mardi 7 octobre 2014

« Pas de panique ! » & interview Wim Hof par Lilou puis lien du film "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu"





Je peux dire que tout est bien malgré la fièvre qui continue, le nez qui coule et les reins en feu ! Il m’a tout de même fallu une heure trente pour trouver un sens à ce que je vis en ce moment. Je me suis réveillée la tête plombée par la fièvre et le moral plutôt en berne. 
Je me suis sentie obligée de me connecter et d’aligner mes chakras afin de retrouver l’espérance. Puis, comme d’habitude, j’ai ouvert l’ordinateur et me suis laissée guider pour entendre les messages de mon âme et savoir quoi faire. 

D’habitude, quand je me connecte, je ressens des petits signes spécifiques qui me confirment que le contact est établi, qu’il y a quelqu’un qui m’écoute mais là, rien. 
Mon corps physique affaibli par la fièvre, la douleur au ventre et aux reins, est comme insensibilisé et j’ai dû me fier uniquement à ma foi. 

Je n’ai pas opposé de résistance à la maladie en me plaignant outre mesure, j’ai laissé les émotions se manifester sans m’y accrocher, sans interpréter, simplement en pensant que c’était « normal ».  Enfin logique puisque personne n’aime se trouver diminué ou malade. J’ai tout de même réussi à maintenir la paix en moi malgré l’absence de signe.


Chercher à comprendre n’aide pas toujours surtout si les questions amènent à des impasses ou si on n’arrive pas à distinguer qui parle en soi. En fait, ça n’est même pas une question de savoir si c’est le divin ou l’humain qui s’exprime mais juste maintenir l’état d’unité intérieure qui permet d’entendre chaque message et de les prendre au sérieux.
Se demander si c’est le mental ou l’âme qui parle c’est encore nourrir la division, la notion de hiérarchie, une façon de dévaloriser le corps physique et donc de Se dévaloriser. 
Cette vision amène un genre de décalage, de conflit interne même si on n’est pas en colère.
On peut distinguer le divin en soi, savoir quand c’est l’âme qui nous parle en examinant s’il y a des tensions dans le corps physique qui trahissent un blocage énergétique. Toute tension interne trouve son origine dans la peur ou le déni de soi, le manque d’amour, le jugement, l’accusation, bref c’est l’énergie d’amour qui ne circule plus et qui créé une tension, un nœud énergétique. C'est un moyen pour le divin de nous montrer que nous ne sommes plus dans notre cœur et en cela, les émotions sont des messagères tout comme les malaises et maladies. Je n’ai pas détecté de tension mais j’ai fait en sorte de ne pas me diviser intérieurement en me critiquant par exemple.
J’ai posé mes mains sur mon ventre et une chaleur puissante s’en est dégagé soulageant les fortes douleurs dans le bas du ventre. Si on focalise sur la douleur, si on cherche des réponses parce qu’on veut vite sortir du malaise, on passe à côté d’un message important du divin.
J’ai donc considéré la situation avec neutralité mais en regardant à travers ma foi en l’humain divin omniscient, omnipotent.
L’idée de fond, c’est que le corps physique intègre les énergies de la source et doit composer, s’adapter à toutes les agressions extérieures qui éveillent des distorsions intérieures, des traumas. 
Tout s’ajuste en permanence et on peut accompagner ce processus en restant sur la fréquence de l’amour inconditionnel de soi, en ne s’inquiétant pas ou si c’est le cas, en appliquant la technique d’accueil des émotions, en respirant calmement et profondément afin de détendre le corps physique. Maintenir la paix en soi et relaxer toute tension permet de s’élever vibratoirement et la sagesse en soi peut alors s’exprimer.
J’ai commencé à relier certains moments de ma journée d’hier et tout m’est apparu de plus en plus clair. 

Quelques phrases, énoncées par Carline Blanco me sont revenues en mémoire et ça m'a permis de revenir à ma foi en la vie qui enseigne et forme. Le thème était "comment connaitre son chemin de vie". J’étais en parfaite résonance avec tout ce qu’elle a dit mis à part peut-être le fait qu’elle voit l’ego comme un empêcheur de tourner en rond. 
Je pense que c’est un peu dommage de parler de l’ego en terme négatifs puisqu’en fait il est indispensable à cette incarnation. Je préfère parler d’orgueil qui est l'expression d'un déséquilibre du corps mental plutôt que d’invalider l’ego puisque ça nourrit l’idée de séparation, de division et de jugement.
Comme nous sommes essentiellement des êtres énergétiques, tout ce qui nous constitue est tout à fait valable il y a juste besoin de trouver l’équilibre, de savoir maitriser les énergies, de les harmoniser à la fréquence de la source pour que la santé se manifeste. 

Il est indéniable que le corps, les cellules soient programmées pour se régénérer continuellement. C’est un  fait que la science ne comprend pas encore mais ça n’empêche pas qu’ils en constatent la réalité. Le phénomène de la cicatrisation leur échappe mais ils reconnaissent en cela une intelligence supérieure du corps. L’intérêt de l’industrie pharmaceutique étant de fructifier, ils ne disent pas non plus ce qu’ils découvrent mais à mon avis, ils savent que chacun peut se guérir lui-même. Ils connaissent la puissance de la pensée, l’intelligence du cœur mais lorsqu’on cherche des infos à ce sujet sur Internet, ça reste du domaine des sciences occultes. On pourrait crier au scandale mais en s’alignant intérieurement et en voyant les choses à partir du cœur, de l’intelligence intérieure, en sachant que tout ce qui arrive a un sens, une utilité et participe à l’évolution de l’ensemble, on peut voir l’aspect positif de toute chose.
C’est une magnifique opportunité de  trouver son pouvoir, d’aller vers l’autonomie, la souveraineté.
Connaitre les limites de la science et leur besoin de maintenir leur pouvoir sur la population, permet de se détacher de toute autorité. Toute les révélations qui sont diffusées sur le Net, nous démontrent qu’ils ne sont pas crédibles, qu’on ne peut pas se fier à leur point de vue qui change régulièrement et qui est définit selon des critères marketing.
Comprendre que leur souci est de s’enrichir et qu’ils n’ont aucun intérêt à donner les moyens à la population de devenir autonome est indispensable pour couper le cordon, pour « tuer » le père, bref pour se libérer de cette autorité parentale qui surpasse de loin les religions en matière de références. La science a remplacé la religion mais le principe reste le même, on se tourne vers l’extérieur pour savoir ce qui est bon pour nous, pour connaitre la vérité.
On nourrit la croyance que l’intelligence appartient à ceux qui font des études, qu’il nous faut un père, une mère, un maitre, pour savoir dans quelle direction aller.
Quand on commence à expérimenter son pouvoir d’aimer, quand on guérit les blessures du passé, en prenant en charge l’enfant intérieur, on fait appel à ses propres ressources et de cette façon on commence à percevoir l’étendue de notre pouvoir. On constate que le Père est en soi, que l’énergie masculine sacrée est tout à fait capable de jouer ce rôle et que la Mère l’est aussi, manifestée par l’énergie féminine sacrée.

Cette prise en charge de notre vulnérabilité nous guérit, nous responsabilise et de cette façon, on s’autonomise de plus en plus. La confiance en soi augmentant, la vie nous donne des opportunités de continuer de libérer toutes les attaches, tout ce qui nous empêche d’être souverain.
On peut aussi dire que l’âme représente l’énergie de la Terre et que la présence divine celle du ciel. 
Peu importe comment on les nomme, nous avons en nous ce principe masculin/féminin complémentaires qui nous affranchit de toute dépendance extérieure.

En revoyant les éléments du puzzle, les événements d’hier et en les assemblant, je peux voir que je suis exactement sur le chemin tracé par le divin intérieur. Ce que Caroline a dit à propos de la mission de vie a fortement résonné mais je n’ai pas fait le lien avec ce que je vivais en ce moment.
Mon chemin est celui de la guérison, ça je ne peux pas en douter mais il apparait que même si je sais qu’il me faut encore gagner plus de confiance en soi pour oser proposer une aide, ce que je ne vois pas toujours c’est le fait que mon quotidien est la formation idéale. 
Plusieurs fois, quand je pensais à me tourner vers l’extérieur, à demander une aide, ça bloquait. Que ce soit des soins énergétiques ou médicaux, j’étais à chaque fois ramenée à moi-même. Je suis passée par une phase de questionnements, par le doute de soi, la suspicion allant même jusqu'à me demander si j'étais possédée où "mauvaise" puis l’accueil des émotions et la libération des croyances basées sur la séparation m'en ont guérie.

J’ai commencé à développer ma foi en utilisant les situations du quotidien et en constatant que tout me reflétait mon être et me guidait. Ainsi, j’ai pu constater que mon âme a choisi de m’enseigner à travers le quotidien, le vivant. Les animaux qui m’accompagnent m’enseignent l’amour inconditionnel, le détachement, la spontanéité, ils m’aident à équilibrer les énergies et me renseignent sur mon état vibratoire, par effet miroir. Féliz, mon chat me montre lorsque je suis alignée ou pas, selon qu’il se laisse caresser, qu’il me fuit ou qu’il s’approche de moi. De plus, il reflète l’état de mon cœur, si celui-ci est ouvert ou fermé.
C’est un peu chiant parce que c’est très clair en moi mais plutôt difficile à expliquer puisque c’est du domaine de l’invisible, du ressenti. 

Bon, je reviendrais sur la question plus tard, je dois aller chez le toubib pour le renouvellent de l’ordonnance. Ce n’est pas non plus par hasard que le thème de la santé et de la façon de se soigner, viennent avant d'aller le voir ! 



Je n’ai jamais vraiment cru qu’ils avaient le pouvoir de guérir puisqu’au contraire j’ai plutôt été face à leur incompétence ou leur impuissance. Quand j’ai eu la jaunisse à vingt ans et que j’ai failli y passer, j’ai gardé en mémoire ce que le toubib de l’époque m’avait dit concernant ce que je pouvais manger ou pas en ayant deux hépatites.
Il fut le premier à me faire prendre conscience de l’importance de s’écouter, de suivre ses désirs puisqu’il m’a conseillé de manger tout ce qui me faisait vraiment envie. Puis les nombreuses prescriptions d’antidépresseurs, les entretiens avec des psychologues, n’ont jamais amené de mieux-être, amplifiant la croyance que la solution n’était pas à l’extérieur. Je me suis toujours soignée par automédication et trouvé une forme d’équilibre de cette façon.
Il est une évidence ; qui d’autre que moi peut savoir ce qui est juste, valable ? 
C’est tout de même mon corps physique, celui que j’habite depuis la naissance dont il est question.
A mesure que je libère le jugement, l’auto-critique non seulement je rehausse l’estime de soi et la confiance mais en plus, je peux voir que tout mon parcours a été une formation permanente et ça continue, l'objectif demeure l’autonomie. Depuis que j’ai admis que ma mission première était de prendre soin de moi, de guérir en développant l’amour sans conditions, tout se met en place afin de retrouver la mémoire, de devenir consciente de mon pouvoir créateur.

Des souvenirs d’enfance sont revenus à la surface alors que je regardais des pièces de théâtre de la période de la préadolescence. C’est une façon de reconnecter des aspects intérieurs et de pouvoir revisiter ce passé douloureux afin de libérer en conscience tout les blocages qui se sont créés dans l’enfance. J’ai choisi de faire des flash-back à une période où j’étais délivrée de l’emprise de mon père, où je n’étais plus soumise quotidiennement à la peur et où je pouvais enfin mieux me connaitre, agir selon mes préférences. Revenir en arrière dans la meilleure partie de l'enfance m'a préparée à tomber sur la photo ci-dessous qui a fait remonté en surface un souvenir occulté tant j'en avait souffert à l'époque. Bien que pour un adulte ça puisse sembler anodin, l'enfant que j'étais a très mal vécu cette épisode qui a réactivé la blessure de la naissance cosmique, de la séparation d'avec la source. Mais comme je sais consoler l'enfant intérieur, la charge énergétique libérée, j'ai pu voir avec neutralité et constater que j'avais trouvé à l'époque une solution qui finalement s'est avérée une forme de progression puisque ça m’a poussée à me tourner vers le vivant, les animaux. J’avais un nounours aussi grand que moi pour compagnon et le jour où mon père l’a mis à la poubelle fut un déchirement douloureux. 

Mais ce qui est magnifique quand on est enfant, c’est la capacité à rebondir, à trouver des stratégies afin de nourrir le besoin vital d’amour. Même si ça n’était pas idéal ça m’a permis de maintenir le lien affectif essentiel avec le vivant et cette aptitude à trouver des solutions m’a permis de développer une certaine forme d’autonomie. 
Le fait de pouvoir revisiter le passé démontre la confiance établie entre l’enfant intérieur et l’adulte que je suis. Il prend confiance et ses confidences amplifient l’amour de soi, augmente la confiance en soi. Le fait de le consoler, de le rassurer restaure le lien entre nous et guérit les blessures de rejet, d’abandon, d’injustice et de trahison.

L’entêtement que j’ai toujours eu à faire les choses selon mes convictions est maintenant perçu comme quelque chose de très positif plutôt que comme un acharnement de l’ego à diriger ma vie.
Tant qu’on considère qu’une part de soi n’est pas valable ou pire que c’est un ennemi, on ne peut vivre l’unité intérieure. On amplifie l’incohérence, la blessure de rejet et notre état d’être en est terriblement affecté.

Tout mon passé, les souffrances et les joies, tout mon parcours m’a préparé à ce que je suis aujourd’hui, a ouvert mon cœur et permis au divin de se manifester. Tant que je ne savais pas qui j’étais vraiment, c’est mon ego qui assumait, qui maintenait la vie en moi. Même si ses stratégies n’étaient pas les bonnes puisqu’elles ne faisaient que nourrir la peur et le déni, avec du recul, je peux voir qu’il a fait ce qu’il pouvait, selon ses capacités, ses moyens et qu’il m’a « sauvé » la vie. 
Ce n’est pas parce que maintenant j’ai compris qui je suis et que j’ai décidé de prendre ma vie en main qu’il me faut renier celui qui m’a permis d’être ce que je suis aujourd'hui.
Agir de cette façon c’est continuer de nourrir la division et la blessure de rejet.

Pour amplifier l’amour en soi, pour se donner une chance de guérir, il est nécessaire de changer son mode de fonctionnement. Bien sûr, on sort de sa zone de confort et c’est pour cette raison que cette étape d’abandon au divin nécessite d’avoir la foi. Une foi suffisante en l’amour pour que cette énergie puisse rayonner en soi et donner l’assurance que tout est parfait, que l’individu que l’on est, peut gérer sa vie en conscience.
Le rôle de l’ego étant de créer l’équilibre intérieur et de protéger, il me faut l’assumer en conscience, en l’associant au cœur pour agir avec sagesse ;
Dialoguer avec toutes les voix internes, maintenir la cohérence, s’auto-valider, se choisir, se laisser guider par la vie, le désir. Affiner le ressenti, les perceptions sensorielles et énergétiques. Apprendre la maitrise par la gestion émotionnelle. C’est ainsi que je peux le libérer de ses obligations en le remerciant pour ses bons et loyaux services. 

Se libérer en lâchant la culpabilité, change sa vision et on passe vers la confiance totale en se délivrant de toute autorité. On apprend à faire confiance, à la vie, à soi même et au divin,  par l’expérience. On comprend que la vie est bienveillante, que le chemin de vie choisi par l’âme c’est l'éveil à soi, que l'objectif c'est la souveraineté, et que ça demande de développer l’amour en soi et la confiance. On peut alors constater le pouvoir de l’amour inconditionnel. 
Démystifier l’éveil est aussi une étape importante : c’est juste être conscient de soi, de sa personnalité, des rôles qu’on joue, derrière ça, les stratégies de l’ego, puis progressivement reprendre son pouvoir en étant conscient, présent à son corps physique. De cette manière, on développe son intuition. Mon âme m’a guidée vers cette vidéo et là non plus, le hasard n’a pas sa place.
   
"Maîtriser son corps" - Wim Hof dit "Iceman", interview de Lilou





Pouah ! quelle journée ! Heureusement que je me suis préparée mentalement et énergétiquement à passer ce cap de libération encore plus profonde ! Je suis allée me coucher à mon retour tant les douleurs au crâne étaient fortes. Je n’ai jamais eu aussi mal de ma vie, à cette partie du corps ! Comme si un étau me serrait de la nuque au front ! 
J’ai pu me soulager en appliquant mes mains aux endroits douloureux mais malgré tout, j’ai senti qu’il était nécessaire de laisser le corps se reposer d’ailleurs j’ai essayé en vain de me mettre à l’ordi. Aucune pièce de théâtre, aucun film comique, rien de ce qui me plait habituellement, ne m’attirait ! Je me suis dit qu’il fallait vraiment donner du repos à mon corps physique et rester au chaud pour transpirer un maximum afin d'éliminer la fièvre définitivement selon les méthodes de "grand-mère" ou comme dirait un des "savants" médecins que j'ai rencontré; "les méthodes de bonnes femmes".

J’ai rêvé mais je ne me souviens plus trop de quoi il était question. La seule scène dont je me souvienne clairement, c’était quand mon frère a fait son apparition avec son sourire éclatant. C'est comme si il me trouvait enfin après l'avoir cherché pendant toutes ces années! Je suis carrément tombée dans les pommes, la main sur le cœur.
J’y vois la joie et le choc des retrouvailles, mêlés à la culpabilité que je continue de nourrir inconsciemment.
Malgré que je n’aie aucune raison de culpabiliser, des aspects intérieurs nourrissent encore cette croyance. Enfin, je pense que je peux en parler au passé puisque ce rêve a eu un effet libérateur. Je me suis réveillée avec la sensation d’avoir lâché un immense poids malgré que j’aie encore de la fièvre. 
J’ai déjà rêvé à mon frère, décédé à vingt ans dans des circonstances mystérieuses, mais bien que je le voyais, on ne communiquait pas. Là, il m’a relevée et on est tombé dans les bras l’un de l’autre. 
Ce soir, le menu, c’est infusion de thym au citron pour me réhydrater et nettoyer le sang. Enfin, c’est une expression, je ne sais pas exactement sur quoi ça agit mais c’est efficace. J’ai tout de même acheté du magnésium pour continuer ma cure arrêtée il y a une semaine.  
Je cesse de m’interroger à ce sujet, la vie me dira ce qu’il en est vraiment. Pour le moment, je suis soulagée et continue de croire que tout est normal, positif, que tout progresse dans le bon sens, malgré les apparences. 
La tristesse et la colère suscitée par la douleur au crâne ont disparu et je me suis émerveillée face à la lune magnifique. Féliz s’est couché derrière moi, sur le fauteuil, le long de mes reins et ça, c’est le signe qu’il joue son rôle de « docteur énergétique ». Il n’y a pas trop de place mais il a insisté pour venir auprès de moi alors je me laisse soigner.

J’ai regardé le film suivant hier soir et j’ai été un peu déçue comme toutes les fois où la critique en fait les éloges. Vous pouvez accéder au site qui le diffuse, en cliquant sur le titre : Si vous êtes embêté par les pubs, il existe un programme gratuit qui les bloque: "Adblock plus"


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci