Josephine Wall |
La nuit
d’avant-hier m’a laissé un goût amer. En effet les souvenirs du rêve au moment
de mon réveil à 1h30, m’ont fait craindre de me recoucher. J’ai constaté depuis un certain temps déjà, que je
« bougeais » la nuit, que je voyageais ou que je revivais certaines
scènes coincées dans l’inconscient pour les réactualiser, les filtrer au
travers de l’amour. Un travail se fait pendant la nuit, notre corps astral se
ballade et les deux nuits passées m’ont amenées dans des sphères que je n’ai
pas du tout appréciées. Du coup, hier soir, d’instinct, je me suis fabriquée une
bulle de lumière dorée. J’ai demandé le soutien de la source père mère afin de
ne pas être embarquée par des entités, que des pensées sombres intérieures
pourraient attirer. Je n’aime pas trop demander une protection parce que c’est
une façon de nourrir la peur, l’impuissance et de se déresponsabiliser. Mais en réalisant que mon « bouclier » de la journée, c’était
d’affirmer mes choix, je me suis dit que la nuit, je ne pouvais pas utiliser ce pouvoir. Sauf en demandant à ma présence divine, à la source, de faire le
« travail » à ma place. La visualisation de cette bulle dorée, juste
le temps d’y penser, et le fait de faire un choix par anticipation a dû me
situer dans des sphères plus lumineuses parce que j’ai trop bien dormi cette
nuit ! Il était temps que je retrouve une nuit complète, réparatrice parce
que c’est essentiel à l’équilibre. L’énergie est renouvelée, et je peux
disposer d’une bonne réserve qui me permet d’agir avec enthousiasme. Je me rends compte une fois de plus que les
forces en jeu ne font pas dans la dentelle et le fait d’affirmer vouloir vivre
dans l’amour et la paix, amène naturellement les ombres intérieures et
extérieures à réagir. Je prends ça comme quelque chose de presque mathématique,
logique ainsi, je ne suis pas prise par la peur.
Josephine Wall |
J’ai remarqué que cette
énergie n’était plus trop en moi, du moins qu’elle s’était grandement apaisée
depuis que j’affirme mes choix avec détermination. Mais elles ont laissé la
place à la révolte, la tristesse, l’esprit critique...D’autres vibrations
lourdes peut-être plus difficile à reconnaître par leur caractère sournois. En
effet, il peut sembler légitime de réagir aux injustices du monde mais ça ne
fait que nourrir la division.
Je précise aussi que lorsque je parle de ma
vision des polarités et du jugement, je ne me situe pas du côté de l’ombre, je
ne fais pas de la pub pour eux ni ne me sens manipulée par ces énergies. Je
pense simplement que de vouloir vivre en paix, demande d’élever son regard
au-delà de la notion de bien et de mal afin de se situer dans le
juste milieu et d’utiliser les forces complémentaires comme une dynamique. Ce
qui ne veut pas dire non plus que je vais me mettre à invoquer les dévas, les
éléments, les puissances...
Tout les rituels ne sont qu’un moyen de nourrir la
peur, le besoin de pouvoir...même la visualisation est à la limite. Si j’ai
créé mentalement une bulle de lumière dorée, c’est parce que cette couleur
représente le Christ et c’est donc un moyen pratique et symbolique d’appeler ma
présence christique à prendre le relais de façon à ce que ça ne soit pas mon
inconscient qui prenne les rênes.
Je me
contente de constater que la nuit a été bien plus agréable que celles d’avant
et que le réveil est plus joyeux.
Je persiste à vouloir accepter ma dépendance
mais j’ai bien du mal à ne pas me laisser aller à la tentation de diminuer
progressivement. Parce que ça n’est pas du lâcher prise et tant que je me
focalise sur le problème, il amplifie. Comme je constate que le fait
d’accueillir, d’accepter ses émotions, est efficace, je veux appliquer ce
principe au problème de dépendance et « travailler » à libérer les
fausses croyances qui me poussent à avoir besoin de ces médicaments.
Evidemment, mon côté bélier, actif, est obligé de se calmer puisqu’on ne peux
pas porter la paix en soi en ayant un esprit de lutte, de compétition. Cette
théorie de l’acceptation me semble juste même si elle fait ressurgir des
aspects guerriers de ma personnalité, l’anarchiste, la rebelle...C’est là qu’il
est bon de se rappeler que tant que ces voix se manifesteront et que
j’essaierais de les nier, de les faire taire, elles ne seront que plus
violents. Tant que les points de vue intérieurs ne s’accordent pas, inutile de
nourrir le conflit.
J’étais
sur face de bouc, ce matin et un post m’a amenée sur une page intitulée
« quenelle d’or ». J’avoue que j’apprécie quand des injustices sont "révélées"
mais plus que tout, le fait que des jeunes et des flics ou l’armée, trouvent
des points d’entente. Ce qui rend le monde tel qu’il est, c’est le fait que
chacun regarde l’autre comme un ennemi. Les politiciens ont bien compris qu’en
divisant le « peuple » on en fait ce qu’on veut, en jouant sur les
peurs, les émotions, la jalousie...on peut faire passer n’importe quelle loi injuste
et même parfois cynique. Dans le « monde du travail », on oppose le
secteur privé aux fonctionnaires, les travailleurs aux chômeurs, puis les jeunes aux
vieux...et ça marche !
Josephine Wall |
Il est
bon de réveiller les gens, de leur faire prendre conscience de la réalité mais
pas en les poussant à la révolte extérieure. Enfin, il me semble que ça ne fait
qu’empirer les choses et c’est justement ce qu’attendent les gouvernants, qu’on
se bouffe entre nous. Le principe est toujours le même, on définit un bouc
émissaire et on lance la meute. La solution n’est donc pas là, mais bien dans la
prise en charge de son propre monde, de ses émotions, ses pensées, dans la
recherche consciente d’harmonisation intérieure.
Associer
les différents aspects de la personnalité, les énergies complémentaires, voilà
ce qui permet d’être plus libre et plus autonome. Je précise « plus »
parce qu’étant dans des corps physiques soumis aux lois de l’apesanteur tout
autant qu’aux lois universelles, on reste « limité » à certains
niveaux. Là encore, l’acceptation de la mort, le fait de regarder ses peurs en
face, d’amener sa vision à hauteur de celle du christ intérieur permet de mieux
se situer, de se libérer de fausses croyances. La notion d’absolu n’existe pas
sur notre plan d’existence terrestre, ça reste un concept et à moins de se
fondre dans le tout...Mais cet état sera atteint assez tôt le jour de notre
mort et la vie, même si on peut se fixer l’objectif de tendre vers le haut,
demeure selon ce que je crois, une occasion d’unifier avant tout, ce qui nous constitue,
de prendre conscience de tout ce qui semble opposé, peut se compléter de façon
pacifique, en se situant dans l’espace du cœur. Dès qu’on active le guerrier
intérieur, les stratégies de prédation se mettent en marche, l’inconscient
devient le « maître » des lieux.
En
repensant à ma demande de protection, j’ai lu un article d’Inelia Benz, sur son
site, qui parle des architectes de l’humain et de la terre, de ceux qui ont
« fabriqué » l’humain. J’avais déjà lu des théories sur les Annunaki,
les manipulateurs génétiques, mais comme je ne veux pas nourrir l'ombre, le passé, je
mettais ça de côté. Cette lecture m'a "confortée" dans la pertinence et la légitimité de ma demande de soutien à la source père
mère, hier soir. Je l'ai fait sans trop de « complexe » ou sans avoir la sensation de laisser
quelqu’un d’extérieur mener ma vie, décider pour moi. En effet, l’ego peut être
considéré comme un enfant, tant son goût pour les « pourquoi »,
« comment » est prononcé. De même que son ignorance amène à se dire
qu’une guidance est utile mais c’est là que ça se corse. Demander de l’aide à
un humain, c’est très périlleux puisque lui-même est faillible, appeler les
anges, pourquoi pas, bien qu’on ne sache pas toujours qui se présente, demander
aux guides aussi, puis finalement, je me suis dit autant s’adresser directement à la
source, aux « parents » de mon humanité. Entre humilité, dans le sens
de reconnaître ses limites, et souveraineté par la connaissance intime,
intuitive, d’être habitée du principe christique. Là encore, il est bon de se
situer au milieu puisque nous sommes composés tant de poussière de terre que de
poussière d’étoile. L’image de l’arbre me revient souvent en tête pour
illustrer ce que je suis, ce que tout humain divin est.
Josephine Wall |
La
conversation téléphonique avec ma mère hier soir, m’a montrée que je continue
d’avancer sur mon chemin, sur celui que Je me suis choisi. J’ai pu parler de
mon projet, qui prend forme peu à peu, sans me sentir obligée d’argumenter, de
justifier quoi que ce soit. Là aussi, l’acceptation, l’amour de véritable de
soi, sont des moteurs d’expansion de souveraineté, de maitrise. J’ai écouté un
livre audio de Louise Hay où je retrouve les enseignements de Lise Bourbeau
puisqu’elle les reprend en totalité. Je suis assez satisfaite de trouver autant
de points communs entre leurs affirmations et ma propre pensée, avant même
d’avoir eu connaissance de leurs écrits. Je suis partie sur la base, la
certitude viscérale d’être Un avec le Christ, d’être un humain divin et en
arrive aux mêmes raisonnements, conclusions.
Mes
premières lectures étaient les livres de Joéliah et les messages de son site,
vers 2004 et c’est sur cette base que je me suis formée, que j’ai laissé
émerger l’être nouveau que je suis. Un mélange de ressenti, d’expérience
interprétée au travers de ma foi en l’humain divin et de recoupement avec des
infos en résonance m’ont amenés à être qui je suis aujourd’hui, à sortir de la
prison du mental et des émotions pour finalement les « utiliser »,
les accueillir et en faire ma maison. Un lieu dans lequel je me sens bien,
enfin chez moi !
J’ai lu
un message reçu par channeling, de l’archange Michael, qui m’a semblé assez
juste dans l'ensemble à propos de notre vision de nous-mêmes, de la vie et particulièrement concernant les méditations mondiales. Il explique le fait que l’humain
est si ignorant de ce qu’est réellement l’amour que très souvent, ces
intentions relèvent plus de l’ego que du cœur. Même si ça part d'une "bonne" intention, tous ceux qui prient pour voir
la lumière triompher, le bien remporter la bataille, à mon avis, ne font que
nourrir l’esprit de lutte, de vengeance et perpétrer la dualité.
Tant qu’on
s’imagine détenir La vérité, avoir raison, et qu'on veut changer les autres, on se laisse aveugler par ses peurs
et les besoins qui en découlent. Nous sommes responsables uniquement de nous-même.
La vérité est très subjective au niveau humain et même la
vérité divine est relative, tout dépend du point de vue, de l’endroit où on se
situe. La vision d’un humain à propos du divin, n’est pas la même que celle
d’un ange, d’un défunt, d’un maitre, d’un Christ. Tous ont des bribes de vérité
plus ou moins conséquentes. A mon avis, on reçoit ce que notre conscience peut
entendre, supporter et comprendre et on ne pourra la saisir dans sa totalité
puisqu’il est question d’éternité et d’infini.
Déjà, se connaître, se voir
honnêtement et accepter les contradictions, les contraires, les différentes
dimensions qui nous constituent permet d’être en paix, en cohérence. Je ne
demande pas plus que de pouvoir accepter, harmoniser ce que je suis et me
sentir à l’aise dans mes godasses et mon environnement. C’est le sens d’une vie selon ce que je
pense.
Josephine Wall |
Finalement,
en ayant libéré la peur du flicage de Facebook, j’y trouve un intérêt grandissant.
Le fait de pouvoir connaître et contacter des individus que je n’aurais jamais
eu l’occasion de rencontrer dans la « vraie vie », est une chance. Des
personnalités différentes unies par les mêmes aspirations, portées par les
mêmes rêves, se côtoient librement et j’ose maintenant inviter des gens en
résonance à devenir des amis. Comme je ne suis plus dans la peur du rejet, les refus n'ont pas d'impact sur moi, c'est juste un moyen de connaitre l'autre par rapport à sa réaction. Même si au départ je trouvais le concept un peu
hasardeux et superficiel, finalement, c’est un bon outil de connexion au monde,
un moyen de se faire des amis à partir de l’âme, du cœur, comme dans les blogs.
Dans la vraie vie, de toute façon, comme la plupart des gens jouent un rôle, on
ne peut pas être sûr d’avoir affaire à la version réelle de ce qu’ils sont et
le terme « ami » n’a pas toujours une signification réelle. Au moins,
sur la toile, l’anonymat relatif, permet des relations un peu plus
transparentes, vraies, puis avec Facebook, c’est immédiat donc la spontanéité est favorisée. Encore une occasion
de trouver le juste milieu et de se fier à son intuition.
Je suis
contente de constater que mon bidon se porte de mieux en mieux ! Il faut dire que je
le chouchoute avec mon bandeau de laine pas très esthétique mais tellement
doux et chaud ! J’ai suivi mes envies en matière de nourriture et mes
repas ont été très liquides, soupe de potiron, salade, beaucoup de thé...
Quand on révise ses croyances, qu’on accueille ses
émotions, qu’on s’ouvre physiquement à la source de vie, il est normal que des
ajustements se fassent et que quelques "symptômes" apparaissent. Tous les corps ont besoin de s'aligner sur la nouvelle fréquence. Puis
l’inconvénient, -qui est aussi un avantage d’un autre côté- avec les
médicaments de type anti-dépresseurs, c’est que leur effet ne dure pas comme toute drogue, qu’il
faut très souvent augmenter les doses pour que perdurent les « bénéfices »
et comme je ne veux pas tomber dans ce piège, des symptômes de manque
apparaissent aussi à cause de ça. Maintenant que je comprends que ce
ressenti au niveau de l’estomac est « normal », qu’il est la
conséquence de ma difficulté à accueillir l’énergie de vie, j’apprends à
considérer cette sensation comme quelque chose de « positif ».
Déjà,
je n’en ai plus peur !
En décrispant cette zône par l’accueil des émotions,
qui sont suscitées par la résistance, peu à peu, j’intègre un peu plus d’amour,
de lumière et ces énergies m’aident dans mon travail intérieur, dans ma
guérison.
Là encore, je me demande s’il y a une fin à ce processus mais ce qui
compte, c’est d’être bien dans l’instant présent. Tant que le jeu de
l’harmonisation intérieure est joyeux et motivant, c’est le principal. Le jour
où j’en serais lassée je retournerais dans d’autres sphères.
En relisant un
article écrit l’année dernière, j’ai pu voir les progrès autant que la similitude
dans le discours ; la notion de bien et mal était tout aussi obsolète mais
il me fallait l’intégrer au quotidien. Je ne suis pas au bout mais j’ai pas mal
avancé, ma vie même en témoigne. 2013
a été intense au niveau des remises en question dans
bien des domaines et l'année n'est pas terminée! Espérons que 2014 soit plus légère, aérienne et
innovante, que le travail en profondeur de cette année porte ses fruits. Que je
puisse manifester mes rêves dans ma réalité. A ce propos, j’ai reçu des
vidéos de Lilou Macé qui interview une astrologue dont j’ai oublié le nom, je
les publierais bien que ça ne soit pas mon truc. Ce qui me pousse à le faire, c'est que j'aime bien la façon de Lilou de poser des questions et en plus, je suis tombée sur la page de Josephine Wall et j'y ai trouvé des peintures des signes du zodiaque. Il est toujours intéressant de
connaître le point de vue des autres et de le partager dans la mesure où il
semble honnête. Là encore, l’honnêteté n’est pas garante de vérité. On peut
être convaincu de choses totalement fausses et amener d’autres à y croire par
la force de conviction. Mais comme tout le monde dispose de la capacité de
discerner...