mercredi 20 novembre 2013

Il est vital d’apprendre à écouter sa propre guidance


"Merci Terre Mère bienveillante de nos corps physiques" photo Yvonne Pfeifer


Levée un peu fatiguée à cause des allers et retours du jardin au cagibi, un sac de bois à la main, à chaque voyage, je me suis tout de même levée le cœur rempli de gratitude pour l’expansion de cœur et de conscience que je vis en ce moment. Même si je ne peux donner une explication précise des phénomènes expérimentés, à vrai dire ça n’a aucune importance puisque mon « rôle » est seulement de témoigner de ce qui se passe lorsqu’on devient conscient de sa vraie nature et qu’on choisi l’amour. Puis d’autres font ça très bien, dans les détails, abordant l’ascension d’un point de vue plus « technique ». Chacun par l’expression de la foi, participe à l’évolution de l’humain. On retrouve les mêmes « paliers » que sont la non dualité puis l’acceptation, que l’amour inconditionnel permet d’atteindre. On prend conscience de qui on est réellement de façon différente mais ce qui est particulier en cette période de l’humanité, c’est que nous recevons tous la lumière de la source qui permet à chacun de suivre sa propre voie, en suivant la voix de son âme, de son cœur. Le manque d’amour de soi et de confiance en sa capacité de s’affirmer peut pousser à agir par peur et à jalouser ou envier ceux qui semblent être un peu plus avant sur le chemin. Mais lorsqu'on connait l'itinéraire choisi par notre âme, et qu'on l'accepte, ce qui se passe autour n'a plus d'importance. 
L’ascension n’est pas une course même s’il est question de grandir, c’est un processus évolutif individuel même s'il peut devenir collectif. Il n’est donc pas utile de comparer, de juger ou de critiquer. On peut avoir évidemment un point de vue personnel mais il est vain de se croire au-dessus de quiconque puisque nous avons tous le même potentiel et ne pouvons pas agir à la place des autres.

"Facebook TransLight"

Chacun a son propre chemin, ses propres guérisons à effectuer, ses propres histoires karmiques à délier et sa seule responsabilité est son élévation personnelle. Néanmoins la seule façon de libérer le poids du karma, c'est de prendre conscience que nous sommes ici pour comprendre et appliquer l'amour en toutes circonstances et pour cette raison, il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises personnes, ni de bon ou de mauvais chemin. Il y a des humains divins en apprentissage, libres de choisir leurs expériences et capable de retrouver leur vérité. 
Il est logique de vouloir partager ses connaissances, ses « trouvailles », ses expériences et son ressenti mais il est bon de le faire par amour, avec joie. Par amour pour le divin en soi, pour l’élévation, l’amour, la paix et surtout parce que ça permet de vibrer dans la joie. C’est la meilleure façon de ne pas tomber dans les pièges de l’ego. 
Ceci dit, personne n’est à l’abri de "s’y croire", comme disent les enfants. Quand on est honnête avec soi-même, et que le désir sincère, c’est de vivre à partir du cœur, on ne reste pas bien longtemps dans cet état d’esprit qui éloigne du divin intérieur. Non pas qu’on soit « puni » mais tout simplement que notre fréquence vibratoire diminue, laissant un sentiment de solitude, de vide. 
Comme notre mental est un associé dans cette incarnation, nous ne pouvons l’éliminer et les risques de redescendre en fréquence seront toujours plus ou moins là. Mais ce qui est rassurant, c’est qu’à mesure que nous ouvrons notre cœur, les énergies divines affinent tout ce qui en nous est plus dense et en unifiant, en harmonisant nos corps, le risque devient moindre. Ainsi, trouver l’équilibre cœur ego se fait naturellement quand on choisit l’amour.
Ce qui est délicat c’est de définir ce qu’est réellement cette énergie. On a longtemps cru que celle-ci était « réservée » aux relations de couple, aux rapports filiaux mais heureusement, on découvre peu à peu non seulement que c’est avant tout une énergie mais qu’en plus celle-ci est en chaque cœur, et ne demande qu’à se diffuser en nous et autour. Petit à petit, on se rend même compte qu'elle est partout, qu'elle anime tout être, toute vie.
J’ai encore envie ce matin, de partager quelques lectures trouvées sur Facebook.com/TransLight et dans La Presse Galactique. J’apprécie ce site parce qu’il diffuse des messages de plusieurs sources, qui ne sont pas du tout semblables dans la forme, mais qui parlent malgré tout d’une seule voix ou d’un même cœur. Il y a aussi des infos à propos de l’évolution du monde au niveau sociétal et c’est une bonne chose puisque ça permet de constater l’évolution, la façon dont tournent les événements mondiaux.
Il est bon de connaître comment les autres vivent cette période spéciale mais il est vital d’apprendre à écouter sa propre guidance, à savoir décrypter les messages des corps mental, physique, émotionnel et de connaître les peurs qui restent enfouies dans l’inconscient afin de les entourer d’amour et de lumière. C'est en aimant tout ce qui nous constitue que le divin intérieur se révèle.
Le bien-être ressenti lors du processus de libération des énergies lourdes, est un moyen formidable de prendre conscience du divin en soi. Puis quand on voit comment ça change notre vie, la guidance est confirmé, et on constate que les guérisons sont bien réelles. Même si nous n'avons pas une vision de l'être de lumière que nous sommes.

Personne d’autre que soi ne connaît notre cœur, ses rêves, ses envies, ses blessures, ses besoins et retrouver la conscience de qui nous sommes réellement permet de devenir souverain. 

Pikabu.ru

Vous aurez compris que je suis plutôt "anarchiste" dans le sens où je ne veux suivre d’autre maitre que la source qui vit en moi. Comment pourrait-on parler de souveraineté, de maitrise, si celles-ci dépendaient d’un dieu extérieur, d’un maitre, d’un guide, d’un père?
Si le chemin était celui du disciple, nos guides et les anges se montreraient à tous et nous n’aurions plus qu’à les suivre docilement. Mais pourrait-on parler d’autonomie, de liberté et de réalisation ? La discipline n'est autre que la détermination dans ses choix.

Il est bon que certaines personnes puissent les contacter clairement et rendent témoignage de leurs expériences qui valident ainsi la réalité des mondes invisibles et nous enseignent à propos de ce que nous sommes en vérité. Mais ceci est utile pour apprendre à faire confiance à sa propre guidance, à avoir foi au divin intérieur.

Il n’y a pas d’être inférieur ou supérieur, selon ce que je crois mais seulement des êtres dans différents plans, dont le rôle est spécifique. Tout comme sur terre, en notre propre corps, par exemple, chaque organe a sa fonction bien déterminée. 

Les guides, les anges et les maîtres ne peuvent pas construire la paix en nous, ni sur terre, ils nous inspirent, nous guident mais c’est à nous de choisir ce que nous voulons vivre selon les enseignements qu’ils nous délivrent. 
De même qu’au niveau énergétique, ils peuvent nous envoyer de l’amour, de la lumière mais c’est à nous de recevoir ces énergies puis d’aligner nos corps de façon à ce que celles-ci non seulement nous inonde mais en plus qu’elles puissent aller jusqu’au cœur de nos cellules et de la terre mère.
Nous n’avons pas un corps physique pour faire « joli », il est un outil formidable de connexion, d’expérience d’unité. La possibilité d’unifier plusieurs dimensions en un seul corps est quelque chose de magnifique !
En tous cas, c’est ce que j’expérimente et je m’en réjouis car plus j’ai de l’amour pour tout ce que je suis, plus j’accepte ce qui est, et plus ma vie devient une expérience très agréable. 
Le cœur qui se remplit, les envies d’aimer tout le monde sans m’attacher à leurs défauts, c’est le résultat de ce choix d’amour.
Je ne suis pas non plus aveugle et suis consciente de mes propres ombres ou des moments où ma fréquence vibratoire s’abaisse mais comme ça n’est plus critiqué, jugé, comme j’apprends à accueillir ses énergies qui causent la sensation de redescente, je m’élève à nouveau.

Facebook "Coeurs d'Anges"

Je n’en suis pas encore au stade de voir l’amour et la lumière en chacun et partout mais ma vision s’accorde au cœur et à mesure que j’accepte mes défauts, ceux des autres diminuent considérablement. Du mois, ils ne m’affectent plus et vivre selon la loi de permissivité apporte énormément de satisfaction en même temps qu’un sentiment grandissant de liberté.
Je commence par publier un message de Nicky Hamid que j’aime bien pour sa façon de dédramatiser, de montrer que l’ascension, la guérison sont des choses tout à fait réalisables et grandement facilitées par le lâcher prise, l’abandon à la source en soi et de par la période spéciale que nous vivons. 
Il est clair que j’aurais été dubitative, l’année dernière tant je ramais. J’avais une estime de soi si basse que je créais problèmes sur problèmes. Tout était difficile, pénible. Je n’avais pas une totale confiance en l’amour, au divin intérieur que je sentais encore distant malgré ma foi en l’humain divin. Ce n’est pas très confortable quand on est dans cette phase là. Quand le doute nous envahit facilement, on perd la confiance en son âme. 
Mais heureusement, en étant déterminé à suivre la petite étincelle intérieure on amplifie notre foi et on prend courage pour affronter ses peurs. Lorsqu’on en a libérer une « certaine quantité », si on peut dire, on y voit déjà plus clair, on ressent et on comprend mieux ce qu’est l’amour. Mais ce parcours nous apprend aussi la patience, qui est une forme d’amour, de tendresse envers soi. Tant que nous sommes dans des vibrations de peurs, il est très difficile de sentir l’amour en soi mais une fois que le mental comprend l’intérêt de se libérer de la peur et surtout que le fait d’accueillir cette émotion, libère l’énergie de la source autrefois bloquée, l’expérience devient presque un jeu et on s’élève très vite puisqu’on lâche prise plus souvent et plus facilement.
Je viens de finir de lire le message de Nicky Hamid et je suis en parfaite résonance avec ce qu’il dit. Comment l’humanité pourrait-elle s’éveiller si ceux qui la composent n’avaient pas la possibilité de se retrouver, de retrouver la puissance de l’amour et de choisir d’être souverain, ici, sur terre, maintenant ?