dimanche 16 juin 2013

« ÊTRE…pardon et non dualité » vidéos André Harvey & Patrice Coquereau





On dirait que d’avoir regardé la vidéo hier après midi et surtout d’avoir affirmé haut et fort, mon intention de servir l’amour et la lumière en toutes circonstances, m’a donné un regain d’énergie et d’enthousiasme. Je me suis réveillée à 4h30 et me suis levée comme poussée à passer à l'action. C’est comme si quelque chose en moi disait :
« Les vacances sont terminées, l’heure est à l’engagement et à l’action ».

Non pas que je sente une obligation mais plutôt l’heure de choisir effectivement, de se positionner activement au niveau énergétique. Après, ma façon de faire reste la même, dans le désir d’unité intérieure et l’outil aussi ; le lâcher prise, l’acceptation de ce qui est, l’abandon total à l’énergie de mon âme, de mon cœur, de mon intuition. J’ai suffisamment de « preuves » par l’expérience, de la puissance de l’amour que je peux m’y fier quasiment les yeux fermés.

Pour me recentrer, hier soir, et élever mon taux vibratoire, j’ai suivi mon feeling et les synchronicités qui m’ont amenés à "tomber" sur deux vidéos que vous trouverez plus bas. Ce sont des interviews de personnes qui sont dans le même « délire » que moi, les mêmes « crédos », que la vie les a amenés à adopter. 
Ce n'est plus trop pour appuyer mon discours dans un besoin d'être crédible que je publie ces vidéos mais plutôt dans l'intention d'amplifier les énergies que j'aime diffuser, sur ce blog.
C'est réalisé par Lilou Macé. Bien qu’elle puisse déranger par son côté excessif ou ses grimaces, selon les commentaires laissés sur ces vidéos, dans You Tube, le monde a grandement besoin de ces énergies de l’enfant, la spontanéité, la sincérité et l’audace, issues du cœur. Le temps de séduire, d'agir pour trouver la reconnaissance extérieure, n'a plus de raison d'être. 


L’amour n’est pas une énergie tiède, doucereuse même si celui-ci amène à cheminer sur la voie du juste milieu. La vie étant un mouvement perpétuel, il ne s’agit pas d’avancer timidement en s’accrochant à des certitudes fixes, basées sur des peurs et le besoin de se rassurer qui va avec, mais d’oser être soi-même au risque de passer pour fou ou d’être tourné en ridicule. 
La critique est une tendance de l’être humain qui rejette la responsabilité de ses pensées, ses actes et ses émotions et elle ne peut disparaître à moins de se prendre en charge. 
Tout comme ses effets pervers n’atteignent pas une personne qui est sûre de ses convictions, d'être sur son chemin, dans l'acceptation de tout ce qu'elle est.

J’ai longtemps hésité à m’engager à servir l’amour et la lumière de façon claire et sûre à cause des doutes qui planaient encore, la peur d'être obligée, contrainte, coincée. L'incompréhension, la mauvaise interprétation de ce que sont en réalité la puissance, l'audace et la peur de se planter. 
Je mélangeais pouvoir et puissance, audace et affirmation, volonté et désir du cœur. La peur de l’engagement, de perdre ma liberté, la difficulté de bien comprendre ce que c’est que de suivre réellement son cœur, le fait de ne pas oser s’affirmer, coupaient mon élan...

Tout ce que j’ai vécu ces derniers temps, m’a amené à grandir. C’est justement parce que ce fut intense que les résultats sont là. Il m’a fallu un certain temps mais surtout un degré de ras le bol et de tension suffisants, pour lâcher prise.

Je vais continuer de confectionner mes décrets personnalisés, adaptés à la situation du moment de façon à acquérir plus d’autonomie, de force et de capacité de recentrage. 
Pour le moment, je ressens le besoin de grouper les textes qui m’ont amenés, par résonance à affirmer ma foi ici, avec certitude et conviction. 

Il va sans dire que suivre son cœur est essentiel mais il ne saurait se passer de la conscience qui passe par le mental, ou du mental supérieur, comme certains le nomment mais cette appellation sent trop la dualité pour que je l’utilise. 
Je suis convaincue que l’acceptation, la voie du cœur, amènent l’énergie christique à se déverser et à faire son œuvre sans avoir besoin de tout comprendre dans les détails. 
Mais d’un autre côté, l’un ne va pas sans l’autre et le dosage ou plutôt l’équilibre intérieur amène à pouvoir danser la vie sans se soucier du regard extérieur.
Je vous laisse déjà découvrir les vidéos précitées.


"L’ultime pardon" André Harvey, Québec interviewé par Lilou Macé



"La quête de tout homme, c'est le plaisir". Voici une de ses affirmations à laquelle j'adhère totalement depuis que j'aie libérée l'idée de souffrance, la notion de jugement. 
Nos sommes tellement imprégnés des croyances du monde, de celles "adoptées dans des vies antérieures" que nous finissons par croire que la joie est "supérieure" au plaisir mais celle-ci est de la même nature.

J'avais du mal à accepter le plaisir comme quelque chose de légitime mais c'est essentiel. Quand on se dit spirituel, on s'éloigne tant du corps physique qu'on renie nos pulsions les plus vitales. 
Tout comme la nécessité de libérer les vœux de pauvreté, ceux de chasteté sont aussi à réviser, à éliminer. En commençant par libérer tout besoin de souffrance, on passe par l'appel de la joie pour finalement s'autoriser à vivre dans le plaisir. 
Il ne s'agit pas de se vautrer dans la "luxure" mais de reconnaitre ses besoins comme légitimes et pures. Tout en nous est sacré et divin. 
Ce thème fera l'objet d'un autre message, le jardin m'appelle! 


"Non dualité pour retrouver sa vraie nature", Patrice Coquereau interviewé par Lilou



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