mardi 15 avril 2014

"Et la divulgation...?" vidéo éclipse lunaire de cette nuit





Bon et bien ça n’est pas la fin du monde, le soleil s'est levé une fois de plus ! Je ne regarde pas la télé ni les journaux mais je n’ai rien vu concernant une quelconque divulgation, sur la page d’accueil d’orange ! Je n’ai pas vue la lune rose non plus ! J'avais publié une image de façon ironique pour souligner l'excès manifesté en de telles circonstances. Tout ce qui est rare subjugue, l'inconnu fait fantasmer et le mental déploie toute l'imagination que la peur suscite. Parfois, ça donne des chefs d’œuvres artistiques...
Comme chaque fois que l’énergie de la source est envoyée en masse, l’effet est toujours le même, on se voit dans ses profondeurs, ses recoins, par les projections mentales qui se manifestent dans le monde extérieur…
Nous commençons à connaitre la chanson et le choc est à chaque fois moins brutal, on s'habitue au processus et bientôt, on pourra se réjouir des signes précurseurs de l'élévation de conscience, de l'ouverture de cœur.
Comme tout le monde, je me trouve donc face à mes ombres, à ce qui m’empêche d’être totalement sereine, dans l’amour…Mais, j’ai des « outils », je sais quoi faire et déjà, ça change tout.
La situation est la suivante, le voisin envahissant est de retour et m’a réveillée ce matin en déplaçant des meubles juste au dessus de ma tête.
Première réaction à chaud, au réveil : « fait chier ce con » bien fort pour qu’il entende! 
Je sais, ça n’est pas l’idéal, c'est grossier, voire vulgaire mais c'est ma réalité toute crue. Tiens une porte qui claque ! Serait-ce l'image d'une auto-censure?


Le mental évidemment tourne en boucle, le corps émotionnel est remplit de colère et je suis constipée. Mes pensées sont partagées entre la colère face à l’égoïsme de cet homme, puis face à moi-même de ne pas être capable de maintenir la paix en moi, de me laisser envahir émotionnellement, d’avoir envie d’aller lui dire ce que je pense et la nécessité de gérer mes émotions. 
Deux voix se croisent sans pour autant entrer en conflit, elles se laissent le droit d’exprimer leur point de vue ce qui est déjà très bien. 
Puis une autre intervient en rigolant face au ridicule de la situation et calme un peu l’ambiance parce que son ton n’est pas critique. Je me retrouve donc avec trois personnages intérieurs en pleine "conversation"même s'il n'y a pas trop d'écoute mutuelle.

Bien que je sache que l’accueil des émotions est la solution en or, j’ai laissé ces voix s’exprimer librement et les émotions qui les accompagnent aussi. Puis sur le trône, l’endroit où l’intimité avec la terre mère et le ciel, est très présente, ressentie d'une telle façon que je ne peux absolument pas douter de la réalité de l'expérience, du contact. 
Le siège de mon pouvoir s’y trouve par ce contact intime et parce que je suis maintenant convaincue qu’il est dans ma capacité d'accueillir une à une toutes les émotions qui se manifestent, de gérer les énergies dans l'amour vrai de soi.

J’ai demandé le secours de la source père mère, consciente que je suis novice en la matière bien que je connaisse la technique depuis plus d’un an. Puis j’ai formulé mon désir de faire la paix avec le masculin et le féminin intérieur, demandé l’aide de la source en ce sens afin que chacun d’eux s’exprime dans ses aspects divins. Le féminin reflétant ce que la situation me montre, pardonnant, accueillant les émotions et calme ainsi le masculin qui saura poser le geste adapté à la situation, en étant dans le juste milieu. J’ai tendance à vouloir me taire pour ne pas nourrir l’état de victime et à me contenter de gérer mon monde intérieur, mais je ne suis pas tout à fait convaincue que le silence soit approprié. C'est très certainement le fait que je ne maitrise pas encore bien l'accueil de ce qui est, qui créé ce doute quand au besoin d'affirmer, de poser des limites.

En tous cas, le fait d’avoir accueillie la colère envers lui et envers moi-même, a ramené un semblant de paix intérieur. Je dis semblant de paix parce que la question de savoir comment agir face à l’autre reste en suspend. Je vais donc tenter un dialogue avec l’enfant intérieur ou au moins lui demander de vider son sac. Lui dire que ses revendications, plaintes ou peines sont légitimes et qu’il peut les exprimer librement, que je suis à son écoute ainsi que la conscience christique qui m’habite, qu’il est en sécurité et que nous sommes là pour lui…
J’ai donc respiré en profondeur et réitéré ma demande d’harmonie intérieure vis-à-vis des énergies masculines et féminines. Planté mes racines jusqu’au cœur de la terre mère et ouvert ma couronne de façon à recevoir le soutien énergétique de la terre et du ciel. La paix est revenue mais j’ai demandé au masculin et au féminin sacré de faire la paix définitivement, de s’associer pour prendre soin de l’enfant intérieur afin qu’il se sente en sécurité et puisse exprimer sa joie naturelle. 



Julia...?


Je n’en suis pas encore à me passer du soutien de la source mais je ne critique pas ce fait puisque je n’ai que deux ans si on peut dire, sur cette nouvelle terre d’amour. Puis j'ai progressé puisque je ne suis plus du tout dans la supplication qui implique que je ne croie pas en mon propre pouvoir intérieur. 
La souveraineté réside pour le moment, dans ma capacité de choisir comment je réponds aux stimuli de la vie. Je me satisfais d’avoir pu changer mon état d’esprit en une heure, sans contraindre quiconque en dedans ni en dehors. 
Même si mon désir de gérer les émotions était motivé avant tout par le refus de me laisser dominer, de donner à l’autre le pouvoir de me prendre la tête, de focaliser mes pensées sur lui, la situation, de ruiner la paix intérieure et c'est sûrement ça "poser des limites". C'est de ne pas croire ce que dit le mental, le laisser exprimer ce qu'il vit s'en s'identifier à ses raisonnements, sans les critiquer, les rejeter mais sans y adhérer non plus. C’est de l’amour de soi. 
Il doit y avoir encore en moi le sentiment que s’aimer, penser d’abord à soi est un peu égoïste puisque son comportement me le reflète. 
Bon, je sors la chienne et vais capter les rayons du soleil matinal. J’ai pris la lune en photo hier soir, mais ça ne donne rien, il va falloir que j’investisse dans un appareil photo de meilleure qualité que celui que j’ai qui part ailleurs a trois taches sur "l’œil".

Bon et bien l’efficacité de la gestion des émotions n’est plus à prouver ! Non seulement j’ai retrouvé la paix mais en sortant la chienne, j’ai parlé avec des voisins dont un qui va me ramener des produits vendus dans des camions, de la quincaillerie à bas prix. J’ai horreur de faire la queue, comme tout le monde, même si c’est maintenant devenu une occasion de méditer, et comme un de mes voisins doit y aller, j’en ai profité pour faire une liste de trucs pas vraiment indispensables mais qui vont me faciliter la vie. Un abattant de WC en bois parce que le mien ne tient qu’avec une vis et il faut le savoir pour ne pas que tout tombe. Mes invités ne seront donc pas surpris ou dérangés. Et je ne risquerais plus de glisser pendant ma séance de méditation sur le trône ! 
Je note que j’ai encore besoin de faire les choses pour les autres, du moins que ça me motive à m’autoriser à avoir plus de confort, mais je n’en fais pas un drame. Je le vois juste comme un indicateur du degré d’amour de soi et trouverais un moyen de l’amplifier.

Bien que nous ayons tous à trouver la paix intérieure et l’amour inconditionnel de soi, nous n’avons pas tous les mêmes ajustements à réaliser. Quand on s’aime de façon conditionnelle, on est soit dans la surestime de soi, soit dans l’opposé, le mépris de soi. Il nous faut tous trouver le juste milieu et pour mon cas, il s’agit de rehausser cette estime de soi sans tomber dans l’orgueil non plus.

J’ai vu aussi une autre voisine qui me reflète l’aspect, "je supporte tout afin de ne pas réveiller la peur de ma puissance, de ne pas être violente préférant me faire écraser". On a rigolé de voir que nous intégrions toutes les deux l’amour vrai de soi, la liberté d’être, sans se soucier du regard extérieur, en se baladant dans la cour, le matin, en robe de chambre. C’est une façon de libérer le besoin de plaire, de privilégier le confort plutôt que les apparences. Puis, ça ne fait pas négligé ou laid puisque c’est propre et ça n’est pas extravagant ou impudique. Toutes les deux en polaires roses, nous avons ri de notre ressemblance et convenu que je lui donnerais des fraises. Malgré que j’aime ça, mon estomac ne les digère pas bien et vue la quantité qu’il y a déjà, j’ai intérêt à prévoir afin de ne pas gaspiller. J’essaierai d’en troquer contre des légumes bio au marché samedi. 
L’année dernière, j’en échangeais avec le boucher, contre de la confiture d’abricot, d’orange ou de la viande mais cette année, déjà, je ne mange plus de cadavre et en plus il n’a toujours pas réouvert depuis l'incendie ! 
La voisine, la mère de mon voisin bruyant d’en haut est très très bavarde et a passé une demie heure à raconter sa vie à une autre voisine à qui je venais de raconter mon réveil ! Je sens bien qu’elle a envie qu’on se parle à nouveau mais je ne suis pas pressée de l’entendre me raconter sa vie, se plaindre…
Là encore, je vais appliquer la technique du miroir et tenter d’accueillir les émotions et libérer les croyances non alignées sur l'amour vrai de soi. 

En constatant que j’ai rempli trois pages de mes soucis du quotidien, j’en déduis non seulement qu’effectivement les énergies de la lune sont puissantes à fouiner dans les coins mais qu’en plus, je ne peux plus passer à côté de ces situations qui me poussent à libérer les vieux schémas de pensée et les comportements issus de l’inconscient.

S’éveiller à sa vraie nature, comme je le disais hier, c’est Tout voir, aussi bien l’ombre, --c'est-à-dire ce qu’on ne veut pas voir et qui n’est pas forcément monstrueux, c'est juste que ça ne colle pas à l'image idéale qu'on projette de soi--que la lumière en soi. Le fait de pouvoir amener à la conscience des choses cachées dans l’inconscient, c’est le processus actif du divin en soi et une preuve de sa présence et de son œuvre. Ensuite, le fait d’accueillir ce qu’on découvre, c’est l’amour de la source en action. En commençant par laisse l’ego, l’enfant intérieur, les peurs…s'exprimer librement, sans juger, la source est volontairement sollicitée, activée et peut circuler.
On fait souvent l’erreur de commencer par gérer les émotions qui concerne l’autre, par se défendre, au lieu de ramener ça en soi, d’effectuer premièrement la technique du miroir qui amène au pardon envers soi-même. Ce retour en soi, au centre est l’acte qui concrétise le désir d’être responsable de soi et permet au divin d'agir.

Ce n’est qu’une fois que nous libérons les énergies de basse vibration générées par le manque d’amour de soi, que notre cœur s’apaise, guérit et que nous pouvons sentir la source d’amour s’écouler. 
Tant que nous sommes crispés, tant que nous résistons à nous pardonner, à accepter de ne pas être « parfait », à ne pas correspondre tout à fait à nos attentes, notre cœur est comme anesthésié, fermé.






En commençant par cesser d’avoir des attentes vis-à-vis de soi, en cessant de projeter une image de ce que nous devrions ou voudrions être et de nous comparer à cette version idéalisée qui relève de l’ordre du fantasme, rien ne peut changer en nous. 

L’amour de la source qui circule librement en soi, ajuste tout, aussi bien notre état vibratoire que notre corps physique et même si ça va plus vite au niveau énergétique, densité de la chair oblige, les transformations physique sont réelles et visibles. 
Je suppose qu’au niveau cellulaire, la vie éternelle est activée, la régénération cellulaire se produit alors naturellement selon les codes génétiques divins que nous portons tout autant que ceux de l’humain mortel. Mais ce programme peut être ramené dans l’équilibre, servir uniquement dans le cycle de régénération, de transmutation, au niveau énergétique et comme ce corps retrouve l’équilibre et l’harmonie par la gestion des émotions et des fausses croyances, le corps physique n’est pas atteint puisqu’aucune cristallisation ne se forme au niveau mental, énergétique et émotionnel.

Ce processus auquel je croyais intuitivement apparait de plus en plus réel à mesure que j’apprends à gérer mon monde intérieur et que j’en constate l’efficacité par l’expérimentation.  Mon visage est embelli par la paix intérieure, l’amour et la lumière divine, alors que je devrais vieillir selon le processus décrit par la science. Ce qu’ils disent n’est pas faux mais comme nous portons tout en nous et que nous sommes divins autant qu’humain, nous pouvons choisir la vie éternelle plutôt que la mort en choisissant l’amour plutôt que la peur.
A ce propos, voici une vidéo qui montre l'effet des choix conscients concernant l'alimentation, la façon de gérer ses corps. Il y a peut-être un côté sensationnel exagéré mais il y a aussi du vrai, à vous de voir.

Ma foi est amplifiée par l’expérience de ce matin et je peux aussi faire encore plus confiance à mon intuition et l’interprétation de ce que je ressens. 
Les douleurs au cœur de ces derniers jours, sont le signe qu’il s’ouvre, indiquent qu’un saut quantique s’effectue, que la conscience s’élargit, qu’elle imprègne plus profondément tout ce que je suis, que ma personnalité intègre, fusionne avec le divin intérieur, l’âme... 

La divulgation n’est autre que celle des personnages intérieurs et si éventuellement, des extra-terrestres se montraient, ce dont je doute fort pour plusieurs raisons (qui feront certainement l'objet d'un article), ils seraient notre reflet, d’autres Je Suis, dans d’autres sphères, dimensions…
Je fais bien de ne pas tenir compte des annonces exubérantes qui ne sont que le reflet de la peur collective face à l’avenir, la projection de l’inconscient collectif,  l’incapacité à envisager des solutions concernant l’avenir, la crise financière, la pollution et tous ce qui fait que l’humanité va à sa perte.

Nous avons les solutions : Devenir responsable de son monde intérieur et apprendre à le gérer dans l’instant, à être conscient de ce qui est en regardant objectivement.

Je n’oublie jamais que tout ce que nous avons a traverser, est créé par nous-mêmes pour 
notre plus grand bien et que nous avons les moyens d'avancer, de le faire. J’ai pu vérifier plus d’une fois la vérité des paroles de la bible à ce sujet. Même si le vocabulaire me dérange un peu, en le resituant dans son contexte historique, ça passe mieux et l’essence, le fond du message est bien réel :
« Dieu ne vous donnera jamais d’épreuve que vous ne puissiez surmonter », enfin c’est quelque chose comme ça. Je l'interprète selon ma conception actuelle du divin qui n'est pas à l'extérieur de soi mais bien en tous et chacun.

Quand on choisit de devenir responsable de soi parce qu’on a conscience que nous créons notre vie, que ce soit consciemment ou inconsciemment, --d’ailleurs à ce sujet, la part cachée de nos pensées, ce que nous nommons inconscients est étroitement reliée à la conscience divine--, la vraie vie commence. Si on considère que nous sommes UN, il devient évident que tout est inter relié, unifié, composé autant d’énergie masculine que féminine, de noir que de blanc, d'ombre que de lumière…
Il nous appartient seulement de le reconnaitre pour que tout s’équilibre naturellement. 






Bon, pour aujourd’hui, je ne prévois rien, je suis complètement mon élan confiante dans le fait que tout est parfait puisque Je Suis.

J’embrasse la vie ! Je dis Oui à ce flux intérieur et surfe joyeusement sur la vague ! Puis si je bois la tasse, ça n'est pas la mort, je sais nager!
Je m’accueille à bras ouvert, j’accueille l’éternité, j’ouvre mon cœur à l’amour pur, divin, J’aime.


Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr  et ces trois lignes. Merci 



Je rajoute cette courte vidéo (objective) qui montre et explique, en anglais (mais l'image suffit à comprendre), l’éclipse lunaire de cette nuit.