mardi 26 mai 2015

« Si la vie est un jeu, en voici les règles » Chérie Carter-Scott --- Règle n°1: "Apprenons à vivre avec notre corps"






“Si, au cours des vingt-cinq dernières années, vous avez croisé sur votre route les règles que j’énonce ici, si vous les avez photocopiées et communiquées à votre entourage; si vous les avez utilisées pour un séminaire, pour un cours, dans une brochure ou sur un site internet; si vous les avez encadrées et accrochées au mur, rangées dans un tiroir, où fixées sur la porte de votre réfrigérateur; si, en lisant ces lignes aujourd’hui, vous les reconnaissez avec un sourire de connivence, alors c’est à vous que je dédicace ce livre, ainsi qu’à tous ceux qui ont aimé ces règles de vie. Ce livre vise à être un soutien, pour vous et pour ceux que vous aimez, au cours de votre séjour ici-bas. Utilisez-le pour parvenir à un plus haut degré de conscience. Mes vœux vous accompagnent.”

“La vie est une succession de leçons qu’il faut avoir vécues pour comprendre”
Helen Keller

On compare souvent la vie à un jeu. Mais on ne nous en donne pas les règles. 
Nous nous retrouvons un beau jour à la case « départ », contraints de jeter les dés et d’avancer notre pion dans la direction qui nous semble la bonne, sans avoir reçu d’instructions précises. 
Le but du jeu reste vague, et nous savons à peine en quoi consiste la victoire.

C’est le propos même de cet ouvrage, qui vous offre dix règles simples pour jouer correctement au jeu de la vie, et pour comprendre un peu mieux ce que représente l’être humain. 
Il existe des vérités universelles que chacun perçoit confusément en son for intérieur, mais que nous avons tous tendance à oublier. 
Elles constituent pourtant la base d’une vie digne de ce nom.

« La plus belle leçon » les êtres de lumière via Monique Mathieu





"Enfants de la Terre, en ce moment beaucoup de Travailleurs de Lumière sont beaucoup bousculés, beaucoup bougés. Ceux qui sont sensitifs ou ceux qui ont un grand cœur, un cœur pur, sont en permanence à cheval sur deux plans parce qu'ils doivent commencer à se réaliser sur le plan supérieur, sur le plan de la quatrième et même de la cinquième dimension. 
Ils doivent commencer à se réaliser dans leur conscience et dans leur cœur ; ensuite, lorsqu'ils auront commencé à bien se stabiliser dans ce qu'ils deviennent et dans cette nouvelle conscience, dans cette nouvelle énergie, dans ce nouvel Amour, même leur corps se transformera, ils sera beaucoup plus harmonieux. Peu importe le corps pour l'instant, car c'est ce que les humains voient d'eux-mêmes et des autres.

La transformation profonde, c'est ce que vous ne voyez pas, que ce soit la vôtre ou celle des autres ; la transformation profonde est très souvent assimilée à un Amour immense qui commence à s'exprimer en chacun d'entre vous et que vous n'arrivez toujours pas à reconnaître, car parfois l'Amour fait mal. L'Amour fait mal quand il est mal compris et mal perçu. 
Avant d'être un sentiment, il est une énergie, une vibration.

lundi 25 mai 2015

« Ecouter la voix du corps, du coeur, de l’amour » & "Exercices" de Byron Katie






Lorsqu’on admet que l’acceptation de ce qui est, procure la paix, la joie et la reconnaissance de sa vraie nature, de la sagesse intérieure innée, la vie s’écoule sereinement, au fil des synchronicités qui deviennent un mode de guidance personnel. 

Derrière les mouvements des émotions, il y a une forme de paix, d'assurance qui vient de la connaissance que tout ce qui arrive est voulu par notre conscience divine, que nous ne sommes pas seul mais toujours relié à l'amour pur, l'intelligence pure, à cette conscience issue de la source.  
On est alors plongé dans le monde de la gratitude, de la grâce, par la reconnaissance du divin que nous sommes, enfin je devrais dire de la conscience, l’intelligence qui nous habite et nous constitue.

Cet état n’est pas reçu de l’extérieur par hasard ou par privilège, c’est une question de choix, de foi en soi et de capacité d’aimer. Ce n’est pas non plus ce que recherche le monde; du pouvoir sur celui-ci, sur les autres. Rien qui flatte l’ego et pourtant, il est aussi satisfait puisque reconnu et accepté comme un aspect essentiel à l’individualité, à l’affirmation de ses choix mais comme ça passe par la reconnaissance de l’unité, de l’importance de tous les corps et de l’harmonie qui les anime, qui est la quête de chacun d’eux, il n’y a pas de déséquilibre, de hiérarchisation. 

Même si le cœur, organe majeur, est le coordinateur, celui qui harmonise l'ensemble, la porte sur tous les mondes, le générateur, émetteur et récepteur de l’énergie, sans les autres corps, il ne serait pas. 

« Les bases des Lois de l’Un » Miriadan via Magali






La Création s'appuie sur des bases à partir desquelles les Lois dessinent toutes les potentialités de la Vie et de la Non-Vie :

- vous êtes aimés inconditionnellement,
- tout est possible,
- tout ce que vous vivez est en accord avec votre Volonté.
 
Vous êtes aimés inconditionnellement. 
Et cela s'applique à tout ce qui est issu de l'Un. 

L'Un est la matrice primordiale, celle qui porte tout ce qui s'exprime. 
Et tout ce qui est émané de l'Un renferme en son sein un Feu primordial, et donc une Conscience, et donc une âme. 

Oui, ce que vous croyez inanimé est un élément de Vie complet, avec toutes les potentialités d'évolution. 
Car l'évolution est multiple, variée et illimitée

Il n'y a pas de niveau dans l'Amour de l'Un, ni de hiérarchie. 
Un grain de sable a droit à autant de considération qu'un Melchisédek au regard de l'Un.

« Message du Peuple des Fourmis » Caroline Leroux





 
Bonjour!
Il est bien rare que quelqu’un se penche sur nous, les petites ouvrières noires!...
Nous avons donc décidé de venir à vous afin de vous livrer nos nombreux cadeaux. 
Nous avons autant de qualités, de cadeaux, que de pattes!

Nous sommes des Êtres pratiques, reliés entre nous par une cohésion remarquable

Oups, mine de rien, nous venons de vous livrer un de nos plus grands attributs: le travail de groupe. 
Nous sommes, je crois, reconnues dans votre monde pour cette faculté. 

Pour nous, fonctionner en groupe n’est pas une obligation sociale dictée par l’extérieur mais une chorégraphie, une danse d’apparence parfois chaotique, parfois fluide, mais toujours organisée. 

Notre capacité à œuvrer en tant que groupe nous procure des sensations très agréables.

Chacune d’entre nous est reliée par une énergie de groupe à la fois globale et spécifique.

Nous communiquons télépathiquement et nous sommes sensorielles: nous sentons les vibrations des mouvements, des déplacements d’autrui. 

Grâce à nos antennes, nous captons des ondes de mouvements pour la plupart fort agréables! 

dimanche 24 mai 2015

« Dialoguer avec son corps multidimensionnel »





Cette semaine aura été celle de la réconciliation profonde avec mon corps physique. 
Une belle histoire d’amour commence parce que le dialogue est établit, enfin reconnu. 
Il n’y a rien de délirant ou d’abstrait là-dedans, bien au contraire, c’est du concret, du ressenti, associé aux pensées, émotions, images, sensations et réactions physiques ; détente ou crispation, relâchement, tension, tendresse, douceur, élan de compassion, de gratitude, d’admiration… C’est même difficile à écrire sans réduire la beauté de cette relation d’amour pur comme je n’en ai jamais connu. 
Rien à voir non plus avec l’égocentrisme puisque ce magnifique complexe physique doté d’une intelligence hallucinante, ne m’appartient pas vraiment. 
Bien qu’il définisse en partie, qui je suis dans cette existence, un jour ou l’autre, il faudra le laisser retourner à la terre. Quoi que ma reconnaissance est telle que je me dis que je lui dois bien d’essayer de l’illuminer chaque jour un peu plus, de le laisser librement rayonner l’amour et de lumière ou tout au moins être en interaction avec lui afin d’être sur la fréquence de l’amour, de la présence attentive et amoureuse, de ces millions de cellules, de ces organes vivants et intelligents qui s’affairent nuit et jour à maintenir l’équilibre interne entre vie et mort, dans l’inspir et l’expir, le battement du cœur, les stratégies de survie, les fonctions vitales…ce n’est pas une machine, mais une quantité infinie d’intelligences qui sont harmonisées par le cœur et la conscience, dans la danse éternelle du vivant.
La mémoire cellulaire s’inscrit évidemment en chaque organe, et notamment dans les muscles qui ont été sollicités afin de contenir la vie en soi pour x raisons.
J’ai pris conscience de cela hier, après midi, en écoutant le témoignage de Marie Lise Labonté, dans le livre audio ; « au cœur de notre corps ». Le début m’a un peu soulé parce que j’avais envie de savoir comment elle abordait concrètement cet "étranger", ou considéré comme tel depuis cinquante ans. 
J’ai de plus en plus envie de choses concrètes depuis que je vais marcher dans la nature et que je passe plus de temps au jardin. Cette matière si longtemps regardée de haut, avec mépris, commence à attirer mon attention d’une façon extraordinaire.

samedi 23 mai 2015

« Extériorisation, intériorité, action et détente »






Ces derniers jours de silence, d’équilibrage et d’ajustement interne ont été des plus favorables bien que peu confortables. On ne peut libérer l’ancien mode de croyances, les à priori et jugements, sans passer par un genre de crise émotionnelle. 
Comme la libration des vieilles croyances passe par celle des pensées émotions énergies refoulées, ça créé des turbulences à l’image du vent qui continue de souffler. 
C’est souvent quand on arrive à saturation qu’on lâche vraiment prise, qu’on n’essaie plus de contenir ce qui monte. Ce qui est déstabilisant c’est parce qu’on a pris l’habitude de bloquer, de réprimer tout ce qu’on étiquetait de « mauvais ». 
La peur d’être rejeté amène à se conformer aux attentes extérieures et on rajoute de la souffrance en soi puisque déjà, ce réflexe vient du fait qu’on ne s’aime pas. 
Je n’en suis plus à me dire que le fait de s’aimer, de se faire passer en premier, est quelque chose de mal, d’égoïste. 
Au niveau inconscient, c’est autre chose, les vieux réflexes restent encore actifs mais justement en laissant les pensées émotions sortir, en ne les jugeant pas et sans essayer de les comprendre, au moment où on se lâche, la libération et la désactivation de ses schémas destructeurs se réalise naturellement. 
C’est précisément le fait de se poser en observateur neutre qui permet la libération qui enclenche le processus de guérison, de transformation. Ce qui ne veut pas dire qu’on devient calme et sage, d’un coup, on vit plutôt un genre de dédoublement de la personnalité, un aspect qui vit pleinement les pensées émotions, qui les exprime comme le ferait un enfant et un autre qui regarde cela avec compassion. 
Je ne parle pas d’une attitude forcée ou d’une posture rigide, ‘adulte’, celle qui tente de donner sens à ce qui émerge, ça c’est un aspect de l’ego, un des personnages du système de survie qu’on peut comparer au dieu de la bible. 
Non, c’est un aspect de soi qui regarde sans juger ni commenter qui voit simplement ce qui se manifeste comme le ferait une caméra. Mais comme nous ne sommes pas des robots, comme nous avons un cœur, le fait de ne pas bloquer ce qui veut sortir, de ne pas, juger amène à voir avec compassion, comme le ferait la mère d’un enfant qui pleure ou exprime sa colère.