dimanche 24 mars 2013

Chacun sa route, chacun son chemin... livre audio "Créateurs d'avant garde", Abraham par Esther et Jerry Hicks



Pascal Duvet

« Nous ne sommes pas partisans d’une vie longue. Nous sommes partisans d’une vie joyeuse, car lorsque vous êtes dans la joie, la longévité suit généralement. Nous n’estimons donc pas le succès d’une vie en fonction de sa longueur ; nous l’estimons en fonction de sa joie. »
Abraham, publié dans La presse galactique
 
Voilà ce que je me dis depuis que je suis adolescente. A quoi bon vivre si c’est pour se trainer, s’ennuyer ? Pour durer dans le temps ? Mais le temps n’est qu’une illusion tout comme la mort. Je ne sais pas si c’est le fait de lâcher les médocs mais je suis désabusée. Tout me semble vain. Dès que quelque chose m’enthousiasme, en l’espace d’une demi-journée, ça perd totalement l’intérêt premier. C’est une bonne chose en soi, j’y vois la bienveillance de mon âme. Puisque tout est éphémère, à quoi bon s’accrocher à quoi que ce soit ? Et puis s’accrocher n’est autre que l’expression d’une peur, celle de tomber. Celle de perdre, puis finalement, celle de s’abandonner.
Quand j’étais enfant, au moment où j’allais m’endormir, j’avais une sensation désagréable de tomber dans un puits sans fonds ou comme si je ratais une marche. C’était peut-être déjà la peur de la mort et de l’abandon qui se manifestaient.


Aujourd’hui, bien que mon corps émotionnel s’exprime plus ouvertement, je n’ai plus de sensation de peur. Il faut dire aussi que je ne prends pas trop de risques. Ce n’est pas que je m’en fous de tout mais pas loin. Je suis dans un laisser aller complet. C’est de pire en pire. Je fais vraiment selon l’instinct, l’envie, négligeant totalement l’heure. Mes seules contraintes sont celle du temps qu’il fait. Il y a une telle paix, une telle liberté dans cet état d’être que je ne culpabilise même pas. Le fait que je dise "laisser aller" plutôt que lâcher prise montre qu’il y a quand même un soupçon de culpabilité mais je me dis que c’est "normal", selon mon sens de la normalité.

Just channeling
J’ai reçu un mail hier, d’une lectrice de la Presse Galactique qui me disait qu’elle était déçue par mon manque de connaissance en matière de sexualité. Je ne me suis pas sentie dérangée bien que j’ai éprouvé le besoin de lui répondre. Peut-être que cela dénote le besoin de se justifier. Je lui ai dit la vérité, je ne fais que témoigner de ce que je vis et ne prétends pas du tout connaître ou savoir. D’autant que je considère qu’il y a autant de chemins que d’individus et que c’est en cela que la différenciation prend tout son sens. C’est justement la diversité des points de vue qui permet une meilleure approche du tout. 
Pour peu qu’on ne défende pas exagérément sa propre façon de voir, qu’on ne s’y accroche pas comme à une vérité absolue.
Je considère que nous sommes dans une exploration. 
Pour cette raison, il n’y a rien à gagner, à perdre, à prouver, à justifier. 
J’ai écouté le ivre audio, partie 1, du livre d’Abraham, d’Esther et Jerry Hicks, et j’y ai retenu la loi de permission que je ne connaissais pas. Déjà pour ce qui est de la loi d’attraction, il me semble que la compréhension qu’en ont la plupart des gens, est totalement à côté de la plaque. Il ne s’agit pas de créer comme avec une baguette magique. Ils expliquent une loi universelle, qui veut que nous attirions ce que nous pensons. Mais comme nous sommes plus inconscients que conscient, il est clair que nous ne maitrisons pas nos créations. La recommandation majeure qu’ils mettent en avant, c’est la nécessité de surveiller ses pensées. Enfin, la compréhension que j’en ai est celle-ci. Je ne prétends pas avoir raison mais il me semble que si l’acceptation est la posture qui permet la paix intérieure, vouloir interférer me semble être un besoin de l’ego de contrôler, maîtriser. Bien sûr ça n'empêche pas de vouloir focaliser sur le positif et de libérer les fausses croyances, au contraire. Il n'est pas non plus question de finir par subir. Accepter n'est pas, tout tolérer. Nous avons le choix en toute chose, celui de porter note attention sur ce que nous voulons. Mais au final, on ne décide pas grand chose puisque tant de facteurs interviennent. Pour cette raison, il me semble que la capacité à accepter ce qui est, permet un plus grand confort dans le moment présent et donne suffisamment de recul pour voir plus clairement, de façon neutre.
Je mets la vidéo de telle façon que vous puissiez vous rendre compte par vous-mêmes puisqu’il n’y a rien de tel pour "savoir". 


Abraham, Esther et Jerry Hicks (diffusé par (Koyeba) 
"Créateurs d'avant garde" Abraham par Esther et Jerry Hicks


Demandez et vous recevrez(cliquez sur le lien pour voir ma vidéo sur Youtube)




D’ailleurs, ils insistent aussi beaucoup sur la nécessité d’écouter son ressenti et non les voix intérieures. Si tu es à l’aise, c’est que ça te correspond, sinon c’est que ça n’est pas pour toi. Ce qui ne veut pas dire que ce soit faux. Enfin, la loi de permission veut que nous acceptions le choix des autres afin de ne plus être frustré par ce qui nous entoure et aussi d’être totalement libre et permissif avec soi-même, ce qui va de pair. 
En effet, quand nous pointons du doigt l’attitude de quelqu’un, c’est que le comportement de l’autre éveille une frustration intérieure, un rejet, une forme de déni de soi. Si on interroge ce malaise, on sera étonné d’y voir notre propre comportement, l’interdiction d’être que l’on s’impose. 
Quand on n’accepte pas le comportement de l’autre, quel qu’il soit, c’est qu’on tend à vouloir imposer son propre point de vue au monde extérieur, on nie le droit d’être de l’autre et en même temps le sien. 
Puisque nous sommes ici pour expérimenter, apprendre, comprendre, les notions de valeurs, de jugement sont totalement déplacées.
Pour prendre la vie comme une école, un jeu, il faut être affranchi des notions de bien et mal, de la peur de la mort. 
Il faut avoir pour cela, une vision juste et honnête de soi-même. 
Personne n’est parfait, ça n’est pas le but de cette vie. Pour ça, il nous suffirait de retourner à la source père mère, de mourir. Retourner à l’état de conscience pure. 

Mais, nous avons choisi de prendre un corps, d’expérimenter plusieurs corps en un. 
Un petit sous ensemble du grand ensemble afin de réaliser l’unité à notre petite échelle.
J’ai gueulé contre le gamin du coin, hier, qui me demandait de lui donner des vers de terre alors que je bêchais. C’était pour nourrir "son" orvet. Je lui ai dit qu’un animal sauvage était fait pour vivre libre et que de vouloir l’enfermer était injuste. Lui ai demandé s’il aimerait qu’on l‘enferme dans un bocal...
Puis, après je me suis dit que j’avais aussi fait ça enfant et que c’était un moyen d’expérimenter, de vouloir observer la vie, l'inconnu, l'autre, expérimenter son pouvoir. Bref, je me suis dit que pour la permissivité, je pouvais repasser ! 
Puis, je me suis appliquée à moi-même cette idée d’être ici pour aussi faire des erreurs et que celles-ci me permettaient de rectifier ma position. Je me suis vue tel le chien qui s’accroche à son os et ça m’a fait marrer !

"Mother Earth Ir"
 Je me suis couchée à 21h, hier soir. J’avais envie de dormir et pour une fois, je n’ai pas lutté contre. Du coup, j’étais réveillée à 4h. Il semble que le ciel soit à la pluie. Il va falloir optimiser la situation. La terre est lourde et la travailler est assez difficile dans de telles conditions. Même le désherbage est pénible puisque la terre colle aux racines. 
Je prends comme ça vient. D’un côté, je me dis que c’est une bonne chose parce que je ne culpabiliserais pas d’être au clavier. 
Ce n’est pas évident de lâcher la culpabilité, l’auto-critique, le jugement. L’ego peine à céder. La peur d’un laisser aller proche de l’aquoiboniste, se manifeste.
 Tant que je m’occupe de mes corps avec tendresse, amour et respect, c’est tout ce qui compte. J’en suis à la phase de vouloir guérir en profondeur et peu importe le temps que ça prendra. La liberté est au bout même si je suis consciente qu’elle restera relative.
Allez, j’ai l’estomac qui brûle. C’est normal ! Je vais quand même jeter un œil sur le livre de Lise Bourbeau, mon dictionnaire médical! Manque de mémoire, j’ai déjà regardé. C’est en plus un des symptômes du sevrage. Donc tout est logique.
Je viens de me rendre compte que j’ai oublié de prendre 0,5 mg de cachet hier ! Pas étonnant que j’aie tout ces petits malaises. D’un autre côté, ça me montre que je suis capable de réussir à gérer le manque, cool !
Je suis allée sur un blog hier et la confusion ressentie m’a amené une douleur aiguë dans l’abdomen. Dès que j’ai cessé de lire et suis sortie du blog, plus rien. Comme en plus, je dois avoir mes règles, je me suis dit, une fois de plus que tout normal.
Mon hypersensibilité me montre à quel point tous mes corps me parlent. Je somatise direct. C’est flippant quand on croit à la médecine toute puissante mais quand on sait que le divin en nous s’exprime à travers le ressenti, à travers tous nos corps, ça devient presque rassurant de se savoir guidée instantanément. Encore une fois, ça n’est pas que ce que j’ai lu est faux, c’est juste que ça ne m’éclaire pas, que ça ne me parle pas, ne me correspond pas.

Photos trouvées sur http://facebook.com/TransLight
Suite de la vidéo d'Abraham à venir dans un prochain message.