Épilogue
Tout au long de ce livre, je vous ai guidés à travers
un processus long et profond, pour que vous découvriez que vous êtes, au niveau le plus profond, « OK ».
Nous avons appris à voir que non seulement
nous possédons tous les traits de caractères que nous détestons le plus, mais
aussi que tous ces traits de caractères ont des cadeaux pour nous.
Ils sont là
pour nous guider vers où notre cœur désire tellement aller, vers un endroit où
vit la compassion.
Ne vous battez pas pour atteindre la perfection car c’est
le désir de perfection qui nous a amenés à construire tant de murs à
l’intérieur de nous-mêmes.
Recherchez la complétude, recherchez à faire vivre
la lumière et l’ombre, également.
Juste parce que tout a un côté lumineux et un
côté sombre, comme c’est vrai pour chaque personne.
Être humain, c’est être
tout.
Nous avons tous tendance à voir les choses en noir et
blanc.
Mais il y a le bon et le mauvais, le noir et la lumière en toute chose.
Notre relation la plus importante est celle que nous
entretenons avec nous-mêmes, avec notre être dans sa totalité, incluant notre
ombre.
C’est important de se rappeler que toutes les bonnes relations sont
continues.
Nous avons besoin de grandir continuellement et de surmonter les
obstacles que nous rencontrons sur notre chemin.
Nous avons uniquement besoin
de rester dans la démarche de nous voir nous-mêmes tels que nous sommes, de
nous aimer et d’ouvrir notre cœur.
Appréciez votre divinité et vous apprécierez
le cadeau de la vie.
A ce stade, vous commencerez à vous immerger dans la
merveilleuse expérience mystique d’être un humain.
Résumé du livre de Debbie Ford : « The dark side of the light
chasers »
Editions
Hodder et Stoughton, version originale en anglais et le résumé (cliquez ici) sur le site de Geneviève Lenouteux. Puis sur http://livre.fnac.com
*Résumé – traduction de Geneviève Lebouteux, mars 2002
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les chapitres précédents en cliquant ICI
Le
premier chapitre se trouve en bas de la page et les autres, en remontant.
COMPLEMENT : « L’Eau diamant, une
conscience » **extraits du livre de Joël Ducatillon. Résumé
effectué par Geneviève Lebouteux
Savez-vous pourquoi il y a tant de problèmes dans le
monde, depuis des milliers d’années ? C’est parce qu’on cherche à bien
faire.
Voilà : plus on voudra bien faire, plus on attirera du mal.
Si on
veut faire dix kilos de bien, on attire 10 kilos de mal. Si on veut en faire 20
kgs parce qu’on trouve que c’est encore trop mal, on obtiendra 10 kilos de mal
supplémentaires.
Et ce sera l’escalade jusqu’à ce que tout s’écroule.
Maintenant, on arrive à l’écroulement de ce système.
Il a encore dix ou douze
ans pour crouler, on est en plein dedans.
Il y a une loi que j’ai constatée : on exprime
toujours le contraire de ce qu’il y a au plus profond de nous. Si le côté + est
exprimé, le côté – est imprimé dans le subconscient.
Ici on n’est plus dans le bien et le mal car le + et
le – sont les deux fils de l’ampoule qui sont contigus et permettent à la
lumière de passer pour éclairer. Si on supprime un de ces deux fils, il n’y a
plus de lumière. C’est pour ça que même dans la maladie, si on la chasse, on
empêche la guérison. Si on chasse la drogue, on l’alimente. Si on intervient
dans un conflit, on l’alimente parce qu’on empêche l’harmonie, la copulation,
la fusion entre le + et le -.
C’est une copulation à trois, pas à deux, c’est là le
problème. En électricité, si on fait se toucher les fils + et -, le compteur
saute : c’est la guerre, le conflit, la dispute. Si on les fait
s’approcher et qu’ils se regardent, en Dieu, on crée le 3 et alors, la lumière
passe et il y a guérison.
Les êtres humains expriment souvent le contraire de ce
qu’il y a dans leur subconscient. L’important c’est de reconnaître que l’on a
ça en nous.
L’intention du moment présent de ce schéma c’est de
revenir vers Dieu. Supposons que vous avez un schéma de vol en vous et que ce
schéma veut revenir vers Dieu mais ne sait pas comment faire. Qu’est-ce qui va
se passer ? Il y a un voleur qui va venir cambrioler votre maison et ce
voleur, attiré par votre mémoire, vous montre que cette mémoire veut revenir à
Dieu.
Le fait de vous connaître de plus en plus complètement
vous amène à connaître les autres de plus en plus complètement et par
conséquent à les aimer encore plus. Ce qui fait que les autres vous aiment
d’autant plus et en étant aimés encore plus, vous attirez à vous la joie,
l’abondance, la sérénité, la liberté et la certitude que vous êtes souverains
de votre vie et que vous avez la clé pour agir en toute puissance sur l’écran
de votre vie, en changeant à l’intérieur sans jamais rien imposer ni rectifier
à l’extérieur.
Il est absolument impossible que vous voyiez dans
autrui des schémas comportementaux que vous n’ayez pas en vous-mêmes
! Autrement dit, il est impossible d’aimer ou de détester autre
chose qu’une partie de soi-même exprimée par votre entourage.
L’amour et la haine, donc l’attraction et la
répulsion, constituent les deux faces d’une même pièce de monnaie.
L’Amour divin lui, n’est pas partial, ne s’attache pas et ne rejette rien.
C’est un Amour vertical qui se diffracte au travers de
la conscience du bien et du mal dont les mémoires subconscientes sont
imprégnées, pour se traduire en une dualité composée d’attachements possessifs
et de rejets plus ou moins brutaux.
A ce niveau, les humains sont comme
envoûtés par ces énergies et sont conduits à posséder des êtres humains, des
pays, de l’argent, des savoirs intellectuels etc.
L’instinct de propriété
est la conséquence de ceci, incitant l’homme à se protéger et à attaquer ceux
qui menacent ces acquis.
Pour finir, cet homme définit son objectif de vie, espérant
la réussite de son programme, dans lequel il peut échouer et vivre
l’échec. C’est une vie parsemée de batailles, de souffrances et parfois
de maladies.
Vous qui faites ce chemin peu ordinaire, considérez
votre vie comme une expérience qui mène à la réalisation de ce que vous avez
délaissé pendant très longtemps.
Dans ce cas, il n’y a plus ni réussite,
ni échec mais une quotidienne nourriture d’amour et d’intelligence où vous
amassez des matériaux nobles pour construire votre temps présent.
Ainsi vous sortez de la conscience du bien et du mal
pour franchir la barrière qui vous sépare de la conscience de l’Arbre de Vie.
Dans ce travail joyeux et léger, vous apprenez à
traverser le pont qui mène de l’acceptation de ce qui survient, à l’accueil
dans l’amour et la reconnaissance envers cet événement et envers ceux qui l’ont
exprimé.
Ce pont est composé de diverses réactions telles que
la colère, l’humiliation, chagrin etc. Toutes ces énergies de réaction
contiennent une grande force émotionnelle encore piégée dans les clôtures des
principes mentaux du bien et du mal.
En examinant profondément ceci, vous
pouvez détricoter ces concepts de jugement en vous disant simplement : C’est
ainsi ! C’est un cadeau que je ne discerne pas car mes réactions
émotionnelles m’aveuglent !
Après un temps plus ou moins long, vos yeux s’ouvrent
et vous découvrez, émerveillés, l’importance de ce que vous conscientisez et
l’impact qui en ressortira dans votre vie.
Ces énergies émotionnelles se
libèrent de leur prison conceptuelle et contribuent à ouvrir le cœur de l’âme.
Ce cheminement peut se faire pour chaque mémoire, si
vous le désirez, pour votre plus grand bonheur.
« L’Eau diamant, une conscience » de Joël
Ducatillon, extraits choisis par Genenviève Lebouteux et ajoutés au résumé du livre de Debbie Ford
Site
de Joël Ducatillon : http://steel-storm-staelhe.info/pmt.htm
Livre à télécharger gratuitement sur ce site :
Comme
très souvent lorsque je découvre une personne par le biais de ses écrits
lorsque ça résonne avec ma foi, ma pensée, dans l’instant, je fais une
recherche google pour ajouter le lien de son site ou pour en savoir plus. Là, je tombe sur un site, le premier de
la liste dans google, qui dédie tout un article à démonter Joël Ducatillon.
Vengeance personnelle, déception, guérison attendue non obtenue… ?
Je sais
une chose, c’est que l’humain, lorsqu’il juge, n’est pas très clair avec
lui-même.
Je suis convaincue que lorsque l’autre nous dérange, c’est qu’il
éveille quelque chose en nous, que nous ne voulons pas voir, que nous jugeons.
C'est désagréable mais ça nous permet de devenir libre, responsable et autonome affectivement.
Qu’il éveille des peurs, de la culpabilité, de la violence, des fantasmes, des
espoirs inassouvis, ou de la lumière, de l’intelligence, de l’assurance…il ne
fait que refléter ce que nous portons.
Ce n’est qu’en ayant le désir sincère de
vouloir être transparent aux yeux de la source en soi, honnête vis-à-vis de soi-même,
et de s’aimer vraiment, entièrement, que nous allons pouvoir découvrir tout ce
que nous sommes à travers les yeux de l’amour divin et lâcher la notion de
jugement.
Le jugement est loin d’être du discernement, c’est une façon de faire
rentrer dans les cases de nos croyances, tout ce qui est, afin de se sentir fort, de se rassurer finalement.
C'est l'expression de notre souffrance, de notre incompréhension.
Mais non seulement ça ne nous rend pas plus puissant puisque ça nous rend
violent mais en plus on se fait souffrir soi-même.
En niant en rejetant ce que
l’autre nous révèle nous nous écartons de l’amour en nous et nous privons du
vrai pouvoir. Celui qui rend libre, responsable, autonome et en même temps
empathique.
Je ne parle pas de condescendance, de ce genre de considération, « le
pauvre il ne sait pas » où on se situe au-dessus de l’autre et on ne fait que
flatter notre ego. Là aussi, on est dans l'illusion de l'amour de soi. Amplifier notre lumière, nos qualités ou ne montrer que cet aspect de nous, est une forme de trahison interne qui fait qu'on est déchiré, incomplet et dans le besoin, la nécessité de se contrôler pour ne pas "casser l'image"
Je parle de l’amour inconditionnel de soi, de son ombre
comme de sa lumière qui nous ramène à notre seule responsabilité et où il ne
nous vient pas à l’idée de juger l’autre parce qu’on a cessé de se valoriser de
cette façon et la transparence, la compassion pour nos aspects enfantins adoucit notre coeur.
Et comme ça ne se fait pas en un jour, puisque c’est à chaque
instant qu’il nous faut accueillir avec amour et offrir à la source tout ce qui
se manifeste en nous-même, parce que nous sommes multidimensionnels et vivants,
on se préserve aussi de l’orgueil, de l'arrogance.
Orgueil et arrogance qu'on pourra offrir à la source en soi et ainsi on apprendra la compassion, la capacité à
écouter l’autre et à le ramener à son propre pouvoir, avec tendresse.
Celle-là
même dont on aura bénéficié, qu'on aura ressenti, par l’acceptation de nos défauts, depuis notre coeur qui équilibre ce qui est.
Et dans cette communion nous développons le sens de la responsabilité,
de la permissivité, de la liberté, par l’acceptation de notre ombre, de ce que
nous ne connaissions pas ou peu en nous.
On est alors dans la découverte de notre multidimensionnalité.
Concernant Joël Ducatillon tout comme les auteurs des messages de ce blog, les miens compris, rien ne vous oblige à croire ce qui est dit. Je n'ai d’ailleurs pas lu son livre que j'ai tout de même téléchargé.
De toute façon, il ne s'agit pas de croyances mais d'expériences vécues et interprétées depuis l'intérieur, selon la personnalité, la sensibilité, le caractère et la source qui s'exprime à travers chacun.
De toute façon, il ne s'agit pas de croyances mais d'expériences vécues et interprétées depuis l'intérieur, selon la personnalité, la sensibilité, le caractère et la source qui s'exprime à travers chacun.
Elle est la même pour tous mais les récepteurs/émetteurs diffèrent tout simplement.
Cette diversité permet à chacun de trouver écho, résonance parmi ces expressions multiples du vivant.
Merci de laisser les références, les liens, ainsi que celui
qui mène au site de l’éditeur, si vous souhaitez diffuser cet article dans son intégralité et de
mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr ) afin
de respecter le travail, l'investissement de chacun.