Je peux dire que tout est bien
malgré la fièvre qui continue, le nez qui coule et les reins en feu ! Il
m’a tout de même fallu une heure trente pour trouver un sens à ce que je vis en
ce moment. Je me suis réveillée la tête plombée par la fièvre et le moral
plutôt en berne.
Je me suis sentie obligée de me connecter et d’aligner mes chakras afin de retrouver l’espérance. Puis, comme d’habitude, j’ai ouvert l’ordinateur et me suis laissée guider pour entendre les messages de mon âme et savoir quoi faire.
Je me suis sentie obligée de me connecter et d’aligner mes chakras afin de retrouver l’espérance. Puis, comme d’habitude, j’ai ouvert l’ordinateur et me suis laissée guider pour entendre les messages de mon âme et savoir quoi faire.
D’habitude, quand je me connecte, je ressens des petits signes spécifiques qui me confirment que le contact est établi, qu’il y a quelqu’un qui m’écoute mais là, rien.
Mon corps physique affaibli par la fièvre, la douleur au ventre et aux reins, est comme insensibilisé et j’ai dû me fier uniquement à ma foi.
Je n’ai pas opposé de résistance à la maladie en me plaignant outre mesure, j’ai laissé les émotions se manifester sans m’y accrocher, sans interpréter, simplement en pensant que c’était « normal ». Enfin logique puisque personne n’aime se trouver diminué ou malade. J’ai tout de même réussi à maintenir la paix en moi malgré l’absence de signe.
Chercher à comprendre n’aide
pas toujours surtout si les questions amènent à des impasses ou si on n’arrive pas
à distinguer qui parle en soi. En fait, ça n’est même pas une question de
savoir si c’est le divin ou l’humain qui s’exprime mais juste maintenir l’état
d’unité intérieure qui permet d’entendre chaque message et de les prendre au
sérieux.
Se demander si c’est le mental ou l’âme qui parle c’est encore nourrir
la division, la notion de hiérarchie, une façon de dévaloriser le corps
physique et donc de Se dévaloriser.
Cette vision amène un genre de décalage, de
conflit interne même si on n’est pas en colère.
On peut
distinguer le divin en soi, savoir quand c’est l’âme qui nous parle en
examinant s’il y a des tensions dans le corps physique qui trahissent un
blocage énergétique. Toute tension interne trouve son origine dans la peur ou
le déni de soi, le manque d’amour, le jugement, l’accusation, bref c’est
l’énergie d’amour qui ne circule plus et qui créé une tension, un nœud
énergétique. C'est un moyen pour le divin de nous montrer que nous ne sommes plus dans notre cœur et en cela, les émotions sont des messagères tout comme les malaises et maladies. Je n’ai pas détecté de tension mais j’ai fait en sorte de ne pas
me diviser intérieurement en me critiquant par exemple.
J’ai posé mes mains sur mon
ventre et une chaleur puissante s’en est dégagé soulageant les fortes douleurs
dans le bas du ventre. Si on focalise sur la douleur, si on cherche des
réponses parce qu’on veut vite sortir du malaise, on passe à côté d’un message
important du divin.
J’ai donc considéré la
situation avec neutralité mais en regardant à travers ma foi en l’humain divin
omniscient, omnipotent.
L’idée de fond, c’est que le
corps physique intègre les énergies de la source et doit composer, s’adapter à
toutes les agressions extérieures qui éveillent des distorsions intérieures, des traumas.
Tout s’ajuste en permanence et on peut
accompagner ce processus en restant sur la fréquence de l’amour inconditionnel
de soi, en ne s’inquiétant pas ou si c’est le cas, en appliquant la technique
d’accueil des émotions, en respirant calmement et profondément afin de détendre
le corps physique. Maintenir la paix en soi et relaxer toute tension permet de
s’élever vibratoirement et la sagesse en soi peut alors s’exprimer.
J’ai commencé à relier
certains moments de ma journée d’hier et tout m’est apparu de plus en plus
clair.
Quelques phrases, énoncées par
Carline Blanco me sont revenues en mémoire et ça m'a permis de revenir à ma foi en la vie qui enseigne et forme. Le
thème était "comment connaitre son chemin de vie". J’étais en parfaite résonance
avec tout ce qu’elle a dit mis à part peut-être le fait qu’elle voit l’ego
comme un empêcheur de tourner en rond.
Je pense que c’est un peu dommage de parler
de l’ego en terme négatifs puisqu’en fait il est indispensable à cette
incarnation. Je préfère parler d’orgueil qui est l'expression d'un déséquilibre du corps mental plutôt que d’invalider l’ego puisque
ça nourrit l’idée de séparation, de division et de jugement.
Comme nous sommes
essentiellement des êtres énergétiques, tout ce qui nous constitue est tout à
fait valable il y a juste besoin de trouver l’équilibre, de savoir maitriser
les énergies, de les harmoniser à la fréquence de la source pour que la santé
se manifeste.
Il est indéniable que le
corps, les cellules soient programmées pour se régénérer continuellement. C’est
un fait que la science ne comprend pas
encore mais ça n’empêche pas qu’ils en constatent la réalité. Le phénomène de
la cicatrisation leur échappe mais ils reconnaissent en cela une intelligence supérieure
du corps. L’intérêt de l’industrie pharmaceutique étant de fructifier, ils ne
disent pas non plus ce qu’ils découvrent mais à mon avis, ils savent que chacun
peut se guérir lui-même. Ils connaissent la puissance de la pensée,
l’intelligence du cœur mais lorsqu’on cherche des infos à ce sujet sur
Internet, ça reste du domaine des sciences occultes. On pourrait crier au
scandale mais en s’alignant intérieurement et en voyant les choses à partir du
cœur, de l’intelligence intérieure, en sachant que tout ce qui arrive a un
sens, une utilité et participe à l’évolution de l’ensemble, on peut voir
l’aspect positif de toute chose.
C’est une magnifique opportunité
de trouver son pouvoir, d’aller vers
l’autonomie, la souveraineté.
Connaitre les limites de la
science et leur besoin de maintenir leur pouvoir sur la population, permet de
se détacher de toute autorité. Toute les révélations qui sont diffusées sur le
Net, nous démontrent qu’ils ne sont pas crédibles, qu’on ne peut pas se fier à
leur point de vue qui change régulièrement et qui est définit selon des critères
marketing.
Comprendre que leur souci est
de s’enrichir et qu’ils n’ont aucun intérêt à donner les moyens à la population
de devenir autonome est indispensable pour couper le cordon, pour
« tuer » le père, bref pour se libérer de cette autorité parentale qui surpasse
de loin les religions en matière de références. La science a remplacé la
religion mais le principe reste le même, on se tourne vers l’extérieur pour
savoir ce qui est bon pour nous, pour connaitre la vérité.
On nourrit la croyance que
l’intelligence appartient à ceux qui font des études, qu’il nous faut un père,
une mère, un maitre, pour savoir dans quelle direction aller.
Quand on commence à
expérimenter son pouvoir d’aimer, quand on guérit les blessures du passé, en
prenant en charge l’enfant intérieur, on fait appel à ses propres ressources et
de cette façon on commence à percevoir l’étendue de notre pouvoir. On constate
que le Père est en soi, que l’énergie masculine sacrée est tout à fait capable de
jouer ce rôle et que la Mère l’est aussi, manifestée par l’énergie féminine sacrée.
Cette prise en charge de notre
vulnérabilité nous guérit, nous responsabilise et de cette façon, on
s’autonomise de plus en plus. La confiance en soi augmentant, la vie nous donne
des opportunités de continuer de libérer toutes les attaches, tout ce qui nous
empêche d’être souverain.
On peut aussi dire que l’âme
représente l’énergie de la Terre et que la présence divine celle du ciel.
Peu
importe comment on les nomme, nous avons en nous ce principe masculin/féminin
complémentaires qui nous affranchit de toute dépendance extérieure.
En revoyant les éléments du
puzzle, les événements d’hier et en les assemblant, je peux voir que je suis
exactement sur le chemin tracé par le divin intérieur. Ce que Caroline a dit à
propos de la mission de vie a fortement résonné mais je n’ai pas fait le lien
avec ce que je vivais en ce moment.
Mon chemin est celui de la
guérison, ça je ne peux pas en douter mais il apparait que même si je sais
qu’il me faut encore gagner plus de confiance en soi pour oser proposer une
aide, ce que je ne vois pas toujours c’est le fait que mon quotidien est la formation
idéale.
Plusieurs fois, quand je pensais à me tourner vers l’extérieur, à
demander une aide, ça bloquait. Que ce soit des soins énergétiques ou médicaux,
j’étais à chaque fois ramenée à moi-même. Je suis passée par une phase de questionnements, par le doute de soi, la suspicion allant même jusqu'à me demander si j'étais possédée où "mauvaise" puis l’accueil des émotions et la libération des croyances basées sur la séparation m'en ont guérie.
J’ai commencé à développer ma
foi en utilisant les situations du quotidien et en constatant que tout me
reflétait mon être et me guidait. Ainsi, j’ai pu constater que mon âme a choisi
de m’enseigner à travers le quotidien, le vivant. Les animaux qui
m’accompagnent m’enseignent l’amour inconditionnel, le détachement, la
spontanéité, ils m’aident à équilibrer les énergies et me renseignent sur mon
état vibratoire, par effet miroir. Féliz, mon chat me montre lorsque je suis
alignée ou pas, selon qu’il se laisse caresser, qu’il me fuit ou qu’il
s’approche de moi. De plus, il reflète l’état de mon cœur, si celui-ci est
ouvert ou fermé.
C’est un peu chiant parce que
c’est très clair en moi mais plutôt difficile à expliquer puisque c’est du
domaine de l’invisible, du ressenti.
Bon, je reviendrais sur la
question plus tard, je dois aller chez le toubib pour le renouvellent de
l’ordonnance. Ce n’est pas non plus par hasard que le thème de la santé et de
la façon de se soigner, viennent avant d'aller le voir !
Je n’ai jamais vraiment cru qu’ils avaient le pouvoir de guérir puisqu’au contraire j’ai plutôt été face à leur incompétence ou leur impuissance. Quand j’ai eu la jaunisse à vingt ans et que j’ai failli y passer, j’ai gardé en mémoire ce que le toubib de l’époque m’avait dit concernant ce que je pouvais manger ou pas en ayant deux hépatites.
Il fut le premier à me faire
prendre conscience de l’importance de s’écouter, de suivre ses désirs puisqu’il
m’a conseillé de manger tout ce qui me faisait vraiment envie. Puis les
nombreuses prescriptions d’antidépresseurs, les entretiens avec des
psychologues, n’ont jamais amené de mieux-être, amplifiant la croyance que la
solution n’était pas à l’extérieur. Je me suis toujours soignée par
automédication et trouvé une forme d’équilibre de cette façon.
Il est une évidence ; qui
d’autre que moi peut savoir ce qui est juste, valable ?
C’est tout de même
mon corps physique, celui que j’habite depuis la naissance dont il est question.
A mesure que je libère le
jugement, l’auto-critique non seulement je rehausse l’estime de soi et la
confiance mais en plus, je peux voir que tout mon parcours a été une formation
permanente et ça continue, l'objectif demeure l’autonomie. Depuis que j’ai
admis que ma mission première était de prendre soin de moi, de guérir en
développant l’amour sans conditions, tout se met en place afin de retrouver la
mémoire, de devenir consciente de mon pouvoir créateur.
Des souvenirs d’enfance sont
revenus à la surface alors que je regardais des pièces de théâtre de la période
de la préadolescence. C’est une façon de reconnecter des aspects intérieurs et
de pouvoir revisiter ce passé douloureux afin de libérer en conscience tout les
blocages qui se sont créés dans l’enfance. J’ai choisi de faire des flash-back
à une période où j’étais délivrée de l’emprise de mon père, où je n’étais plus
soumise quotidiennement à la peur et où je pouvais enfin mieux me connaitre,
agir selon mes préférences. Revenir en arrière dans la meilleure partie de l'enfance m'a préparée à tomber sur la photo ci-dessous qui a fait remonté en surface un souvenir occulté tant j'en avait souffert à l'époque. Bien que pour un adulte ça puisse sembler anodin, l'enfant que j'étais a très mal vécu cette épisode qui a réactivé la blessure de la naissance cosmique, de la séparation d'avec la source. Mais comme je sais consoler l'enfant intérieur, la charge énergétique libérée, j'ai pu voir avec neutralité et constater que j'avais trouvé à l'époque une solution qui finalement s'est avérée une forme de progression puisque ça m’a poussée à me tourner vers le
vivant, les animaux. J’avais un nounours aussi grand que moi pour compagnon et
le jour où mon père l’a mis à la poubelle fut un déchirement douloureux.
Mais ce qui est magnifique
quand on est enfant, c’est la capacité à rebondir, à trouver des stratégies
afin de nourrir le besoin vital d’amour. Même si ça n’était pas idéal ça m’a
permis de maintenir le lien affectif essentiel avec le vivant et cette aptitude
à trouver des solutions m’a permis de développer une certaine forme d’autonomie.
Le fait de pouvoir revisiter le passé démontre la confiance établie entre
l’enfant intérieur et l’adulte que je suis. Il prend confiance et ses
confidences amplifient l’amour de soi, augmente la confiance en soi. Le fait de
le consoler, de le rassurer restaure le lien entre nous et guérit les blessures
de rejet, d’abandon, d’injustice et de trahison.
L’entêtement que j’ai toujours
eu à faire les choses selon mes convictions est maintenant perçu comme quelque
chose de très positif plutôt que comme un acharnement de l’ego à diriger ma vie.
Tant qu’on considère qu’une
part de soi n’est pas valable ou pire que c’est un ennemi, on ne peut vivre
l’unité intérieure. On amplifie l’incohérence, la blessure de rejet et notre
état d’être en est terriblement affecté.
Tout mon passé, les
souffrances et les joies, tout mon parcours m’a préparé à ce que je suis
aujourd’hui, a ouvert mon cœur et permis au divin de se manifester. Tant que je
ne savais pas qui j’étais vraiment, c’est mon ego qui assumait, qui maintenait
la vie en moi. Même si ses stratégies n’étaient pas les bonnes puisqu’elles ne
faisaient que nourrir la peur et le déni, avec du recul, je peux voir qu’il a
fait ce qu’il pouvait, selon ses capacités, ses moyens et qu’il m’a
« sauvé » la vie.
Ce n’est pas parce que maintenant j’ai compris qui
je suis et que j’ai décidé de prendre ma vie en main qu’il me faut renier celui
qui m’a permis d’être ce que je suis aujourd'hui.
Agir de cette façon c’est
continuer de nourrir la division et la blessure de rejet.
Pour amplifier l’amour en soi,
pour se donner une chance de guérir, il est nécessaire de changer son mode de
fonctionnement. Bien sûr, on sort de sa zone de confort et c’est pour cette
raison que cette étape d’abandon au divin nécessite d’avoir la foi. Une foi
suffisante en l’amour pour que cette énergie puisse rayonner en soi et donner
l’assurance que tout est parfait, que l’individu que l’on est, peut gérer sa vie
en conscience.
Le rôle de l’ego étant de
créer l’équilibre intérieur et de protéger, il me faut l’assumer en conscience,
en l’associant au cœur pour agir avec sagesse ;
Dialoguer avec toutes les voix
internes, maintenir la cohérence, s’auto-valider, se choisir, se laisser guider
par la vie, le désir. Affiner le ressenti, les perceptions sensorielles et
énergétiques. Apprendre la maitrise par la gestion émotionnelle. C’est ainsi
que je peux le libérer de ses obligations en le remerciant pour ses bons et
loyaux services.
Se libérer en lâchant la
culpabilité, change sa vision et on passe vers la confiance totale en se
délivrant de toute autorité. On apprend à faire confiance, à la vie, à soi même
et au divin, par l’expérience. On comprend
que la vie est bienveillante, que le chemin de vie choisi par l’âme c’est l'éveil à soi, que l'objectif c'est la
souveraineté, et que ça demande de développer l’amour en soi et la confiance. On peut alors constater le pouvoir de l’amour
inconditionnel.
Démystifier l’éveil est aussi une étape importante : c’est
juste être conscient de soi, de sa personnalité, des rôles qu’on joue, derrière
ça, les stratégies de l’ego, puis progressivement reprendre son pouvoir en étant
conscient, présent à son corps physique. De cette manière, on développe son
intuition. Mon âme m’a guidée vers cette vidéo et là non plus, le hasard n’a
pas sa place.
"Maîtriser son corps" - Wim Hof
dit "Iceman", interview de Lilou
Pouah !
quelle journée ! Heureusement que je me suis préparée
mentalement et énergétiquement à passer ce cap de libération encore plus
profonde ! Je suis allée me coucher à mon retour tant les douleurs au
crâne étaient fortes. Je n’ai jamais eu aussi mal de ma vie, à cette partie du
corps ! Comme si un étau me serrait de la nuque au front !
J’ai pu me soulager en appliquant mes mains aux endroits douloureux mais malgré tout, j’ai senti qu’il était nécessaire de laisser le corps se reposer d’ailleurs j’ai essayé en vain de me mettre à l’ordi. Aucune pièce de théâtre, aucun film comique, rien de ce qui me plait habituellement, ne m’attirait ! Je me suis dit qu’il fallait vraiment donner du repos à mon corps physique et rester au chaud pour transpirer un maximum afin d'éliminer la fièvre définitivement selon les méthodes de "grand-mère" ou comme dirait un des "savants" médecins que j'ai rencontré; "les méthodes de bonnes femmes".
J’ai pu me soulager en appliquant mes mains aux endroits douloureux mais malgré tout, j’ai senti qu’il était nécessaire de laisser le corps se reposer d’ailleurs j’ai essayé en vain de me mettre à l’ordi. Aucune pièce de théâtre, aucun film comique, rien de ce qui me plait habituellement, ne m’attirait ! Je me suis dit qu’il fallait vraiment donner du repos à mon corps physique et rester au chaud pour transpirer un maximum afin d'éliminer la fièvre définitivement selon les méthodes de "grand-mère" ou comme dirait un des "savants" médecins que j'ai rencontré; "les méthodes de bonnes femmes".
J’ai
rêvé mais je ne me souviens plus trop de quoi il était question. La seule scène
dont je me souvienne clairement, c’était quand mon frère a fait son apparition
avec son sourire éclatant. C'est comme si il me trouvait enfin après l'avoir cherché pendant toutes ces années! Je suis carrément tombée dans les pommes, la
main sur le cœur.
J’y vois la joie et le choc des retrouvailles, mêlés à la culpabilité que je continue de nourrir inconsciemment.
J’y vois la joie et le choc des retrouvailles, mêlés à la culpabilité que je continue de nourrir inconsciemment.
Malgré
que je n’aie aucune raison de culpabiliser, des aspects intérieurs nourrissent
encore cette croyance. Enfin, je pense que je peux en parler au passé puisque
ce rêve a eu un effet libérateur. Je me suis réveillée avec la sensation d’avoir
lâché un immense poids malgré que j’aie encore de la fièvre.
J’ai déjà rêvé à
mon frère, décédé à vingt ans dans des circonstances mystérieuses, mais bien que
je le voyais, on ne communiquait pas. Là, il m’a relevée et on est tombé dans les
bras l’un de l’autre.
Ce soir, le menu, c’est infusion de thym au citron pour
me réhydrater et nettoyer le sang. Enfin, c’est une expression, je ne sais pas
exactement sur quoi ça agit mais c’est efficace. J’ai tout de même acheté du
magnésium pour continuer ma cure arrêtée il y a une semaine.
Je
cesse de m’interroger à ce sujet, la vie me dira ce qu’il en est vraiment. Pour
le moment, je suis soulagée et continue de croire que tout est normal, positif, que tout progresse dans le bon sens,
malgré les apparences.
La tristesse et la colère suscitée par la douleur au
crâne ont disparu et je me suis émerveillée face à la lune magnifique. Féliz s’est
couché derrière moi, sur le fauteuil, le long de mes reins et ça, c’est le
signe qu’il joue son rôle de « docteur énergétique ». Il n’y a pas
trop de place mais il a insisté pour venir auprès de moi alors je me laisse
soigner.
J’ai
regardé le film suivant hier soir et j’ai été un peu déçue comme toutes les
fois où la critique en fait les éloges. Vous pouvez accéder au site qui le diffuse,
en cliquant sur le titre : Si vous êtes embêté par les pubs, il existe un programme gratuit qui les bloque: "Adblock plus"
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci