Quelque chose m’a réveillé à 4h du matin. Comme je suis
mes élans et que j’évite de trop me poser de questions, je me lève et ravive le
feu puis me colle à l’ordinateur.
J'ai diminué les doses de médicaments hier donc tout est normal, le corps physique est un peu en manque et me le fait savoir. Mais comme je ne nourris pas la peur, ne laisse pas le mental abaisser ma fréquence en le laissant cogiter, la paix demeure. Je fais un tour sur le blog et sur google + pour voir les images qui ont été publiées.
J'ai diminué les doses de médicaments hier donc tout est normal, le corps physique est un peu en manque et me le fait savoir. Mais comme je ne nourris pas la peur, ne laisse pas le mental abaisser ma fréquence en le laissant cogiter, la paix demeure. Je fais un tour sur le blog et sur google + pour voir les images qui ont été publiées.
Je me nourris de beauté et peux mesurer l’ambiance générale, vérifiant ainsi la concordance avec mon propre état d’esprit. Les synchronicités sont époustouflantes !
Lorsque je me laisse guider pour cliquer sur certains des liens des sites que j’ai mis en page d’accueil, je tombe toujours sur des messages qui sont en phase avec ce que j’écris, pense et ressent dans l’instant.
C’est une façon de me réveiller au monde, de m’ancrer dans l’incarnation par les corps subtils de l’esprit, de l’âme et d’aligner le mental sur la fréquence de la foi, dans une totale confiance.
Nos gestes quotidiens illustrent parfaitement nos choix et
les nourrissent. Beaucoup de gens commencent leur journée en lisant les journaux
et sans s’en apercevoir, se laissent doucement mais sûrement, influencer par
des énergies de manipulation, de peurs, de scandales…
Le corps émotionnel reçoit de plein fouet toute la violence humaine qui ne représente pourtant qu’un faible pourcentage de ce qui est accompli dans le monde par l’humanité toute entière.
Le corps émotionnel reçoit de plein fouet toute la violence humaine qui ne représente pourtant qu’un faible pourcentage de ce qui est accompli dans le monde par l’humanité toute entière.
Les médias connaissent bien l’impact de telles nouvelles
qui vont modifier l’état d’esprit individuel et collectif, amenant le
lecteur dans des fréquences vibratoires très basses de défaitisme, d’impuissance,
de sentiment d’injustice, de tristesse, de peur…
La journée d’un tel individu sera déjà conditionnée et si l’idée lui vient d’allumer son poste de télé pour suivre une série américaine peignant l’amour, le couple, la vie, de façon stéréotypée et totalement faussée, il passera une journée maussade, sera de mauvaise humeur et ne pourra pas croire qu’il créé sa vie, qu’il a le pouvoir de se la rendre belle.
Sa vision de lui-même et de l’amour sera tellement négative et distorsionnée qu’il aura bien du mal à entrer en contact avec sa propre essence. Pourtant c’est uniquement de cette façon, de l’intérieur, qu’il peut savoir qui il est vraiment et ressentir ce qui l’anime réellement.
Depuis l’arrivée de la télévision, les gens de pouvoir ont réalisé l’exploit d’hypnotiser les populations à leur insu mais en plus avec leur plein accord, ils en redemandent et prennent cette boite carrée comme une porte ouverte sur la connaissance, le monde et considèrent la possession d’un tel appareil comme un droit.
On a parlé des messages subliminaux mais à mon avis, ça n’est pas le plus grave.
Ce qui est destructeur pour l’esprit humain,
c’est la répétition des images/concepts qui nourrissent les croyances obsolètes, fausses, instillées au goutte à goutte ; les
publicités, les feuilletons, les séries, formatent en douceur, en couleur et en
stéréophonie, les croyances les plus préjudiciables pour un individu.
C’est de cette façon, par la répétition, qu’une pensée devient croyance, une vérité.
C’est de cette façon, par la répétition, qu’une pensée devient croyance, une vérité.
D’ailleurs,
c’est cette idée qui me fait accepter, sans plus me faire de reproches, le fait
de répéter inlassablement et quotidiennement les mêmes choses !
On
caricature l’amour, on met en avant l’esprit de compétition, de comparaison,
créant ainsi le rejet de soi, la division et nourrissant l’ego jusqu’à le
rendre éternellement insatisfait, dépendant.
On fait croire aux gens que c’est en possédant des choses, en ressemblant aux modèles imposés par la mode, qu’ils trouveront le bonheur.
On fait croire aux gens que c’est en possédant des choses, en ressemblant aux modèles imposés par la mode, qu’ils trouveront le bonheur.
« I can’t get no satisfaction » chantaient les
Rolling Stone ! Tout être humain qui tombe dans le piège de la dépendance physique
violente, vient à comprendre que le fait de chercher à combler le manque avec
des objets, des produits, des biens matériels, est totalement vain.
C’est un des avantages de cette expérience, quand on en ressort vivant, de connaitre le détachement, de se rendre compte de la futilité de la quête de plaisir en même temps que d’avoir l’opportunité de goûter d’autres plans de conscience que celui du monde visible.
C’est la réflexion que je me faisais hier, tout ce passé à planer, à être sur des plans de conscience où l’amour et le rêve sont expérimentés de l'intérieur, m’ont préparées à accueillir la foi, à ne pas être effrayée par mon monde intérieur, les sphères invisibles et à savoir reconnaitre les différences de fréquence.
J’ai focalisé mon attention sur mon ressenti intérieur et fait en sorte de maintenir la joie, le plaisir, le bien-être, même de façon artificielle, plutôt que de me laisser embarquer par la réalité crue du monde visible.
C’est un des avantages de cette expérience, quand on en ressort vivant, de connaitre le détachement, de se rendre compte de la futilité de la quête de plaisir en même temps que d’avoir l’opportunité de goûter d’autres plans de conscience que celui du monde visible.
C’est la réflexion que je me faisais hier, tout ce passé à planer, à être sur des plans de conscience où l’amour et le rêve sont expérimentés de l'intérieur, m’ont préparées à accueillir la foi, à ne pas être effrayée par mon monde intérieur, les sphères invisibles et à savoir reconnaitre les différences de fréquence.
J’ai focalisé mon attention sur mon ressenti intérieur et fait en sorte de maintenir la joie, le plaisir, le bien-être, même de façon artificielle, plutôt que de me laisser embarquer par la réalité crue du monde visible.
Maintenant que je sais qui je suis, je peux voir le monde
tel qu’il est en vérité, au-delà des apparences conventionnelles, dans toute sa beauté naturelle.
Comme je ne rejette plus rien en moi, ma vision de l’extérieur est beaucoup plus neutre. Évidemment je focalise surtout sur la nature, les plantes, les animaux mais aussi sur les humains qui agissent à partir du cœur et c'est ce qui nourrit ma foi en l'Humain.
Ils ne sont pas forcément dans les rangs des gens dits spirituels qui sont portés par la notion de bien et de mal et se considèrent comme des gens de valeur qui doivent se protéger du monde et de ses souillures.
Comme je ne rejette plus rien en moi, ma vision de l’extérieur est beaucoup plus neutre. Évidemment je focalise surtout sur la nature, les plantes, les animaux mais aussi sur les humains qui agissent à partir du cœur et c'est ce qui nourrit ma foi en l'Humain.
Ils ne sont pas forcément dans les rangs des gens dits spirituels qui sont portés par la notion de bien et de mal et se considèrent comme des gens de valeur qui doivent se protéger du monde et de ses souillures.
L’ego spirituel fait des ravages, le fanatisme règne dans toutes les églises mais aussi dans les mouvements New Age. C’est un peu logique parce que lorsqu’on réalise qu’il existe autre chose que la réalité du monde, le premier réflexe, c’est de vouloir alerter tout le monde, convertir les pauvres pêcheurs, les impies, les ignorants, les païens, réveiller les endormis, les inconscients…On se range d’emblée dans une catégorie, celle des justes, des "bons", des éveillés et le seul fait de se sentir appartenir à un groupe, suffit à nourrir la division et à créer un conflit intérieur.
Quand on aborde la spiritualité de l’extérieur, par le
mental, on enferme son cœur dans des croyances qui vont nous limiter et nous
obliger à poursuivre un idéal, à adopter des rituels, des comportements
spécifiques, qui nous éloignent de notre être véritable.
On peut voir jusqu’où sont allés les croyants dans leur volonté de convertir le monde, les croisades, les conquistadors, les évangélistes…ont semé la mort sur leur passage, détruit des peuples au nom du christ, d’Allah…
On peut voir jusqu’où sont allés les croyants dans leur volonté de convertir le monde, les croisades, les conquistadors, les évangélistes…ont semé la mort sur leur passage, détruit des peuples au nom du christ, d’Allah…
A l’échelle individuelle, c’est la même chose. La foi qui nait dans l’esprit, grandit dans le mental, qui se nourrit seulement de la compréhension intellectuelle, du besoin de justice, d’ordre, oblige l’individu à convaincre son entourage afin de l’amplifier, de la rendre vivante.
Plus on prêche et plus c’est le
signe que notre foi n’est pas vécue de l’intérieur, qu’elle est intellectuelle.
Heureusement, en général, le cœur participe à cet élan
spirituel, ce qui a confirmé la croyance, mais le problème c’est que la foi ne
descend pas dans les chakras du bas, elle ne s’incarne pas pleinement, elle
reste très intellectuelle, dominée par le mental ego, conditionnée par la
notion de séparation, de dualité, de conquête, de domination…
Celui qui croit en Dieu, s’imagine devoir se libérer de ses
instincts, éliminer en lui tout ce qu’il ne juge pas spirituel, élevé, tout ce
qu’il considère comme impur, mauvais…
Il renie en même temps son cœur, l’amour
qui est en lui, son âme et sa présence divine. Pourtant en tant « qu’enfant
de dieu », nous sommes parfaitement constitués.
Selon le plan divin, tout ce que nous vivons est voulu par nôtre âme, notre dieu intérieur. Le problème c’est notre façon de concevoir la vie, le divin et l’amour. On s’imagine devoir s’améliorer, mais en fait c’est en s’acceptant tel que nous sommes que le divin intérieur se révèle, que l’amour vrai se manifeste et s’écoule librement.
Tant qu’on résiste à quelque chose en soi, on nourrit le
conflit, la division, le jugement, la peur…
Quand on accepte juste de laisser
être ce qui se manifeste, il se produit une ouverture de cœur et de conscience.
Le fait de lâcher prise des attentes, de devoirs, des obligations, de cesser de vouloir se changer, créé une alchimie, un mouvement intérieur qui rétablit l’ordre naturel.
Plus on veut, plus on force et plus la résistance intérieure grandit, plus le mur qui isole notre ego de notre cœur s’épaissit.
Je le constate tous les jours; accepter ce qui est, élève le taux vibratoire, amène à voir les choses d’un regard neuf.
Une émotion accueillie libère l’énergie de la source, apporte la lumière dans notre compréhension. Le mouvement de recul élargit la vision et la paix intérieure procure un état de bien-être incomparable.
Un défaut accepté délivre son potentiel, son aspect lumineux. L’entêtement par exemple, une fois ramené au point zéro, devient une énergie de persévérance, d’affirmation de soi, mène vers l’autonomie…
Comment intégrer la notion de liberté en se privant, en occultant des parts de soi, en s’obligeant à suivre une ligne de conduite ? Qu’est-ce qui nous empêche de lâcher prise totalement ? La peur de mal faire, de faire des erreurs, de tomber dans l’excès ?
Quand on s’autorise à être qui
on est en totalité, on honore le divin qui nous a créés, celui-ci de manifeste
de l’intérieur et rétablit l’équilibre des polarités en nous.
Sa sagesse peut se déverser sur le mental, l’amour qui s’écoule librement apporte la douceur, l’empathie, la compassion pour les aspects fragiles intérieurs et guérit en créant l’harmonie, l’équilibre.
Lâcher la peur de mal faire permet de trouver le juste milieu entre affirmation et humilité, les gestes seront plus harmonieux, on ne sera plus dans l’excès vis-à-vis de soi-même et des autres.
Sa sagesse peut se déverser sur le mental, l’amour qui s’écoule librement apporte la douceur, l’empathie, la compassion pour les aspects fragiles intérieurs et guérit en créant l’harmonie, l’équilibre.
Lâcher la peur de mal faire permet de trouver le juste milieu entre affirmation et humilité, les gestes seront plus harmonieux, on ne sera plus dans l’excès vis-à-vis de soi-même et des autres.
Quand on accepte tout ce qui est en soi, chaque élément
retrouvant sa juste place, nous trouvons la complétude de l’être.
L’instinct de survie devient une sonnette d’alarme, un indicateur, un signe qui nous montre que nous sommes dans la peur, qu’il y a danger de tomber dans l’excès, que nous sommes décentrés.
L’instinct de survie devient une sonnette d’alarme, un indicateur, un signe qui nous montre que nous sommes dans la peur, qu’il y a danger de tomber dans l’excès, que nous sommes décentrés.
Si on veut découvrir le divin intérieur, il nous faut ôter les voiles de la peur, de l’idée de séparation et d’exclusion. Ce n’est pas en les niant ou en les combattant que c’est réalisable.
La peur a une raison d’être, elle est légitime puisque c’est l’expression de l’instinct de survie mais pour qu’elle devienne utile, il faut la reconnaitre et la démystifier pour qu’elle s’équilibre au niveau énergétique et offre son message.
La dualité ramenée au point zéro, dévoile son rôle premier, celui de nous montrer deux directions, de nous inciter à choisir, à tester les polarités pour finalement comprendre par l’expérimentation, que la voie du milieu est celle qui mène au bonheur, à la complétude et la souveraineté.
Toutes les émotions négatives nous appellent à regarder notre monde intérieur, à voir ce que nous portons, les croyances distortionnées, le manque d’amour de soi.
Quand on réalise une introspection sincère, qu’on accueille l’émotion et que l’énergie s’équilibre, on trouve la source divine, on la ressent, on la vibre, on la conscientise.
On prend conscience de notre vraie nature.
Vous avez remarqué que je n’ai pas cherché à expliquer l’humain divin de façon détaillée, scientifique, élaborée. Même l’idée de mettre à jour les infos concernant les chakras est passée comme elle est venue.
Plus on simplifie sa vision et plus la connaissance intérieure se manifeste.
Moins notre
foi s’appuie sur nos connaissances intellectuelles et plus elle est vivante,
vécue.
Tant que le mental n’est pas associé au cœur, il ne peut appréhender le
divin intérieur dans son essence, sa vibration. Le chemin de la connaissance de
soi se vit à l’intérieur, entre soi et Soi, au plus intime, en son propre cœur.
Si la foi n’est pas vécue elle reste une connaissance très aléatoire, une
distraction pour le mental, un conditionnement qui nous éloigne de notre vérité.
En suivant son cœur, ses élans, son intuition, l’âme nous guide vers ce qui nous permettra d’ouvrir notre cœur et notre conscience. Une fois qu’on reconnait sa présence, sa guidance, la confiance s’installe et il n’y a plus qu’à la suivre aveuglément pour vivre dans la paix, la joie, la liberté d’être.
La confiance grandit de cette façon, petit à petit, à mesure que la vision s’affine, que l’on apprend à vivre à partir du cœur.
La confiance implique de ne pas être dans l’attente mais en état de réceptivité.
Apprendre à accueillir ce qui vient, à lâcher prise, amène
à vivre cet état et à recevoir en abondance tout ce qui nous permet d’être
épanoui et heureux.
Encore un bel exemple de l’importance de suivre son
intuition.
J’ai commandé du bois en fin de saison alors qu’il n’y avait plus de raison de chauffer, j’ai suivi l’élan, sans forcer, sans attendre, sans urgence et j’ai été royalement servie.
J’apprécie énormément de pouvoir chauffer à volonté puisque la pluie a vite fait de geler l’appart malgré les 20° à l’extérieur. Il n’y a pas de système d’aération ni de cave !
J’aurais pu me dire en toute logique que ça n’était plus nécessaire de se préoccuper du chauffage puisqu’ici, nous bénéficions d’un temps lumineux et sec les trois quart du temps mais j’ai préféré suivre l’inspiration, sans me poser de question et j’en goûte maintenant les fruits.
J’ai commandé du bois en fin de saison alors qu’il n’y avait plus de raison de chauffer, j’ai suivi l’élan, sans forcer, sans attendre, sans urgence et j’ai été royalement servie.
J’apprécie énormément de pouvoir chauffer à volonté puisque la pluie a vite fait de geler l’appart malgré les 20° à l’extérieur. Il n’y a pas de système d’aération ni de cave !
J’aurais pu me dire en toute logique que ça n’était plus nécessaire de se préoccuper du chauffage puisqu’ici, nous bénéficions d’un temps lumineux et sec les trois quart du temps mais j’ai préféré suivre l’inspiration, sans me poser de question et j’en goûte maintenant les fruits.
La détente physique est un facteur important de bien-être et j’ai tellement négligé mon corps que le seul fait d’en prendre soin maintenant, me comble de joie.
Il me le rend bien par des sensations nouvelles, inexplorées, qui me font abandonner avec facilité tout intérêt pour les psychotropes.
Pour ce problème, je vérifie chaque jour que le fait de suivre ses élans, de purifier les pensées avant même de s’occuper du problème sur le plan physique, participe à la libération du besoin.
On croit à tort qu’il nous faut attaquer le problème de front, supprimer les gestes, au lieu d’aller voir en profondeur ce qui les motive et de libérer les peurs et fausses croyances qui en sont la cause.
En déterminant les peurs qui se cachent derrière une addiction et en faisant en sorte de les libérer, par l’amour de soi et un changement radical du système de croyance, les symptômes, le geste n’a plus de raison d’être.
La seule volonté à maintenir en place, c’est de libérer les masques dans l’amour et d’amplifier sa foi en cette énergie de guérison. L’intention n’est pas contre quelque chose mais plutôt d’accepter ce qui est, afin d’en voir les mécanismes et de les démonter.
Comme la peur de la liberté est sous tendue par l’addiction, le fait de suivre mes élans me permet d’intégrer en douceur plus de liberté dans ma vie puis la gestion des émotions m’apprend à ne plus avoir peur de mes peurs, à être dans le moment présent, dans l’amour vrai de soi.
Portée par ces énergies, lâcher le besoin devient facile, naturel. Cette addiction faisant office de masque choisi, chaque milligramme en moins, révèle le divin intérieur, l’être véritable, par l'amplification du ressenti et comme ça s’effectue en douceur, je ne crains pas le manque.
Les symptômes physiques n’étant plus perçus comme des ennemis,
des choses à éliminer, ils me permettent de savoir ce qui en moi, a besoin d’amour.
Ma foi en la puissance de guérison de cette énergie, amplifie son action.
J’ai regardé ce film hier après midi et malgré le temps
maussade, je me suis régalée. J’ai pu constater combien mon corps émotionnel
était apaisé, fortifié, puisque l’ambiance mélancolique du film n’a pas
affecté mon humeur plutôt joyeuse.
C’est une réelle victoire de se rendre
compte que les émotions ne me dirigent plus.
Elles sont devenues le GPS dont parle Abraham, qui me permet de savoir quand je ne suis plus sur la fréquence de l’amour.
Ce corps qui appréhende la vie par le biais des sens associés aux
sécrétions hormonales est devenu un compagnon, un ami qui magnifie ma vie. Il
est aimé et reconnu et peut maintenant agir selon le plan originel, divin.
Tout
ce qui en nous est aimé, reconnu, réunifié, est sacralisé par l’énergie d’amour
divin. Là est notre réel pouvoir !
« Tous les matins du monde film » d'Alain Corneau 1h50mn. Avec jean Pierre Marielle, Guillaume et Gérard Depardieu...
Une expérience "mystique", c'est de cette façon que je l'ai vécu il y a quelques années et cette fois-ci, la sensation est encore plus profonde. Si vous le regardez, vous saurez où en est votre relation
au corps émotionnel, si celui-ci est déséquilibré ou s’il est aligné sur l’amour,
le cœur. Ce film relate une histoire qui fait réfléchir sur l’amour, l’âme, la
spiritualité, la mort, la souffrance…
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci