La science commence à comprendre, enfin quelques
scientifiques, que l’humanité est Une, que le vivant est inter-relié, interdépendant. Que ce
soit par nos pensées conscientes ; nos croyances, nos pensées
inconscientes, nos émotions, notre cœur ou notre esprit, nous sommes intimement
et subtilement reliés.
Ce qui veut dire que chacun influence l‘ensemble et vice
et versa.
On sait que les pics émotionnels vécus à l’échelle mondiale, modifient
le champ magnétique de la terre. On parle d’effet papillon.
On peut sentir ces liens, qui sont la projection
dans la matière de ce que nous sommes au niveau de la conscience UNE, lorsque
des évènements tels que ceux que nous vivons en ce moment, se manifestent.
Et
oui, l'ingérence humaine de la peur, l'inconscience est telle que nous avons besoin de
crises, de catastrophes pour prendre conscience de l’importance de la paix, du respect, de
la solidarité, de l’amour sans conditions.
Ce n’est ni bien, ni mal puisque
nous sommes venus sur cette magnifique planète, pour apprendre, comprendre, qui
nous sommes en réalité et ce qu’est véritablement l’amour.
Dans cette reconnaissance intime, nous ne sommes pas tous
au même degré de compréhension et même lorsqu’on croit en savoir plus que l'ensemble, on se heurte à nos limites lorsque l’émotionnel est touché de plein fouet.
Plus on aura du mal à gérer nos émotions et plus on se posera de question, plus
on aura besoin de comprendre mentalement. C’est une posture qui nous éloigne du
cœur, nous maintient dans la peur et l’inconscience. Mais elle nous maintient en vie malgré tout.
Qu’est-ce que veut dire être éveillé ?
C’est tout simplement être transparent, lucide, honnête vis-à-vis de soi-même, de ses
émotions, de son cœur et ainsi savoir que nous créons notre propre monde selon
notre façon de gérer les mouvements internes, les multiples aspects de soi.
Être conscient, c’est être présent à soi, à son ressenti, c’est reconnaitre les
stratégies de l’ego et y voir tout l’amour de la source dans cette création
divine qu’est l’humain multidimensionnel.
C’est intégrer l’amour et la lumière de notre essence,
dans la matière, par l’acceptation inconditionnelle de tout ce qui se manifeste
en soi.
C’est dire OUI à ce qui est, parce qu’on sait que la lutte est inutile,
que la souffrance vient de la résistance et que la révélation de notre vraie
nature passe par le dépouillement des masques portés par l’ego. Mais ce Oui est vraiment sincère lorsqu'on a goûté l'amour en soi.
C’est dans l’alchimie émotionnelle que se révèle la sagesse
intérieure, l’amour de la source, la présence du divin en soi.
Le fait de ne
pas entrer en réaction nous libère de l’emprise de la peur, du conflit, de
l’inconscience. Savoir gérer ses émotions, ses pensées chargées de peur, de
lourdeur, permet de se sentir en sécurité en dépit des circonstances chaotiques
extérieures.
Tant qu’on n’aborde pas ce corps émotionnel avec les yeux
du cœur, on reste confiné dans le mental avec ses voiles, ses limitations et
ses restrictions. Le sentiment d'être enfermé sera puissant et vrai puisqu'on n'ose pas sortir de ces limites qui nous rassurent malgré tout. Elles nous enferment mais comme nous connaissons cet espace limité, on se croit en sécurité. La peur de l'inconnu est forte aussi et elle reflète la méconnaissance de notre monde intérieur.
Tant qu’on rejette un seul aspect de soi, on nourrit l’idée de
séparation, de division, de dualité, qui va filtrer tout ce que nous percevons à l’extérieur et en
déformer le sens.
Ainsi, la solitude sera insupportable, la peur dominante nous
montrera l’autre comme un ennemi et la mort apparaitra comme un couperet
menaçant au dessus de nos têtes.
La peur est une puissante énergie expansive qui se répand
telle un nuage toxique sur la planète. On a longtemps cru que pour se protéger,
il nous fallait construire des murs, constituer tout un arsenal défensif et
offensif afin de montrer notre puissance et se préserver du danger. Au niveau
individuel, on a considéré l’autre comme un ennemi potentiel alors nous avons
aussi érigé un mur tout autour de notre cœur.
Cet organe hypersensible perçoit
les mondes invisibles de la pensée, des émotions, des vibrations et cette
capacité nous a semblé dangereuse parce que notre esprit logique ne sait pas
interpréter avec justesse ce qui est perçu.
Il ne dispose pas de données suffisantes pour avoir une
vision juste et comme il sélectionne, élimine ce qui ne lui convient pas, il ne
peut pas être objectif. Les nombreuses peurs ingérées, refoulées, créent un
filtre déformant qui rend l’interprétation de la réalité très confuse.
Les révélations, les messages spirituels, perçu par l’ego
seulement, seront interprétés par le filtre de la dualité, de la peur et ça
amplifiera la scission interne entre le cœur et la pensée, entre ce qui est
supposé "bien" et ce qui est supposé "mal".
Le monde de la pensée est un monde de
dualité où tout s’oppose et l’amour lumière de la source sera nécessairement
rangée dans la catégorie « bien » et s’opposera à l’ombre.
Mais cette
vision limitée ne fait que nourrir la guerre, les conflits et projette dans
l’invisible une puissante énergie qui se regroupant par phénomène d'attraction, de ressemblance, constituera un puissant
égrégore qui viendra creuser encore plus l’écart entre les énergies
complémentaires et projettera dans l’astral, des images, des entités
de toutes sortes.
La peur pousse chacun à se tourner vers son dieu, vers ce
personnage sensé rétablir la justice sur terre. Mais si on interroge les
croyants, on peut constater que chacun d’eux ne peut envisager la paix et la
justice autrement qu’au travers de la punition et de la récompense.
On tente
d’appréhender le divin en soi par les références mentales, par la logique
rationnelle qui ne tient pas compte des mondes subtiles ou qui s’en fait une
image très infantile.
Car là est le plus gros problème, on n’aborde pas le divin,
la présence par le biais du mental, du raisonnement, de la logique. Seul le cœur nous permet de contacter les
énergies de la source en soi. Il n’y a pas d’autre porte.
Ce qui veut dire que le divin ne se trouve pas dans les
églises, les religions, les philosophies, les concepts…
Et c’est le plus beau
cadeau que la source peut faire à l’humanité !
Jésus disait : « La vérité vous
affranchira », vous rendra libre et c’est tout à fait vrai mais de quelle
vérité parle-t-on ? La vérité du monde ou celle de l’être ?
Le
premier réflexe lorsqu’on reçoit une info, c’est de la passer par le filtre de
notre mental et d’essayer de définir ce qui est, en terme de bien et de mal. On
a une vision du monde où il y a les bons et les méchants. Alors évidemment
quand on part en quête de sens, on va essayer de débusquer les mensonges, les
complots, les injustices…de séparer le bon grain de l’ivraie…mais ça n’est que
du "divertissement", une façon de nier son propre pouvoir, de se renier
littéralement.
Quand on vient en son cœur et qu’on perçoit la présence du
divin, on prend confiance en cet espace où on se sent en sécurité et on a de
plus en plus envie de s’y lover.
Peu à peu, la peur s’équilibre et apparait
comme une simple information. Elle va nous révéler nos blessures profondes,
notre vérité, la seule dont nous soyons responsables, que nous ayons à
connaitre et à gérer.
Tant qu’on croit que l’extérieur nous manipule, on nie son
pouvoir de création, on refuse notre responsabilité, on ne peut pas voir que
notre quotidien est à l’image de notre monde intérieur ni que le divin nous
habite. Cette façon de considérer le monde nous enferme effectivement dans
l’impuissance, le rôle de la victime.
On va s’imaginer qu’en supprimant tout ce qui nous dérange,
on réglera le problème, on sera enfin en paix. Ce qui est une illusion totale.
Je sais de quoi je parle puisque c’est de cette façon que j’ai toujours agit.
Je ne pouvais pas supporter les mouvements internes dont la violence
m’effrayait alors je me suis blindée en ingérant des médicaments afin de me
couper de ce chaos intérieur.
Et j’ai trouvé un certain confort mais la
sensation de manque a été amplifiée tout comme l’idée de séparation,
d’isolement et je devais gober ces cachets tous les jours pour retrouver ce
semblant de tranquillité intérieure.
Coupée de mes émotions et en partie de mon
cœur, je ne pouvais pas sentir l’amour en moi. J’en avais une idée mais aucune
sensation. Malgré tout, une lueur d’espoir, la foi en l’amour, maintenait mon
cœur suffisamment ouvert pour être sensible à l’énergie divine.
Mais tant que je vivais ma foi en surface, dans
l’intellect, je tournais en rond, je n’arrivais pas à me libérer du doute, il y
avait un grand décalage entre mon intellect et mon intuition qui ne parvenaient
pas à avoir une vision commune.
J’avais eu des expériences de paix profonde, de joie, de
sensation d’unité mais ça restait éphémère, épisodique, anecdotique. Mon mental
essayait de trouver comment ça se passait, comment retrouver ces états
intérieurs, sans succès.
J’ai commencé à remarquer la récurrence de certaines
situations, puis à rechercher la guérison par la psychologie puisque je savais
que le trauma de l’enfance voilait mes perceptions et ma compréhension.
Puis,
en me tournant vers l’enfant que j’ai été, en regardant une photo de moi à
l’âge de dix ans, j’ai commencé à me regarder avec compassion. Jusque là, je
clamais au monde l’injustice que j’avais vécue et m’identifiais totalement à la
victime. Mais quand j’ai décidé de voir mes blessures en face, les choses ont
commencé à changer.
Évidemment ça n’a pas été le bonheur du jour au lendemain
mais peu à peu, j’ai commencé à faire confiance à mon cœur, au divin, à la vie.
J’ai commencé à regarder ma vie et mes corps sous un autre
angle.
Je me suis réconciliée avec le corps physique en commençant à en prendre
soin.
Chaque attention, chaque geste tendre, chaque parole d’amour à son égard,
a amplifié l’amour en moi. Même si ça n’était pas spectaculaire, je pouvais
ressentir un mieux-être et la foi en l’amour inconditionnel grandissait à
chaque fois que je m’abandonnais au cœur, que je lui faisais confiance.
Avec du recul, j’ai pu constater que l’ouverture du cœur
permettait d’intégrer plus de lumière de la source et que celle-ci me révélait
à moi-même. Je voyais les choses mais continuais de juger, de croire qu’il me
fallait faire le tri et éliminer ce qui était considéré comme mauvais. Mon vécu
m’avait montré que chaque tournant important de ma vie était survenu après que
j’aie suivi aveuglément mon cœur.
Je savais donc que l’ouverture de cœur me permettait de
toucher le divin intérieur et de mieux me connaitre. C’est quand j’ai décidé
d’abandonner la vision duelle de l’ego, de me fier à mon cœur plutôt qu’aux
pensées, aux croyances, qu’une grande guérison a été réalisée.
Je pouvais enfin voir les choses objectivement, le monde
restait le même mais je ne percevais plus les choses de la même façon. J’ai
ainsi amplifié ma foi en l’humain divin créateur de son quotidien et accepté le fait
que tout ce que je percevais était filtré, déformé et interprété au travers de
mes propres peurs, blessures. J’ai reconnu la manifestation du divin intérieur,
par les synchronicités, les infos qui me parvenaient à propos et me
permettaient de savoir comment gérer mon monde intérieur.
Je savais déjà que je pouvais modifier mon regard en changeant
d’état de conscience puisque les psychotropes ont cet effet sur le mental mais
je n’avais pas d’autre solution que d’ingérer des produits pour ce faire.
La découverte de mes profondeurs par les yeux du cœur,
l’acceptation sans conditions, ont élargit mon cœur et ma conscience au point
de ne plus avoir besoin de croire, de comprendre, de savoir, pour être. C’est
un peu inconfortable pour l’ego au début mais ses peurs étant absorbées dans l’amour et la
communion avec le divin, peu à peu on lâche l’identification à la personnalité.
Le cœur, son intelligence, son langage et sa vision sont
maintenant à découvrir mais plus à la façon de l’ego. Je ne mets pas toutes mes
croyances à la poubelle mais je comprends que bon nombre d’entre elles sont
faussées. Mais, je ne vais pas continuer à fonctionner en mode défensif,
inconscient, je continue de faire confiance au cœur sans savoir du tout ce que
me réserve demain.
En toute logique, le contrôle ne fait qu’augmenter la
pression, la peur et l’inconscience et le réflexe de se cacher derrière un
masque, perdure. Quand on pense révélation, on s’imagine que notre présence
divine va mettre à jour les secrets du monde, qu’on va voir les mondes
invisibles, notre propre divinité…
Depuis le cœur, on ne pense plus, on vit. Les images, les
explications, perdent leur importance et on apprend à reconnaitre les énergies,
à maintenir la paix en soi.
Puis vient le temps de se réconcilier aussi avec
l’ego, de reconnaitre son rôle, sa fonction et la réalité du fait qu’il est
aussi divin que peuvent l’être l’âme et le corps physique.
Depuis le cœur, on sait, on ne peut pas toujours l’exprimer
en mots mais on est sûr, en sécurité. On n’a plus besoin de preuves ni de
comprendre par l’intellect parce qu’on réalise que les limites de l’humain sont
des protections qui deviendront obsolètes lorsque l’unité en soi sera réalisée.
Réaliser, c’est prendre conscience de ses erreurs mais aussi de leurs messages,
leur caractère hautement pédagogique.
Accepter d’avoir été manipulé par la peur et reconnaitre
que l’amour est plus puissant que tout, permet de se responsabiliser, de se libérer des manipulations extérieures. Gérer son monde intérieur en revenant
au cœur de soi permet de trouver la stabilité émotionnelle qui libère de l'inconscience.
La liberté se trouve dans le fait de s'autoriser à vivre ses émotions, de ne plus rien se cacher, d'être soi-même et ainsi de pouvoir avancer en toute confiance malgré l’inconnu et les
menaces extérieures. Quand on réalise que tout ce que nous voyons est une
projection de notre monde intérieur on comprend que pour changer sa vision, il
faut passer de l’ego au cœur, associer sa volonté à celle du cœur et laisser le
divin agir.
On a très souvent tendance à aborder les choses à l’envers,
on croit qu’il nous faut comprendre le monde pour se situer, pour s’affirmer
selon nos préférences, nos choix. D’un autre côté, cette recherche de sens nous
amène à comprendre que nous interprétons les choses depuis nos blessures. Et ce
constat amène à réaliser que nous projetons ce que nous voyons. A partir de là,
on peut aisément comprendre qu’en
changeant notre regard sur nous-même, en ayant de l’amour pour nos blessures,
en cessant de vouloir s’en éloigner, on s’en libère et on grandit.
Nos blessures nous enseignent, nous permettent de comprendre
la souffrance et comme on les entoure d’amour, elles se révèlent sous leur
véritable jour. On commence à comprendre ce qu’est l’amour en le vivant à
l’intérieur. Je ne cherche plus à le qualifier précisément parce qu’en fait,
c’est une énergie d’unité, celle qui relie tout ce qui est.
Concernant la vague de folie qui se répand depuis
l’attentat, je ne m’en souci pas. Je sais qu’il est impossible et inutile de
chercher à savoir qui a tort ou raison puisque ça ne fait que nourrir la peur,
la division et ça me coupe de la seule vérité qui importe, celle de l’amour
vivant en moi-même. Ce qui veut dire que tout ce que je cherche est en moi, à portée de main.
Puis dans l’éventualité d’un conflit mondial, à quoi bon
s’en soucier puisque je ne suis pas celle qui peut appuyer sur le bouton rouge.
Cependant, je peux choisir de ne pas nourrir l’illusion.
La mort est une étape dans le parcours d’une âme, dans le
cycle du vivant et quand on se dépouille des masques fabriqués par la peur,
qu’on communie avec le divin en venant en son cœur, on ne doute pas d’être
éternel même si la personnalité semble se dissoudre. Cette petite mort à
soi-même, à ses illusions finalement, prépare à passer la porte de "l’au-delà". Le recul depuis le cœur est une façon de changer de dimension, de s'élever au-delà de la souffrance, de pénétrer un espace au-delà du monde. Ce
qui crée la souffrance en plus de la peur, c’est de s’attacher à la
personnalité et ses stratégies, de s’identifier à un seul aspect de soi. L'attachement créé des liens toxiques, pervertit la reliance naturelle du cœur entre les humains.
La libération des masques par leur reconnaissance et leur
acceptation, permet de ramener les aspects intérieurs isolés, au cœur de soi et
la réunification restaure l’intégrité.
Le sentiment d’être séparé s’efface
lorsqu’on intègre les facettes de la personnalité dans le cœur. Il a le pouvoir
d’harmoniser, d’unifier et comme la gestion émotionnelle nous permet d’amplifier
la confiance en soi, de sentir la paix, la tendresse mais aussi la puissance de
l’amour, on constate que tout ce que nous cherchions à l’extérieur est en fait en
nous-même.
On ne va donc plus se disperser mais au contraire, se
centrer, se concentrer sur le cœur et respirer afin de détendre le corps
physique et détecter les blocages. Puis quand la technique est validée par le
mental, il suffit de respirer calmement pour que tout s’harmonise. Quand on s’autorise
à aimer tous les aspects de l’être, l’énergie d’amour pur se déverse en un flot
ininterrompu. Il ne faut pas s’attendre à quelque chose de fort bien que
parfois, l’énergie puisse ressembler à un feu. Il s’agit plutôt de sensation,
de sentiment de sécurité, de calme mental, de paix, un ensemble d’énergies qui
sont libérées et font du bien à tous les corps.
Pourquoi les êtres de lumière nous parlent de l’importance
de l’amour depuis tant d’années ? Parce que la première chose à faire pour
sortir de l’enfermement et de la souffrance, c’est de reconnaitre sa puissance,
sa vérité et sa présence en soi.
Tant que cette vérité n’est pas validée par le
mental, reconnue, sentie en soi, il est difficile de pouvoir faire confiance à son
propre cœur d’autant plus que celui-ci nous semble brisé. Oui, le cœur de chair
se déchire mais ce sont nos blessures encore actives qui font cet effet. Puis l'amour qui s'infiltre par ses failles va dissoudre les murs, nous attendrir.
Dans le cœur on saura que même si celui de chair est rempli de cicatrices, celui de l'être est intact, indestructible, pur.
On réapprend alors à vivre depuis le centre de soi-même et
c’est une nouvelle aventure qui commence ! Une naissance à sa
Vraie nature, humaine ET divine. Celle qui s’exprime depuis le cœur, en vérité.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci