Cette
journée a été calme, tranquille, ça fait du bien !
Pas de
problème avec le poêle, pas un cri, ni en moi, ni dehors.
Même les
plaintes de la voisine qui m’a tenue la jambe pendant un quart d’heure ne m’ont
pas perturbée. Je ne m’en suis pas voulue de l’avoir écoutée, je n’ai pas
ressassé ce qu’elle m’a dit...On dirait que la volonté d’être dans l’acceptation
de ce qui est, commence à porter ses fruits.
J’ai
passé plus d’une heure au jardin, à tailler les framboisiers, à bricoler à profiter du soleil, à m'oxygéner.
J’ai senti mes
joues fraîches comme quand j’étais gamine ! Une sensation des plus agréables,
on sent la vie qui circule en soi, l’impression de rajeunir, la sensation d’exister
pleinement. Il y a bien longtemps que je n’avais pas ressenti ça.
C’est
marrant comme je retrouve des gestes, des sensations d’enfant.
C’est peut-être
ça le cadeau du moment présent.
Le travail au jardin me mets dans un état de
paix, de bien-être, de co-création avec la nature. Un genre de connivence, de
complicité avec les plantes, les éléments.
La chienne aussi s’est régalée !
Elle est restée calme, couchée dans l’herbe.
Poupoune, mon chat préféré, celui
que j’adore, nous a fait un numéro de cirque, de clown. Jouant à faire
sursauter la chienne puis à partir comme une flèche.
Bien que
j’aie pris la journée de façon cool, sans pression, j’ai tout de même assumé l’essentiel.
L’appart est propre et accueillant, chaleureux.
J’ai mis
un tee-shirt à sécher à 16h, sur le fil et il est presque sec ! Il faut
dire qu’il a fait jusqu’à 22° au soleil et que le vent a accéléré le truc. Il finit de sécher près du poêle...
La vie
tranquille.
Dans l’appart,
tout le monde est calme, repu, ça roupille dans tous les coins !
Bon un
peu d’humour histoire de digérer le repas léger du soir.
Je me
suis tapée la rectification de l’adresse de la presse galactique dans les trois
quarts des messages. J’y ai passé deux heures !
Je n’en
reviens pas d’avoir autant de visiteurs sur le blog !
Je me
demande qui peut bien s’intéresser à ce que j’écris parce que quand il m’arrive
de relire, comme tout à l’heure, je me dis que c’est bien banal comme
quotidien.
D’un autre côté, bien que nous soyons des humains divins, nous
sommes dans un corps, soumis au temps, avec l’obligation de le gérer.
Tout
dépend vraiment de la façon dont on se situe dans notre tête et notre cœur.
Une
chose essentielle qui a bouleversé mon regard, c’est la foi en l’humain divin.
Maintenant que c’est devenu une certitude, ma vie n’a plus du tout le même goût,
la même saveur, tout est plus lumineux, clair, transparent, simple.
C’est
difficile de décrire des impressions qui sont totalement intimes, une vision
des choses, de l’intérieur.
Le fait
de faire des choses que j’aime, de ne pas me laisser embobiner le cerveau par
des programmes télé, ou les films de mon mental, de choisir ce que je veux penser, ce à quoi je veux m’identifier,
change complètement la vie.
C’est
certainement aussi le fait d’avoir relu « la souveraineté de la conscience ».
C’est
hallucinant comment les paroles de Jeshua ont le don de me redonner confiance
en moi, en ma véritable identité.
Comme si ma mémoire revenait à l’essentiel,
comme si mon âme se réveillait, retrouvait son inspiration première.
Comme si
en lisant, je me retrouvais. Cette sensation ne me quitte plus.
Elle me donne
comme une légitimité à être ici, maintenant mais ça n’est pas mental, c’est une
sensation profonde, intime, une conviction, l’étincelle ravivée.
La
première fois que j’ai lu ses messages, je n’arrêtais pas de pleurer.
J’avais
cette même sensation de retour au foyer, cette impression de n’avoir vécu que
pour ces retrouvailles.
Les mots, leurs sens résonnaient si fort en moi que je
ne pouvais m’empêcher d’être émue et triste devant le décalage entre ma foi, ma
certitude d’être une âme éternelle et la vie que je vivais en tant qu’être
humain, à ce moment là.
Je ne regrette pas d’avoir suivi mon cœur, ce feeling
si familier et pourtant si éloigné de la réalité du monde. Je peux constater l’immense
progression, à tous les niveaux entre ma première lecture de ces messages et
celle d’aujourd’hui.
Je n’ai
pas pleuré en relisant, je me suis toujours sentie en famille, à la maison mais
enfin heureuse d’avoir réuni ma personnalité humaine à mon âme.
De marcher
ensemble dans la même direction, avec les mêmes convictions et cette fois-ci,
en harmonie.
Merci Jeshua, mon ami, mon frère.
Merci de m’avoir aidé à
retrouver ma véritable nature, mes origines divines, d’avoir éveillé le christ
en moi, de m’avoir guidé sur ce parcours de retour à la maison.
D’avoir redonné
le sens véritable à ma vie d’aujourd’hui.
De m’avoir montré comment prendre
soin de mon enfant intérieur.
Au point de pouvoir dire, je suis heureuse d’être,
ici, maintenant, dans ce corps physique que j’ai si maltraité et que je veux
désormais honorer, aimer.
Là oui,
je pleure mais ce sont des larmes de gratitude, de reconnaissance, de joie.
Oui,
cette vie vaut vraiment la peine d’être vécue.
Je la veux pleine, riche
épanouissante.
Avançant main dans la main, tout ce que je suis, réuni marchant
dans la même direction, guidé par le cœur, par l’amour inconditionnel de toute
vie.
Par l’amour et la lumière de mon être divin, par la libre circulation de
ses énergies, en tous mes corps.
Musique!
Bien qu’il soit encore tôt, je vais de ce pas, honorer mon corps physique
lui accordant le repos qu’il me demande en vain, depuis ces derniers jours.
Dessin de Octavio Campo, trouvé sur Internet mais je ne sais plus exactement où.
Une vidéo ou deux avant de me déconnecter:
Une que j'adore et je ne dois pas être la seule vu le temps qu'il m'a fallu pour la charger!
Jacques Brel: "Quand on a que l'Amour"
Encore un visionnaire, un cœur pur et une voix qui vient des tripes!
Dans un style tout à fait différent,
Ceux que je vous ai déjà présenté, Los Jaivas
"Mira Niñita"
David Bowie, "Changes"