Mes nuits s’allongent à mesure que la paix s'installe en moi. Depuis que j’ai décidé de prendre en charge tout ce qui est en moi, pensées, émotions, voix, l’harmonie règne et change mon quotidien de façon extraordinaire. Ce mot signifie pour moi, ne plus être dans la souffrance, ne plus s’identifier à la victime, au malheur, mais par la responsabilisation, retrouver sa souveraineté, par l'acceptation de sa multidimensionnalité.
Pas besoin de contrôler puisque ce comportement est encore une forme de résistance à la vie, un mouvement induit par la peur, mais juste accepter ce qui est.
Il m’a fallu un certain temps pour croire que l’acceptation était la solution, pour oser l’appliquer au jour le jour mais maintenant, l’expérience ayant validé l’efficacité de cette attitude, je "fonce", je me laisse porter par le courant de la source, de la vie.
Tout devient fluide, facile, tout se décrispe, les barrages sont levés et l’énergie de vie circule librement, dans le "bon sens".
En
lisant le livre de Véronique Baudoux, « Divine sexualité », je
comprends encore mieux ce qui est en moi, et même si je peine à lire certains
passages, je ne force pas et les prises de conscience me permettent de
réaligner mes corps, d’ouvrir mes chakras.
Enfin j’anticipe un peu, pour le moment, c’est seulement le chakra racine qui retrouve son plein potentiel et déjà, ça change la vie !
Il m’a fallu deux soirs pour arriver à lire tout ce qu’elle dit à propos de ce centre énergétique. Pourtant, ça constitue une seule page ! Mais comme je me suis reconnue en chaque phrase, il a fallu intégrer jusque dans la chair, le sens des mots.
L'identification faisant appel à la mémoire, j'ai revisité certaines scènes de ma vie à partir de ces connaissances et c'est en les réinterprétant que ça s'est ajusté au niveau du mental puis l'info doit arriver jusque dans l'inconscient et le même "travail" s'effectue.
En parallèle, le dialogue avec les voix intérieures, le fait de leur expliquer les choses que j'intègre, favorise aussi la construction de nouvelles connexions neuronales et la dissolution des stratégies de défense basées sur la peur.
En apprivoisant ces "entités", la confiance qui s'instaure, amène l'énergie de l'amour, de la source de vie, qui leur donne "l'envie" d'exprimer leur lumière, leur potentiel qui se met alors au service de l'ensemble.
Ce "travail" s'effectue sur tous les plans et l’association cœur/conscience qui le réalise n'est plus entravée par quoi que ce soit puisque tous les éléments qui me constituent marchent ensemble dans la même direction. La douleur ressentie entre l’anus et l’orifice vaginal m’a confirmée que ce centre était fermé jusqu’alors, du moins qu'il était partiellement ouvert. J’ai littéralement senti un point à cet endroit, comme si l'énergie de vie ne pouvait pas passer la "porte".
Puis plutôt que de continuer ma lecture ou de chercher à en savoir plus, je me suis contentée de lâcher prise, et me suis endormie avec la certitude que le travail de nuit favoriserait son ouverture.
Le lendemain déjà, je vivais concrètement les conséquences de cet acte « chirurgical » énergétique. Je recopie quelques extraits du passage où elle explique le lien entre la blessure de rejet et le premier chakra, le chakra racine:
Enfin j’anticipe un peu, pour le moment, c’est seulement le chakra racine qui retrouve son plein potentiel et déjà, ça change la vie !
Il m’a fallu deux soirs pour arriver à lire tout ce qu’elle dit à propos de ce centre énergétique. Pourtant, ça constitue une seule page ! Mais comme je me suis reconnue en chaque phrase, il a fallu intégrer jusque dans la chair, le sens des mots.
L'identification faisant appel à la mémoire, j'ai revisité certaines scènes de ma vie à partir de ces connaissances et c'est en les réinterprétant que ça s'est ajusté au niveau du mental puis l'info doit arriver jusque dans l'inconscient et le même "travail" s'effectue.
En parallèle, le dialogue avec les voix intérieures, le fait de leur expliquer les choses que j'intègre, favorise aussi la construction de nouvelles connexions neuronales et la dissolution des stratégies de défense basées sur la peur.
En apprivoisant ces "entités", la confiance qui s'instaure, amène l'énergie de l'amour, de la source de vie, qui leur donne "l'envie" d'exprimer leur lumière, leur potentiel qui se met alors au service de l'ensemble.
Ce "travail" s'effectue sur tous les plans et l’association cœur/conscience qui le réalise n'est plus entravée par quoi que ce soit puisque tous les éléments qui me constituent marchent ensemble dans la même direction. La douleur ressentie entre l’anus et l’orifice vaginal m’a confirmée que ce centre était fermé jusqu’alors, du moins qu'il était partiellement ouvert. J’ai littéralement senti un point à cet endroit, comme si l'énergie de vie ne pouvait pas passer la "porte".
Puis plutôt que de continuer ma lecture ou de chercher à en savoir plus, je me suis contentée de lâcher prise, et me suis endormie avec la certitude que le travail de nuit favoriserait son ouverture.
Le lendemain déjà, je vivais concrètement les conséquences de cet acte « chirurgical » énergétique. Je recopie quelques extraits du passage où elle explique le lien entre la blessure de rejet et le premier chakra, le chakra racine:
Force
négative : Insécurité qui amène l’exclusion des autres, les préjugés et
une certaine illusion de supériorité
La
croyance qui en découle ; je n’ai pas de valeur...
Mode de
défense : Fuite physique ou dans l’imaginaire...s’enfuir avant d’être
rejeté...quitter avant d’être quitté...
Au
niveau de la sexualité ; onanisme ou anesthésie du désir"
J’ai
noté l’essentiel, ce qui peut aider à comprendre les raisons de son
comportement.
Je me retrouve parfaitement dans cette description et le fait d’avoir libéré toute notion de jugement envers moi-même, m’a permis de faire un constat clair, sans déni et c’est cette lucidité neutre qui a permis l’ouverture de ce centre. Comme j'ai lâché mentalement toute notion de bien/mal, le fait de reconnaître la personne que j’ai été toute ma vie, dans cette description, m’a amené à avoir plus de compassion pour ce personnage que j’ai incarné et à ne pas m’y identifier puisque ce n’est plus ce que je suis. Les conséquences sont énormes.
Je me retrouve parfaitement dans cette description et le fait d’avoir libéré toute notion de jugement envers moi-même, m’a permis de faire un constat clair, sans déni et c’est cette lucidité neutre qui a permis l’ouverture de ce centre. Comme j'ai lâché mentalement toute notion de bien/mal, le fait de reconnaître la personne que j’ai été toute ma vie, dans cette description, m’a amené à avoir plus de compassion pour ce personnage que j’ai incarné et à ne pas m’y identifier puisque ce n’est plus ce que je suis. Les conséquences sont énormes.
Au lieu de subir les effets négatifs dus à la mauvaise « utilisation » de ce centre, j’en goûte maintenant les effets bénéfiques ; le sentiment d’être parfaitement légitime, en totale sécurité, et un sens naturel de la fraternité, de l’égalité.
Plus besoin de se retirer du jeu de la compétition, plus besoin d’imposer son point de vue, être soi-même est suffisant.
Je le vivais intellectuellement,
j’étais convaincue de ces choses mais j’avais encore des difficultés à en faire ma réalité quotidienne. Même si j’avais fait un pas immense par
l’acceptation, ce n’était pas aussi concret, que depuis cette ouverture énergétique.
Le fait d’être en paix avec les voix intérieures et de leur avoir demandé leur coopération a permis de grandes guérisons "psychologiques" mais je n’étais pas encore dans mon plein potentiel puisqu’au niveau énergétique, il subsistait des blocages. Le mental a été guéri par l’amour mais les énergies peinaient à circuler librement partout. Et comme nous sommes multidimensionnels et traversé par toutes sortes d'énergie, rien n'est jamais acquis définitivement, tout change perpétuellement. C'est un processus d'intégration qui vise à être attentif à ses mondes intérieurs plutôt que de réagir...un chemin de patience
Le fait d’être en paix avec les voix intérieures et de leur avoir demandé leur coopération a permis de grandes guérisons "psychologiques" mais je n’étais pas encore dans mon plein potentiel puisqu’au niveau énergétique, il subsistait des blocages. Le mental a été guéri par l’amour mais les énergies peinaient à circuler librement partout. Et comme nous sommes multidimensionnels et traversé par toutes sortes d'énergie, rien n'est jamais acquis définitivement, tout change perpétuellement. C'est un processus d'intégration qui vise à être attentif à ses mondes intérieurs plutôt que de réagir...un chemin de patience
Depuis
deux jours, je bloque sur le deuxième chakra, je m’endors carrément au bout de
la première phrase que je n’arrive même pas à comprendre intellectuellement!
Plutôt que de me critiquer face à ce constat déplorable puisque les mots utilisés sont à la portée d’un enfant de dix ans, j’y vois simplement le signe d’un blocage évident à ce niveau là.
Je ne force rien, je laisse venir naturellement en acquérant plus de confiance en moi par l’amour, l’acceptation de mes « faiblesses », de mes blocages qui sont tout à fait légitimes vu mon passé. Je sais que tout comme pour le chakra racine, celui-ci retrouvera son plein potentiel.
Déjà, on ne peut pas dire qu’il soit totalement fermé d’ailleurs c’est impossible puisque sinon, on ne pourrait pas fonctionner du tout. La force positive de ce chakra étant la créativité, l’élan vital et la réalisation personnelle, je peux constater que j’ai progressé mais il reste encore à acquérir l’autonomie financière, et là, ça bloque.
Comme cette réalisation dépend de la confiance en soi, la guérison du premier chakra favorisera la guérison du deuxième et la résolution du problème. La dépendance aux cachets étant le résultat du mauvais fonctionnement des deux premiers chakras, leur guérison libérera la peur du manque et donc le besoin.
Plutôt que de me critiquer face à ce constat déplorable puisque les mots utilisés sont à la portée d’un enfant de dix ans, j’y vois simplement le signe d’un blocage évident à ce niveau là.
Je ne force rien, je laisse venir naturellement en acquérant plus de confiance en moi par l’amour, l’acceptation de mes « faiblesses », de mes blocages qui sont tout à fait légitimes vu mon passé. Je sais que tout comme pour le chakra racine, celui-ci retrouvera son plein potentiel.
Déjà, on ne peut pas dire qu’il soit totalement fermé d’ailleurs c’est impossible puisque sinon, on ne pourrait pas fonctionner du tout. La force positive de ce chakra étant la créativité, l’élan vital et la réalisation personnelle, je peux constater que j’ai progressé mais il reste encore à acquérir l’autonomie financière, et là, ça bloque.
Comme cette réalisation dépend de la confiance en soi, la guérison du premier chakra favorisera la guérison du deuxième et la résolution du problème. La dépendance aux cachets étant le résultat du mauvais fonctionnement des deux premiers chakras, leur guérison libérera la peur du manque et donc le besoin.
Je peux
maintenant savoir comment l’acceptation d’une situation, en permet la guérison.
Je disais avant que l’amour et la lumière guérissent de tout et c’est
effectivement le cas mais là, j’en vois le processus jusque dans la chair.
Cette connaissance va me permettre d’élaborer une « méthode de guérison »
basée autant sur la foi que sur l’aspect énergétique et physique des choses. Je
voulais proposer une aide sur une structure solide, quelque chose qui fasse le
lien entre le cœur, l’esprit et le corps et ça se met en place tranquillement
mais sûrement.
Je fonde
ma crédibilité, mon assurance à aider vraiment les autres sur ma propre
expérience et l’efficacité des outils utilisés. J’avais besoin d’amener sur le
plan matériel cette foi en l’humain divin encore trop abordable uniquement par
ceux qui croient en un dieu intérieur.
Le
problème, lorsqu’on est touché par son âme, c’est que très souvent ce sont les
souffrances qui nous amènent à trouver cette étincelle divine. Ce qui implique
une immense difficulté à être enraciné, incarné, capable d’autonomie socialement.
L'amour de soi étant basé uniquement sur l'amour du Soi, du divin, on se coupe du monde extérieur. Le corps physique est rejeté et on se focalise uniquement sur l’esprit. Mais le danger de se trouver perché entre deux dimensions est immense.
L'amour de soi étant basé uniquement sur l'amour du Soi, du divin, on se coupe du monde extérieur. Le corps physique est rejeté et on se focalise uniquement sur l’esprit. Mais le danger de se trouver perché entre deux dimensions est immense.
J’ai pu le constater à mesure que je rencontre
des gens « spirituels », sur Facebook ou dans la vie. Le rejet de leur incarnation, de l’aspect
matériel des choses, les empêche de vivre pleinement.
On se retrouve enfermé dans sa tête, au mieux dans son cœur mais en général, le rejet d’une part essentielle de soi ne permet pas la libre circulation de l’énergie de vie et elle se cristallise dans le corps physique provoquant des maladies, des symptômes, une sensation de division intérieure, qui maintient dans l’illusion de la séparation...
On à l'impression de ne pas être de ce monde, on veut fuir la réalité de celui-ci mais cette vision est le reflet de la relation à notre corps physique.
On se sent étranger dans son propre corps tant qu'on ne l'accepte pas en totalité, tant qu'on ne reconnait pas sa véritable valeur.
Si
j’utilise le terme humain divin, c’est parce que je constate que ces deux
aspect ont la même importance, qu’ils sont indissociables, essentiels, et en
créant un pont, puis en les unifiant, on trouve sa souveraineté, l’amour vrai
de soi et la capacité à vivre dans le monde, à partir de son cœur et de sa
conscience éclairée.
Nous
nous sommes créés entier, complets afin de devenir parfaitement autonomes et souverains,
d’être à l’image de la source, le créateur conscient de notre vie.
Nous
sommes des êtres constitués d’amour et de lumière et le but de l’incarnation,
c’est de le manifester dans la matière afin de participer à l’expansion de la
source, par le fait de grandir soi-même. Mais l’amour dans la matière n’est pas
juste un sentiment qui rend beau, c’est une énergie qui veut se diffuser, et
notre corps physique est constitué de telle sorte que c’est à travers nos mains,
nos gestes, notre bouche, nos paroles, que nous pouvons l’exprimer.
Lorsqu’on est en son cœur, lorsqu’on réalise l’unité intérieure, dans l’acceptation de tout ce qui nous constitue, ombre/lumière, masculin/féminin, humain/divin, l’énergie de la source nous parcoure entièrement et guérit tout sur son passage tout en rayonnant toujours plus loin. Nous n’avons même plus à vouloir la diriger sur quelque chose ou quelqu’un, dès que nous sommes ancrés et en même temps ouverts au niveau du cœur et de la conscience, tout se réalise naturellement.
Focaliser
son intention sur le meilleur n’est pas suffisant pour créer ce que nous
désirons parce que si le cœur ne participe pas à la création en s’exprimant
dans la relation à soi, sur le plan physique, ça reste un rêve, un idéal. Si nous ne sommes pas alignés l’énergie ne
peut pas circuler librement. Chaque peur, chaque sentiment d’infériorité ou de
supériorité nous empêche d’être dans l’amour vrai et nous créons
inconsciemment à partir de ces pensées là. On aura beau visualiser pendant des siècles, rien de ce que
nous espérons ne se réalisera.
C’est une bonne chose parce que tant qu’on rejette une part de soi, on ne peut vouloir quelque chose de juste. Si je demande à vivre l’abondance parce que j’ai peur du lendemain, tout ce que je vivrais me donnera l’occasion d’acquérir la confiance en soi. Concrètement, je serais face à des gens qui me renverront tout ce que je refuse de voir en moi, la peur, la colère, l’exclusion...
Quand je commence à me regarder avec amour en considérant que l’autre me renvoie l’écho de mon propre monde, je peux commencer à accueillir ces parts jusqu’alors refoulées. Ce n’est que lorsque je m’accepte entièrement que ça se débloque. Et ce qui est magique, c’est la rapidité avec laquelle ça s’effectue.
Quand j’ai tout accueilli en moi, ma vision des autres change totalement.
Non pas qu’ils soient différents mais leur comportement ne réveille plus rien en moi, il n’a plus aucun impact et je peux même voir ce qui les pousse à agir ainsi. Vient alors un sentiment de compassion parce que j’ai moi-même vécu de cette façon, dans le rejet, le déni de soi et donc l’accusation et le jugement.
Tout ce que l’on rejette en soi, on le voit amplifié en l’autre, énergétiquement, il y a une attraction et parfois même une fusion qui nous donnera l’impression d’être envahi par les énergies négatives de l’autre alors qu’en fait nos deux vibrations qui parce qu'elle se ressemblent, s'attirent, se mélangent et s'amplifient.
Mais quand on voit sa propre lumière, c’est ce que l’on voit aussi chez l’autre au lieu de voir ces « défauts » puisque de la même façon, énergétiquement, c’est cette vibration là qui rencontrera celle de l’autre et qui s’amplifiera par la reconnaissance, la ressemblance et l'échange vibratoire.
La loi d’attraction est trop souvent expliquée comme si c’était une baguette magique qui nous permettrait de créer le monde selon notre propre vision, de réaliser nos fantasmes, d’effacer purement et simplement tout ce qui ne nous convient pas.
Or
celle-ci agit avant tout selon notre vibration énergétique, la fréquence sur
laquelle nous nous situons. Si nous sommes dans le jugement, nous ne sommes pas
en notre cœur et c’est une vibration de division, née de la peur, de
l’exclusion qui s’exprimera, attirant à elle une vibration de même fréquence.
Notre bien-être, notre guérison ne peuvent s’effectuer que par l’énergie
d’amour et c’est en vibrant sur cette fréquence que ça se réalise, par la loi
d’attraction.
Pour
vibrer l’amour, il faut le vivre en soi, que cette énergie soit canalisée et
diffusée en tous nos corps ce qui implique d’aimer tout ce qui nous constitue.
Tant que
nous jugeons une part de nous-même, celle-ci va « revendiquer » son
droit légitime d’être, qui s’exprimera par un blocage énergétique provoquant un
mal-être que seule l’acceptation permettra de libérer.
On perd son temps et son énergie à accuser l’extérieur d’être responsable de nos malheurs. Même dans une situation où les apparences pourraient nous faire croire que nous sommes victimes, nous avons cocrée la situation. On peut le comprendre quand on voit à partir du cœur puisque c’est l’espace où résident notre âme et notre conscience.
Je vois
maintenant la vie comme un magnifique voyage qui me donne chaque jour, une
opportunité de faire de nouvelles découvertes et comme l’amour est maintenant
totalement libre de circuler en moi, ma vision change, mes vibrations changent
et mon quotidien se modèle en conséquence.
Le principe d’évolution, d’épanouissement est toujours le même, par l'ouverture du cœur et de la conscience et j’en témoigne depuis le début sur ce blog mais c'est un processus graduel qui doit se vivre sur tous les plans, dans tous les corps pour que ça se réalise effectivement, dans la vie de tous les jours.
Avec le recul il est évident que le premier obstacle au bien-être, ce qui fausse totalement la vision, c’est la notion de séparation, d’opposition et toutes ses déclinaisons ; le bien et le mal, le terrestre et le céleste, le charnel et le spirituel...mais nous sommes un tout parfaitement complet, créés à l’image de la source avec le même potentiel.
L’acceptation de ce qui est, peut sembler être une forme de reddition mais au contraire, c’est une façon d’inclure et donc de trouver la complétude qui mène la souveraineté dans toutes les dimensions de l’être.
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter
l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr