Bon et bien ça n’est pas la fin du monde, le soleil s'est levé une fois de plus ! Je ne
regarde pas la télé ni les journaux mais je n’ai rien vu concernant une
quelconque divulgation, sur la page d’accueil d’orange ! Je n’ai pas vue
la lune rose non plus ! J'avais publié une image de façon ironique pour souligner l'excès manifesté en de telles circonstances. Tout ce qui est rare subjugue, l'inconnu fait fantasmer et le mental déploie toute l'imagination que la peur suscite. Parfois, ça donne des chefs d’œuvres artistiques...
Comme chaque fois que l’énergie de la source est envoyée en
masse, l’effet est toujours le même, on se voit dans ses profondeurs, ses
recoins, par les projections mentales qui se manifestent dans le monde extérieur…
Nous commençons à connaitre la chanson et le choc est à chaque fois
moins brutal, on s'habitue au processus et bientôt, on pourra se réjouir des signes précurseurs de l'élévation de conscience, de l'ouverture de cœur.
Comme tout le monde, je me trouve donc face à mes ombres, à
ce qui m’empêche d’être totalement sereine, dans l’amour…Mais, j’ai des « outils »,
je sais quoi faire et déjà, ça change tout.
La situation est la suivante, le voisin envahissant est de
retour et m’a réveillée ce matin en déplaçant des meubles juste au dessus de ma
tête.
Première réaction à chaud, au réveil : « fait
chier ce con » bien fort pour qu’il entende!
Je sais, ça n’est pas l’idéal,
c'est grossier, voire vulgaire mais c'est ma réalité toute crue. Tiens une porte qui claque ! Serait-ce l'image d'une auto-censure?
Le mental évidemment tourne en boucle, le
corps émotionnel est remplit de colère et je suis constipée. Mes pensées sont
partagées entre la colère face à l’égoïsme de cet homme, puis face à moi-même
de ne pas être capable de maintenir la paix en moi, de me laisser envahir
émotionnellement, d’avoir envie d’aller lui dire ce que je pense et la
nécessité de gérer mes émotions.
Deux voix se croisent sans pour autant entrer
en conflit, elles se laissent le droit d’exprimer leur point de vue ce qui est
déjà très bien.
Puis une autre intervient en rigolant face au ridicule de la situation
et calme un peu l’ambiance parce que son ton n’est pas critique. Je me retrouve
donc avec trois personnages intérieurs en pleine "conversation"même s'il n'y a pas trop d'écoute mutuelle.
Bien que je sache que l’accueil des émotions est la
solution en or, j’ai laissé ces voix s’exprimer librement et les émotions qui
les accompagnent aussi. Puis sur le trône, l’endroit où l’intimité avec la
terre mère et le ciel, est très présente, ressentie d'une telle façon que je ne peux absolument pas douter de la réalité de l'expérience, du contact.
Le siège de mon pouvoir s’y
trouve par ce contact intime et parce que je suis maintenant convaincue qu’il
est dans ma capacité d'accueillir une à une toutes les émotions qui se
manifestent, de gérer les énergies dans l'amour vrai de soi.
J’ai demandé le secours de la source père mère, consciente
que je suis novice en la matière bien que je connaisse la technique depuis plus
d’un an. Puis j’ai formulé mon désir de faire la paix avec le masculin et le
féminin intérieur, demandé l’aide de la source en ce sens afin que chacun d’eux
s’exprime dans ses aspects divins. Le féminin reflétant ce que la situation me
montre, pardonnant, accueillant les émotions et calme ainsi le masculin qui
saura poser le geste adapté à la situation, en étant dans le juste milieu. J’ai tendance à vouloir me taire pour ne pas nourrir l’état de victime
et à me contenter de gérer mon monde intérieur, mais je ne suis pas tout à fait
convaincue que le silence soit approprié. C'est très certainement le fait que je ne maitrise pas encore bien l'accueil de ce qui est, qui créé ce doute quand au besoin d'affirmer, de poser des limites.
En tous cas, le fait d’avoir
accueillie la colère envers lui et envers moi-même, a ramené un semblant de paix
intérieur. Je dis semblant de paix parce que la question de savoir comment agir
face à l’autre reste en suspend. Je vais donc tenter un dialogue avec l’enfant
intérieur ou au moins lui demander de vider son sac. Lui dire que ses revendications,
plaintes ou peines sont légitimes et qu’il peut les exprimer librement, que je
suis à son écoute ainsi que la conscience christique qui m’habite, qu’il est en
sécurité et que nous sommes là pour lui…
J’ai donc respiré en profondeur et réitéré ma demande d’harmonie
intérieure vis-à-vis des énergies masculines et féminines. Planté mes racines
jusqu’au cœur de la terre mère et ouvert ma couronne de façon à recevoir le
soutien énergétique de la terre et du ciel. La paix est revenue mais j’ai
demandé au masculin et au féminin sacré de faire la paix définitivement, de s’associer
pour prendre soin de l’enfant intérieur afin qu’il se sente en sécurité et
puisse exprimer sa joie naturelle.
Julia...? |
Je n’en suis pas encore à me passer du soutien de la source
mais je ne critique pas ce fait puisque je n’ai que deux ans si on peut dire,
sur cette nouvelle terre d’amour. Puis j'ai progressé puisque je ne suis plus du tout dans la supplication qui implique que je ne croie pas en mon propre pouvoir intérieur.
La souveraineté réside pour le moment, dans ma
capacité de choisir comment je réponds aux stimuli de la vie. Je me satisfais d’avoir
pu changer mon état d’esprit en une heure, sans contraindre quiconque en dedans
ni en dehors.
Même si mon désir de gérer les émotions était motivé avant tout
par le refus de me laisser dominer, de donner à l’autre le pouvoir de me prendre
la tête, de focaliser mes pensées sur lui, la situation, de ruiner la paix
intérieure et c'est sûrement ça "poser des limites". C'est de ne pas croire ce que dit le mental, le laisser exprimer ce qu'il vit s'en s'identifier à ses raisonnements, sans les critiquer, les rejeter mais sans y adhérer non plus. C’est de l’amour de soi.
Il doit y avoir encore
en moi le sentiment que s’aimer, penser d’abord à soi est un peu égoïste puisque
son comportement me le reflète.
Bon, je sors la chienne et vais capter les rayons
du soleil matinal. J’ai pris la lune en photo hier soir, mais ça ne donne rien,
il va falloir que j’investisse dans un appareil photo de meilleure qualité que
celui que j’ai qui part ailleurs a trois taches sur "l’œil".
Bon et bien l’efficacité de la gestion des émotions n’est
plus à prouver ! Non seulement j’ai retrouvé la paix mais en sortant la
chienne, j’ai parlé avec des voisins dont un qui va me ramener des produits vendus
dans des camions, de la quincaillerie à bas prix. J’ai horreur de faire la
queue, comme tout le monde, même si c’est maintenant devenu une occasion de
méditer, et comme un de mes voisins doit y aller, j’en ai profité pour faire
une liste de trucs pas vraiment indispensables mais qui vont me faciliter la
vie. Un abattant de WC en bois parce que le mien ne tient qu’avec une vis et il
faut le savoir pour ne pas que tout tombe. Mes invités ne seront donc pas
surpris ou dérangés. Et je ne risquerais plus de glisser pendant ma séance de
méditation sur le trône !
Je note que j’ai encore besoin de faire les
choses pour les autres, du moins que ça me motive à m’autoriser à avoir plus de
confort, mais je n’en fais pas un drame. Je le vois juste comme un indicateur
du degré d’amour de soi et trouverais un moyen de l’amplifier.
Bien que nous ayons tous à trouver la paix intérieure et l’amour
inconditionnel de soi, nous n’avons pas tous les mêmes ajustements à réaliser.
Quand on s’aime de façon conditionnelle, on est soit dans la surestime de soi,
soit dans l’opposé, le mépris de soi. Il nous faut tous trouver le juste milieu
et pour mon cas, il s’agit de rehausser cette estime de soi sans tomber dans l’orgueil non plus.
J’ai vu aussi une autre voisine qui me reflète l’aspect, "je
supporte tout afin de ne pas réveiller la peur de ma puissance, de ne pas être
violente préférant me faire écraser". On a rigolé de voir que nous intégrions
toutes les deux l’amour vrai de soi, la liberté d’être, sans se soucier du regard extérieur, en se baladant dans la
cour, le matin, en robe de chambre. C’est une façon de libérer le besoin de
plaire, de privilégier le confort plutôt que les apparences. Puis, ça ne fait
pas négligé ou laid puisque c’est propre et ça n’est pas extravagant ou impudique. Toutes
les deux en polaires roses, nous avons ri de notre ressemblance et convenu que
je lui donnerais des fraises. Malgré que j’aime ça, mon estomac ne les digère
pas bien et vue la quantité qu’il y a déjà, j’ai intérêt à prévoir afin de ne
pas gaspiller. J’essaierai d’en troquer contre des légumes bio au marché samedi.
L’année dernière, j’en échangeais avec le boucher, contre de la confiture d’abricot,
d’orange ou de la viande mais cette année, déjà, je ne mange plus de cadavre et
en plus il n’a toujours pas réouvert depuis l'incendie !
La voisine, la mère de mon voisin
bruyant d’en haut est très très bavarde et a passé une demie heure à raconter
sa vie à une autre voisine à qui je venais de raconter mon réveil ! Je
sens bien qu’elle a envie qu’on se parle à nouveau mais je ne suis pas pressée
de l’entendre me raconter sa vie, se plaindre…
Là encore, je vais appliquer la technique du miroir et
tenter d’accueillir les émotions et libérer les croyances non alignées sur l'amour vrai de soi.
En
constatant que j’ai rempli trois pages de mes soucis du quotidien, j’en déduis
non seulement qu’effectivement les énergies de la lune sont puissantes à
fouiner dans les coins mais qu’en plus, je ne peux plus passer à côté de ces
situations qui me poussent à libérer les vieux schémas de pensée et les comportements
issus de l’inconscient.
S’éveiller à sa vraie nature, comme je le disais hier, c’est
Tout voir, aussi bien l’ombre, --c'est-à-dire ce qu’on ne veut pas voir et qui n’est
pas forcément monstrueux, c'est juste que ça ne colle pas à l'image idéale qu'on projette de soi--que la lumière en soi. Le fait de pouvoir amener à la
conscience des choses cachées dans l’inconscient, c’est le processus actif du
divin en soi et une preuve de sa présence et de son œuvre. Ensuite, le
fait d’accueillir ce qu’on découvre, c’est l’amour de la source en action. En
commençant par laisse l’ego, l’enfant intérieur, les peurs…s'exprimer librement, sans juger, la source est
volontairement sollicitée, activée et peut circuler.
On fait souvent l’erreur de commencer par gérer les émotions
qui concerne l’autre, par se défendre, au lieu de ramener ça en soi, d’effectuer premièrement la
technique du miroir qui amène au pardon envers soi-même. Ce retour en soi, au
centre est l’acte qui concrétise le désir d’être responsable de soi et permet au divin d'agir.
Ce n’est qu’une fois que nous libérons les énergies de
basse vibration générées par le manque d’amour de soi, que notre cœur s’apaise,
guérit et que nous pouvons sentir la source d’amour s’écouler.
Tant que nous
sommes crispés, tant que nous résistons à nous pardonner, à accepter de ne pas
être « parfait », à ne pas correspondre tout à fait à nos attentes,
notre cœur est comme anesthésié, fermé.
En commençant par cesser d’avoir des attentes vis-à-vis de
soi, en cessant de projeter une image de ce que nous devrions ou voudrions être
et de nous comparer à cette version idéalisée qui relève de l’ordre du
fantasme, rien ne peut changer en nous.
L’amour de la source qui circule
librement en soi, ajuste tout, aussi bien notre état vibratoire que notre corps
physique et même si ça va plus vite au niveau énergétique, densité de la chair
oblige, les transformations physique sont réelles et visibles.
Je suppose qu’au
niveau cellulaire, la vie éternelle est activée, la régénération
cellulaire se produit alors naturellement selon les codes génétiques divins que
nous portons tout autant que ceux de l’humain mortel. Mais ce programme peut
être ramené dans l’équilibre, servir uniquement dans le cycle de régénération,
de transmutation, au niveau énergétique et comme ce corps retrouve l’équilibre
et l’harmonie par la gestion des émotions et des fausses croyances, le corps
physique n’est pas atteint puisqu’aucune cristallisation ne se forme au niveau mental, énergétique et émotionnel.
Ce processus auquel je croyais intuitivement apparait de
plus en plus réel à mesure que j’apprends à gérer mon monde intérieur et que j’en
constate l’efficacité par l’expérimentation. Mon visage est embelli par la paix intérieure,
l’amour et la lumière divine, alors que je devrais vieillir selon le processus
décrit par la science. Ce qu’ils disent n’est pas faux mais comme nous portons
tout en nous et que nous sommes divins autant qu’humain, nous pouvons choisir
la vie éternelle plutôt que la mort en choisissant l’amour plutôt que la peur.
A ce propos, voici une vidéo qui montre l'effet des choix conscients concernant l'alimentation, la façon de gérer ses corps. Il y a peut-être un côté sensationnel exagéré mais il y a aussi du vrai, à vous de voir.
Ma foi est amplifiée par l’expérience de ce matin et je
peux aussi faire encore plus confiance à mon intuition et l’interprétation de
ce que je ressens.
Les douleurs au cœur de ces derniers jours, sont le signe qu’il
s’ouvre, indiquent qu’un saut quantique s’effectue, que la conscience s’élargit,
qu’elle imprègne plus profondément tout ce que je suis, que ma personnalité
intègre, fusionne avec le divin intérieur, l’âme...
La divulgation n’est autre
que celle des personnages intérieurs et si éventuellement, des extra-terrestres
se montraient, ce dont je doute fort pour plusieurs raisons (qui feront certainement l'objet d'un article), ils seraient notre
reflet, d’autres Je Suis, dans d’autres sphères, dimensions…
Je fais bien de ne pas tenir compte des annonces exubérantes
qui ne sont que le reflet de la peur collective face à l’avenir, la projection
de l’inconscient collectif, l’incapacité
à envisager des solutions concernant l’avenir, la crise financière, la
pollution et tous ce qui fait que l’humanité va à sa perte.
Nous avons les solutions : Devenir responsable de son
monde intérieur et apprendre à le gérer dans l’instant, à être conscient de ce
qui est en regardant objectivement.
Je n’oublie jamais que tout ce que nous avons a traverser,
est créé par nous-mêmes pour
notre plus grand bien et que nous avons les moyens
d'avancer, de le faire. J’ai pu vérifier plus d’une fois la vérité des paroles de la bible
à ce sujet. Même si le vocabulaire me dérange un peu, en le resituant dans son
contexte historique, ça passe mieux et l’essence, le fond du message est bien
réel :
« Dieu ne vous donnera jamais d’épreuve que vous ne puissiez
surmonter », enfin c’est quelque chose comme ça. Je l'interprète selon ma conception actuelle du divin qui n'est pas à l'extérieur de soi mais bien en tous et chacun.
Quand on choisit de
devenir responsable de soi parce qu’on a conscience que nous créons notre vie,
que ce soit consciemment ou inconsciemment, --d’ailleurs à ce sujet, la part
cachée de nos pensées, ce que nous nommons inconscients est étroitement reliée à
la conscience divine--, la vraie vie commence. Si on considère que nous sommes
UN, il devient évident que tout est inter relié, unifié, composé autant d’énergie
masculine que féminine, de noir que de blanc, d'ombre que de lumière…
Il nous appartient seulement de le
reconnaitre pour que tout s’équilibre naturellement.
Bon, pour aujourd’hui, je ne prévois rien, je suis
complètement mon élan confiante dans le fait que tout est parfait puisque Je
Suis.
J’embrasse la vie ! Je dis Oui à ce flux intérieur et
surfe joyeusement sur la vague ! Puis si je bois la tasse, ça n'est pas la mort, je sais nager!
Je m’accueille à bras ouvert, j’accueille l’éternité,
j’ouvre mon cœur à l’amour pur, divin, J’aime.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci
Je rajoute cette courte vidéo (objective) qui montre et explique, en
anglais (mais l'image suffit à comprendre), l’éclipse lunaire de cette nuit.