Pascal Duvet |
« Nous
ne sommes pas partisans d’une vie longue. Nous sommes partisans d’une vie
joyeuse, car lorsque vous êtes dans la joie, la longévité suit généralement.
Nous n’estimons donc pas le succès d’une vie en fonction de sa longueur ; nous
l’estimons en fonction de sa joie. »
Abraham,
publié dans La presse galactique
Voilà ce
que je me dis depuis que je suis adolescente. A quoi bon vivre si c’est pour se
trainer, s’ennuyer ? Pour durer dans le temps ? Mais le temps n’est
qu’une illusion tout comme la mort. Je ne sais pas si c’est le fait de lâcher
les médocs mais je suis désabusée. Tout me semble vain. Dès que quelque chose m’enthousiasme,
en l’espace d’une demi-journée, ça perd totalement l’intérêt premier. C’est une
bonne chose en soi, j’y vois la bienveillance de mon âme. Puisque tout est
éphémère, à quoi bon s’accrocher à quoi que ce soit ? Et puis s’accrocher
n’est autre que l’expression d’une peur, celle de tomber. Celle de perdre, puis
finalement, celle de s’abandonner.
Quand j’étais
enfant, au moment où j’allais m’endormir, j’avais une sensation désagréable de
tomber dans un puits sans fonds ou comme si je ratais une marche. C’était peut-être
déjà la peur de la mort et de l’abandon qui se manifestaient.
Aujourd’hui,
bien que mon corps émotionnel s’exprime plus ouvertement, je n’ai plus de
sensation de peur. Il faut dire aussi que je ne prends pas trop de risques. Ce
n’est pas que je m’en fous de tout mais pas loin. Je suis dans un laisser aller
complet. C’est de pire en pire. Je fais vraiment selon l’instinct, l’envie,
négligeant totalement l’heure. Mes seules contraintes sont celle du temps qu’il
fait. Il y a une telle paix, une telle liberté dans cet état d’être que je ne
culpabilise même pas. Le fait que je dise "laisser aller" plutôt que lâcher prise
montre qu’il y a quand même un soupçon de culpabilité mais je me dis que c’est "normal",
selon mon sens de la normalité.
Just channeling |
J’ai
reçu un mail hier, d’une lectrice de la
Presse Galactique qui me disait qu’elle était déçue par mon manque de
connaissance en matière de sexualité. Je ne me suis pas sentie dérangée bien
que j’ai éprouvé le besoin de lui répondre. Peut-être que cela dénote le besoin
de se justifier. Je lui ai dit la vérité, je ne fais que témoigner de ce que je
vis et ne prétends pas du tout connaître ou savoir. D’autant que je considère
qu’il y a autant de chemins que d’individus et que c’est en cela que la
différenciation prend tout son sens. C’est justement la diversité des points de
vue qui permet une meilleure approche du tout.
Pour peu qu’on ne défende pas
exagérément sa propre façon de voir, qu’on ne s’y accroche pas comme à une
vérité absolue.
Je considère que nous sommes dans une exploration.
Pour cette
raison, il n’y a rien à gagner, à perdre, à prouver, à justifier.
J’ai écouté le
ivre audio, partie 1, du livre d’Abraham, d’Esther et Jerry Hicks, et j’y ai retenu
la loi de permission que je ne connaissais pas. Déjà pour ce qui est de la loi
d’attraction, il me semble que la compréhension qu’en ont la plupart des gens,
est totalement à côté de la plaque. Il ne s’agit pas de créer comme avec
une baguette magique. Ils expliquent une loi universelle, qui veut que nous attirions ce
que nous pensons. Mais comme nous sommes plus inconscients que conscient, il est
clair que nous ne maitrisons pas nos créations. La recommandation majeure qu’ils
mettent en avant, c’est la nécessité de surveiller ses pensées. Enfin, la
compréhension que j’en ai est celle-ci. Je ne prétends pas avoir raison mais il
me semble que si l’acceptation est la posture qui permet la paix intérieure,
vouloir interférer me semble être un besoin de l’ego de contrôler, maîtriser. Bien sûr ça n'empêche pas de vouloir focaliser sur le positif et de libérer les fausses croyances, au contraire. Il n'est pas non plus question de finir par subir. Accepter n'est pas, tout tolérer. Nous avons le choix en toute chose, celui de porter note attention sur ce que nous voulons. Mais au final, on ne décide pas grand chose puisque tant de facteurs interviennent. Pour cette raison, il me semble que la capacité à accepter ce qui est, permet un plus grand confort dans le moment présent et donne suffisamment de recul pour voir plus clairement, de façon neutre.
Je mets
la vidéo de telle façon que vous puissiez vous rendre compte par vous-mêmes
puisqu’il n’y a rien de tel pour "savoir".
Abraham,
Esther et Jerry Hicks (diffusé par (Koyeba)
"Créateurs d'avant garde" Abraham par Esther et Jerry Hicks
"Créateurs d'avant garde" Abraham par Esther et Jerry Hicks
Demandez
et vous recevrez(cliquez sur le lien pour voir ma vidéo sur Youtube)
D’ailleurs,
ils insistent aussi beaucoup sur la nécessité d’écouter son ressenti et non les
voix intérieures. Si tu es à l’aise, c’est que ça te correspond, sinon c’est
que ça n’est pas pour toi. Ce qui ne veut pas dire que ce soit faux. Enfin,
la loi de permission veut que nous acceptions le choix des autres afin de ne
plus être frustré par ce qui nous entoure et aussi d’être totalement libre et
permissif avec soi-même, ce qui va de pair.
En effet, quand nous pointons du
doigt l’attitude de quelqu’un, c’est que le comportement de l’autre éveille une
frustration intérieure, un rejet, une forme de déni de soi. Si on interroge ce
malaise, on sera étonné d’y voir notre propre comportement, l’interdiction d’être
que l’on s’impose.
Quand on n’accepte pas le comportement de l’autre, quel qu’il
soit, c’est qu’on tend à vouloir imposer son propre point de vue au monde
extérieur, on nie le droit d’être de l’autre et en même temps le sien.
Puisque
nous sommes ici pour expérimenter, apprendre, comprendre, les notions de valeurs,
de jugement sont totalement déplacées.
Pour
prendre la vie comme une école, un jeu, il faut être affranchi des notions de
bien et mal, de la peur de la mort.
Il faut avoir pour cela, une vision juste
et honnête de soi-même.
Personne n’est parfait, ça n’est pas le but de cette
vie. Pour ça, il nous suffirait de retourner à la source père mère, de mourir. Retourner
à l’état de conscience pure.
Mais, nous avons choisi de prendre un corps, d’expérimenter
plusieurs corps en un.
Un petit sous ensemble du grand ensemble afin de
réaliser l’unité à notre petite échelle.
J’ai
gueulé contre le gamin du coin, hier, qui me demandait de lui donner des vers
de terre alors que je bêchais. C’était pour nourrir "son" orvet. Je lui ai dit qu’un
animal sauvage était fait pour vivre libre et que de vouloir l’enfermer était
injuste. Lui ai demandé s’il aimerait qu’on l‘enferme dans un bocal...
Puis,
après je me suis dit que j’avais aussi fait ça enfant et que c’était un moyen d’expérimenter, de vouloir observer la vie, l'inconnu, l'autre, expérimenter son pouvoir. Bref, je
me suis dit que pour la permissivité, je pouvais repasser !
Puis, je me
suis appliquée à moi-même cette idée d’être ici pour aussi faire des erreurs et
que celles-ci me permettaient de rectifier ma position. Je me suis vue tel le chien
qui s’accroche à son os et ça m’a fait marrer !
"Mother Earth Ir" |
Je me
suis couchée à 21h, hier soir. J’avais envie de dormir et pour une fois, je n’ai
pas lutté contre. Du coup, j’étais réveillée à 4h. Il semble que le ciel soit à
la pluie. Il va falloir optimiser la situation. La terre est lourde et la
travailler est assez difficile dans de telles conditions. Même le désherbage
est pénible puisque la terre colle aux racines.
Je prends comme ça vient. D’un
côté, je me dis que c’est une bonne chose parce que je ne culpabiliserais pas d’être
au clavier.
Ce n’est pas évident de lâcher la culpabilité, l’auto-critique, le
jugement. L’ego peine à céder. La peur d’un laisser aller proche de l’aquoiboniste,
se manifeste.
Tant que je m’occupe de mes corps avec tendresse, amour et
respect, c’est tout ce qui compte. J’en suis à la phase de vouloir guérir en
profondeur et peu importe le temps que ça prendra. La liberté est au bout même
si je suis consciente qu’elle restera relative.
Allez, j’ai
l’estomac qui brûle. C’est normal ! Je vais quand même jeter un œil sur le
livre de Lise Bourbeau, mon dictionnaire médical! Manque de mémoire, j’ai déjà regardé.
C’est en plus un des symptômes du sevrage. Donc tout est logique.
Je viens
de me rendre compte que j’ai oublié de prendre 0,5 mg de cachet hier ! Pas
étonnant que j’aie tout ces petits malaises. D’un autre côté, ça me montre que
je suis capable de réussir à gérer le manque, cool !
Je suis
allée sur un blog hier et la confusion ressentie m’a amené une douleur aiguë
dans l’abdomen. Dès que j’ai cessé de lire et suis sortie du blog, plus rien. Comme
en plus, je dois avoir mes règles, je me suis dit, une fois de plus que tout normal.
Mon
hypersensibilité me montre à quel point tous mes corps me parlent. Je somatise
direct. C’est flippant quand on croit à la médecine toute puissante mais quand
on sait que le divin en nous s’exprime à travers le ressenti, à travers tous
nos corps, ça devient presque rassurant
de se savoir guidée instantanément. Encore une fois, ça n’est pas que ce que j’ai
lu est faux, c’est juste que ça ne m’éclaire pas, que ça ne me parle pas, ne me
correspond pas.
Photos trouvées sur http://facebook.com/TransLight
Suite de la vidéo d'Abraham à venir dans un prochain message.