vendredi 5 juin 2015

« Le divin n’est autre que la Vie, l’énergie du désir et son mouvement; l’amour et sa manifestation... ».






Enfin ! Enfin je me retrouve ! C’est une véritable renaissance, l’être véritable avec tout son potentiel à nouveau disponible, toutes les capacités qui se rejoignent dans le présent. L’adolescente a libéré ses croyances invalidantes à propos de la sexualité, du désir, du travail, de l’indépendance, de la relation à l’autre et je me retrouve avec le potentiel de la jeunesse, les énergies de la vie qui s’expriment sans retenue, l’envie d’être autonome, responsable, d’assumer ma vie dans ce corps et de le faire avec tout ce que la nature, mes parents biologiques, mes parents cosmiques, le ciel et la terre, m’ont offert.

Je me suis mise à faire un tri de papier, de factures, de tout ce qui représente mon identité dans cette vie, en rangeant, en classant les papiers des deux dernières années et en ne gardant que ceux de la nouvelle. Heureusement que je suis relativement organisée à ce niveau, plutôt à jour mais cette fois-ci, je l’ai fait en conscience, dans l’acceptation totale de tout ce que je suis en voyant dans ceci l’immense potentiel qui s’y trouve, en le faisant avec enthousiasme et en acceptant les règles du jeu de la vie. 
En les voyant non plus comme une contrainte mais dans toute leur beauté, dans ce qu’offre cette incarnation et en reconnaissant la pertinence de mon parcours, sa perfection et tout ce qu’il m’a permis d’acquérir et de réaliser (prendre conscience). 


C’est ce qu’on appelle voir la lumière dans l’ombre, voir les fruits, la richesse des supposés « échecs ». 
La perfection du chemin est indubitable et ça répond à la demande formulée à mon âme, avant-hier quand j’ai été secouée par les retours en arrière à la période où j’ai adopté des croyances à propos de l'humain, de la vie, qui ont définit un comportement, une ligne de vie remplie de souffrance, de peurs, de limites, de restrictions, de résistance à la vie, à la joie. 
C’est justement ce parcours qui me permet d’apprécier ce que je suis maintenant et de pouvoir en goûter l’intensité par le contraste, le caractère extrémiste de ces différentes périodes de ma vie, de ses états d’être totalement opposés. J'ai demandé à mon âme ou ma "conscience divine", de me prêter son regard et j’ai été exaucée ! 
Il suffit de revenir en son cœur, de lâcher les peurs, les jugements pour voir les choses avec les yeux de l'amour et là, ce nouveau "look" intérieur et vraiment stupéfiant mais indescriptible puisque c'est le parcours de toute une vie que je suis seule à pouvoir percevoir de cette façon. Si j'en parle ici, c'est qu'il ne tient qu'à vous de faire ce même retour au cœur et ce constat. L'amour de soi, de tout son être, sachant que ce corps est éphémère et prêté par la Terre, est vraiment l'unique chemin qui ramène à la maison, à l'être véritable et complet que nous sommes.

La vie est toujours parfaite, elle sait exactement ce qu’elle fait pour nous amener à destination. Tous nos corps, du plus dense au plus subtil, travaillent en ce sens mais nous ne le voyons pas parce que nous sommes enfermés dans notre forteresse, derrière les murs qui contiennent, retiennent l’énergie de vie et sa puissance qui nous effraie tant. 

Nous passons notre temps à lutter contre la réalité, à contester la perfection du vivant, de ce que nous sommes, à essayer de changer le monde pour qu’il se conforme à notre désir en croyant que lorsqu’il sera comme nous l’avons décidé, nous pourrons enfin être heureux ! Ce faisant, on passe à côté de soi, de sa nature véritable, de la perfection de ce que nous sommes et du présent qui nous offre la paix, l’amour et la lumière, lorsque nous acceptons d’aimer tout ce que nous sommes et tout ce qui est.

Accepter son passé, son corps physique, les conditions de notre vie, les événements douloureux, l’état du monde, offre la véritable liberté et une vision claire et bienveillante de tout ce qui est.

Nous créons notre propre prison, nos limites, notre propre souffrance par cet acharnement à vouloir changer ce qui est, à vouloir se changer au lieu de s’accepter totalement.

Quand on dit "oui" à tout ce qui nous constitue, à ce qui nous arrive, notre cœur s’ouvre et notre conscience aussi, on glisse sur le fleuve de la vie sans plus se soucier de quoi que ce soit. On entre dans la confiance, de soi-même et de la vie.

Si on prend le temps de contempler notre passé, la trame de notre vie, de regarder ce que nous sommes et vivons ici et maintenant, en toute honnêteté, en laissant de côté nos exigences, notre contestation permanente, tout apparait dans sa perfection, dans toute sa beauté.

La notion de bien et de mal nous enferme dans un carcan, réduit notre vision et nous empêche de voir les choses avec lucidité et amour. 
Tant qu’on cherche à limiter l’amour, à le conditionner, à le voir selon nos croyances, l’idée qu’on s’en fait, on passe tout simplement à côté, on est incapable de le connaitre, de le reconnaitre. 
L’idée commune qu’on se fait du divin est totalement éloignée de la réalité. Là encore, on projette des images concepts, selon nos croyances basées sur la séparation, sur ce que nous pensons être bien et mal.

Le divin n’est autre que la Vie, l’énergie du désir et son mouvement, l’amour et sa manifestation, la source et sa course. 



La cane et ses prétendants*...l'image est trouble, ça bouge, le désir est puissant...



Être divinement humain, c’est tout simplement être conscient de sa nature véritable et de l’amour lumière, de l’énergie, qui anime toute chose, toute vie. C’est savoir de l’intérieur que nous sommes la source, que nous n’en sommes jamais séparés puisque nous en sommes la manifestation dans la matière.

La nature nous révèle ce que nous sommes, les éléments qui nous constituent et avec lesquels nous sommes naturellement connectés. Notre corps physique est une pure création de l’amour et de l’intelligence universelle, sa constitution, la manifestation du miracle de la vie, de cette union entre la matière et l’esprit.
Le soleil est la conscience dont nous sommes issus et la Terre, la matière, le réceptacle de cette conscience. L’un comme l’autre sont des extensions de la source père mère, de cette union entre l’énergie de l’amour et son mouvement, sa direction. 
Nous sommes issus et animés par cette même énergie et mus par ce principe ; « masculin » et « féminin » qui dansent ensemble. L’énergie féminine ; potentiel créatif et l’énergie masculine qui propose une forme. Les deux s’unissent, matérialisent le désir pour créer la forme, les formes, les mondes, la matière…
Nous faisons exactement la même chose ; une idée, un désir émerge et nous lui donnons une direction, engageons le mouvement. 

Jusqu’à maintenant, nos créations venaient d’un désir frustré, de croyances basées sur l’observation et l’interprétation des faits, sans conscience. Ou plutôt depuis une conscience formatée héritée des ancêtres et nous recréions les mêmes choses, inlassablement. Nous agissions par automatisme dans l’ignorance de ce que nous étions, sous l’impulsions de désirs non assumés parce que jugés mauvais, interdits, négatifs.  
Nos parents, les religions ont donné un sens précis à la réalité et nous avons adoptés ou rejeté ces croyances, afin de ne pas être exclu, rejeté, abandonné, seul et isolé. 

Nous avons considéré comme mauvais tout ce que nous ne comprenions pas. 
La mort, la douleur, l’énergie sexuelle, la perte, la séparation, tout ceci a été rangé dans l’ombre, considéré comme négatif et occulte. 
Le mystère des choses a toujours eu un double effet, celui de l’attraction et de la répulsion et c’est ce paradoxe qui nous a poussé à chercher et donner un sens à la vie, à vouloir comprendre ce que nous étions et dans notre confusion, à s’attacher à la vie, à vouloir laisser notre empreinte.
Maintenant que les mentalités ont évolué, que notre compréhension de l’amour s’affine, que sa manifestation est moins limitée, que nous connaissons mieux la constitution du corps humain, de notre environnement, la complexité de la psyché, l'énergie qui anime le vivant, l’interdépendance de toute vie, que nous pouvons acquérir la sagesse par le recul, l’histoire et ses scénarios récurrents, les consciences s’éveillent à la réalité ; l’amour et la lumière, la bienveillance et l’intelligence sont notre base et le moteur de croissance du vivant. 
L’amour et la croissance sont la quête de tout humain parce que c’est notre nature profonde, instinctive tout autant que spirituelle.

Nous comprenons par l’étude du génome humain notre reliance, notre ressemblance avec les animaux mais aussi à travers l’étude microscopique, notre étroite relation avec les éléments de la terre dont nous sommes tous issus. Puis par l’étude des atomes, des molécules, des cellules, nous constatons notre reliance avec l'univers, les énergies qui animent le corps humain. L'aspect invisible de l'être humain est ainsi dévoilé depuis le développement de la psychologie, la psychanalyse, l'étude des rêves, l'énergétique, la science quantique. Toutes ces sciences nous montrent l'interaction entre le vivant, les humains et tout ce qui vit. Même les objets, les choses immobiles, deviennent vivants dans cette optique. 
Ces connaissances rejoignent les enseignements spirituelles de diverses cultures et c’est comme si la boucle était bouclée. 
Nous vivons la même chose au niveau individuel et là encore la reliance entre tous les êtres, de par la constitution psycho énergétique atomique, mais aussi par la raison d’être de chacun, la quête existentielle, la recherche de sens individuelle et collective brise les barrières, les frontières et les limites. 
Nous permet de voir au-delà des différences visibles, ce qui nous unit, nous rassemble. 






C’est parfaitement illustré et en synchronicité avec le développement de l’internet et des réseaux sociaux. L’analogie avec la psyché humaine et ses mécanismes, son besoin de reliance et l’instantanéité par la circulation des infos, nous démontre aussi le pouvoir de la psyché, la télépathie, les synchronicités, le pouvoir de l’intention collective et de son influence sur la matière au travers des prières, du désir croissant de paix. 

L’étude de la psyché, des émotions, associée aux connaissances délivrées par les êtres de lumière via la canalisation répond à la demande et participe à l’évolution des consciences.
De plus en plus de gens perçoivent les énergies, la reliance au divin, aux mondes invisibles et c’est ce que décrivaient les messages spirituels de ces 30 dernières années, rejoignant les prédictions de civilisations telles que les Mayas ou encore de la bible. 

Nous avons cru que le monde changerait en un clin d’œil et c’est ce qui s’est passé, un changement énergétique a eu lieu, nous sommes entrés dans la quatrième dimension, celle de l’invisible, des égrégores, de l’astral, de l'inconscient et de l'émotionnel. 
Ces mondes qui sont le fruit de la psyché humaine depuis sa création, miroir de nos peurs, de nos désirs inassouvis, de nos espérances, de nos fantasmes, de tout ce qu’un humain peut imaginer lorsqu’il s’interroge à propos de ce qu’il ne comprend pas, de ce qui l’effraie. 
Les interactions avec l’invisible ont répondu aux attentes humaines celles qui viennent aussi de l’intuition, de la mémoire inscrite en nous, celle de nos origines divines, par définition, extra-terrestres. 
L’humain avec son pouvoir d’imagination qui lui permet de supporter l’apparente folie du monde (qui n'est que le reflet de sa propre incompréhension de lui-même) et de donner un sens à ce qui est, à ce qu’il ne comprend pas, se trouve confronté à ses propres démons, à ce que son inconscient recèle. 
Tout ceci est sensé l’amener à se tourner en son cœur, à voir à l’intérieur. Les mondes invisibles étant la projection de l’inconscience humaine et de sa conscience aussi, selon la notion de dualité, de bien et de mal, il ne peut trouver sa vraie nature au travers de ce miroir tout comme il ne peut déterminer qui il est en s’identifiant à ses parents, l’être aimé, ses enfants…

L’extérieur, les autres, ne nous montrent que de facettes de notre être et si nous nous identifions à ce qu’ils nous renvoient, nous allons souffrir de manque, d’incomplétude, ressentir le vide à l’intérieur, la sensation d’être divisé, séparé, avec plus de douleur. 
De la même façon que lorsqu’on prend une pilule, on se sent bien le temps que la chimie fasse son effet, que l’alcool désinhibe, mais lorsque le produit n’est lus efficace, la gueule de bois, la redescente seront difficiles. 
Après l’euphorie de la croyance en un dieu en soi, à l’image des croyances passées; celui qui va nous sauver de la souffrance, qui va rendre notre vie extraordinaire lorsqu’il apparaitra, se manifestera au monde, et fera qu’on sera au-dessus de la misère de ce monde, vient le temps de défaire les illusions.
Nous en sommes là, nous sommes face à nos croyances immatures, celles qui ont été nourries par le refus de la réalité, le déni de soi, la recherche d’un ailleurs ou d’un futur meilleur.   

D’un côté nous croyons que nous sommes divins mais de l’autre, nous remettons en question cette intelligence, en luttant contre la réalité, les règles du jeu de l’incarnation, les outils et les méthodes d’apprentissage.
Nous sommes en pleine crise d’adolescence, rejetant le passé représenté par "les vieux", l’ancien paradigme basé sur la loi du plus fort mais nous continuons d’agir selon cette même loi. 
Nous voulons un monde de paix et d’amour alors que nous continuons de lutter contre la vie elle-même, contre ce qui est, contre ce que nous sommes.

Accepter les choses telles qu’elles sont, ici et maintenant, et le préalable, la porte qui ouvre notre cœur et révèle la sagesse intérieure. 
Et ce que nous nommons "divin", est au-delà de notre imagination, de notre compréhension, de toute forme d’interprétation. 

Par contre, nous pouvons tous en faire l’expérience, de l’intérieur, en se tournant en soi, en acceptant de se voir au travers des yeux de l’amour, de l’âme.






Tout, autour de nous, et en nous-même, nous invite à cette rencontre, ce face à face avec nous même. 

Ce que l’intuition nous suggère, est vrai mais pour goûter cet amour, pour le vivre, il nous faut le manifester, l’actionner à l’intérieur. En embrassant tout ce que nous sommes, en faisant la paix avec l’enfant en soi, en étant à l’écoute des pensées émotions qui se manifestent, en les laissant être sans jugement, la conscience et l’amour que nous sommes, sont révélés dans cet acte d’acceptation, d’ouverture, de tendresse, d’attention bienveillante. 
Le seul fait de ne pas rejeter ce qui se manifeste, le libère et constitue un acte d’amour, une façon de casser les anciens réflexes, de recréer de nouveaux chemins neuronaux, de renaitre à soi, à l’être véritable que nous sommes. 
Véritable dans le sens de naturel, spontané, authentique, sans masque, vrai. 

Et pour que notre essence se manifeste, l’amour que nous sommes, il nous faut regarder cet être vrai en nous, sans jugement, sans critique, sans chercher à le corriger, le changer. Et c’est de cette façon qu’on va pouvoir renaitre, depuis l’amour, depuis l’essence de pure lumière, intelligence. 
La conscience, l’intelligence ne s’oppose pas, ne juge pas, elle Est. 
Tout comme la vie, elle est ce qu’elle est. 

Lorsqu’on accepte cela, on est porté par la grâce, les choses n’apparaissent plus comme des handicaps, mais des occasions de grandir, de s’ouvrir, de manifester l’essence divine en nous. 
On n’a pas le temps de s’endormir sur une expérience et de s’y accrocher parce que la vie nous bouscule afin de nous montrer nos croyances fondées sur la peur, nos illusions.

La vie ça n’est pas, comme je l’ai longtemps cru et cherché, d’être dans un état de béatitude permanent, ni par les drogues, ni par la spiritualité, les croyances idylliques, elle est à embrasser pleinement afin d’être vraiment vivant, de créer selon nos aspirations réelles, selon notre désir de paix, d’amour, d’échange de contribution. 
De jouir de nos sens en ayant conscience du caractère cyclique, éphémère et en même temps éternel de l’être, de la conscience incarnée dans la matière

Cet espace temps représente une goutte d’eau, dans l’infini des possibles, dans l’éternité et c’est dans l’ici et maintenant que ça se passe. 
Ici, dans ce corps dense et subtil, maintenant parce que c’est le seul moment où nous existons, expérimentons, où sommes présent, où nous pouvons penser, être et agir. 
Où on est en paix, comblé, lorsqu’on sait qui on est, et qu’on aime tout ce que nous sommes. 
On peut voyager dans le passé, dans le futur, par la pensée émotion énergie, mais pour le moment, du moins physiquement, ça n’est pas le cas. 
Intégrer l’idée de l’infini dans un corps fini, en apparence, se fait par prises de conscience successives et en douceur afin que le mental puisse suivre, ‘comprendre’ du moins ne pas perdre la raison et être totalement à l’ouest, déconnecté de la réalité de ce monde. 
Plus on habite son corps physique avec tendresse, et compassion, plus on est dans son cœur, et plus on sait ces choses sans avoir besoin de les comprendre mentalement. 

Le mental est un peu comme un logiciel et même si on peut lui ajouter des applications, élargir sa banque de données, son mode de fonctionnement reste le même. 

Pour accéder à la conscience sans être déstabilisé de façon à pouvoir vivre le quotidien, il n’y a que le cœur qui ait les clefs et la capacité d’élargir la vision sans nous déconnecter des autres et de la réalité visible. 
L’autre porte, c’est la mort et même si certaines drogues en donne l’accès où nous en font franchir le seuil, le risque d’être coincé entre deux mondes ou de ne pas en revenir est conséquent. 






L’exaltation, la joie qu’on ressent en réintégrant les aspects de soi, est tendre, douce, sans aucune violence et sans désir de fuir la réalité, au contraire, on a encore plus envie d’être présent, conscient, de ressentir notre corps vibrer doucement, de percevoir à travers lui, les énergies du vivant, de la Terre et du ciel. Celles là-même que les éléments naturels procurent, la sensation de l’eau, de la brise, de la fraicheur après un orage, les frissons léger de la température qui descend doucement en fin de soirée...

Recontacter tout ceci en étant conscient que c’est l’expression de la source, le cadeau de la terre et du ciel, tout comme l’arc en ciel qui nous rappelle d’où nous venons et combien il est spécial et extraordinaire de pouvoir vivre autant de choses, dans la chair. 
Lorsque la paix en soi, avec tous nos aspects, nos énergies, permet à la source d’eau vive de s’écouler doucement de l’intérieur, on a juste envie de manifester de la gratitude pour cette vie.

*Depuis 5 ans que je suis dans cet appartement, je n’ai jamais vu de caneton mais seulement le couple de canard, qui revient chaque année, enfin la femelle qui se choisit un mâle, un nid, quelque fois dans l’allée de thuya, avec deux ou trois œufs dedans et rien de plus...

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci