Steven Daluz |
7h de sommeil ! Alléluia ! Je rigole en
utilisant ce mot qui a été chanté pendant des siècles mais dont je ne connais
pas le sens véritable. Il me vient spontanément et veut dire pour moi, joie
éclatante ! Bref, la longueur de cette nuit s’explique par le besoin de
compréhension, de clarification que la journée d’hier m’a amenée à chercher.
Je
n’ai plus aucun doute quant au fait de voyager durant la nuit, d’être
instruite, d’aller dans des temples, des écoles, de rencontrer les guides, les
maitres, et peut-être aussi les êtres disparus, selon la vidéo de Christophe Guilbert (voir en fin de message).
Cette nuit donc, j’ai eu besoin de rencontrer divers êtres afin de comprendre
pourquoi je réagissais avec tant de "passion" en lisant les articles de monsieur
Poirier.
Depuis août dernier, je ressentais un malaise à chaque fois que
j’essayais de le lire et bloquait systématiquement. Comme je suis quelqu’un de
curieux, qui veut comprendre son monde intérieur, ses blocages et
fonctionnement et que mon ego ne fait pas trop barrage à ce désir de pureté,
d’authenticité, j’ai creusé la question, examiné la situation dans les moindres
recoins sans chercher à feindre ou à me
cacher à moi-même, sans vouloir me trouver des excuses, ou encore avoir raison à tout prix.
J’ai donc regardé de près ce qui pouvait me déranger dans
sa façon de livrer ses connaissances.
Je me suis d’abord dit que la jalousie
m’empêchait d’être objective puis en accueillant ce trait de caractère, en
reconnaissant humblement qu’effectivement il y avait de ça, ce fut l’occasion
de libérer cette tendance.
Ce qui m’a montré que j’y étais arrivée, c’est une
relation avec une personne qui s’est dénouée de façon « magique ». C’est cette même énergie de jalousie qui avait créé un « conflit » entre nous
et en admettant que je portais cette distorsion de l’amour en moi, par manque
d’amour de soi. En reconnaissant cet aspect de moi-même, l’énergie de la
jalousie est venue amplifier l’amour de soi et ça s’est manifesté aussi à
l’extérieur, en toute logique.
Ce sentiment libéré, il restait tout de même un blocage, je
n’arrivais toujours pas à lire les articles de cette personne que je jugeais
pour son côté « je sais tout », pour le fait de se positionner en
« maitre » et que je voyais comme un manipulateur.
J’ai donc réfléchi
à ma vision du masculin, de l’autorité, du pouvoir. Demandé à Laurent, la personne qui m'aide au niveau énergétique, de focaliser ses interventions sur l’équilibre
des polarités. Peu à peu, j’étais moins radicale mais les commentaires et
questions des lecteurs m’agaçaient encore beaucoup. Puis un désaccord avec une
âmie, à ce sujet, a amplifié mon regard négatif, dans cette histoire.Nous avons perdu le contact pendant pas mal de temps mais la réception d'un mail venant d'elle, il y a quelques jours, m'a confirmé que je progressais dans ma perception des choses.
J’ai dû aller encore plus en profondeur afin de comprendre,
pour pouvoir lâcher ce qui m’empêchait d’être totalement neutre. Au passage, je
peux le remercier de m’avoir donné l’occasion de travailler autant et si
profondément sur mes ombres, mes blocages et tout ce qui en moi, avait besoin
d’être reconnu, aimé et harmonisé.
Quand on arrive à reconnaitre l’aspect positif d’une
situation, c’est déjà le signe qu’on est proche de la sortie, de l’intégration
de la leçon.
Hier, les questions, synchronicités, situations, ont suscité
des réflexions qui m’ont amenées à progresser mais il restait encore des petits
détails à régler et c’est durant la nuit que ça s’est réalisé. Je le sais parce
que mon corps physique arrive enfin à éliminer normalement. J’étais constipée
depuis quelques jours et c’est toujours le signe que je n’arrive pas à libérer
des peurs, des vieilles croyances. Je le sais aussi par cette longue nuit et
surtout par la sensation de paix et d’harmonie intérieure au réveil.
Le fait que j’aie pu écouter une heure de la vidéo
conférence de monsieur Poirier hier soir, était déjà en soi, le signe que
j’avais libéré de vieux schémas. J’ai joué le jeu de sentir en mon corps ce que
ce visionnage suscitait et j’ai laissé
faire. Je n'ai même pas eu à y penser, la vibration s'est manifestée de suite. Je n’ai pas cherché non plus à expliquer ce qui se manifestait et j’ai écouté de
façon neutre, juste pour entendre le ton de la voix, la façon de s’exprimer. Je
me suis tout de même "protégée" en ne regardant pas l’image, des fois que je sois
hypnotisée! Je le dis en rigolant mais l'image a un pouvoir d'influence sur le mental indubitable. Sans même que l'autre envoie des énergies spécifiques, les codes référentiels du mental sont activés.
Bref, je n’ai pas feint ni réprimé quoi que ce soit. La sensation
de chaleur dans le ventre n’a pas été décortiquée, je n’ai pas cherché à en
connaitre le sens puisque j’ai senti comme une vibration au niveau du cœur au début
de mon écoute. J’ai pensé que je libérais quelque chose mais ne me suis pas
attardée sur la question. Il va de soi que le seul fait d'être une femme implique que nous portions l'empreinte des souffrances individuelles et collectives liées aux abus sexuels, de pouvoir, exprimant la dualité homme femme...
J’ai écouté avec mon corps plus qu’avec mon mental
qui je le sais, peu interférer selon ses croyances basées sur la dualité, la division, la tendance à compartimenter, classer...
Je prends le risque de publier la vidéo puisque je ne l’ai
pas vue entièrement. Ce que je publie ici est toujours en résonance avec ma foi
et là aussi, le fait d’oser transmettre quelque chose que je sais approuver par
le ressenti, sans avoir tout écouté, est signe de lâcher prise et de confiance
en soi. Je rigole toute seule parce que ça me fait penser à ce que je dis quand
je suis en voiture et que quelqu’un avance doucement par peur de rayer sa voiture,
quand le passage est étroit. « Si ça passe devant, ça passe derrière! »
c’est ce que je dis en général. Ici, c’est la même chose, si mon ressenti est « positif »
dans la première heure d’écoute, ce qui peut me heurter sera au niveau du
mental. De plus on n’est pas obligé d’être d’accord en tous points…
Yvan Poirier; "Nous les humains..."
A propos de la dualité, bien que mon vœu le plus cher soit
de libérer cette façon de considérer les choses, la journée d’hier m’a montrée, par bon nombre de synchronicités, que je nourrissais encore ce système de croyance. Le fait d’être encore trop
radicale en est le témoin mais là non plus je n’ai pas fait de ce constat une
occasion de rejet de soi, de critique et d’auto accusation. Même si ce fut le
premier réflexe, j’ai laissé être, ces pensées et l’énergie rééquilibrée m’a
permise d’aller au-delà de la vision duelle et d'être en mode réceptif.
Comme je fais tout selon l’élan, je ne me suis pas forcée à regarder la vidéo
en me disant que je devais surmonter mes à priori ou quelque chose de ce genre
mais c’est en allant sur la page d’accueil de face de bouc que je suis tombée
"par hasard" sur la retransmission de « l’événement ». Comme la
personne qui l’a publié est quelqu’un avec qui je suis en parfaite résonance,
je n’ai pas hésité et me suis dit que c’était l’heure de se regarder en face.
Mis à part les ressentis physiques, j’ai été agréablement
surprise par le côté simple et informel de cette personne. Pas de protocole, de
cérémonie, quelques bourdes et lapsus ont fini de me rassurer quand aux
motivations du personnage. Ce que j'ai entendu jusqu'à maintenant est parfaitement cohérent avec mes connaissances, ma vision des mondes célestes...
Puis dans l’après midi, je suis tombée sur un message "Installer la paix et l'harmonie dans le monde" d'Omraam Mikhaël Aïvanhov, personnage qui m’agace un peu par son côté « maitre initié »
et cette fois-ci, en lisant cet article, je me suis dit que ce qui me
dérangeait le plus en fait, ce ne sont pas les personnes qui savent mais plutôt
le comportement de ceux qui les écoutent. Le contenu du message a apporté de l'eau à mon moulin, un éclairage qui m'a aidée à mieux comprendre mes réactions.
J'ai eu la même impression en écoutant le début de la vidéo
et j’ai failli ne pas aller plus loin tellement l’enthousiasme et l’attitude un
peu trop admirative, limite vénération de la personne qui réalise l’interview, m’ont dérangé.
Je
n’ai jamais idolâtré qui que ce soit et j’ai beaucoup de mal à comprendre ce
qui le font. Les femmes qui tombent dans les pommes devant des chanteurs, les
hommes qui se battent pour avoir un autographe de leur joueur de foot préféré
les élections de personnages préférés des français, les miss, les supporters…
Bien que j’aie eue longtemps un problème concernant
l’estime de soi, je ne suis jamais tombée dans ce piège. Le fanatisme est un
fléau qui mène à des guerres, que ce soit au niveau temporel ou spirituel.
Malgré tout, je sentais bien que mon attitude était trop extrémiste et en lisant
le commentaire de Mesnet, lectrice en résonance avec qui je converse régulièrement ici, j’ai eu comme une sensation de saturation, à ce
sujet, qui m’a poussée à m’adresser à mon corps mental en ces termes :
"Que la théorie
reptilienne soit réelle ou non, on s’en fout finalement, ce que je constate,
c’est que ça créé un conflit intérieur, une confusion, on va donc
arrêter de ce poser des questions à ce sujet et faire confiance à la vie, à
notre âme, au divin intérieur.
Ce qui compte le plus, c’est de maintenir la
cohérence intérieure, c’est comment vous vivons maintenant, quels choix nous
faisons à chaque instant ;
l’unité ou la division, l’acceptation ou le
rejet ; l’amour ou la peur…
Si on regarde les choses ne serait-ce qu’au
niveau karmique, sans remonter à l’origine de la
création de l’humain, la seule chose que l’on constate c’est que cette vision
nous enferme dans le cycle de la vengeance, du besoin de réparation, donc l'état de victime, c'est une impasse. Ce fait même nous
ôte notre pouvoir d’être, en nous maintenant dans l’état de « malade »
dans le sens où nous cherchons à guérir et par la même nourrissons l’état de
personne imparfaite. Or nous sommes parfaits mais juste en recherche constante d'équilibre et d'harmonie.
Puis le cycle des incarnations, si on regarde de plus
près, nous maintient dans la dualité. Aujourd’hui si je suis victime, ça veut dire que j'étais bourreau hier. Et
si j'étais bourreau hier, ça veut dire qu’avant-hier, j'étais victime, le cycle est sans
fin et la seule façon de s’en extraire, c’est le PARDON. Une spirale qui me tire sans cesse vers le bas, me maintient en arrière, dans le passé et me fait espérer dans le futur, passant totalement à côté de l'essentiel, le moment présent.
La seule façon de ramener la paix, que ce soit lors d’un
conflit entre deux pays ou dans un conflit intérieur, c’est le lâcher prise.
C’est
en arrivant à se dire que ça n’est qu’en cassant le cycle de la vengeance qu’on
peut aller vers une résolution du problème.
Tant qu’on continue de vouloir
obtenir réparation, qu’on argumente sur ce qui est opposé, on nourrit le conflit et il ne peut y avoir
de paix.
Ce n’est qu’en considérant les besoins des deux parties et en trouvant
un consensus, que l’on peut vivre en paix, dans l'harmonie. Que ce soit en dehors ou en dedans,
tant que je me focalise sur ce qui s'oppose, je suis enfermée en pleine dualité.
Si j’oppose mon cœur et mon ego, je ne peux pas fonctionner dans mon plein
potentiel, j’aurais tendance à basculer d’un côté ou de l’autre des polarités.
Un excès de lumière ou un excès d’ombre amène le chaos.
D’ailleurs, la
révolution dans le message de Jésus Christ, c’est d’être passé de la loi du
Talion ; "œil pour œil, dent pour dent", de l’ancien testament à celle de
l’AMOUR, du PARDON, du nouveau testament. Cette idée m'est venue hier en un éclair!
J’ai appelé la puissance de l’amour à se déverser sur tous
mes corps de façon à retrouver la paix et l’harmonie intérieures. Demandé à mon
corps mental de faire confiance au divin, de lâcher les questions afin de
retrouver la paix du cœur et de bénéficier des bienfaits de la libre
circulation de l’énergie de la source.
Puis si nous portons des aspects
primaires, basés sur l’instinct de survie, de prédation, nous ne sommes pas
obligés de nous laisser guider par ces aspects. Notre réel pouvoir résidant
dans la capacité d’aimer tout ce que nous sommes et tout ce qui est, inutile de
chercher à connaitre le passé, les détails, les « coupables ».
Là
encore, c’est manifester son impuissance parce que si nous avons effectivement
un cerveau reptilien, des « bas » instincts de prédation, nous avons
aussi en nous, la lumière divine, l’amour divin, la présence éternelle Je Suis,
l’âme et le cœur et le pouvoir de réunifier les deux hémisphères. Tous les aspects, les ingrédients pour réaliser la paix par
la réunification des contraires.
L’instinct de survie ramené au cœur, devient un outil de
progression, d’affirmation, une énergie qui en s’associant à celle du cœur,
permet de ne pas tomber dans l’excès de lumière, de ne pas se croire au dessus des
autres.
Ce constat, le fait de savoir que je porte tout en moi, c’est aussi la
promesse de la complétude, de la liberté, de la souveraineté.
Mon rôle, c’est
d’être la médiatrice, "l’harmonisatrice", de tout ce que je suis. Le mouvement de retour vers le cœur, le fait de lui donner la baguette de chef d'orchestre est ma "mission"en tant qu'humain divin conscient.
Je n’ai pas pu regarder plus d’une heure de la vidéo parce
que je m’endormais. Là aussi, à force d’observation, j’ai compris que le fait
de m’endormir était une réaction du mental, sa façon de montrer qu’il arrivait
à ses limites et qu’il acceptait de s’abandonner pour laisser l’âme, le divin
faire son œuvre.
Finalement, cette histoire m’a fait faire un grand pas dans
l’intégration des forces complémentaires qui m’habitent et ma façon de voir les
choses est beaucoup plus neutre.
Je fini par en rire. Tant face à mes blocages
que par rapport à ma vision faussée. Ce qui compte c’est de finir par retrouver
l’harmonie et la conscience que tout ceci n’est qu’un jeu. Un moyen de trouver
l’équilibre et la complétude. Une belle occasion de trouver son individualité,
d’aligner ses corps, de retrouver l’harmonie intérieure mais aussi avec
l’extérieur.
Maintenant, je peux voir touts les points communs, toutes les
ressemblances avec cette personne. Le côté « je démystifie », la
simplicité du langage pour expliquer quelque chose de très complexe, la spontanéité,
le courage de faire cette vidéo en direct et de répondre aux questions, les
bourdes qui le rendent humain et libère du rôle de maître…
Puis finalement, ce qui me dérange le plus dans les questions-réponses publiées sur la presse galactique, c’est le comportement des lecteurs qui sont trop
souvent dans une admiration très proche de la vénération.
Bill Brouard |
Le besoin de suivre
des maitres, de chercher un père est encore très présent mais pourquoi
pas ? Après tout, c’est peut-être une étape importante pour ceux qui se
comportent de cette façon. Ce n’est pas parce que j’ai choisi l’autonomie en
tous points que je doive imposer mon point de vue ou juger ceux qui font
d’autres choix. Là encore, la nécessité de trouver le juste milieu est claire.
Puis ce positionnement extrême indique aussi un manque de confiance en soi.
Chaque fois que l’on cherche à convaincre l’autre, c’est qu’on veut se
convaincre soi-même.
Je sens que je vais apprécier la suite de la vidéo puis si
je bloque à nouveau, ce sera l’occasion d’aller encore plus en profondeur dans
la connaissance et la reconnaissance de soi et du Soi. Bien que je n’arrivais
pas à lire ses textes, j’ai tout de même téléchargé tous les PDF. J’ai de quoi
lire ! Je garderais tout de même un œil critique puisque Tous les humains
présents sur cette terre maintenant, sont en phase d’apprentissage, peu importe
leur degré de connaissance. Puis j’arrivais tout de même à lire quelques
phrases de ces textes et j’avais noté une progression dans le discours qui
devenait moins radical.
Mon entêtement à ne pas vouloir me forcer, à ne pas vouloir
suivre un humain aveuglément dans ses raisonnements, me protège, me garantit de
ne pas tomber dans le fanatisme, l’idolâtrie et m'amène à m'affirmer en tant que "je".
Ce fut aussi l’occasion de rendre encore plus intime la relation au divin
intérieur, d’oser suivre mon intuition et de me fier avant toute chose à mon
ressenti.
J’ai remercié tous mes corps de se laisser guider par
l’amour, de ne plus être aussi indépendants et d’arriver à trouver l’harmonie.
Quand chacun d’eux se met au service de la vie, du progrès, de l’amour, un
sentiment de bien être accompagne celui de la puissance que procure la
solidarité.
C’est toujours le même processus finalement. On demande à
intégrer une vertu, une qualité, à comprendre une loi divine et la
réponse, c’est toujours une projection de lumière divine sur nos modes de
pensée, nos comportements. Si la personnalité ne s’offusque pas du constat de
son état intérieur, si elle n’en fait pas une occasion de jugement ou de rejet,
l’amour se déverse par l’acceptation de ce qui est.
Ensuite, on peut commencer
à faire le tri, en ayant un regard plus objectif, plus neutre de la situation, que
l’accueil des émotions aura libéré du trop plein énergétique, du déséquilibre
des énergies contraires.
Lorsqu’on est centré, l’équilibre se fait
naturellement. Ce processus pourrait se réaliser facilement si l’ego lâchait
prise plus vite mais d’un autre côté, ce caractère un peu rebelle permet
d’affirmer ses choix qui ne sont plus alors dictés par la poursuite d’un idéal
mais par la compréhension éclairée, qui mène à agir avec amour et sagesse.
Le
seul frein, c’est si l’ego n’arrive pas du tout à lâcher prise mais comme en
général le résultat, c’est qu’on tourne en rond, il finit par suivre le cœur, et
apporter son énergie qui devient discernement.
Bon, cette fois-ci, je vais faire un tour sur le marché,
m’acheter des fringues ! Heureusement
que l’amour de soi ne tient pas sur les apparences ! Je trimbale une
dégaine en ce moment ! Là encore, ça n’est pas mon souci premier mais à
mesure que j’intègre l’amour vrai de soi, l’envie de paraitre d’une façon qui
soit alignée avec ce que je suis en dedans, s’exprime naturellement. Je
retrouve mon goût pour le déguisement de l’adolescence ! C’est bon signe !
Le juste milieu est indispensable en toutes choses et dès qu’on néglige une
part de soi, la disharmonie, le mal-être s’installent.
Christophe Guilbert; "La nuit nous retournons à la source"
Je ne suis pas certaine de retrouver des êtres disparus, mais
j’ai tout de même souvenir de parler avec mon frère décédé, pendant des « rêves
éveillés », lors de méditations.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci
Je précise que je n'ai pas écrit le nom des auteurs des vidéos pour des raisons techniques et non par orgueil. En effet, si la longueur du titre dépasse un certain nombre de caractères, ça modifie la police du texte, va comprendre. J'ai appris la conception et la tenue d'un blog, "sur le tas" et les petites choses que je ne maitrise pas sont encore une occasion de lâcher prise du besoin de perfection, de calmer l'ego...Tout m'enseigne...