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Après
six heures de sommeil, je suis prête à créer cette nouvelle journée dans la
chaleur confortable de l’appart, à partir de la part la plus douce et tendre de mon être; mon cœur. Moi qui croyais devoir faire une croix sur le
bois "cadeau" promis par un voisin et bien j’ai pu constater une fois de plus, qu’en
étant dans la confiance totale en la bienveillance de la Terre Mère, et sans être dans l’attente, que tout arrive comme "tombé du ciel". Je vois en cette
livraison, l’expression de ma capacité à co-créer ma vie selon mes désirs
conscients, selon mon intention qui n’est plus entravée par des croyances
inconscientes nées de la peur et du manque d’amour de soi. Depuis que j’ai déménagé, en 2010
et que j’ai arrêté de fumer de l’herbe quotidiennement, j’observe ma vie avec
la certitude que celle-ci m’enseigne et me révèle tout ce que je suis. Que ce
soit dans mes aspects les plus profonds, inconscients, tout autant que dans mes aspects
divins, mon âme et ma présence divine. Je constate que chaque situation est ma
création et selon les conséquences agréables ou pas, je peux
réajuster mes croyances. Le plus gros travail que j’aie eu à faire, c’est de
retrouver une juste estime de soi, l’amour vrai pour toutes mes facettes. J’avoue
que j’ai douté par moments mais quelque chose arrivait me redonnant confiance
et foi en l’humain divin créateur de tout ce qu’il vit.
L’épisode le plus douloureux
fut la mort de Maya, là aussi quand on sait que "Maya", signifie « illusion »,
symboliquement, c’est fort. Puis quand j’ai accepté d’avoir créé cette
situation, au niveau de l'âme, j’ai pu en connaître les véritables raisons.
Maya |
Déjà, j’ai pu
déculpabiliser en me rappelant une scène où elle était à la fenêtre et me
regardait en me disant, « je n’en peux plus ». Elle était très
affaiblie et prenait beaucoup de mes énergies négatives, de plus, elle me
reflétait mon inconscient et chaque fois qu’une peur se manifestait en moi,
elle faisait un genre de crise d’épilepsie. On peut dire ce que l’on veut mais
je suis convaincue depuis toujours que les animaux domestiques sont des
assistants au niveau énergétique et spirituel. Elle m’a beaucoup appris et sa
dernière « leçon » ce fut son apparition après sa mort, me confirmant
définitivement l’éternité de l’âme, de la part invisible mais néanmoins réelle
de chaque être vivant.
Une fois
la culpabilité libérée et après avoir remercié l'âme de maitre du "chien assassin", j’ai pu voir le sens de ce drame. Non seulement le fait de l’avoir
vue en pleine forme m’a rassurée au sujet de la mort et m'a donné un aperçu du monde astral mais en plus, par le fait
qu’elle me reflétait mon inconscient, c’est comme si cette part de moi avait été
purifiée, élevée, ayant été rendue visible et donc guérie par l’accueil des
émotions et des pensées sombres.
Depuis trois ans, en interprétant ce que je
vis comme des messages de mon âme, du divin intérieur, j’ai pu avancer
considérablement dans la connaissance de soi et donc l’amour de soi. Il faut se
connaître en profondeur pour avoir accès à ses parts divines. Je ne parle pas
ici d’introspection compliquée puisqu’en étant simplement honnête vis-à-vis de
soi, en se regardant avec tendresse, on peut s’élever dans tous les sens du
terme. Réajuster son comportement en ayant de l’amour vis-à-vis de soi-même, en
acceptant ses faiblesses, ses défauts, en libérant définitivement l’idée qu’il
faille être comme ceci ou comme cela, en se contentant d’être soi-même, permet de
trouver le divin en son cœur et cette découverte amène la confiance en soi, en
la vie, en tout ce qui nous arrive.
Tout
nous enseigne, les gens qui nous reflètent des parts de nous-mêmes à aimer,
accepter, les situations de vie qui nous montrent non seulement notre capacité
à créer mais aussi notre degré d’amour propre. Les animaux qui nous reflètent
aussi notre situation énergétique, nous aident à savoir si des entités sont
présentes.
Les
synchronicités qui nous font des clins d’œil à longueur de temps, réveillant le
souvenir de notre vraie nature et le soutien des êtres de lumière, les rêves qui nous permettent de voyager hors
du corps et de connaître aussi notre inconscient et ses réajustements en cours.
"La Presse galactique" |
Depuis
que j’ai accepté de considérer les médicaments comme un soutien légitime,
ils n’ont plus autant d’emprise sur moi. Dès qu’on « diabolise »
quelque chose en soi, le conflit interne qui se créé diminue la fréquence
vibratoire, nous sort de la joie et amplifie encore plus notre vision négative
des choses, grossissant ainsi l’objet de nos peurs. Celle du manque est abordée
par mon intention de vivre l’abondance et il me suffit d’affirmer ce désir pour
que le sujet vienne sur le devant de la scène. La livraison de bois d’hier, m’a
montrée que je lâchais peu à peu cette peur. Le seul bémol qui me indique que
tout n’est pas net, c’est que ça s’est fait sous une pluie diluvienne. En même temps,
comme l’eau a le pouvoir de laver, je prends ça comme la confirmation du
travail qui se fait effectivement en profondeur.
Puisque j’ai accueillie la
facilité dans ma vie, à la longue liste de cadeaux au "Père Noël", -celui-ci
étant l’aspect masculin de la source-, et qu’elle est un ingrédient essentiel à
la libération des peurs liées au manque, j’interprète les choses de façon
simpliste mais néanmoins logique : comme je sais être créatrice de tout
ce que je vis et que j’ai accepté de cocréer avec mon âme tout ce qui fait mon
bonheur, il va sans dire que la puissance, le pouvoir sont maintenant en moi. Là aussi, la
facilité avec laquelle je gère le feu, contrairement à l’année dernière en dit
long. Non seulement l’approvisionnement en bois est facile, cadeau, mais en
plus, il n’y a eu aucun problème de fuite, de fumées, de coulures de bistres !
L’année dernière, les problèmes se succédaient. Et pourtant, ce matin un vent
violent, la tramontane, souffle très fort. Hier soir, j’ai un peu flippé quand
j’ai vu des retours de flamme, dus au vent, mais heureusement j’ai eu le bon réflexe d’accueillir
la peur et il n’y a pas eu d’incident. L’année dernière, le conduit a pris feu
au moins trois fois ! C’est plutôt impressionnant quand un bruit d’hélicoptère
en plein décollage se fait entendre ! Il y a dix mètres de tuyau alors la résonance est puissante, bref, je me suis fait peur plus d’une fois !
Je pense
aussi que la visite de mon âmie avec laquelle j’ai partagé au moins une vie
passée, à grandement participé aux libérations. Nous avons été moines cloitrés
ensembles, privés de tout, jusqu’à la parole et notre rencontre à rééquilibré
beaucoup de choses, dont je prends peu à peu conscience. J’ai d’ailleurs eu des "visons" assez parlantes, me confirmant mon ressenti
et les pensées particulières au sujet de nos retrouvailles. Nous avons guéries mutuellement
beaucoup de blessures et révisés des vieilles croyances, par le seul fait de
partager des moments, dans la paix malgré ce que nous vivions intérieurement et
extérieurement. Un travail a été effectué sans aucun doute. Ce n’est pas non
plus un hasard si ça s’est passé pendant l’éclipse de novembre...
Ainsi, j’ai
« travaillé » sur ma capacité à poser des limites et en même temps
libéré des vieux schémas, des vieilles croyances liées au manque, au besoin de privation,
de sacrifice qui n’engendrent que frustration et même perversion...
Accepter
d’avoir des besoins vitaux, physiques et y répondre est non seulement légitime
mais participe à augmenter l’amour de soi, la joie de vivre, le plaisir, c'est la meilleure façon de laisser l’amour se diffuser en soi et
guérir, alléger tout ce qui est lourd, d'élever notre taux vibratoire . Ainsi la
rencontre, ou du moins, la proximité du divin est confirmée.
signature illisible |
On n’accède
pas à nos aspects divins en se privant, en fayotant, en adoptant des postures
ou des rituels. Ce genre de comportement n’amène que frustration, jalousie,
besoin de privilège, et ouvre en grand la porte au monde invisible, aux entités
de basses fréquences.
Le divin
intérieur se révèle lorsque nous sommes purs.
Mais la pureté, c’est l’authenticité,
ça n’a rien à voir avec la morale.
Être pur, c’est être soi-même, dans tous les
aspects de l’humain divin. C’est accepter nos parts les plus enfantines,
rebelles, ignorantes et en mal d’amour. En les prenant en charge, en les
aimant, elles s’élèvent aussi, lorsqu’elles sont reconnues, elles s’associent
aux aspects plus éclairés et l’unité se réalise. A l’image de la source Père
Mère qui n’exclue pas, ne rejette pas.
Notre
aspect divin, notre présence divine, notre âme, ont crée notre personnalité humaine
telle qu’elle est, ainsi que le chemin sur lequel nous nous trouvons. Rejeter
une part de soi, ou ce que l’on vit, c’est en fait rejeter aussi le divin intérieur,
c’est douter de son "intelligence". Mais ça n’est que notre vision limitée qui
nous empêche de constater la pertinence de tout ce que nous sommes et vivons. On
pourrait dire, oui, c’est l’ego qui est gênant mais là encore, c’est un leurre. Il
agit selon ses connaissances et les directives de l’inconscient, selon l’instinct
de survie.
Quand on éclaire ces parts de soi, elles s’illuminent et l’amour absorbe ce qui est issu de la peur. L’énergie quelle bloquait se trouve libérée
et amplifie la confiance en soi. La peur n’est donc pas à bannir ou à voir
comme une ennemie, c’est juste de l’énergie de vie, bloquée, figée qui ne
demande qu’à circuler.
Très longtemps,
et encore parfois maintenant, j’avais carrément peur de la peur mais par l’amour et le
soutien du divin intérieur et par les enseignements de quelques personnes qui ont
osé regarder leurs ombres en face, je modifie ma vision de celle-ci. En
expérimentant l’accueil des émotions, je me familiarise peu à peu avec cette
technique, ce qui me permet de retrouver du pouvoir, par la "maîtrise" du corps
émotionnel.
Comme j’ai
pu vérifier l’efficacité du processus, je suis de plus en plus confiante en mes
capacités d’auto-guérison, j’aime encore plus tout ce que je suis, puisque je
découvre les choses à travers l’amour. Ceux qui avant me semblaient être des ennemis;
mon inconscient, mon corps émotionnel, mon corps mental, deviennent aujourd’hui une
magnifique équipe au potentiel infini.
Alors je
purifie tous ces petits corps en les aimant, en faisant circuler l’énergie de
la source en eux, en étant réceptive, ouverte. Ne rejetant aucun des aspects de qui je
suis, même ceux qui sont dans les réactions primaires. Je laisse dire, faire,
puis naturellement, tout s’aligne sur l’amour. A mesure que je cesse de me
critiquer, de me juger, de me sous évaluer ou encore de me la péter, de m’y
croire, je perçois les autres avec plus de tolérance. Ce n’est pas vraiment de
l’empathie, qui consiste à croire que l’autre est impuissant ou inconscient et qui
comporte le piège de se voir embarqué dans ses souffrances tout autant que de
se croire au-dessus de lui. Non, c’est juste une constatation du choix de vie
de chacun. Une observation à distance du mode de fonctionnement de l’autre qui
bien souvent est basé sur la peur, le manque d‘amour de soi. Mais je vois
aussi en eux, des aspects qui révèlent leur divinité intérieure.
Alors je me
contente de me remplir d’amour et de le rayonner, de témoigner de ce que je vis, en toute transparence.
James Phelps Marvin |
Je n’écris pas pour flatter mon ego en usant d’un
langage châtié, sophistiqué, démagogique, je parle avec le cœur et l’âme tout
comme je laisse s’exprimer mon enfant intérieur, cet aspect spontané de tout être
humain. C’est à ce niveau là, dans ce langage vrai, que nous pouvons nous
rejoindre. Beaucoup de mes lecteurs viennent de sites qui n’ont rien à voir avec
la spiritualité ou l’éveil et je m’en réjouis. Ceux qui ont besoin de se
trouver, sont ceux qui sont perdus, qui se croient « mauvais » ou
indignes. Même si certains parmi vous ont conscience de leur vraie nature, de leur
aspect divin, à moins d’accepter aussi la personnalité humaine et de réunifier
le tout, la sensation de manque, d’incomplétude sera présente et se manifestera
dans des difficultés à s’affirmer, à oser aimer la chair, la sexualité, tout ce
qui concerne le monde matériel. Les discours spirituels sont trop souvent très autoritaires, paternalistes, quasiment formatés, imprégnés d’une énergie de séparation, d’exclusion.
Le paraître, les postures, les recommandations quand ce ne sont pas des
injonctions, nourrissent des énergies de basses vibrations, de devoir, d’obligations
qui naissent toujours de la peur. J'ajoute que je suis ravie de pouvoir échanger avec ceux qui cheminent sur la voie de l'amour, qui cherchent le juste milieu, Tout le monde est bienvenu ici! Il est clair que ça constitue un immense soutien et ma joie d'accueillir des gens qui se cherchent et ignorent leur aspect divin, n'enlève rien à mon plaisir d'être lue par des personnes qui sont en parfaite résonance ou seulement à moitié.
L'amour ne saurait être limité ou limitant, exclusif et sélectif...
L'amour ne saurait être limité ou limitant, exclusif et sélectif...
Mais il
n’est pas mièvre, il ne sélectionne pas, ne s’exprime pas dans un discours
romantique ou même poétique. Même si les jolis mots sont agréables à l’oreille,
ils peuvent endormir, bercer dans l’illusion.
Nous sommes autant habités par la
lumière que par l’ombre et à moins de les unifier dans l’amour inconditionnel,
il y aura toujours un conflit intérieur qui nourrit l’illusion de la
séparation. Je ne dis pas non plus qu’il faille être vulgaire ou grossier mais
juste simple, vrai, spontané.
Le juste milieu ne peut se trouver par l’exclusion.
Jésus, cet être avec qui je me sens toujours très proche, n’était pas du genre mielleux !
Sa personnalité humaine associée au divin lui donnait une certaine assurance qui nait de l’amour de soi et permet d’oser être soi-même, dans tous
ses aspects. Les églises en font un ascète, célibataire mais il était vivant,
passionné, audacieux. Il faut beaucoup d’audace pour affirmer vouloir vivre
dans l’amour et la paix. C’était un personnage révolutionnaire qui parlait à
tout le monde, également, mangeait avec les « pêcheurs » et les
prostitués.
Bon, j’ai
pas mal de choses à faire aujourd’hui. La rivière gronde à cause de son courant
violent, amplifié par une grande quantité de pluie. La terre est gorgée d’eau
mais comme elle en avait besoin... Je laisse des récipients au jardin, pour connaître
la quantité de pluie tombée et ils sont remplis à ras bord !