J’ai passé un samedi en enfer, celui de la dualité, des
voix internes criardes et d’une mauvaise foi totale. J’espère avoir libérée un
peu plus de l’énergie de la victime, par l’expression de la colère et le retour
à la paix.
Il m’en a fallu des temps de pause, de retour au cœur, pour
retrouver un tant soit peu d’optimisme. La peur du manque dans toute son ampleur, m’a envahit et manipulée tout au long de la journée. Je suis allée
chercher du bois à la rivière puis comme il n’y avait que des résineux et que ça
encrasse considérablement la tuyauterie, je n’ai rempli que deux sacs. En
allant faire des courses, j’ai trouvé des sacs de bois à "moindre"
coût et là, je me suis dit que tout le stress que j’avais vécu, était du vent,
de la peur infondée.
C’est sûr qu’on se fait des scénarios catastrophes dès que
la peur domine parce qu’objectivement, il n’y avait aucune raison de
flipper ! Non seulement il me reste encore un peu de bois mais en plus,
j’ai les « moyens » d’en acheter.
La colère venait du fait qu’une fois
de plus, j’ai eu affaire à des hommes malhonnêtes. A mesure que j’utilise le
bois, je constate qu’il est vert et en plus il reste un tas de morceaux qui
n’entrent pas dans le poêle, alors que j’avais demandé des bouts en trente
centimètres. Je suis tellement fatiguée de me faire encore avoir que je suis
restée bloquée sur ce fait ; j’ai du bois mais il ne rentre pas dans le
poêle. Qu’est-ce que ça veut bien vouloir dire au niveau spirituel ?
J’avoue que je n’ai pas été en mesure de chercher tellement c’était confus à
l’intérieur !
Évidemment, ça nourrit l’état de victime et j’ai pu en
sentir tous les aspects désagréables. J’avais commencé à écrire mais c’était
tellement rempli de colère que j’ai abandonné l’idée de publier ce vomi verbal.
L’objectif de ce blog étant d’amener chacun à trouver l’autonomie, et comme
celle-ci demande une foi solide et qu'elle augmente par la joie et
l’amour, ça ne collait pas.
Cet espace se veut un ilot d’espoir, un oasis de
paix et d’amour même si ça passe par des moments difficiles, entre taire
l’aspect désagréable du processus et nourrir des énergies de basses fréquences,
ça n’est pas toujours facile de trouver l’équilibre.
La transparence est
essentielle vis-à-vis de soi mais il n’est pas nécessaire de rendre pesante la
lecture même si la difficulté fait partie intégrante du chemin. Ce monde a
cruellement besoin de paix, d’amour et d’espoir et ce sont ces énergies qu’il
me plait de partager ici.
On peut passer sa vie à crier à l’injustice, à entrer
en rébellion, à se révolter…mais quelle énergie gaspillée inutilement! Non
seulement ça fait le jeu de ce qui se nourrissent des énergies de violence, de
haine, de lutte, mais en plus, ça éloigne de son propre cœur, de son âme.
L’âme a une perception des choses beaucoup plus étendue que
celle de la personnalité et son langage étant celui de l’amour, il est
nécessaire de créer un espace intérieur de paix afin d’être en mesure de
l’entendre. Enfin, je devrais dire de la sentir, de la ressentir.
Car le cœur
communique au travers de vibrations perceptibles par le ressenti, la sensation
qui n’a rien à voir avec les émotions.
Oui je sais que la nuance est infime
mais elle est bien réelle. L’émotion est une réaction tandis que l’énergie du
cœur est égale, subtile et permanente. Égale dans le sens où elle ne fluctue
pas selon les pensées.
Le côté « positif » de ces expériences, si
désagréables soient-elles, c’est de pouvoir distinguer la différence entre le
fait d’être en son cœur, unifié à l’intérieur et celui d’être éparpillé en dedans, dominé par la peur.
Les pensées de colère, de rejet de soi, d’accusation envers soi ou les autres,
de peur, de critiques, sont vraiment des énergies qui appartiennent au monde de
la dualité dans ce qu’elle a de pire, de bestial, de primaire. Et nous portons
ce monde à l’intérieur !
Cependant, nous avons le pouvoir de changer, de focaliser
notre attention sur ce qu’il y a de plus élevé. Sur ce qui nous fait du bien,
sur notre façon d’imaginer un monde idéal, sur la beauté naturelle, la grandeur
de la nature et sa majesté.
Évidemment ce genre de pensées va amener
l’inconscient à réagir et à révéler tout ce qui en nous, est contraire à ces
visions, ces pensées lumineuses.
Le choc peut être violent mais en revenant au
cœur de soi-même, en essayant de se calmer, de se détendre, la paix revient et
même si la joie tarde à se manifester, en ayant foi en l’amour inconditionnel
et en s’attachant à cette certitude, elle ne tarde pas à se manifester.
J’ai pu constater hier, avec quelle facilité, je pouvais
encore me laisser embarquer dans le rôle de la victime mais peu à peu, à force
de respirer en conscience, c’est comme si je gravissais une à une, les marches
menant vers la clarté, la paix et le mieux-être.
J’ai vraiment eu la sensation
d’être retombée en troisième dimension.
Bon, le terme est un peu obsolète et
galvaudé mais la sensation d’avoir « chuté », d’être retombée dans le
passé, était bien réel. Enfin réel sur le moment parce qu’une fois la peur
accueillie, peu à peu, ma vision s’est éclaircie.
La foi en l’amour est revenue
mais il m’a fallu l’affirmer plus d’une fois pour ne pas dire tout au long de
la journée pour en sentir l’effet. J’ai pu vérifier jusque dans la chair, les
effets de la peur mais surtout ceux de l’amour.
Une fois calmée, j’ai pu voir
que j’essayais encore d’utiliser la peur et la colère comme des moteurs
d’action. Mais ça ne marche plus même l'herbe n'a eu aucun effet!
Je ne sais pas si c’est le fait que je
sois consciente que c’est un chemin de perdition, dans le sens où on se trouve
dans une impasse, ou si c’est la conséquence de l’élévation vibratoire de la
planète. Toujours est-il que ce mode de
fonctionnement ne me convient plus du tout.
Évidemment, quand les émotions sont exacerbées, il est
inutile d’essayer de percevoir la connexion à l’âme. Le risque, c’est de croire
qu’on est exclu, privé de sa présence et il suffit de peu pour abandonner la
foi. Pour cette raison, j’ai focalisé mon attention sur le désir sincère
d’unité intérieure, jusqu’à le ressentir. Je ne pourrais pas expliquer comment
je reconnais cette reliance à l’âme puisque c’est totalement intime et
indescriptible, mais c’est une certitude acquise par l’expérience et dans des
petits détails qui pourraient passer inaperçus pour quelqu’un qui n’a pas la
foi.
J’ai encore reproché au divin de se la couler douce, de me
laisser faire le sale boulot !
Et en cela, je reconnais une totale
mauvaise foi de ma part !
Heureusement que le divin en soi est patient et
de nature à rire des gesticulations de la personnalité soumise à la peur !
Là encore, c’est un signe qui me permet de savoir quand je suis alignée à sa
volonté et quand je suis manipulée par la peur et les fausses croyances de
petitesse, d’impuissance. Quand je peux rire de me voir faire un drame pour une
broutille, quand je peux voir le caractère illusoire de ce brassage d’énergie
de basses vibrations !
Mais aussi quand je commence à accuser l’extérieur
de mon mal être.
Oui, le monde est rempli d’injustice, de manipulations
conscientes et involontaires, de luttes fratricides, d’abus vis-à-vis du
féminin, des enfants, des animaux, de la nature…
Mais j’ai pu constater que le
fait de dénoncer et d’accabler, est une chose qui ne règle rien à l’extérieur
cependant à l’intérieur, ça créé le chaos, le mal-être, ajoute au sentiment
d’impuissance, d’injustice…
Tout ceci ramène à l’humilité et au véritable chemin qui
soit bénéfique et utile, celui de la paix, de l’unité et de l’amour amplifiés
et maintenus en soi.
C’est la seule façon de changer soi-même, de passer de la
peur à l’amour et de changer le monde.
Quand on vit le processus d’alchimie
émotionnelle, on comprend que le changement réel se réalise par l’acceptation
de tout ce qui se manifeste en soi. Que c’est l’amour divin qui guérit et
qu’essayer de contrôler, de lutter, de gagner, ne fait que nourrir
l’inconscience, la peur, la dualité et ça maintient dans des vibrations de
basses fréquences.
On constate que la contrainte, l’effort, le devoir, le
contrôle sont des énergies de la personnalité soumise à la peur, au mode de
survie.
Nous sommes arrivés à un stade où l’élévation de conscience
est devenue obligatoire et comme ça se réalise par l’ouverture du cœur, du
moins par la dissolution des résistances internes, c’est en soi que se trouve
la solution à tous les problèmes ; le lâcher prise.
C’est sûr que ça va chambouler tous les aspects qui
fonctionnaient selon la peur et c’est ce qui créé la sensation de conflit
interne, de vide, de perte. Mais en n’accusant pas ces facettes de la personnalité, en les
unifiant dans le cœur, la sensation d’unité et d’amour reviennent.
Je suis déjà
contente de ne pas avoir chargé l’enfant intérieur, du poids de la culpabilité
parce que naturellement, quand ça ne va pas, le premier réflexe, c’est de s’en
prendre à ce qui nous semble faible donc inadapté à ce monde.
Ce monde qui nous pousse sans arrêt à combattre l’autre, à
s’en méfier, à être gagnant sur tous les terrains, à travailler dur pour se
sentir digne, méritant, accepté, reconnu comme quelqu’un de vaillant, valable,
honorable…
Tout un vocabulaire issu de stratégies guerrières qui va nous
conditionner à être des bêtes à concours, des challengers, des
« winners »…
Par opposition tout ce qui concerne l’amour est considéré
comme de moindre importance, comme signe de faiblesse, d’immaturité, de naïveté
à la limite de la débilité, des histoires de bonnes femmes, d’adolescentes
attardées…
Et s’il était possible d’unifier les deux ? Si l’amour
pouvait être perçu comme une énergie puissante qui guérit, rassemble, unifie et
rend possible l’association de l’âme et de la personnalité avec le divin ?
Et si le masculin et le féminin pouvaient danser ensemble plutôt que de se
battre ?
A ce propos, j’ai souvent pensé que pour que l’enfant
intérieur s’épanouisse, il était indispensable d’unifier le masculin et le
féminin en soi, mais je n’avais pas pensé que l’enfant peut aussi les aider à
trouver cette unité.
Au niveau énergétique, le masculin, le féminin et les
énergies de l’enfant se stimulent mutuellement, chacun apprend de l’autre et de
lui-même dans ces échanges.
L’image de l’énergie de la source, qui vient alimenter ce que
nous sommes et qui apporte ce qu’elle est intrinsèquement, le masculin et le
féminin unifiés, m’est venue renforçant ma foi en la nécessité de purifier les
appareils internes de perception que sont le mental, l’émotionnel et
l’intuition.
Nous les recevons dans leur pureté originelle mais les filtres,
les voiles, c'est-à-dire les énergies refoulées dans l’inconscient, en fausse
l’interprétation, la manifestation.
En guérissant l’enfant intérieur,
c'est-à-dire en libérant les peurs, tout ce qui nourrit l’inconscience, les
fausses croyances, elles se manifestent dans des créations à la hauteur des
aspirations de l’âme, de ce qui en nous est le plus élevé.
Et les énergies de
l’enfant guérit s’y mêlant, le fait de créer en conscience devient un jeu, un
chemin de vie délicieux de légèreté, d’insouciance, de liberté et de joie.
Le
côté dramatique de l’adulte, de la personnalité, s’équilibre avec les énergies
de l’enfant, donnant une vision de la vie joyeuse et lucide à la fois.
Il me tarde que le printemps revienne ! Le jardin me
manque et les énergies, l’enthousiasme de l’enfant vont se manifester dans une
autre forme de réalisation telle que le dessin ou la musique. J’ai envie
d’écouter ce qui suit. Le film m’avait bien plu et je m’identifiais au
personnage enfantin d’Amélie à bien des égards. C’est un appel à l’enfant
intérieur afin qu’il se manifeste dans toute sa splendeur !
« Le
fabuleux destin d’Amélie Poulain » Yann Tiersen
Clef 449
"Nous vous le demandons vraiment avec insistance : essayez
le plus possible de travailler sur toute pensée inférieure.
Essayez de créer
autour de vous des pensées de Lumière, des pensées positives, des pensées qui
vous grandiront et qui attireront vers vous toutes les pensées similaires.
La pensée est une énergie créatrice, ne
l’oubliez jamais ! La pensée est également une vibration !"
Il est vrai que le fait de vouloir accueillir ce qui est,
peut amener à rester bloqué sur les énergies qu’on veut transmuter. On peut
tomber dans le piège de l’identification à ses pensées.
C’est là où il est
important de se focaliser sur ce que l’on veut vivre, pour ne pas se laisser
envahir.
Il est évident que la limite est très subtile entre accepter et se
laisser convaincre par ces pensées de basses fréquences.
Mais ce qui pourrait
été perçu comme un piège s’avère être un puissant révélateur.
En effet, si on
est pris dans le tourbillon des pensées négatives, c’est tout simplement le
signe que l’alchimie n’a pas été effectuée et ça n’appelle qu’à réitérer
l’opération jusqu’à ressentir la paix en soi.
Pour que ça fonctionne, il faut
lâcher prise totalement, laisser tout ce qui a besoin de sortir le faire sans
se prendre au jeu parce que finalement, ces énergies, on n’en connait pas la
véritable origine et leur expression peut être vécue comme si on était un personnage de
film.
Puis les stratégies de survie peuvent donner l’impression qu’un problème
est résolu alors qu’il a juste été éludé, mis de côté par la raison.
C’est la
l’erreur, la raison ne peut rien dans l’histoire. C’est toute la difficulté du
lâcher prise, de l’abandon des questionnements pour se placer en mode réceptif.
Alors, je réitère mon désir de plus en plus grand, de vivre
dans l’amour inconditionnel de soi, la paix, dans l’espoir de voir l’humanité
s’éveiller à sa vraie nature ; l’amour divin et la sagesse infinie de la
source qui s’écoule en chacun.
Même si je ne serais plus là pour en voir la
manifestation concrète, j’investis mon énergie dans cette espérance folle pour
la majorité des gens qui est pourtant le rêve secret de tout humain qui
s’incarne sur terre. Et ce qu’il soit conscient ou non de sa nature divine.
Je
fais le rêve éveillé d’une société bâtie sur le respect de l’humain quel qu’il
soit, de tous et de chacun, dans ses différences, où l’amour est roi et
détermine chaque pensée, chaque geste, chaque initiative. Où les sourires hypocrites
deviennent des embrassades, des accolades généreuses et sincères, où le bonjour
quotidien se manifeste en réalité.
Où je suis capable d’aller vers l’autre sans
peur et sans attentes…Parce que très souvent on veut que ce soit l'autre qui change mais on ne fait rien pour changer soi-même.
"Viens mon enfant intérieur, montre moi ton monde et
construisons le intérieurement ! Voilà des crayons de couleur, des
feutres, des pastels, du papier et un compas pour dessiner ce monde idéal,
lâche-toi, fais-toi plaisir, faisons nous plaisir !
Retrouvons la faculté
de rêver, d’imaginer le meilleur et de le projeter sur du papier, avec un
crayon et une gomme pour parfaire cette œuvre issue de l’imaginaire…
Utilisons
les outils que la source nous a donné pour construire des ponts entre tous les
corps et les voir reliés éternellement à la source, à travers le cœur. Laissons
jaillir et s’épanouir l’étincelle christique, unissons la au feu intérieur, au
soleil du plexus afin de faire de cette vie une source de joie continue."
Clef 367
"Avant de vous endormir le soir, ayez une pensée
pour nous, vos guides, vos frères des étoiles. Demandez notre aide en
conscience ! Nous vous la donnons mais le fait de la demander vous
connecte davantage à nous. Demandez aussi à être instruits dans vos rêves et
surtout de vous en rappeler ! Bien sûr vous ne vous
rappellerez pas de tous vos rêves mais certains auront une grande imprégnation
dans votre vie !"
J’ai demandé hier soir à aller
dans un temple de guérison, d’harmonisation, puis à mon âme de se fondre avec
la conscience divine, de se laisser guérir et débarrassée des programmes
involutifs, des traumas, de tout ce qui ne me sert plus à rien.
C’est sûr que
les traumas sont une source de connaissance, de révélation et de croissance
mais ça, c’était la façon de fonctionner dans le passé.
C’était nécessaire pour
comprendre la valeur de l’amour, de la paix, de la joie, des énergies de Vie
mais maintenant je pense avoir compris la base, les ingrédients nécessaire à
une vie épanouissante et harmonieuse avec toute ce qui est.
Bon, il reste
encore de la difficulté à aimer les bourreaux d’aujourd’hui mais je ne pense
pas que la personnalité soit capable de comprendre même si elle a validé par
expérience l’importance du pardon.
Le cœur
et l’âme savent mais la personnalité ignore totalement le pourquoi du comment.
C’est d’ailleurs pour ça que je lui ai demandé de se tourner vers la conscience
divine, après avoir crié à l’injustice de devoir pardonner alors que je ne sais
pas qui ni pourquoi.
Il semble que l’intérêt principal, du pardon soit juste de
lâcher prise, d’ouvrir son cœur et d’élever sa conscience, comme une clef de
guérison et de réalisation. Un code spécifique qui permet de monter en
vibration.
Parce que s’il fallait revenir
sur le passé, en avoir une vision complète, non seulement se serait ingérable
pour la personnalité mais en plus, on stagnerait dans la culpabilité, l’horreur
et la confusion.
Clef 395
"Au travers des médias, l’humanité est préparée
petit à petit à de grands bouleversements. Tout est donné par doses
homéopathiques à celui qui veut entendre, et tout sera dévoilé de plus en
plus, même s’il y a encore actuellement une obstruction face à certaines
informations !"
Ces quelques mots lus par la
personnalité seront interprétés de cette façon : les révélations, les
scandales vont enfin être mis à jour et la justice pourra régner, les
extra-terrestres seront visibles par tous et ça obligera les humains à s’unir
ou encore, on va être sauvés sur des vaisseaux, le christ va revenir…
Depuis le cœur se serait plutôt, à
mesure que les horreurs vont être étalées, le corps émotionnel sera soumis à
rude épreuve et ça nous obligera à considérer la gestion émotionnelle comme la
seule façon de se libérer de l’inconscience et donc de recevoir les révélations
nécessaires à notre accomplissement. Au développement de la conscience christique, sa manifestation à l'intérieur et la joie qui naissent de l'unification de tous les aspects de l'être...
On pourra développer la maitrise
émotionnel et en même temps l’amour en soi et ainsi devenir autonome affectivement,
penser par soi-même et se faire confiance.
Une occasion d’amplifier la
confiance en son cœur, ses élans, son intuition.
Une formidable opportunité de
devenir maitre des énergies, souverain et créateur de son propre monde en
accord avec ses propres valeurs même si elles vont à l’encontre de la pensée
commune.
Clef 88
« Relativisez les
choses ! Ce qui est important, c’est votre transformation ! Vous
ne transformerez pas les autres, ils se transformeront eux-mêmes. Vous ne
transformerez pas la vie, la vie aussi se transforme comme tout se transforme
en permanence.
Votre société se transforme et se transformera encore beaucoup plus. Ne soyez pas en réaction face à tout ce qui se passe car cela ne vous appartient pas !
Votre société se transforme et se transformera encore beaucoup plus. Ne soyez pas en réaction face à tout ce qui se passe car cela ne vous appartient pas !
La seule chose qui vous appartienne c’est ce que vous êtes et le
regard que vous avez sur vous-mêmes et sur la vie ».
Clefs de sagesse trouvées sur le
site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci