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Je me réjouissais hier du fait que je dormais mieux, enfin
plus longtemps et ce matin, alors que j’ai veillé jusqu’à plus de minuit, j’avais
les yeux ouverts, écarquillés même, à 4h40 ! La pleine lune, le vent chaud
en rafales régulières et bien fortes, participent certainement à l’excitation
que je ressens. Je sens de la fatigue dans les yeux, des petits picotements
mais pas moyen de me recoucher ! Première occasion de lâcher prise ;
c’est comme ça et puis c’est tout ! Bon, ça n’est pas vraiment le total
abandon, ça ressemble plus à un genre de résignation mais au moins, ça n’entraîne
pas de conflits, de questions. Quand on « veut » changer
radicalement, il faut avoir l’humilité de ne pas forcer les choses. Je parle d’humilité
parce que seuls la fierté, l’esprit de compétition, de guerriers sont dérangés
par la lenteur du processus. Les restes de vies passées au service de la foi,
en « combattant » de la vérité, de la justice divine, de guerrier de la lumière…
Heureusement,
peu à peu cette approche s’efface mais là aussi, il faut de l’humilité et de la
patience pour reconnaitre que ce comportement est dicté par la peur. Je ne fais
plus trop de distinction entre ego et cœur mais plutôt ente amour et peur. Vous
me direz, ça ne change pas grand-chose mais en fait c’est une nuance importante
parce que lorsqu’on personnifie les raisons d’un problème, on se tape dessus,
ce qui ne fait qu’empirer la situation. Quand on croit que l’ego est la cause
du problème, non seulement on est dans le jugement mais le fait de s’accuser, d’accuser
une part de soi, créé un conflit, une disharmonie.
En voyant les choses au
niveau énergétique, on se libère des rôles et les pensées sont beaucoup plus
neutres. Puis quand j’oppose la peur à l’amour, je n’en fais pas non plus une
ennemie, puisqu’elle peut être un moteur et je prends conscience, de plus en
plus clairement qu’il n’y a aucun ennemi, pas même les fréquences vibratoires. Penser
en terme d’énergie, délivre de la notion de bien et de mal parce qu’on a moins
tendance à imaginer qu’une énergie puisse être malintentionnée. On voit plutôt
ça comme un fait, comme deux fréquences différentes qui s’équilibrent quand
elles sont associées. Quand on se situe au centre, on voit que l’amour qui englobe
tout, se trouve amplifié par l’énergie qu’il a absorbée, transmutée. La peur devient
alors une vertu comme l’attention, la vigilance, un moteur d’action, l’occasion
de gagner en confiance, en force, en audace…
Je pense aux températures de plus en plus anormales, aux
cycles de saisons perturbés, et comme je suis convaincue que ça correspond aux
émotions humaines, que s’est étroitement lié, je me dis que le fait de refouler
ses peurs, se cristallisent en programme de diffusion de chemtrails, alimente
et grossit le phénomène. Les pics de pollution relevés sur Paris, alors que la
température n’est pas excessive, m’amènent à penser que c’est la conséquence des
épandages chimiques et que le but est certainement, en plus de perturber les
populations au niveau de l’humeur, puisque la peur est amplifiée, de faire du
profit, de gagner de l’argent avec de nouvelles taxes qui seront présentées
comme les seules solutions pour limiter les dégâts, éviter que la planète ne se
meurt. Je ne suis pas du tout convaincue par la théorie du réchauffement de la
planète bien que je n’en comprenne pas le processus, le seul fait que la peur
soit brandie me fait sérieusement douter. La stratégie de manipulation de masse
est encore très efficace ! C'est toujours la même chose, on diabolise un être, une partie de la population, un virus, un comportement et ensuite, on peut vendre le "remède". On fabrique un poison pour mieux vendre l'anti dote. On créé des faux terroristes pour justifier les guerres et diminuer les libertés. La peur fait tourner le commerce! La publicité est un métier d'avenir très largement rétribué parce c'est un formidable outil de manipulation, de conditionnement. L'image parle à notre corps émotionnel, nos blessures, avant de toucher le mental.
Mon côté rebelle peut ici être utile parce que le
fait de savoir que le but des épandages chimiques, c’est de perturber le
système endocrinien, les corps subtils de l’humain par les émotions, me motive
encore plus à lâcher la peur et à libérer la dépendance aux médocs !
Puisqu’ils me privent du potentiel naturel de régulation des endorphines,
falsifient mon ressenti, perturbent mes émotions, en reprenant la gestion de
celle-ci, je retrouve un pouvoir naturel et en même temps je ne participe plus
à ce genre de manipulations extérieures. Parce qu’à mon avis, l’usage de
médicaments est aussi ce qui créé les rôles de manipulateurs extérieurs, les fabricants de médocs se nourrissent de la démission de chacun.
Chaque fois qu’on désigne un bouc émissaire extérieur, on
perd son pouvoir, on proclame son impuissance, on joue le jeu de la victime à
fond. Que ce soit la pollution, l’étranger ou la maladie, on pointe du doigt
notre propre déni, notre manque d’amour de soi, de reconnaissance de notre divinité
intérieure, de notre reliance à la source. On choisit de croire au pouvoir de
la peur, de nourrir l’ombre en soi alors qu’il suffit de les accueillir, de les
aimer pour retrouver le pouvoir de créer en conscience, une vie où l’on est
souverain, par la maitrise de ces corps
subtils, l’abandon à son dieu intérieur, la confiance en l’énergie de la source
qui s’écoule en nous éternellement.
Oui je sais, c’est plus facile à dire qu’à
vivre mais là aussi, la foi vivante, s’expérimente au jour le jour et c’est la
persévérance, la pratique, le lâcher prise, qui nous donnent la sagesse, l'humilité, la maitrise,
la force, l’amour de soi et de toute vie, les qualités qui permettent d’être un
humain divin autonome, complet, équilibré capable de vivre avec d’autres humains,
dans la paix, l’échange équitable et le respect mutuel, le respect des
différences qui valorise sa propre unicité.
Je reviens sur la peur parce qu’il me semble qu’elle peut
nous enseigner beaucoup de choses en plus de développer les qualités issues de l’amour. Un animal sauvage qui a
peur, cherchera à se défendre, à mordre, mais si on veut l’apprivoiser, en ayant
de l’amour, de la patience, petit à petit, il se détendra, il passera de l’agressivité,
à la « timidité ». Quand il ne se sentira plus en danger, quand il ne sentira plus notre peur, il finira
par être docile et même totalement « soumis ». C’est la même chose
qui se passe à l’intérieur de chacun. Quand on libère la charge énergétique d’une
peur, par la respiration, peu à peu, on comprend le message qu’elle porte, elle
devient ainsi l’occasion non seulement de maitriser nos émotions et de grandir
en confiance mais aussi de nous attendrir.
Quand on lâche prise, qu’on se
détend, on retrouve l’innocence enfantine et on découvre des faces cachées de
notre personnalité. Notre vulnérabilité se révèle et nous situe dans le cœur où
nous pouvons communier avec les humains et le divin.
Les rafales de vent se font de plus en plus fréquentes et violentes!
Il s’agit de ne pas céder à la panique ambiante, en ce moment. Les énergies sont si
puissantes que la lumière fait ressortir avec force, tout ce qui n’est pas
aligné sur l‘amour, le divin et comme le réflexe premier de la majorité des
gens, c’est de se cacher, les stratégies motivées par la peur augmentent
celle-ci, amplifient son énergie au niveau collectif. Comme elle révèle aussi les
agissements autrefois secret des gens de pouvoir, ça suscite de la colère dans
la population et l’égrégore est amplifié provoquant de grosses perturbations au
niveau du temps.
Mais ce qui est rassurant, c’est le fait que d’un autre
côté, la lumière révèle aussi le divin au niveau individuel et de plus en plus
de gens deviennent conscients de ce qu’ils sont en vérité, de l’importance de
protéger l’environnement, la planète, d’adopter des solutions pacifiques et
durables…A cela s’ajoute un nombre croissant de personnes capables de gérer
leurs émotions, de se maintenir dans l’espace sacré de leur cœur. Je ne suis
pas sure qu’il y ait une proportion suffisante pour créer l’équilibre mais au
moins, on peut arrêter de nourrir les égrégores qui créent le chaos. En étant
en paix malgré tous les facteurs extérieurs troublants, notre impact est
multiple.
Pour contre balancer la tendance à la panique, le rire qui
est une forme de lâcher prise de désidentification au drame et donc aux
personnages factices intérieurs, peut influencer les autres de façon favorable,
sans passer par des longs discours, des théories complexes à propos de l’humain
divin. C’est un langage international, même si ce qui le déclenche peut varier
d’une culture à l’autre, ça reste très communicatif, contagieux et fédérateur.
J’ai passé la soirée à regarder des sketchs et même s’ils n’étaient
pas tous porteur d’un message, le seul fait de me détendre, de nourrir des
énergies de légèreté, de joie, m’a insensibilisé à la tension générale
extérieure.
Les prières, les demandes de protection peuvent être efficaces si la foi est forte mais
elles ne libèrent pas de la peur, elles maintiennent dans le déni de son potentiel divin et leur effet
agit uniquement sur le mental qui se sent rassuré. Vous me direz, c’est mieux
que rien mais ça n’est pas la même chose que de lâcher prise, de s’abandonner. Beaucoup
de gens prient à genou et même si le contact des chakras avec l’énergie de la
Terre Mère, peut avoir un effet bénéfique, le fait que la position ne soit pas
confortable nourrit en plus l’idée de souffrance, de sacrifice, de devoir mériter la
grâce divine. On s’ouvre au divin dans la crainte, par peur de la punition, qu’un
malheur s’abatte sur nous. Et comme nous attirons ce sur quoi nous focalisons,
tôt ou tard, le retour sera difficile. Il ne s’agit pas vraiment d’humilité
mais de soumission. Ce positionnement maintient dans le rôle de la victime,
amplifie l’impuissance et le refus d’être responsable de soi.
Appeler le divin intérieur à l’aide, ne demande pas de se
soumettre mais d’ouvrir son cœur, d’accepter la vulnérabilité de sa
personnalité humaine, sans pour autant renier ses capacités, sa force. On
reconnait juste nos limites et la sincérité amène au cœur,
à l’humilité véritable.
J’ai remarqué que c’est lorsque je suis totalement sincère,
que ce soit dans ma colère, mes reproches, ou tout autre sentiment « négatif »,
que la connexion s’établit facilement et très intimement. Quand j’exprime
une colère sans l’énergie correspondante mais plutôt sur le ton de la
confidence, je sens l’amour divin et la clarté m’est donnée.
Par exemple si je
me plains d’avoir le sentiment d’être manipulée par le divin, une fois la
colère libérée de sa charge énergétique, le sentiment d’être victime passe et je vais voir l’enfant intérieur en souffrance légitime. Puis je
reconnais la peur derrière la colère, puis derrière elle, le manque de
reconnaissance, d’attention…Peu à peu, mon cœur s’attendrit par le contact
avec le divin et par la tendresse que j’ai pour mes aspects fragiles. Je passe
de la colère à la plainte, du jugement à l’amour de soi et de la source.
Voici quelques
vidéos d’humour pour commencer la journée portée par les énergies de dérision, de légèreté; du repos pour le mental :
Zidani « Des bébés échangés à la maternité »
Zidani « Pour ou contre les préservatifs dans les
collèges »
Paco « Un gagnant du loto ne se manifeste pas »
L’occasion de réfléchir sur sa relation à l’argent…
Artus « Un cuisinier qui a
perdu une étoile réprimande ses employés »
Artus « parodie des feux de
l’amour »
Garnier et Sentou « un sportif espagnol dopé »
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci