On dirait que les libérations d’hier ont été efficaces, puisque
je n’ai plus de fièvre. Entre la gestion des émotions et les lectures d’articles
à propos des arnaques de la médecine, du sida, du cancer, des bilans sanguins…ma
foi en l’auto-guérison a amplifié et m’a redonné l'espoir.
Puis une fois les émotions accueillies, la vision change et je me suis dit que la
confusion venait du fait que les bouffées de chaleur recommençaient à se
manifester. Au lieu de m’angoisser, ça m’a soulagée parce que ça veut dire que
tout s’ajuste intérieurement.
Je reste convaincue que tout symptômes, malaise sont l’expression d’une guérison spirituelle, d’un recalibrage énergétique et que la meilleure chose à faire c’est de se reposer, de s’hydrater et de maintenir la paix en soi en gérant les pensées et les émotions qui surgissent justement pour être libérées, équilibrées ou recyclées.
Elles sont à l’origine du bouleversement
interne et se manifestent afin de débloquer l’énergie. On peut accompagner ce
processus en étant le plus calme possible. En maintenant son corps physique,
mental et émotionnel à l’abri de toute agression extérieure de façon à ne pas
en rajouter afin de garder l’équilibre et l’harmonie intérieurs.
Ce que je garde de cette expérience, c’est d’abord l’aspect positif, le fait de m’être
guérie par instinct, en suivant l’inspiration pour savoir quoi faire, quoi manger
et quoi boire. J’en ai ingurgité des litres d’infusion, de décoction de thym,
citron, miel ! Une détoxication généralisée puisque les poumons, le cœur,
les reins, l’utérus ont été purgés tout comme le sang par l’apport de l’amour/lumière
de la source et la recherche d'harmonie. J’ai même perdu le surplus de graisse qui a fondu grâce à la
fièvre.
C’est une expérience qui m’a rapprochée de mon âme, a développé mon
écoute et porté mon attention à l’intérieur afin de suivre mon intuition pour trouver
les remèdes appropriés. Mais le plus gros travail, ce qui a permis une guérison
de l’âme, des mémoires cellulaires, c’est la prise en charge de la peur et de
la culpabilité qui ont été révélées par la maladie.
La connexion à la terre, au ciel et aussi la méditation
improvisée d’hier soir ont grandement participé à la guérison qui a dû être finalisée par ma présence divine cette nuit puisqu'alors, le mental ne vient pas interférer.
J’ai spontanément visualisé la
lumière de la source qui pénétrait mon corps physique par la couronne, traversait
tous les chakras puis allait se loger jusqu’au cœur de la terre mère. Avant
cela, j’ai plongé mes racines en son cœur de diamant pour être bien ancrée et
établir un contact de cœur à cœur témoignant ainsi mon immense amour pour la
planète et l’acceptation d’être un canal entre ciel et terre, qui capte et
diffuse la lumière de la source. La sensation d'être un objet a été transmutée par la libération de la charge émotionnelle, énergétique, en désir de servir la source, de lui témoigner mon amour envers toutes les forment dans lesquelles elle se manifeste. Des pensées rassurantes sont venues s’ajouter à
ce processus de canalisation et ainsi ont amplifié l’énergie d’amour/lumière en
moi et en direction du cœur de la Terre.
La vidéo du faucon qui éjecte le drone du ciel m’a bien
réconfortée aussi et m’a ramenée à la raison du cœur, dans la joie.
En effet, la
planète existait avant l’homme et elle n’a pas besoin de lui pour vivre et
manifester sa puissance. En tant que conscience éclairée, elle sait tout à fait
trouver l’équilibre que l’humain met en péril à chaque instant.
Toute la nature
obéit aux lois universelles et maintient constamment l’harmonie.
Selon l’intensité
du désordre causé par l’homme, elle s’ajustera en conséquence provoquant pour
ce faire, cataclysme, tornades, séisme…
Même si les apprentis sorciers qui s’amusent
à vouloir contrôler la météo perturbent l’équilibre naturel, la terre non
seulement s’auto-régule mais en plus elle dispose de toute « une armée »
de fidèles gardiens, veilleurs, parmi tous les règnes qu’elle porte et qui participent
à l’harmonisation de la nature.
Sans parler de tous les êtres du monde
invisible, de la source de Vie, des mondes unifiés, des étoiles, de la source
et de toute une horde de lutins, de dévas, de farfadets, et tous les êtres de
planète plus évoluées qui viennent sous des formes animales telles les
baleines, les dauphins, les orques, les cétacés en général.
Bref, elle est parfaitement autonome et même si elle
grandit en tant que conscience dans l’interaction, dans la relation qu’elle
entretient avec l’humain, elle ne dépend absolument pas de nous.
Cependant elle
est sensible aux énergies de nos pensées, de nos émotions et nous pouvons l’accompagner
amoureusement en gérant notre monde intérieur avec sagesse, amour et en
maintenant aussi l’harmonie en soi. Notre corps physique est constitué des mêmes éléments que la Terre et il fonctionne de la même manière, il est programmé pour chercher et trouver l'équilibre, l'harmonie. Nous pouvons aussi l'accompagner dans ce travail en lâchant prise, en ayant confiance en son potentiel, en sa conscience autonome. Il s'ajuste en permanence dans toute interaction avec l'extérieur.
Je suis de plus en plus convaincue de la puissance des
pensées/émotions et il est logique de « faire des erreurs » dans la
gestion de la vie que nous hébergeons et qui nous compose car nous sommes des
enfants en matière de maitrise énergétique.
Libérer la culpabilité et la peur
nous délivre de l’inconscient collectif et de l’automatisme qui nous fait agir
comme des robots disciplinés. En agissant de la sorte, nous pouvons constater
le pouvoir de la psyché et de l’amour.
Même lorsque nous pensons ne plus pouvoir communier avec la
source, celle-ci se manifeste au travers de ce que nous voyons, entendons et
vivons. En maintenant la foi du divin en soi, vivante, en suivant l’élan de
notre cœur, nous pouvons alors être réceptifs à ses signes et constater combien
la source nous aime et nous soutien en tout temps.
Trop souvent, j’attends de
ressentir cet amour d’une façon particulière et par le fait je passe à côté de
ces signes.
C’est exactement ce point de vue qui m’a fait douter de l’amour de
ma mère pour moi. En accueillant ces pensées erronées et les émotions qui y
étaient associées, j’ai pu voir combien elle m’aimait à sa façon. Ce constat m’a
permis de prendre conscience de la souffrance que je m’infligeais simplement en
ayant des attentes vis-à-vis de l’extérieur. C’est là que l’écoute de l’enfant
intérieur et la tendresse manifestée envers lui, ont permis de guérir la
blessure de rejet.
Je parle beaucoup de l’enfant intérieur parce qu’il
représente l’aspect humain de l’être, tout ce que nous refoulons pour paraitre
adulte, pour donner l’illusion aux autres que nous sommes capables de gérer
notre vie comme tout le monde. Être dans la norme est vital pour ceux qui s’identifient
à leur image et dont l’amour de soi est basé sur l’approbation, la validation extérieure.
Mais si on casse le moule, si on se libère des apparences,
la norme devient l’ensemble de nos propres valeurs.
L’être authentique et unique émerge
peu à peu à mesure que nous tombons les masques. Notre façon spécifique de
canaliser les énergies de la source et de les rayonner, forme alors notre signature
énergétique, notre identité véritable harmonisée à la source. Nous nous individualisons tout en ayant conscience d'être Un au niveau de l'être.
La confiance que nous développons vis-à-vis de notre nature
divine, mais aussi de notre côté humain, fait grandir l’amour en soi, nous
donne l’audace d’être tel que nous sommes. L’authenticité se manifeste lorsque
nous acceptons tous les aspects de notre être et que nous cessons de nous
censurer, de nous critiquer.
Il ne s’agit pas de valider tout et n’importe quoi
mais déjà de devenir lucide, de se voir honnêtement afin de pouvoir choisir en
conscience ce qui nous sert et ce qui ne nous est plus utile. Il n’y a même pas
à réfléchir, ça se fait naturellement lorsque la confiance en soi est acquise.
Je suis heureuse d’avoir retrouvé l’assurance, la confiance
en la source et en son amour pour moi, son soutien constant que seul le déni de
soi m’empêche de voir.
C’est systématique, dès que je m’invalide, que je rejette
un aspect de moi, un défaut, une faiblesse, dès que je me condamne, je m’insensibilise et perd le contact.
C’est comme si je construisais un mur autour de mon cœur, comme si je devenais
aveugle.
Or c’est exactement l’attitude inverse qui permet de percevoir incontestablement
le divin en soi. Je reconnais ici l’intelligence suprême et l’amour infini de
la source qui a mis en place le processus d’élévation, par l’ouverture du cœur.
Nous nous sommes créés à l’image et à la ressemblance de la
source en tous points. Nous disposons de tous les outils nécessaires à l’émergence
de l’humain divin que nous sommes en vérité. En cherchant l’harmonie, en
décidant d’accompagner ce processus naturel, nous nous accordons aux fréquences
divines, à celles de la Terre Mère et faisons Un avec toute vie. C’est lorsque
nous manifestons l’amour que nous sommes que le divin en soi se révèle.
Le fait de voir que l’ombre n’est pas négative et qu’en l’éclairant,
elle nous révèle son potentiel, permet de relativiser tout ce que nous percevons
à l’extérieur. Comme c’est en étant centré en notre cœur que nous trouvons la
paix et la neutralité nous sommes moins prompt à juger, à rejeter ou à
condamner.
Il est tout de même nécessaire de fortifier sa foi et l’amour
en soi pour être en mesure de recevoir des informations qui risquent de nous
déstabiliser. Comme de ce point de vue, je reste encore fragile, je préfère
continuer de focaliser mon attention sur le potentiel divin et amoureux de l’humain.
Je peux constater l’impact des révélations sur mon état d’être et tant que
celui-ci sera menacé, il vaut mieux s’abstenir de fouiller dans la merde. Comme
je le disais hier, le mental agit tel un enfant avide de connaissance, rempli
de pourquoi et de comment…
Ce comportement n’est pas mauvais mais il demande à être
équilibré et en posant des limites, en étant capable de dire Non ou stop, comme
on le dirait à un enfant, avec la même tendresse, la même connaissance de la
nature de cet aspect de soi, on rétablit la justesse en soi. Cet aspect
immature peut être éduqué de la même façon qu’on éduque un enfant. Même si je n’ai
jamais été mère, je porte l’énergie de la mère divine et aussi celle du père.
Lorsque je me centre en mon cœur, dans cet espace infini où
je peux communier avec toute vie, où l’espace/temps est abolit, la sagesse ancestrale
se manifeste et mon intuition me guide dans ce parcours, cette initiation qui
consiste à devenir son propre parent.
Tous les acquis de mes vies passées sont
disponibles et cette communion à partir du cœur ouvre la porte sur les mondes unifiés.
J’accède tant aux archives akashiques, enfin à la mémoire de l’intelligence
humaine, qu’à l’énergie de mon soi futur.
Même si ça n’est pas la connaissance pure, elle en est une
partie et me permet d’élever ma conscience, de monter en fréquence et de me
défaire de l’inconscient collectif. Pour le bien-être de mon corps physique,
pour conserver l’intégrité, la cohésion de tous mes corps, il est indispensable
de monter ma fréquence vibratoire marche après marche.
Intégrer la lumière de l’âme,
son énergie me permet d’accéder aux mondes invisibles, de l’astral qui même s’il
est une projection de l’humanité, une illusion, me permet d’amplifier ma foi et
de libérer la notion de dualité.
Tant que je ne croie pas que l’astral est ma
destination finale et qu’il est la vérité absolue, je peux alors utiliser ce
miroir pour mieux comprendre les polarités et constater que des êtres
considérés comme mauvais selon les hommes, peuvent m’apporter des connaissances
utiles.
Quand je lis des canalisations, je peux sentir que ces messages ne sont
pas totalement dans l’amour inconditionnel, qu’ils émanent d’êtres soumis à la
dualité et même s’ils ne sont pas totalement lumineux, leur point de vue est
intéressant.
Le danger, c’est de penser qu’ils détiennent la vérité absolue et
de les croire aveuglément, de perdre son pouvoir en négligeant de se fier à son
propre cœur.
Beaucoup de gens rejettent l’autorité humaine mais s’en remettent
totalement à ce qu’ils considèrent comme une autorité céleste. Ils perdent leur
souveraineté, leur capacité de discernement, leur pouvoir d’aimer, de s’aimer
en totalité et se privent de leur propre lumière.
Le besoin de soutien est légitime mais il vaut mieux s’adresser
à la lumière en soi à son âme pour l’obtenir. Il est évident que la transition
se fait par l’expérience en intégrant un peu plus d’amour/lumière chaque fois
que nous décidons de choisir d’écouter et de suivre notre propre guidance.
Les rituels, les techniques spirituelles, les sciences
occultes ne sont que des supports sensés affermir la foi, ils sont des moyens mais
pas une fin. Ce sont des outils d’élévation et de compréhension qui n’ont aucun
intérêt si on s’y accroche. Toutes les connaissances du monde de l’astral sont
inspirées par l’homme, par son intellect et ont autant de valeur que les thèses
scientifiques, les connaissances psychologiques. Elles sont subjectives et se
basent sur la notion duelle. On trouve dans cette dimension, autant d’ombre que
de lumière et il est nécessaire d’avoir un certain recul pour être objectif et
garder en mémoire l’idée que ça n’est qu’un pont, un passage.
Personnellement
je considère cette dimension comme une projection de la psyché humaine et l’utilise
comme un miroir. Son existence prouve la puissance de la pensée, l’aspect
créateur de l’humain divin qui permet de relier la personnalité aux mondes
invisibles, à l’âme et de connaitre les blessures de celle-ci.
Mais ça ne doit pas s’arrêter là, c’est une introduction à
la prise en charge des blessures du cœur, de l’âme, qui à mesure qu’elle guérit,
libère de toute attache en révélant la présence divine dans le processus d’observation
neutre des mouvements internes. Cette reconnaissance guérit et révèle l’importance
de l’harmonisation de toutes les dimensions qui nous constituent.
Le bilan de ces derniers jours est très positif ! Ma foi
en l’auto-guérison a grandit, la relation à l’enfant intérieur, à mon âme, au
divin, la source en moi, s’est améliorée tout autant que celle que je nourris
avec mes corps physique, émotionnel et mental. L’amour de soi est amplifié dans
cette intimité, cette proximité et l’acceptation de ma « faiblesse »
a permis l’amplification de mon pouvoir. Je deviens ma meilleure amie et en intégrant tous les aspects de mon être, l’harmonie
intérieure est mon art de vivre. C’est un saut quantique qui me rapproche de mon
être essentiel, me dirige vers l’autonomie puis la souveraineté.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci