jeudi 14 mai 2015

« L’extérieur nous invite toujours à revenir en nous-même »*





C’est reconnu intérieurement, validé, "je suis passée de l’autre côté du miroir" ! 
Plus aucun doute quand à ma vraie nature ; humaine, divine, unifiée, composée d’amour et de lumière, d’énergie de Vie. 
Je suis toujours connectée au divin intérieur, toujours, comme Tout le monde, par le seul fait d’avoir un cœur, une conscience et de multiples portes internes qui me permettent de communiquer avec les différents règnes selon leur mode de langage spécifique, la vibration que j’émane, l’échange qui se produit au niveau énergétique, vibratoire, qui m’expanse et restaure l’intégrité de mon être, la santé, par l’harmonisation de tous les éléments qui me constituent et me relient dans l’amour de la source, à la déesse Mère, la Terre. Tout le monde le fait mais on n'en est juste pas conscient.
Le groupe qui passe par Steve Rother pour exprimer des vérités est accessibles aux enfants bien qu'ils révèlent les plus grands mystères de la vie, selon les lois de cette vie, de cette incarnation, celle de la dualité. 
Il ne s’agit pas de forces qui s’opposent mais d’énergies qui se stimulent, se révèlent mutuellement faisant cohabiter l’infini et le fini, dans un même espace, un même cœur, une même conscience. 
Celle-ci s’est éclatée en de multiples personnalités qui sont crées par l’esprit et l’âme, la source et qui projetées sur la planète, perdent la mémoire, celle d’être une étincelle d’Amour et de Lumière issue de la Source, toujours reliées entre elles et avec la source père mère, via les âmes parentales, l’âme de la Terre, le soleil et celle que la Terre nous prête l’espace d’une vie, d'une multitude de vies...

Mais là aussi, en tant qu’âme, nous sommes UN; l’humanité. Il y aurait 7 familles d’âmes, 12 archétypes humains qu’ont incarné les apôtres. Et le Christ, est la synthèse sublimée, de ces archétypes unifiés, transcendés par cette union, une unité qui est l’ange qui vit en chacun. 
Cet aspect divin de soi, le Soi, est androgyne, ombre et lumière, lorsque perçu depuis un esprit humain qui perçoit les choses en individu séparé. 
De même, les archétypes sont autant masculins que féminins ; ils sont des modèles représentatifs des comportements humains qu’on retrouve aussi dans chaque famille humaine. 
L’éclatement des âmes-esprit en multiples personnalités a pour but de nous apprendre à vivre depuis le cœur et ainsi à reconnaitre nos origines divines, notre pouvoir créateur et de retrouver celui d’aimer afin de créer en conscience, selon notre véritable nature humaine et divine. 

Le jeu de miroir nous permet de connaitre par la reconnaissance, l’acceptation de ce que l‘autre nous renvoie, une de nos extensions simultanées, ce que beaucoup appellent les incarnations passées. 
En fait, selon le karma qui n’est autre qu’un système d’enregistrement de données qui vient nourrir la bibliothèque humaine, nous vivons plusieurs incarnations qui nous permettent d’explorer les archétypes, de les connaitre de l’intérieur afin de savoir, de connaitre les multiples expressions de l’amour, dont celle de la peur lorsque l’ignorance de qui on est, dirige l’être, la personne.  

D’un point de vue terrestre, linéaire, ça nous apparait, comme passé, présent et futur mais au niveau du cœur, de la dimension de l’unité, tout se passe dans l’instant. 
Ce qui veut dire que nous interagissons en permanence, simultanément, avec nos différentes extensions. 
De cette façon nous pouvons guérir le « passé », accéder à un futur probable qui change à chaque instant, voyager sur les différentes fréquences selon notre état d’être, notre degré d’ouverture, d’amour inconditionnel, selon notre capacité à accepter ce qui est. 
Ainsi, on active la loi de grâce en soi, on se place sur cette fréquence et on devient conscient de tout ce que nous sommes, de la connexion permanente avec le divin qui est en chacune de nos cellules, chacun de nos corps dont les chakras sont les portes d’accès. 





Tout dépend de  notre vision, de notre perception, de l’angle par lequel on voit ce qui est. En acceptant chaque partie de soi, chaque corps, en le ramenant dans l’amour pur, en notre cœur, nous élargissons notre champ de vision et notre compréhension change, s’adapte en conséquence.

Quand nous décidons de vivre dans l’unité ; c'est-à-dire de vivre dans l’amour inconditionnel, de prendre la responsabilité de nos créations, de ramener les reflets que les autres nous renvoient et de les embrasser, nous reconnaissons, vivons notre multidimensionnalité. 

L’expérience d’accepter son ombre nous révèle la lumière qu’elle porte, l’énergie de la source, l’amour qui la sous-tend et peu à peu on voit la dualité comme un moyen de se connaitre, de se reconnaitre et de manifester l’amour divin. 
Et c’est en le faisant, que nous l‘incarnons, que nous le sommes, que nous le vibrons. 
Sa puissance d’harmonisation, de guérison, restaure la pureté, l'ordre et la justice en nous, et comme nous rayonnons ces énergies en conscience, nous guérissons en même temps les extensions simultanées ou les incarnations passées, pour faire plus digeste pour le mental.
Vous êtes vous jamais demandé pourquoi vous aviez tel ou tel don, telle capacité innée ? En me rappelant les visites d’incarnations de mon âme, que j’ai eu le 21 décembre 2012 puis ensuite lorsque je libérais la peur et intégrais un aspect intérieur autrefois refoulé, je vois que leurs personnalités, leurs expertises, leurs spécialisations, sont exactement les traits de ma personnalité actuelle qui sont innés et me caractérisent. 

Il en va de même pour ce que je qualifiais de défauts et c’est là que ça se corse parce que la tendance sera de nier ceci et donc de l’amplifier d’une part et d’autre part de se priver de la guérison et de la récupération de ces talents. 
Ils nous apparaissent comme des défauts parce que le seul fait de les nier, de les contenir, de les rejeter, les déséquilibre, les rend démesurés et ainsi, ils semblent lutter contre nous.   
Mais en fait, depuis le cœur, on peut voir que ceux-ci appellent juste notre guérison, notre acceptation pour qu’ils puissent se mettre au service du vivant, de ce que nous sommes, maintenant, de l’ensemble de notre être. 
Tout être, toute énergie par nature est issue de la source et par le fait veut faire la volonté de la source, veut contribuer à manifester l’amour et la lumière. Ce n’est que notre refus qui leur donne un aspect mauvais, sombre ou nuisible.  

Faire l’expérience de l’amour inconditionnel en soi restaure la vision, on voit avec les yeux du cœur et de la conscience. On constate que tout ce que nous sommes, avons vécu, est notre complétude, la révélation de notre origine, de l’amour que nous sommes et de notre raison d’être, ici et maintenant. 
On agit en quelque sorte comme ‘sauveur’ de ces extensions qui appellent notre amour, notre reconnaissance. Et comme nous sommes l’humanité Une, chaque fois qu’on embrasse un archétype, un trait de caractère, on embrasse en même temps tout ceux qui portent la même vibration. 

Le divin en nous le vit, le voit, le sait, mais pour que la personnalité humaine le reconnaisse, il faut qu’elle vienne au centre de ce qu’elle est, en son cœur, qu’elle s’abandonne à l’amour divin, inconditionnel. 
Il n’y a aucun danger mais il faut juste se souvenir que nous créons tout ce que nous vivons simplement pour nous rappeler justement de faire ce retour et ainsi d’être éclairé, ressourcé, vivifié, élevé tout en étant dans la chair.

Selon le temps linéaire, notre incarnation présente se situe sur une ligne temporelle de révélation, de réalisation, de prises de conscience. Notre âme en s’incarnant ici et maintenant a choisi de restaurer l’intégrité de l’être. 
Les énergies de la source sont propices à cela et si ce fut prophétisé depuis des millénaires, c’est parce que tout se passe ici et maintenant, en un éclair. 
Je sais, c’est très difficile à concevoir pour le mental mais d’un autre côté, le cœur le sait, l’a toujours su et en venant en lui régulièrement, systématiquement, on retrouve la mémoire et même si le mental a du mal à suivre, l’énergie de la confiance l’aide à avancer, à s’élever à hauteur de l’amour et ainsi à se laisser restructurer en douceur. 

Pour qu’il y ait reconstruction, il faut aussi que la destruction face son œuvre. Pour la personnalité, ça donnera l’impression d’entrer dans un grand vide et pour cette raison, il est nécessaire de vivre tout cela depuis le cœur.   
Le désir d’unité, de faire la paix en soi, de cesser de lutter, suffit à nous transformer, à lâcher l’ancien, les croyances basées sur la peur et l’idée de séparation.
On peut s’aider de mille et une façons. En commençant par s’écouter, c'est-à-dire à croire à l’amour qui est en nous, à l’appeler, à le susciter, en se disant que nos vieilles croyances sont erronées, on facilite le processus de révélation. 





En se focalisant sur cette pensée, "je suis amour et lumière", peu à peu on va pouvoir en faire l’expérience. En se rappelant que tout ce que nous vivons a pour but de nous ramener au cœur et qu’en le faisant on accueille notre essence, on la laisse s’exprimer, œuvrer, la confiance commence à s’installer

Le processus peut sembler ardu mais ce sont uniquement nos résistances qui le rende ainsi, qui fait que nous le percevons de cette manière. 
Derrière chaque résistance, il y a une peur, une critique, un jugement. Que ce soit vis-à-vis de nous ou des autres. 

Il est bon de commencer par valider la loi d’attraction, de synchronicité
Elle s’exprime par l’effet miroir et en se rappelant que l’autre nous envoi un aspect de nous-même, on active l’amour en soi, le souvenir de qui nous sommes et peu à peu, par l’acceptation de notre pouvoir créateur que nous percevons seulement de cette façon au début, on va aussi valider cette loi de résonance.

Il ne faut pas forcer, c'est-à-dire, se dire « je dois être l’amour ».   
Juste revenir au cœur, à sa raison, se rappeler « Je Suis l’Amour »

Se donner le droit d’être tout ce qu’on est dans l’instant, sans se juger se critiquer ou culpabiliser ou plutôt sans se focaliser là-dessus, juste laisser ce qui a besoin de sortir s’exprimer, on va constater que la paix revient. 
De cette façon on intègre peu à peu la notion de liberté puis on se rend compte par la pratique, qu'on est libre
Ceci ne se réalise pas d’un seul coup mais justement par expérience de façon à ce que tous les corps puissent intégrer les énergies du renouveau, la réalité des lois universelles. 

Le mental ne veut pas lutter, il veut juste s’assurer de mettre les pieds sur le bon chemin. Et lorsqu’il est convaincu, lorsque sa volonté s’accorde à celle du cœur, non pas en s’obligeant mais en laissant l’amour en soi agir, le divin, l’esprit vient alors prendre les rênes. 
La conscience et le cœur fonctionnent ensembles et le spectacle commence. La vie devient merveilleuse, facile, fluide, extraordinaire. Chaque jour, on découvre un aspect de soi, on amplifie un peu plus l’amour, la confiance en soi.

Le processus est grandement facilité par le fait que de plus en plus d’humain divins conscients de leur origine, de leur vraie nature, s’abandonnent à la loi de grâce, de l’amour divin. Ce qui se traduit concrètement par l’abandon progressif de tout jugement. Vis-à-vis de soi-même parce que ce processus est intime même s’il concerne toutes nos extensions. 
Nous ne pouvons pas changer les autres et ça n’est qu’en acceptant de se voir soi-même, de s’aimer sans conditions qu’on change son regard sur l’extérieur et donc sur l’autre et son comportement. 
Mais il ne sert à rien de se focaliser sur l’extérieur. L’extérieur nous invite toujours à revenir en nous-même
Lorsqu’on aime la part intérieure que l’autre nous a montré, on ne sera plus du tout dérangé par le comportement de l’autre et il se peut même que celui-ci agisse différemment puisque nous ne jouons plus au jeu d’action réaction. 

Les énergies que nous émanons alors, il les percevra consciemment ou pas et il adaptera son comportement à notre rayonnance. Simplement par résonance, on éveillera en lui les énergies que nous émaneront. Si c’est l’amour de soi, l’autre pourra sentir en lui cette énergie et agir en conséquence. Si c’est la paix, idem. 

Pour le conflit enfin la résistance que j’aie encore avec deux voisins, un qui rayonne la victime et toutes les stratégies qui vont avec ; la plainte, la défensive, les coups par derrière, en lâche, selon ce qu’il émane, j’accueille le reflet. 
Déjà, le seul fait que je reconnaisse l’énergie qu’il dégage et que je la vois aussi en moi, est la preuve que la lumière, le divin me prête ses yeux, que c'est mon Soi qui observe en même temps que le moi vit les pensées émotions. 
En ne luttant pas contre l’autre, en disant par exemple, "j’embrasse la victime intérieur", "j’entoure la colère d’amour et de lumière", bref, toute parole qui va nous calmer, nous ramener à la raison du cœur, on sait que l’amour fait son œuvre. Et aussi quand on dit "stop" ou "non", à condition qu'on ne culpabilise pas. Ou qu'on accueille alors la culpabilité. 
Ces trois schémas s'ils nous amènent finalement au cœur, à la paix, réalisent la guérison. Ce sont les étapes de la libération émotionnelle; réagir-exprimer, se voir, s'accepter. En vivant ces trois phases, on active l'amour en soi et la paix, le bien-être qui en résulte tout comme les pensées calmes. Pas celles du style; "ouais, j'ai fait plier l'adversaire"; là c'est l'ego qui a bataillé...avec lui-même finalement. 
Non, la guérison s'exprimera par une sensation de paix, sans paroles, sans commentaires et on passera à autre chose, on aura oublié. Pas l'oubli du déni mais celui de l'amour qui transmute et nous situe dans le présent.   





Puis pour celle qui joue les flics, les inspecteurs des travaux finis, je laisse venir dans ma tête les pensées qui émergent par son comportement et je les embrasse, j’accepte d’avoir en moi, un flic qui surveille, un juge, un censeur. En faisant cela, les énergies se stabilisent en moi, elles s’harmonisent, s’équilibrent et je récupère ce potentiel qui ira nourri la confiance en soi, l’amour en moi, la confiance en la source, au divin. Enfin c'est que ce suppose le mental parce qu'en réalité, c'est la sensation de paix et le fait de ne pas réagir aux mêmes stimuli qui me montre que la libération a été réalisée.

J’ai parlé à l’âme de l’homme plaintif et à la mienne en leur disant de favoriser la réconciliation. Une façon de sortir de la lutte, de se débarrasser des pensées à son égard, de prendre la responsabilité de ce que je vis, suis, et du coup, le mental n’a plus à ressasser à ce sujet.

Pour la femme qui joue les flics, j’extériorise tout ce qui remonte sans porter aucun jugement sur ces pensées et j’offre tout ceci à la source. Déjà, le seul fait de ne pas retenir, de ne pas se juger, place la situation sur les fréquences de la transparence, de l’accueil, de l’acceptation ; les énergies de l’amour divin. 
Et je ne m’en occupe plus, je laisse l’invisible agir en toute confiance. 

Elle m’agace aussi parce que c’est la seule qui ne me donne rien en échange des fraises. Je suppose qu’elle pense que le fait que je photographie ‘ses’ roses est une rétribution suffisante ; Mais, les raisons pour lesquelles elle agit n’importe pas du moins, ça n’est pas là-dessus que je dois bloquer

Ceci est exactement ce qui en moi a besoin d’être vu et accepté. Il y a derrière cela une distorsion de la loi du don et de la réception. Mais je ne cherche pas à changer mentalement les choses, je me contente de reconnaitre le déséquilibre et laisse le divin, l’amour lumière, restaurer, équilibrer, agir en sachant que le mental sera éclairé, que lorsque la guérison sera complétée, ma présence divine, mon esprit divin éclaireront mon mental de sorte qu’il saura comprendre et interpréter. 

Il se peut que ça me vienne par flash par idées émergeant de « nulle part ». 
Peu importe, je me contente d’avoir confiance, de faire confiance au processus d’apprentissage où le seul rôle de ma personnalité humaine et d’amener tout ce qui me trouble au cœur, afin que celui-ci fasse la lumière. J'ai rigole hier en disant "je vais le dire à mon père, à ma mère". C'est exactement ce que je fais quand je vide mon sac, quand je confie à la source tout ce qui me trouble.
Je continue de parler à mon corps physique, aux énergies masculines, féminines, d’interagir avec ce que je suis, au gré de l’élan, de l’instant, comme ça se présente, en ayant confiance que la spontanéité, c’est de l’amour et une façon d’intégrer la souplesse, la fluidité, la liberté d’être, de laisser mon essence divine rayonner.  
Cette intimité me révèle à moi-même et créé un lien d’amour indestructible, une force qui nait de l’unité. 

Je ne me fais plus trop de souci concernant le stage et j’accueille à l’instant la peur de perdre ma liberté, de ne plus m’autoriser à être ce que je suis, à agir selon l’élan du moment. J’ai confiance que l’amour en moi saura me guider. Puis je sais que cette énergie amplifie dans l’échange, l’interaction. 
L’authenticité lorsqu’elle émane du cœur, ne peux pas blesser l’autre. Je n’aurais qu’à me centrer chaque fois qu’un trouble se manifestera. Je le vois déjà comme une nouvelle aventure, une occasion de grandir, de m’expanser, de vérifier ma foi, l’effet miroir, le pouvoir de l’amour, le divin omniprésent, omniscient et omnipotent qui s’exprime en chaque être.

Le soleil est encore voilé alors je vais pouvoir aller au jardin sans craindre la chaleur. 
Il commence à se transformer et les gousses de petits pois sont enfin sorties. 
Il y a aussi deux graines de soleil que j’ai planté il y a deux ou trois jours, qui faisaient deux centimètres hier ! Je suis épatée ! J’ai faim ! Faim d’être de faire et d’aimer…





La pensée du jour de Neale Donald Walsche :
« En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que vous trahir vous-même pour ne pas trahir quelqu’un d’autre
est une trahison malgré tout. C’est la plus Grande Trahison.
Vous n’évitez pas la trahison en vous trahissant vous-même,
vous êtes juste en train de choisir qui vous trahissez. En fait,
la « trahison » n’existe pas. Il n’y a que la vérité, enfin révélée.
Ce n’est pas du tout une trahison. C’est l’amour.
D’un autre, et de vous même.
Pouvez-vous aimer autant ? »
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale

Je vais essayer de m’en souvenir puisque ce que je lis, vois, reçois, est un message de la source, de mon soi divin. Ou peut-être déjà l’imprimer à l’intérieur, comme un post-it.
J’en ai piochée une deuxième sur laquelle je suis déjà tombée…

« La voie la plus rapide pour apprendre quelque chose est de l’enseigner »
Publié le 24 avril 2015
« En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que la voie la plus rapide pour apprendre quelque chose est de l’enseigner.
N’attendez pas, par conséquent, de « tout savoir dessus » ou de maîtriser
ce que vous souhaitez partager avant de commencer à le partager.
Le monde a plus besoin de ce que vous savez déjà que de ce que vous
souhaitez encore apprendre de plus
. Donc enseignez. Partagez. Aidez les autres.
Et ne vous inquiétez pas plus que ça de ce que vous ne « savez pas ». 
Inquiétez-vous plutôt de ce que vous ne faites pas. Parce que vous nous privez
pendant que vous attendez de devenir un « expert ».
Vous savez exactement pourquoi vous avez entendu ce message aujourd’hui ».
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale





C’est vrai que j’ai encore tendance à me reprocher de dire les choses avec assurance et même un certain culot mais ça diminue tout de même puisque je n’ai pas autant réagi en le lisant que la dernière fois. J’ai un peu de mal avec l’idée de dire des choses qu'on ne peut pas prouver mais d’un autre côté, j’ai toujours constaté à quel point le fait d’affirmer quelque chose, l’amplifiait, le rendait encore plus vivant en soi. 

* En écrivant le titre de cet article, que je choisis à la toute fin, lorsque j'ai relu l'ensemble de ce que j'écris souvent en 'pièces détachées', au fil de la journée, et en lisant le message de Neale, je me dis qu'il va falloir être attentive, présente, se souvenir et j'accueille déjà l'appréhension...

Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci