance.
Pour cette
raison, remonter dans des supposées vie antérieures ne fait que rassurer le
mental qui peut appréhender s’ouvrir à d’autres réalités, d’autres mondes.
Mais
c’est à double tranchant comme je le disais tout à l’heure parce qu’on peut
aussi s’égarer dans les mondes de l’astral et rester enfermé dans le triangle
de Karpman; les rôles de victime, de bourreau et de sauveur.
Le mental tente de
traduire la notion d’éternité, de la divinité, selon ses références, ses connaissances, selon l’espace
temps linéaire qui l’aide à ordonner les choses mais il arrive un moment où la
conscience qui éclaire tout, révèle les illusions des croyances.
La croyance est un
conditionnement, une invention de l’ego qui agit certes au niveau énergétique
puisque la pensée est une énergie mais se focaliser sur le passé, rechercher la
source des blessures dans un lointain passé, nous éloigne de la réalité de l’instant
présent, nous empêche d’évoluer dans notre compréhension de l’amour et du
divin.
Tant qu’on s’attache aux
croyances, on n’est pas libre ni autonome et donc souverain.
Elles sont des jalons
sur le parcours mais en aucun cas des vérités absolues.
La
vérité d’ailleurs est très relative et à mesure qu’on élargit sa conscience, on
se rend compte de son caractère aléatoire, changeant et subjectif.
Elle est
différente selon le point de vue dans lequel on se place, selon la vibration
sur laquelle on se trouve.
Ce qui était vrai hier, ne l’est plus aujourd’hui et
changera encore demain.
L’intelligence, la conscience n’a aucune limite et l’ego,
la personnalité, les corps subtils ont des visions et une compréhension de la
réalité parfois totalement opposée.
Ce
qui fait souffrir en tant que personne, c’est de continuer de croire en des
interprétations mentales des faits, au moment où nous les avons vécues. C'est-à-dire
dans l’enfance ou même à l’état fœtal.
La conscience d’un enfant ne permet pas
de traiter l’info qui sera reléguée dans l‘inconscient et des réponses toutes
faites seront alors crées.
Telle réaction rangée dans la case "agression" suscitera
une réaction de défense, de fuite ou de repli sur soi, selon l'individu et son vécu. C’est
un mécanisme automatique qui se met en place et ça n’est qu’en devenant
conscient de cela qu’on peut alors choisir de libérer la croyance.
Tant que les cicatrices ne sont pas refermées, la même réponse s’enclenchera
engendrant le même comportement. C’est ce qui va nous indiquer que nous devons
pardonner une fois de plus. Pardonner la personne qui a réveillé la blessure et
même la remercier au niveau de l’âme nous permet de vibrer sur les hautes
fréquences de l’amour.
Puis surtout nous pardonner de continuer de réagir alors
même que nous savons que la réponse est automatique.
En le faisant on aura plus
envie d’être conscient, présent à son corps physique, responsable de nos pensées émotions. On s’identifiera
de moins en moins à la personnalité, on osera être plus vrai, on saura
reconnaitre lorsque c’est notre âme qui s’exprime ou notre ego, lorsque nous
sommes authentique ou si nous portons un masque.
Le
pardon, c’est de l’amour pour soi-même et en même temps pour l’autre et le fait
d’autoriser cette énergie à circuler en soi et vers l’extérieur, en amplifie l’intensité,
par la loi du don et de la réception.
L’agresseur sera interpelé de l’intérieur
parce que son âme trouvera une brèche où l’amour lumière pourra s’infiltrer. Il
aura l’opportunité de changer, de sortir du cycle de la vengeance puisque celui
qui agresse agit de façon inconsciente, reproduisant ce qu’il a lui-même vécu.
Lorsqu’un
agresseur reçoit le pardon en retour, il est face à lui-même et nous sommes
délivrés des rôles, des contrats au niveau de l’âme.
Le pardon permet de voir
avec les yeux du cœur, de l’âme et c’est une ouverture du cœur et de la
conscience qui élève toujours.
Bon,
il va falloir que j’applique l'effet miroir aux gens de pouvoirs, aux manipulateurs
du climat parce que ce temps n’est pas naturel et les épandages chimiques en sont la cause.
Cette situation met en évidence ma difficulté à accepter de continuer d'avoir besoin de médicaments, de produits chimiques, de contrôler les émotions alors même que je connais les mécanismes de protection de l'ego, le rôle de l'inconscient, l'obsolescence des croyances passées, le pouvoir de création par la pensée, de la loi d'attraction, de résonance, la puissance de l'amour...tout ce dont je témoigne ici depuis plus de deux ans et que j'applique au quotidien.
Pardonner mon ego de croire qu'en agissant en force, en arrêtant du jour au lendemain, je prouverais ma force, mon amour à mon corps physique, à mon âme, au divin.
C'est au contraire, en apprivoisant mes ombres, en laissant émerger les pensées émotions qui nourrissent les croyances passées que je défais les mécanismes réactionnels et construit de nouveaux circuits neuronaux qui engendrent de nouvelles réponses à ce qui se manifeste. Et le fait d'harmoniser ces pensées émotions issues du passé, créé un nouveau présent et un futur correspondant à ce que je veux vivre maintenant, en âme et conscience.
Instaurer
des moments de pause, de connexion au divin en soi, durant la journée, préserve
des comportements excessifs, compulsifs, tout en apprenant la maitrise des pensées émotions,
énergies.
J’ai
dû aller m’allonger trois fois hier tellement les crispations internes
exacerbées par la chaleur, étaient invalidantes. Dans ces cas là, lorsque les pensées
émotions remontent à la surface avec violence, écouter et répondre aux besoins
des corps, en commençant par calmer le mental, libérer les tensions, aide à trouver la paix et l'équilibre.
On saura
ce que notre corps physique demande dans l’instant afin de faciliter l’intégration
des énergies, leur fluidité.
J’ai lâché l’idée de suivre un programme planifié
pour le sevrage parce que ça n’est pas une aide ça rajoute du stress. C'est une forme de contrôle qui n'arrange rien puisqu'alors tout ce qui a besoin d'être libéré sera dissimulé.
Accepter ce qui est, permet de
voir l’utilité de certains comportements, ce à quoi ils correspondent.
On sait
alors que c’est une réponse automatique à un problème spécifique dont il nous
faut prendre conscience afin de reconnaitre les blessures qu’elle cache pour
pouvoir la changer.
On la change en laissant l’amour divin l’inonder de lumière;
de nouvelles connaissances qui vont être intégrées par le fait de ne pas entrer
en réaction, d’effectuer le processus du pardon à soi, puis de manifester de la
gratitude pour la guérison en cours. Quand je dis "manifester", ça n'est pas une idée qu'on lance mais un ressenti qui nous amène spontanément à éprouver de la gratitude.
On
sait qu’une cicatrice est refermée lorsque notre vie change, lorsqu’on créé de
plus en plus dans la joie, par le lâcher prise. La guérison du mental se vérifie
et se réalise par l’abandon des croyances basées sur l’instinct de survie qui
viennent des prises de conscience, des connaissances insufflées par l’âme, la
lecture de messages spirituels qui résonnent, le constat des synchronicités...et
bien évidemment par le fait qu’il oppose de moins en moins de résistance à
mesure que la foi amplifie dans tout ce processus.
Il
fait déjà 28° à 9 heures ! Je vais essayer de ne pas anticiper négativement
comme hier mais plutôt d’espacer les prises des doses de médicament de façon à
être plus attentive, présente et moins sur la défensive.
J’ai beaucoup plus de facilité à gérer les
choses sans l’effet du produit mais d’un autre côté, ce parcours de sevrage est
précisément ce qui me permet d’amplifier l’amour de soi, par la patience, le
pardon à soi, l’acceptation de ce choix qui est maintenant le révélateur de mon
pouvoir de guérison par l’amour divin.
Un processus qui me permet de devenir
plus consciente, et d’apprendre à être responsable, autonome, en reconnaissant
les talents qui servent la guérison et en acquérant ainsi l’audace d’être ce que
je suis, naturellement.
Retrouver ma vraie nature, l’usage des corps subtils nettoyés par l’amour lumière en
soi et réaliser l’harmonie afin d'être souveraine de mon monde, constitue le chemin envisagé par mon âme; "ma mission
de vie".
Ce qui ne veut pas dire que je doive à tout prix y arriver dans cette vie.
Savoir apprécier chaque victoire, chaque ouverture de cœur et de conscience, reconnaitre l'amour divin en moi, vivre selon l'élan du cœur, rend le parcours léger, joyeux, me rend libre et heureuse. Par l'intégration de ces énergies qui qualifient l'âme, le divin intérieur se révélant ainsi en douceur et avec puissance, l'autonomie, l'autoguérison portent leurs fruits dans l'instant et dessinent l'avenir.
C’est quelque chose qui demande de l’attention et par la reconnaissance de la guidance de l’âme,
je sais que tout est possible, que je ne suis pas seule et que cette guérison
est une cocréation qui devient consciente et voulue par tous mes corps.
J’ai
ressenti fortement les énergies du ciel et de la terre lors de mes connexions
devenues des rituels obligatoires et ça me motive à continuer en ce sens.
C’est
une façon d’instaurer le changement pas à pas, avec facilité tout en utilisant
la créativité et l’intuition ce qui amplifie la foi et le bien-être.
Je
constate qu’il est relativement aisé de changer si on s’ouvre à l’inspiration de
l’âme, de la conscience, qui savent que la vie est simple et facile.
10h50,
je vais m’allonger. Petite recommandation au mental, "si on s’endort et qu’on
fait un rêve bizarre, pas de panique, c’est normal, l’inconscient réalise des
mises à jour"…Puis pour les portes des voisins qui claquent depuis ce matin, "souviens toi que c'est l'enfant intérieur qui réclame de l'attention"...
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci