dimanche 24 mai 2015

« Dialoguer avec son corps multidimensionnel »





Cette semaine aura été celle de la réconciliation profonde avec mon corps physique. 
Une belle histoire d’amour commence parce que le dialogue est établit, enfin reconnu. 
Il n’y a rien de délirant ou d’abstrait là-dedans, bien au contraire, c’est du concret, du ressenti, associé aux pensées, émotions, images, sensations et réactions physiques ; détente ou crispation, relâchement, tension, tendresse, douceur, élan de compassion, de gratitude, d’admiration… C’est même difficile à écrire sans réduire la beauté de cette relation d’amour pur comme je n’en ai jamais connu. 
Rien à voir non plus avec l’égocentrisme puisque ce magnifique complexe physique doté d’une intelligence hallucinante, ne m’appartient pas vraiment. 
Bien qu’il définisse en partie, qui je suis dans cette existence, un jour ou l’autre, il faudra le laisser retourner à la terre. Quoi que ma reconnaissance est telle que je me dis que je lui dois bien d’essayer de l’illuminer chaque jour un peu plus, de le laisser librement rayonner l’amour et de lumière ou tout au moins être en interaction avec lui afin d’être sur la fréquence de l’amour, de la présence attentive et amoureuse, de ces millions de cellules, de ces organes vivants et intelligents qui s’affairent nuit et jour à maintenir l’équilibre interne entre vie et mort, dans l’inspir et l’expir, le battement du cœur, les stratégies de survie, les fonctions vitales…ce n’est pas une machine, mais une quantité infinie d’intelligences qui sont harmonisées par le cœur et la conscience, dans la danse éternelle du vivant.
La mémoire cellulaire s’inscrit évidemment en chaque organe, et notamment dans les muscles qui ont été sollicités afin de contenir la vie en soi pour x raisons.
J’ai pris conscience de cela hier, après midi, en écoutant le témoignage de Marie Lise Labonté, dans le livre audio ; « au cœur de notre corps ». Le début m’a un peu soulé parce que j’avais envie de savoir comment elle abordait concrètement cet "étranger", ou considéré comme tel depuis cinquante ans. 
J’ai de plus en plus envie de choses concrètes depuis que je vais marcher dans la nature et que je passe plus de temps au jardin. Cette matière si longtemps regardée de haut, avec mépris, commence à attirer mon attention d’une façon extraordinaire.

samedi 23 mai 2015

« Extériorisation, intériorité, action et détente »






Ces derniers jours de silence, d’équilibrage et d’ajustement interne ont été des plus favorables bien que peu confortables. On ne peut libérer l’ancien mode de croyances, les à priori et jugements, sans passer par un genre de crise émotionnelle. 
Comme la libration des vieilles croyances passe par celle des pensées émotions énergies refoulées, ça créé des turbulences à l’image du vent qui continue de souffler. 
C’est souvent quand on arrive à saturation qu’on lâche vraiment prise, qu’on n’essaie plus de contenir ce qui monte. Ce qui est déstabilisant c’est parce qu’on a pris l’habitude de bloquer, de réprimer tout ce qu’on étiquetait de « mauvais ». 
La peur d’être rejeté amène à se conformer aux attentes extérieures et on rajoute de la souffrance en soi puisque déjà, ce réflexe vient du fait qu’on ne s’aime pas. 
Je n’en suis plus à me dire que le fait de s’aimer, de se faire passer en premier, est quelque chose de mal, d’égoïste. 
Au niveau inconscient, c’est autre chose, les vieux réflexes restent encore actifs mais justement en laissant les pensées émotions sortir, en ne les jugeant pas et sans essayer de les comprendre, au moment où on se lâche, la libération et la désactivation de ses schémas destructeurs se réalise naturellement. 
C’est précisément le fait de se poser en observateur neutre qui permet la libération qui enclenche le processus de guérison, de transformation. Ce qui ne veut pas dire qu’on devient calme et sage, d’un coup, on vit plutôt un genre de dédoublement de la personnalité, un aspect qui vit pleinement les pensées émotions, qui les exprime comme le ferait un enfant et un autre qui regarde cela avec compassion. 
Je ne parle pas d’une attitude forcée ou d’une posture rigide, ‘adulte’, celle qui tente de donner sens à ce qui émerge, ça c’est un aspect de l’ego, un des personnages du système de survie qu’on peut comparer au dieu de la bible. 
Non, c’est un aspect de soi qui regarde sans juger ni commenter qui voit simplement ce qui se manifeste comme le ferait une caméra. Mais comme nous ne sommes pas des robots, comme nous avons un cœur, le fait de ne pas bloquer ce qui veut sortir, de ne pas, juger amène à voir avec compassion, comme le ferait la mère d’un enfant qui pleure ou exprime sa colère.

vendredi 22 mai 2015

« Libération du péricarde et des émotions » Montserrat Gascon & vibraconférence Jean Claude Brochard, bio-énergéticien






Interview réalisée par Elena Lorente Guerrero, journal « De tots els Colors » 9 mai 2010
Montserrat Gascon est infirmière, ostéopathe, fondatrice et praticienne de l’Ostéopathie Bioénergétique Cellulaire :« Libération du péricarde et des émotions »

Montserrat Gascon a fait des études d’infirmière, elle a travaillé 6 ans dans le service des urgences à l’Hôpital Vall d’Hebron de Barcelone et, pendant 30 ans dans différents pays du monde entier. Diplômée en Morphopsychologie à l’Université de Paris et en Ostéopathie par l’Université d’Aix-en- Provence en France.
Elle a étudié en profondeur la relation entre les émotions et le péricarde et a développé l’Ostéopathie Bioénergétique Cellulaire basée sur la Libération du Péricarde. Elle est l’auteur de deux livres « Vive le Péricarde libre » et « Le Secret du Cœur » disponibles sur : http://vivalavida.org/fr   

Montserrat Gascon Segundo : « L’Ostéopathie Bioénergétique Cellulaire permet d’observer les êtres vivants dans leur globalité, corps, âme et esprit. Respecter la Vie qui les anime et respecter chacun comme être UNIQUE »

« Il est nécessaire que les mères écoutent leurs enfants avec attention, qu’elles les respectent et leur parlent à partir du cœur avec la plus grande clarté possible. 
C’est cela qui fait et fera que leurs enfants les écouteront à leur tour et les respecteront. Quelque décision que vous soyez amené à prendre à l’égard de vos enfants, qu’elle soit prise à partir de l’Amour et non de la Peur »

« La gratitude est le point de vue le plus élevé » Deepak Chopra





Faire l’expérience de la gratitude est l’un des moyens les plus efficaces d’entrer en contact avec votre âme. Quand vous êtes en contact avec votre âme, vous écoutez les pensées de l’univers. Vous vous sentez connecté à tout dans la création.  
Vous embrassez la sagesse de l’incertitude et vous vous sentez comme un champ de possibilités infinies.

La gratitude est une plénitude de cœur qui vous déplace de la limitation et de la peur vers l’expansion et l’amour. 
Quand vous appréciez quelque chose, votre ego s’écarte*. 
Vous ne pouvez porter votre attention sur l’ego et la gratitude en même temps. 

Juste durant quelques instants, considérez les choses que vous avez dans votre vie dont vous pourriez être reconnaissants – toutes les relations qui vous nourrissent, le confort matériel, votre corps et l’esprit qui vous permet de vraiment vous comprendre vous-même et toute chose autour de vous.

Respirez juste un instant et soyez reconnaissant pour l’air qui remplit vos poumons et rend votre vie possible. Il suffit de sentir votre corps et votre vivacité et de reconnaître ce que c’est un miracle qui est simplement d’être en vie actuellement.

jeudi 21 mai 2015

« Se relier à son Féminin Sacré... » Laurent







« Les épousailles avec soi, 
dans le secret d’une solitude fertile, 
permettre une alliance avec l'autre
qui ne portera atteinte à l’intégrité de chacun. » 
Jacqueline Kelen


Notre société actuelle a besoin de retrouver toute la sagesse du Féminin Sacré afin de créer un monde meilleur. 
Les hommes et les femmes ont beaucoup trop développé leur principe masculin dans notre société actuelle. Ce qui vous maintient collectivement dans des relations où dominent de forts enjeux de pouvoir. 

Inversement, la réconciliation vous amène un sentiment de complétude, de joie, de reliance...Redonner sa place au féminin pourrait permettre d’unifier, de réunir… 


Les femmes ont voulu prouver aux hommes qu'elles étaient capable de force et de courage.
C'est généralement l'énergie masculine qui a pris le dessus, car c'est la force physique qui a prévalu...
L'on pourrait dire la loi du plus fort est celle qui régi notre monde.

L'homme accueille difficilement le féminin, et la femme choisit la plupart du temps de se protéger et d'exister par l'énergie masculine en elle.

« La part d’ombre du chercheur de lumière » Debbie Ford* 10è & « L’Eau Diamant, une conscience » Joël Ducatillon**





Épilogue
Tout au long de ce livre, je vous ai guidés à travers un processus long et profond, pour que vous découvriez que vous êtes, au niveau le plus profond, « OK ». 

Nous avons appris à voir que non seulement nous possédons tous les traits de caractères que nous détestons le plus, mais aussi que tous ces traits de caractères ont des cadeaux pour nous. 
Ils sont là pour nous guider vers où notre cœur désire tellement aller, vers un endroit où vit la compassion.

Ne vous battez pas pour atteindre la perfection car c’est le désir de perfection qui nous a amenés à construire tant de murs à l’intérieur de nous-mêmes. 
Recherchez la complétude, recherchez à faire vivre la lumière et l’ombre, également. 

Juste parce que tout a un côté lumineux et un côté sombre, comme c’est vrai pour chaque personne. 
Être humain, c’est être tout.

mercredi 20 mai 2015

« Le corps » le groupe Miriadan via Magali


Akiko Hoshino Artodyssey



Nous sommes une symbiose entre un Esprit (ou Soi), une Âme et un Corps (terme qui englobe les corps énergétiques).

Nous entretenons une relation particulière avec ce corps, car nous nous ressentons à l'intérieur de celui-ci et ainsi entretenons la croyance qu'il nous appartient. Fermez les yeux et regardez votre corps. Quels sentiments se manifestent-ils ?

Nous vivons en société, parmi de nombreux êtres et éléments vivants que nous observons comme un Autre. Pourtant, nous sommes en interaction avec cet environnement. Que nous soyons " éveillés " ou " endormis ", nous sommes dans ce courant de vie qui nous traverse et nous enseigne.

Le corps est un partenaire de vie, tel une flamme jumelle. 

Ce corps dispose de son propre Esprit, d'une intelligence spirituelle et matérielle insoupçonnée. 

Lorsque nous choisissons notre incarnation, nous évaluons le potentiel génétique des familles potentiellement en cohérence avec notre choix de compréhension, de libération. 

Cette lignée familiale offre des perspectives géométriques qui faciliteront la prise de conscience de ce qui nous demande d'être reconnu et transcendé, intégré.